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Normand Hamel

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Messages posté(e)s par Normand Hamel

  1. Il y a 2 heures, franktko a dit :

    Overall, Montréal accounted for 61% of all international events held in Canada.

    Cela se reflète aussi dans les statistiques du traffic international à l'aéroport Trudeau où Montréal arrive deuxième au Canada pour le nombre de passagers et première en termes de pourcentage. Et parmi les grandes villes canadiennes Montréal est également le siège du plus grand nombre d'organisations internationales.

    Selon Montréal International << Montréal accueille déjà plus de 60 organisations internationales gouvernementales et non gouvernementales. Parmi celles-ci figurent l’Organisation de l’aviation civile internationale (OACI), l’Institut de statistique de l’UNESCO (ISU), le Secrétariat de la Convention sur la diversité biologique (SCDB), la Fédération mondiale de l’hémophilie et l’Agence mondiale antidopage (AMA). >>

  2. il y a 14 minutes, DemonBalcon a dit :

    Du rouge....  ?

    Montreal-2018-07-10-LeBalmoral-01.jpg

    Montreal-2018-07-10-LeBalmoral-02.jpg

    Montreal-2018-07-10-LeBalmoral-03.jpg

    Excellentes photos! Je suis heureux de constater que de ton balcon le rouge garde la même teinte qu'avec la caméra de chantier. En tout cas il est vraiment plus foncé que sur les évocations. Je vais attendre encore un peu avant de déclarer qu'il est peut-être un petit peu trop foncé. ?

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  3. J'attendais le moment où le soleil éclairerait directement le nouveau revêtement rouge pour voir comment la couleur ressortirait. La photo ci-jointe a été prise très tôt ce matin par la caméra de chantier alors que la luminosité était à son maximum sur la façade, le soleil l'éclairant plus directement qu'à n'importe quel autre moment de la journée.*

    Regardez bien le rouge de l'Îlot Balmoral en comparaison avec celui du Louis Bohème. Ce dernier est beaucoup plus clair, avec une légère teinte orangée, tandis que le Balmoral est d'un rouge relativement foncé. Certainement plus foncé que ce à quoi je m'attendais.

    La surface couverte n'est cependant pas encore suffisamment grande pour se faire une idée juste. C'est que l'ajout de panneaux supplémentaires créera probablement un effet d'amplitude dont il est encore difficile de prévoir le résultat. Disons que pour le moment cela augure plutôt bien.

    * Si l'on compare la photo ci-jointe avec celle d'hier on constate que la façade de la Maison du Jazz est beaucoup plus éclairée (le Wilder aussi). Il en va de même pour le Balmoral même si cela paraît moins évident. 

    2018-07-10.jpg

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  4. Montréal gardera les coûts secrets

    Impossible de savoir combien Montréal International a payé pour sa tentative infructueuse d’attirer Amazon

    SYLVAIN LAROCQUE - Le Journal de Montréal

    Même si la majeure partie de son financement provient des gouvernements et des municipalités, Montréal International refuse de dévoiler les coûts de la campagne menée pour tenter d’attirer dans la métropole le deuxième siège social d’Amazon (HQ2), pourtant la plus imposante de son histoire.

    « Personne ne se rappelle avoir vu un appel d’offres comme ça où il y avait 50 000 emplois au bout du compte avec des investissements qui se comptent en milliards de dollars », affirme au Journal Stéphane Paquet, vice-président aux investissements étrangers et aux organisations internationales chez Montréal International.

    M. Paquet souligne que c’était probablement le cas également pour les 237 autres villes et régions qui ont soumis une candidature auprès du géant américain du commerce en ligne, l’automne dernier. Rappelons qu’à lui seul, le New Jersey a mis sur la table des incitatifs fiscaux de 7 G$ US.

    Dans l’espoir de séduire Amazon, Montréal International a notamment produit un document de 164 pages, trois vidéos et un microsite web. En octobre, le PDG de l’organisme, Hubert Bolduc, s’est rendu au siège de l’entreprise, à Seattle, afin de remettre le dossier, qui était présenté dans une boîte.

    Secret voulu par Amazon

    Montréal International ne veut toutefois pas dire combien l’opération lui a coûté, invoquant la stricte confidentialité réclamée par Amazon. Or, plus des trois quarts du financement de l’organisme proviennent de sources publiques comme le gouvernement du Québec et la Communauté métropolitaine de Montréal.

    « On respecte Amazon comme client comme on respecte nos autres clients, fait valoir Stéphane Paquet. Quand les gens nous demandent d’être confidentiels, eh bien, on l’est. Si je ne respecte pas cette parole-là, il y a bien des entreprises qui ne me parleront plus. »

    Montréal International précise tout de même qu’une dizaine de ses salariés ont travaillé pendant deux mois « presque à temps plein » sur le dossier Amazon.

    « Malgré ça, l’année 2017 a été une année record avec plus de 2 G$ d’investissements étrangers attirés dans la région de Montréal, note Stéphane Paquet. Les gens ont donc travaillé très, très, très fort. »

    Études sur la main-d’œuvre

    On sait aussi que dans le cadre de la campagne Amazon, Montréal International a fait réaliser des études sur la main-d’œuvre actuellement disponible dans la région, le nombre d’étudiants que les universités de la métropole formeront au cours des prochaines années et le potentiel d’attraction de Montréal auprès des travailleurs étrangers.

    « On réutilise beaucoup des informations qu’on a colligées pour Amazon dans l’ensemble de nos dossiers de candidature auprès d’autres entreprises », précise M. Paquet.

    Les frais de fonctionnement de Montréal International ont bondi de 47 % en 2017 pour atteindre 3,7 M$, mais l’organisme assure que la campagne Amazon n’est pas le principal élément expliquant l’augmentation.

    Rappelons qu’Amazon n’a pas retenu Montréal parmi les 20 villes finalistes pour son HQ2. Toronto est la seule candidature canadienne toujours en lice aux côtés de 19 villes et régions américaines.

    http://www.journaldemontreal.com/2018/07/09/montreal-gardera-les-couts-secrets

    HQ2MTL.jpg

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  5. L'arrondissement d'Outremont testera de nouveaux passages pour piétons en trois dimensions pour inciter les automobilistes à freiner. Les rares études sur ces aménagements nouveau genre soulèvent toutefois des doutes sur leur efficacité à long terme.

    PIERRE-ANDRÉ NORMANDIN - La Presse

    Artère commerciale achalandée, l'avenue Bernard fera l'objet d'un projet-pilote pour tenter d'améliorer la sécurité des piétons. Outremont aménagera une traverse piétonne peinte de façon à simuler qu'elle est en trois dimensions. L'idée derrière cette illusion d'optique est de surprendre les automobilistes afin de les inciter à freiner et à céder le passage aux piétons.

    «Le but, c'est que les automobilistes voient encore mieux la traverse qu'en deux dimensions. On espère que le fait d'ajouter cet effet visuel fera en sorte que tant les cyclistes que les automobilistes s'arrêtent plus, et donc que ce soit plus facile pour les piétons de traverser», explique Valérie Patreau, conseillère d'arrondissement dans Outremont.

    Le passage sera aménagé mardi matin sur l'avenue Bernard, à l'intersection de l'avenue Champagneur. Cet endroit a été choisi parce qu'il a été jugé «sensible» en raison du nombre de piétons qui y ont été victimes d'une collision. Ce secteur génère également un achalandage élevé, notamment en raison de la présence du Théâtre Outremont et de plusieurs restaurants courus.

    Les élus de Projet Montréal, qui ont pris la mairie d'Outremont en novembre dernier aux élections, disent vouloir améliorer la sécurité pour les piétons.

    «Ces dernières années, on a seulement peint des lignes pour délimiter les passages pour les piétons. C'est plus économique sur la peinture, mais ça augmente le risque pour les piétons», affirme Valérie Patreau.

    Plus petit arrondissement de Montréal avec ses 3,9 km2, Outremont investira ainsi 100 000 $ en 2018 pour améliorer le marquage dans ses rues. Un peu plus du quart de cette somme (27 000 $) ira aux passages piétonniers, qui avaient été négligés ces dernières années.

    Déjà en vogue ailleurs dans le monde

    Les passages piétonniers 3D ont la cote depuis quelques années dans le monde municipal. Plusieurs villes d'Islande, de France, des États-Unis, d'Allemagne, d'Inde et de Chine ont misé sur ces aménagements pour tenter de calmer la circulation dans leurs rues.

    C'est notamment le cas de Clermont-Ferrand, dans le centre de la France, qui a aménagé un passage 3D il y a deux semaines. «Les premiers résultats chez les automobilistes ont été de les faire freiner parce que ça donne l'impression qu'il y a une marche», explique Cyril Cineux, adjoint au maire responsable des transports.

    L'endroit pour implanter le passage 3D a été choisi non pas en raison du nombre d'accidents, mais plutôt de la difficulté pour les piétons à franchir l'artère, peu d'automobilistes y cédant le passage. «Les automobilistes n'ont pas tendance à s'arrêter malgré que ce soit prescrit dans le Code de la route», déplore M. Cineux. L'aménagement fera l'objet d'un suivi pendant deux ans afin de tenter de mesurer son efficacité sur la sécurité des piétons.

    Rares études non concluantes

    Mais voilà, les études mesurant l'impact de ces passages 3D sont peu nombreuses. Deux rares études menées sur le sujet aux États-Unis ont conclu que, comme plusieurs aménagements en sécurité routière, ils verraient leur effet s'émousser avec le temps.

    Une chercheuse de la Western Michigan University a étudié en 2012 l'efficacité de passages piétonniers aménagés à Chicago.

    Si la Ville des vents a observé au départ une augmentation du nombre d'automobilistes qui cédaient le passage aux piétons, l'effet a pratiquement disparu après quelques années.

    Même résultat en Oklahoma, dans le Midwest américain. La mort d'une écolière en 2013, frappée par une voiture devant son école, avait incité l'État à aménager une traverse piétonne en trois dimensions. Mais les résultats n'ont pas été convaincants jusqu'à présent.

    Selon les observations des ingénieurs du département des Transports de l'Oklahoma (ODOT), 9% des automobilistes freinaient à l'approche de l'aménagement dans la première année ayant suivi son apparition. Mais depuis le début de 2018, à peine 1% des automobilistes ralentissent. «Le taux de réponse à l'aménagement a diminué au fur et à mesure que les gens se sont habitués à sa présence. Ils ont pratiquement cessé d'y réagir en 2018», indique Annahlyse Meyer, porte-parole de l'ODOT.

    Le passage 3D sera d'ailleurs retiré sous peu, le projet-pilote tirant à sa fin. L'ODOT recommande néanmoins de poursuivre les études, l'emplacement devant une école pouvant avoir influencé les résultats.

    Dos-d'âne repeints

    Outre les passages piétonniers, Outremont compte améliorer le marquage sur ses dos-d'âne. Plutôt que de peindre de petits chevrons, ces obstacles seront peints en jaune sur toute leur surface afin d'être plus visibles et éviter que les voitures les traversent à pleine vitesse. 

    «Le but des dos-d'âne, ce n'est pas d'abîmer les autos, mais de les faire ralentir», souligne Mme Patreau. Une cinquantaine de pictogrammes au sol pour prévenir de la proximité d'un parc et de zones scolaires seront aussi ajoutés.

    http://www.lapresse.ca/actualites/grand-montreal/201807/09/01-5188917-des-passages-pietonniers-en-trois-dimensions-a-outremont.php

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  6. Il y a 1 heure, ConcordiaSalus a dit :

    Peut-être pas à la Leonard Cohen mais je suis certain qu'un immeuble dans le Mile-End lui ferait honneur.

    Leonard Cohen a eu droit à deux murales. Alors Bourdain en mériterait bien au moins une aussi grosse que la plus petite des deux. C'est le moins que l'on puisse faire pour le remercier d'avoir mis Montréal sur la map. 

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  7. il y a 25 minutes, Pylône a dit :

    De façon générale, le vert pâle (fluo ?) est particulièrement agressant. J'aimais bien la version Expo pour son côté jazzé mais il a trop de vert !

    J'ai eu exactement la même réaction que toi en voyant l'Expo. Je l'avais donc initialement écarté en faveur du Mont-Royal parce que je trouvais le vert trop vif et trop apparent, pour ne pas dire dominant. Par contre je trouvais le design très dynamique, et donc particulièrement bien adapté à un train en mouvement.

    Ce qui m'a finalement convaincu que l'Expo était sans doute la meilleure option des deux c'est lorsque j'ai réalisé que le Mont-Royal était finalement trop élégant et mal adapté pour ce mode de transport, et conviendrait peut-être davantage à un navire de croisière, ou même à un train longue-distance, mais certainement pas pour un train express.

    De plus j'ai réalisé que le blanc serait très salissant et difficile d'entretien, et c'est ce qui a fait pencher la balance en faveur de l'Expo qui lui devrait vieillir mieux et avec des couleurs qui deviendront de moins en moins agressantes après exposition aux aléas de l'environnement.

    Pour ce qui est du Saint-Laurent je le trouve absolument superbe vu de face, avec une personnalité très affirmée. Mais lui aussi a le problème de la couleur blanche, quoi que dans une moindre mesure. Et je n'aime pas du tout la superposition du vert foncé et du noir sur le côté car je trouve ça beaucoup trop lourd.

    En résumé, je crois que même s'il n'est pas parfait l'Expo est pour le moment le design le plus abouti car il est plus contemporain et mieux adapté à un train express.

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  8. il y a 7 minutes, Rocco a dit :

    On dirait 3 propositions en attendant la finale.

    Aucune n'est définitive c'est certain. D'ailleurs s'ils demandent le feedback des citoyens c'est justement pour savoir dans quelle direction ils doivent aller. Personnellement j'ai répondu à l'appel avec un copier-coller de mon commentaire ci-haut.

    Je profite de l'occasion pour dire que j'aimerais que l'on puisse voter sur MTLurb pour la version que l'on préfère.

  9. Si aucun ne me plait totalement par contre aucun ne me déplait suprêmement non plus. Tout dépend de l'angle de vision.

    Ironiquement la proposition la plus contemporaine est l'Expo.

    J'aime bien le Saint-Laurent de face car il a l'air plus mean. Son problème c'est la bande vert foncé sur le côté qui fait plutôt austère avec le noir en dessous.

    Le Mont-Royal est très élégant mais pas très dynamique pour un train. De plus tout ce blanc risque de vieillir très mal et serait difficile à garder beau et propre.

  10. il y a une heure, Digtoast a dit :

    Ça commence!!

    Et ça avance très vite car à peine deux heures plus tard on a déjà un carré de complété.

    Compte tenu de la luminosité ambiante cela me parait un rouge un peu plus foncé que ce que à quoi je m'attendais. Etant donné que la surface totale sera plutôt grande c'est sans doute mieux ainsi. On devra cependant attendre un peu plus longtemps afin de voir l'effet global.

    Carré rouge.jpg

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  11. il y a une heure, acpnc a dit :

    Il est clair que pour donner une image d'ouverture au monde, qu'elle étendait ses candidatures en dehors des frontières américaines. Mais avec l'esprit protectionniste qui sévit aux USA et les milliards engendrés à l'étranger, elle serait vite dénoncée comme étant non patriotique.

    Est-ce que cela veut dire que tu as déjà exclu Toronto?

    il y a une heure, acpnc a dit :

    Pire cette masse critique énorme aurait complètement déséquilibré le rapport de force avec le Vieux-Port et le Vieux-Montréal, qui aurait pu être assujettis aux velléités d'Amazon, en y perdant une grande partie de leur âme.

    Très bon point. Je crois qu'il y aurait là une grande leçon à tirer pour tout projet d'envergure.

  12. il y a 43 minutes, vincenzo a dit :

    It's a shame that the oratory's square is more like a parking lot instead of a grand piazza like  it deserves.

    I don't know if this is a miracle but it looks as if your prayer might soon be answered. ?

    Projet 2.png

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  13. La tentative ratée de Montréal pour séduire Amazon

    La métropole proposait un impressionnant campus dans le secteur du Vieux-Montréal et du canal de Lachine

    Dans sa tentative infructueuse pour attirer Amazon sur son territoire, Montréal a proposé au géant américain du commerce en ligne de construire son deuxième siège social sur un immense campus futuriste près du Vieux-Port et de Griffintown.

    JEAN-LOUIS FORTIN - Le Journal de Montréal

    Ce palace aux surfaces transparentes et aux lignes épurées, c’est en quelque sorte le gros lot économique qui a échappé à la métropole. Il aurait transformé complètement un secteur qui se cherche une vocation depuis des décennies.

    Notre Bureau d’enquête a réussi à se procurer quelques esquisses du projet montréalais, qui ont été gardées confidentielles par les autorités politiques et institutionnelles.

    C’est en septembre 2017 qu’Amazon a annoncé son intention de trouver un site en Amérique du Nord pour y investir 5 milliards de dollars afin d’accueillir jusqu’à 50 000 travailleurs.

    Montréal a embarqué dans le train et mandaté son agence de développement économique, Montréal International, pour piloter le dossier. La concurrence a été vive. Pas moins de 238 villes ont soumis une candidature.

    En deux temps

    La métropole n’y allait pas avec le dos de la cuillère dans sa présentation en anglais déposée à l’intention du grand patron d’Amazon, Jeff Bezos.

    Elle avançait que sa proposition aurait représenté « le plus excitant projet de développement de bureaux dans un centre-ville en Amérique du Nord depuis une génération », a-t-on pu apprendre.

    La candidature était accompagnée de lettres des premiers ministres Justin Trudeau et Philippe Couillard, de l’ex-maire Denis Coderre et de 13 dirigeants d’institutions d’enseignement.

    Selon nos informations, Montréal proposait d’abord à Amazon d’emménager temporairement dans plus d’un million de pieds carrés d’espaces à bureaux répartis dans un choix de 14 immeubles du centre-ville, incluant la Place Ville-Marie et le 1000 de la Gauchetière.

    Pendant ce temps, le nouveau campus aurait été construit en bordure de l’eau, dans l’horizon 2020-2027. Ce site a été retenu parmi les 15 endroits étudiés dans la région métropolitaine.

    La proposition comprenait trois immenses sites contigus (voir ci-contre) qui totalisent 16 millions de pieds carrés, soit plus de quatre fois la superficie du quadrilatère qui accueille le Stade olympique. Ils ont en commun d’être tout près d’une station du Réseau express métropolitain, le train léger électrique construit par la Caisse de dépôt, qui devrait être en service d’ici 2021.

    Projet attendu

    Montréal a mordu la poussière en ne figurant pas parmi les 20 finalistes annoncés en janvier dernier. Toronto, ainsi que 19 métropoles américaines, dont New York, Los Angeles et Chicago, sont encore en lice. Amazon prévoit annoncer le grand gagnant d’ici la fin 2018.

    La Société immobilière du Canada tente depuis 2010 de trouver un projet porteur pour la pointe du Moulin et le Silo no 5. L’échéance initiale du 375e anniversaire de la ville (l’an dernier) a été dépassée. Le plan directeur final qu’elle devait présenter l’automne dernier se fait toujours attendre.

    Au fil des années, des projets plus ou moins sérieux ont été suggérés, comme transformer l’endroit en hôtel, en œuvre artistique géante, ou encore y aménager des condos.

    http://www.journaldemontreal.com/2018/07/09/la-tentative-ratee-de-montreal-pour-seduire-amazon

     

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  14. Il y a 8 heures, acpnc a dit :

    la basilique Notre-Dame est un incontournable pour le visiteur à Montréal

    Il en va de même pour l'Oratoire Saint-Joseph où l'on s'apprête en 2020 à effectuer des travaux de rénovation importants au niveau du dôme. Ce qui rendra cet endroit encore plus attrayant même s'il est déjà lui aussi un incontournable.

    Un avantage qu'a la basilique Notre-Dame par rapport à l'Oratoire est d'être située dans le Vieux-Montréal là où circulent en tout temps une énorme quantité de touristes et en est elle-même le principal point d'attrait. Mais l'Oratoire reste néanmoins l'un des lieux de pèlerinage les plus fréquentés au monde avec plus de 2,000,000 de visiteurs annuellement.

    Si en Europe il est relativement facile de trouver l'équivalent, et même mieux, il en va tout autrement ailleurs en Amérique du Nord où Montréal occupe une place unique en termes de bâtiments religieux.

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  15. Une professeure de l’UdeM redessinera l’oratoire Saint-Joseph

    C’est l’Atelier TAG, dirigé par Manon Asselin et son mari, Katsuhiro Yamazaki, qui a été choisi pour piloter la quatrième phase du plan d’aménagement de l’oratoire Saint-Joseph de Montréal, consistant à redessiner l’intérieur du dôme. «Pour notre équipe, c’est un immense honneur que de s’attaquer à un projet de cette ampleur, une œuvre architecturale emblématique de Montréal», dit cette architecte qui enseigne à l’École d’architecture de l’Université de Montréal depuis 10 ans.

    Le projet prévoit pour le visiteur une montée rapide par escaliers vers l’observatoire situé au sommet du dôme, suivie d’une descente en spirale le long du mur intérieur. «Cette idée du pèlerinage jusqu’au point le plus élevé, où l’on a une vision périphérique de Montréal, nous plaisait beaucoup. En redescendant, le visiteur pourra observer les éléments architecturaux et voir les projections murales», explique Mme Asselin, rencontrée récemment dans son bureau de la Faculté de l’aménagement.

    Dès les années 30, l’architecte bénédictin qui a conçu le dôme, dom Bellot (Paul Louis Denis Bellot, 1876-1944), avait prévu une découverte verticale de l’oratoire. Mais de multiples problèmes se sont posés avant que cette composante se concrétise. Ce n’est qu’en 2016 que l’oratoire a lancé officiellement son projet de rénovation, dont le budget, financé par les trois ordres de gouvernement et par une campagne maison, s’élève à 13,5 M$. 

    Le jury du concours, remporté par l’Atelier Tag devant ses rivaux Provencher_Roy, EVOQ Architecture et Affleck de la Riva/Henri Cleinge architecte, a souligné «la force évocatrice de la proposition, rehaussée par une présentation habile et une équipe d'expérience».

    Enseignante, architecte et… maman

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    Partageant son temps entre sa pratique professionnelle, l’enseignement et la vie de famille – le couple a deux enfants de 12 et 14 ans –, Manon Asselin renoue en 2018 avec le succès. Un de ses précédents projets, le Pavillon pour la Paix Michal et Renata Hornstein du Musée des beaux-arts de Montréal, vient de recevoir une médaille du Gouverneur général en architecture. «Le Pavillon pour la Paix atteint magnifiquement et efficacement son but en offrant aux visiteurs des galeries, un escalier tout-en-un, un corridor et des aires de détente linéaires qui mènent jusqu’à l’étage supérieur», a déclaré le jury. Le soir, ajoute-t-il, le Pavillon «se transforme en une lanterne illuminée, offrant ainsi une transition transparente et accueillante entre le musée et la ville».

    Pour un architecte, dessiner un pavillon de musée est déjà une consécration. Prendre le relais d’un architecte comme dom Bellot, c’est un pas de plus vers le sommet.

    «Nous avons choisi de travailler en petite équipe et de nous associer en consortium pour les projets majeurs», précise Mme Asselin, qui mentionne les associations de l’Atelier TAG avec des bureaux comme Jodoin Lamarre Pratte architectes pour le Pavillon pour la Paix et Architecture 49 pour le dôme de l’oratoire.

    Le travail de Mme Asselin se nourrit de l’enseignement qu’elle assure auprès des apprentis architectes de l’Université de Montréal, où elle donne des cours sur la conception architecturale. «J’ai eu l’occasion d’embaucher plusieurs de mes anciens étudiants dans le cadre de différents projets. Je suis même parfois en compétition avec des architectes que j’ai formés.»

    Son bureau du ghetto McGill, à Montréal, qu’elle partage avec son mari, est aussi la maison familiale. «Nous arrivons à concilier la vie professionnelle et la famille», commente-t-elle.

    Quand on lui demande quelles sont les qualités d’un bon architecte, elle hésite avant de répondre qu’elle ne saurait le dire avec précision. «C’est une question très complexe. Je crois qu’il faut aimer l’humain et savoir bien s’entourer pour exprimer sa créativité.»

    https://nouvelles.umontreal.ca/article/2018/06/27/une-professeure-de-l-udem-redessinera-l-oratoire-saint-joseph/

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  16. Il y a 14 heures, santana99 a dit :

    Certains préféreront la version originale, je préfère personnellement l'hôtel de ville tel que le bâtiment existait à l'origine avec toutes ses parties, mais tout est affaire ici de goût et de préférence. Quant au jugement d'authenticité, comme tu le soulignes, il est subjectif et ancré dans une époque.

    Dans le cas qui nous concerne ici la situation est totalement différente. La maison LaFontaine a somme toute une importance relativement mineure d'un point de vue architecturale. Et comme elle a été laissée à l'abandon très longtemps il ne reste plus grand chose à préserver et à restaurer, comme en témoignent les documents de la ville.

    Si on désire préserver cette maison c'est principalement dû à son extrême importance d'un point de vue historique. Il y a deux raisons en particulier:

    1- Louis-Hippolyte LaFontaine fut la première personne à occuper le poste de Premier ministre du Canada, et ce avant même la Confédération.

    2- Le Canada est le premier pays au monde à avoir connu la démocratie au sens moderne du terme, et c'est dans la maison qu'occupait LaFontaine que cette démocratie est née.

    J'espère que ce qui suit aidera ceux que l'histoire intéresse à mieux apprécier la valeur historique de cette maison. Le texte est ici en anglais mais est disponible également en français et je donnerai les références à la fin.

    Première attaque

    The mob still controlled the streets, and that evening , Thursday April 26 [1849], they set off to attack the houses of the Reformers - Nelson's house near the Champs-de Mars, Hincks's house up on Beaver Hill - then they marched west along Saint-Antoine, damaging the house in which Baldwin and Blake were staying, and kept on to LaFontaine's new house. There they broke down the gates, burned down the stables, then invaded his house, burning the furniture, smashing everything, throwing his large library out into a pile and putting it to flames. Neither the prime minister nor Adèle were there. They had discretely taken refuge in a hotel near the Château Ramezay.

    Deuxième attaque

    Early on August 15 six men involved in the burning of Parliament [Marché Sainte-Anne] were arrested. A large mob gathered in protest and took over the downtown, barricading the streets. The army managed to disperse them, but they reassembled in the evening and began slowly marching down rue Saint-Antoine heading once again for LaFontaine's house two and a half kilometres away. As there had been rumours all day of a plot to assassinate him, LaFontaine sent for the troops. None appeared. His cabinet minister Colonel Taché quickly pulled together eleven friends with militia experience. They barricaded the house and armed themselves with rifles at the windows up on the first floor. Adèle was there. LaFontaine was with Taché, watching out the windows.

    Around 10 p.m. the mob appeared and broke down metal gates, surging toward the house, throwing paving stones. Firing broke out on both sides. The stone façade was pockmarked with bullet holes [encore visibles aujourd'hui]. In the other direction six men were wounded, and a young man called William Mason died of his wounds. It was 10:30 before the soldiers arrived and cleared the mob away.

    Extraits du livre Louis-Hippolyte LaFontaine & Robert Baldwin de John Ralston Saul (2010)

    https://www.amazon.ca/Extraordinary-Canadians-Hippolyte-Lafontaine-Baldwin/dp/0143055895/ref=sr_1_1?s=books&amp;ie=UTF8&amp;qid=1530984629&amp;sr=1-1&amp;keywords=lafontaine+%26+baldwin

    Le livre à été traduit en français et est paru chez Boréal sous le titre suivant:  Louis-Hippolyte LaFontaine et Robert Baldwin (2011)

    https://www.amazon.ca/dp/2764621264/?coliid=I32ZFR2VH678WY&amp;colid=23AMCAOQOJLAE&amp;psc=0&amp;ref_=lv_ov_lig_dp_it

  17. Fake news: un important retard est à prévoir dans les travaux. Il faudra en effet patienter encore un long moment avant de pouvoir admirer le revêtement extérieur de l'Îlot Balmoral car son propriétaire désire rester neutre politiquement et l'ONF a donc décidé d'attendre après le 1er octobre avant d'afficher ses couleurs. ?

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