Aller au contenu
publicité

Normand Hamel

Membre
  • Compteur de contenus

    6 024
  • Inscription

  • Dernière visite

  • Jours gagnés

    31

Messages posté(e)s par Normand Hamel

  1. Un appel d’offres pour l’A19 a finalement été lancé

    Le projet prévoit l’ajout de voies réservées au transport collectif

    DAVE PARENT - Journal de Montréal

    Après avoir été annoncé huit fois en 45 ans, le parachèvement de l’autoroute 19 a franchi une étape cruciale alors que le ministère des Transports du Québec a enfin lancé son processus d’appel d’offres.

    Dans le document de 90 pages dont Le Journal a obtenu copie, le ministère des Transports du Québec (MTQ) explique que le mandat consiste entre autres à « réaliser les études complémentaires, analyser les scénarios requis afin de produire un avant-projet définitif et réaliser les plans et devis préliminaires et définitifs pour le parachèvement de la 19 ».

    Le document précise que les soumissionnaires ont jusqu’au 17 septembre à 15 h pour déposer leur soumission.

    Comme le gouvernement libéral l’avait annoncé en avril dernier, le projet prévoit l’ajout d’une voie dans chacune des directions de l’autoroute 440 à Bois-des-Filion en plus de deux autres voies réservées pour le transport collectif, au covoiturage et aux voitures électriques.

    « Étape cruciale »

    Des échangeurs devront aussi être construits à certaines intersections dont celle du boulevard Adolphe-Chapleau à Bois-des-Filion, un endroit particulièrement problématique au niveau des bouchons de circulation.

    « C’est une excellente nouvelle, car il s’agit d’une étape cruciale dans le déroulement du projet de parachèvement de l’autoroute 19. Nous demandons au prochain gouvernement, quel qu’il soit, de suivre de près ce dossier et de le faire avancer rapidement, compte tenu des graves problèmes de mobilité dans notre région », a lancé le maire de Bois-des-Filion Gilles Blanchette.

    Le projet qui coûtera entre 500 et 600 M$ devrait être complété en 2025.

    Un timing trop parfait ?

    Pour le porte-parole officiel en matière de transport à la CAQ et député sortant de la circonscription de Deux-Montagnes Benoit Charette, cet empressement à lancer l’appel d’offres n’est pas un hasard, mais personne ne va s’en plaindre.

    « Si on regarde la façon dont ils (les libéraux) ont procédé à travers le budget et les annonces faites au cours des dernières semaines, c’est certain que la campagne électorale a quelque chose à voir avec ça », estime Benoit Charette.

    La Coalition avenir Québec et le Parti québécois se sont engagés à poursuivre et à terminer le processus de parachèvement de l’autoroute 19 entamé par les libéraux si l’un ou l’autre des partis devaient remporter les élections.

    https://www.journaldemontreal.com/2018/09/01/autoroute-19-une-etape-cruciale-vient-detre-franchie

    A19.jpg

  2. il y a 49 minutes, crosbyshow a dit :

    J'essaie de voir un meilleur ministre des Finances que Leitao depuis 25-30 ans

    Il ne faudrait pas oublier la ministre  de l'Économie, Dominique Anglade. Elle est très dynamique et constamment active sur le terrain.

    Un exemple: dès le début de son mandat elle a ramené la production du Bell 505 de la Louisiane au Québec (Mirabel). Elle a dû se rendre au Texas pour négocier ce rapatriement avec le PDG de Bell Helicopter. Une mission qu'elle a admirablement bien réussie.

    • Like 1
  3. il y a 22 minutes, acpnc a dit :

    Legault risque d'être démenti non seulement par les organismes économiques, les villes et les chambres de commerce, mais aussi par les régions elle-mêmes qui peinent à trouver de la main-d'oeuvre.

    D'une certaine façon tu confirmes ce que je dis car tu as mentionné tout le monde sauf les électeurs. Et c'est sur eux que Legault mise et non pas sur les organismes économiques, les villes et les chambres de commerce.

  4. il y a 4 minutes, acpnc a dit :

    Si Legault n'admet pas publiquement la pénurie de main-d'oeuvre, il se tirera lui-même dans le pied.

    Chaque élection a son thème principal qui reflète la préoccupation du moment des Québécois. La dernière fois c'était les accommodements raisonnables, qui en ont fait trébucher plus d'un.

    Mais je ne crois pas que dans celle-ci la pénurie de main-d'oeuvre soit une grande préoccupation pour une majorité d'électeurs. C'est pourquoi Legault préfère miser sur la phobie de l'étranger, qui sera sans doute beaucoup plus rentable pour lui politiquement. On l'a vu notamment avec le Brexit.

  5. il y a 23 minutes, acpnc a dit :

    Heureusement les principaux partis politiques l'ont eux aussi compris et chacun y va de sa formule dont les ingrédients de base se ressemblent finalement d'une option à l'autre.

    Je suis en désaccord avec toi sur ce point. La CAQ ne semble pas avoir bien compris l'importance de l'immigration pour résoudre les problèmes de pénurie de main-d'oeuvre partout au Québec et dans tous les domaines.

    • Like 3
  6. Il y a 6 heures, RLCBBR a dit :

    Je ne suis pas à Montréal pour vérifier, mais il me semble que ca serait logique que la fermeture des marches donnant accès à l'esplanade peut s'expliquer par le fait que les travaux sur l'esplanade ne sont pas terminés, il reste les marches en palliers à applanir et à moderniser.

    Ça m'étonnerait beaucoup que ce soit pour le MAC, ne nous excitons pas trop vite, on a tous hâte à notre nouveau MAC ;)

    Je me permets de reproduire la photo gracieusement fournie par Mondo_Grosso. Elle nous montre l'encerclement partiel du MAC et cela me semble un bon indice que les travaux concernent vraisemblablement le MAC.

    Mais tu pourrais avoir raison aussi car c'est précisément là où se trouvent les marches en question. Je vais donc suivre ton conseil et ne pas trop m'exciter le poil des jambes.?

    MAC.jpg

  7. Il y a 2 heures, acpnc a dit :

    Pourquoi avoir choisi Montréal ? D'abord en raison de la concentration unique au monde de chercheurs universitaires en intelligence artificielle, près de 300, auxquels se sont greffés des milliers d'experts dans des entreprises.

    On commence à se faire connaître et l'IA à Montréal n'est pas un mythe comme le laisse entendre certains bien-pensants de notre société.

    Il y a 2 heures, acpnc a dit :

    Mais il y a plus. « J'aime l'énergie de cette ville, j'y étais il y a quelques semaines, dit M. Patel. Les politiques d'immigration sont bonnes, ce qui est important quand vous voulez recruter. Le coût de la vie est abordable, moins fou que dans la Silicon Valley. »

    Moi aussi j'aime l'énergie de cette ville! ?

  8. Il y a 5 heures, acpnc a dit :

    Étant donné l'importance du site du Spectrum avec son immense potentiel et sa visibilité, je demeure convaincu que ça grenouille beaucoup dans les officines pour aboutir à quelque chose de concret.

    Je suis totalement d'accord. Et je ne serais pas surpris si cela avait quelque chose à voir avec le Musée de Montréal (McCord). Ou à tout le moins un QDS revampé.

  9. Il y a 3 heures, Rusty a dit :

    Pas sure si ca a rapport avec ca , mais toutes les marches de la Plade des arts baricadées et major constructiom sur toute cette place ... coupd donc ils viennent juste de la réouvrir ? ?

    À la page précédente Mondo_Grosso rapportait la même chose. Il se pourrait bien que les travaux aient déjà commencés tout en gardant le musée ouvert encore quelque temps.

    • Like 1
  10. Extraits d'un article du Journal de Montréal sur le même sujet:

    Il aura notamment pour objectif de refléter l’identité montréalaise et de mettre en perspective l’évolution architecturale, urbaine et démographique de la métropole.

    «La mission du MEM sera élargie. Elle sera plus proche des citoyens et refléta plus que jamais la richesse et la diversité de Montréal. Sa programmation se déploiera dans un vaste espace contemporain ludique, doté d’un environnement interactif à la fine pointe de la technologie», a mentionné la mairesse par communiqué.

    Avec superficie de 23 840 pieds carrés, le nouveau musée accueillera quatre espaces d’exposition, un café, une salle de diffusion, un studio de captation de témoignages et une place publique.

    https://www.journaldemontreal.com/2018/08/27/le-centre-dhistoire-de-montreal-demenage-et-change-de-vocation

  11. Incursion au coeur du MILA, l'Institut des algorithmes d’apprentissage de Montréal

    Si Montréal est aujourd’hui une plaque tournante dans le domaine de l’intelligence artificielle, c’est en grande partie grâce à l’Institut des algorithmes d’apprentissage de Montréal (MILA). C’est là que tout a commencé dans les années 1990, et c’est encore au sein de ce laboratoire que l’avenir se dessine. Incursion au coeur de cet institut pas comme les autres qui tire profit des machines, mais surtout des brillants êtres humains qui les programment.

    Karl Rettino-Parazelli - Le Devoir

    En connaissant la renommée de l’institut, on pourrait s’attendre à voir de grands bureaux vitrés, baignés de lumière. C’est plutôt par un étroit couloir du pavillon André-Aisenstadt de l’Université de Montréal qu’on entre au MILA, l’un des plus importants laboratoires d’intelligence artificielle (IA) au monde.

    En cet avant-midi du mois d’août, plusieurs chercheurs et étudiants sont affairés à leur tâche, les yeux rivés sur leur écran. En guise de décoration, les murs sont recouverts d’affiches qui résument les recherches récentes de l’institut avec des graphiques et des diagrammes incompréhensibles pour le commun des mortels.

    Et au bout du couloir, on arrive sans s’y attendre devant le bureau du fondateur du laboratoire, Yoshua Bengio. Son nom, inscrit à droite de la porte, est en partie couvert par un autocollant sur lequel « Bengio » est écrit avec des lettres qui rappellent le logo du groupe Metallica.

    Ici, la recherche est sérieuse, mais l’ambiance est détendue.

    Résoudre des problèmes

    C’est en partie ce qui plaît à Joseph Paul Cohen, un diplômé de l’Université du Massachusetts qui a fait son entrée au MILA il y a environ deux ans. « Je suis venu pour ce gars, Yoshua Bengio », dit le volubile chercheur de 32 ans.

    « Ce groupe de gens est reconnu mondialement, ajoute-t-il au sujet de ses collègues. Il n’y a pas beaucoup de laboratoires en apprentissage profond comme celui-ci sur la planète. »

    M. Cohen fait partie d’un groupe d’une dizaine d’étudiants et de chercheurs qui s’intéresse au domaine médical. Il utilise par exemple l’intelligence artificielle pour compter les cellules visibles sur des images ou représenter différents types de tissus pour mieux saisir le rôle des gènes.

    « Nous trouvons des problèmes appliqués et nous faisons de la recherche fondamentale pour comprendre pourquoi les outils existants ne fonctionnent pas, explique-t-il. Ce qu’on développe peut être utile et répandu gratuitement, sans subir des pressions de la part d’une grosse compagnie. »

    Nouveau virage

    Joseph Paul Cohen et les autres chercheurs du MILA quitteront en décembre leurs locaux exigus pour s’installer dans le nouveau centre d’excellence en intelligence artificielle établi rue Saint-Urbain, dans le Mile-Ex.

    La présence sous un même toit des principaux joueurs montréalais du domaine de l’IA devrait faciliter les échanges entre le monde de la recherche et celui des entreprises, ce qui constitue l’une des priorités du laboratoire.

    Depuis que le MILA a uni ses forces avec celui de McGill l’an dernier, il a en effet pris un nouveau virage, souligne la présidente et chef de la direction du MILA-Institut québécois d’intelligence artificielle — son nouveau nom officiel —, Valérie Pisano.

    « On a voulu passer à la version 2.0 du MILA en partant du noyau central, la recherche, et en l’étendant au sein de l’écosystème pour animer tout le tissu économique québécois », résume celle qui est entrée en poste à la fin du mois de mai.

    Parmi les quelque 300 membres du MILA (environ 20 professeurs, 220 étudiants et une trentaine d’employés), une équipe de dix personnes se charge spécifiquement du transfert technologique.

    Montrer à pêcher

    « La philosophie de l’intelligence artificielle, c’est en quelque sorte d’avoir des solutions qui peuvent s’appliquer de la manière la plus large possible. Le transfert technologique, c’est donc de prendre ces technologies et de les appliquer dans un cadre industriel », résume Gaétan Marceau, l’un des membres de cette équipe névralgique.

    En tant qu’organisation à but non lucratif, le MILA n’offre cependant pas des solutions clés en main. Ses responsables s’assurent plutôt de former les ingénieurs des entreprises avec lesquelles ils font affaire, afin de les rendre autonomes par la suite.

    « On montre aux gens à pêcher, on ne leur donne pas le poisson », illustre la directrice du transfert technologique, Myriam Côté.

    Ce fut par exemple le cas des employés de la compagnie bouchervilloise Tootelo, qui ont profité des conseils d’experts du MILA pour améliorer le fonctionnement de leur plateforme Bonjour Santé grâce à l’intelligence artificielle. Une trentaine d’entreprises du même genre collaborent avec le MILA.

    Conjoncture favorable

    Ces efforts consacrés au transfert technologique ne sont pas anodins, explique Valérie Pisano. « Aujourd’hui, l’une des raisons pour lesquelles il y a un buzz autour de Montréal et de l’intelligence artificielle, c’est qu’on est l’un des pôles mondiaux en matière de création, de production et d’inspiration de talents. Il y a de plus en plus de gens qui viennent ici pour se rapprocher de ce talent, mais il commence à y avoir beaucoup de pailles dans le lac. Tout le monde s’abreuve au même endroit », constate-t-elle.

    « On se demande donc comment on peut utiliser nos connaissances et nos talents de la manière la plus efficace possible pour permettre l’essor de l’écosystème québécois, tout en ayant de nouvelles sources pour alimenter le talent. »

    D’ici cinq ans, la présidente espère que l’équipe du MILA comptera quelques professeurs et étudiants de plus, mais surtout 40 nouveaux employés consacrés au transfert technologique.

    « L’idée, c’est de tirer profit de la conjoncture favorable qu’on a aujourd’hui pour la matérialiser. »

    https://www.ledevoir.com/economie/535367/incursion-au-coeur-du-mila

    Le Devoir.jpg

  12. il y a 18 minutes, UrbMtl a dit :

    J'espère que PAC prévoit récupérer le bâtiment plutôt que d'en construire un sur McGill sur le même axe

     

    il y a 18 minutes, UrbMtl a dit :

    On pourra ainsi aménager une "vraie" place publique sur ce segment de McGill et offrir un axe visuel intéressant sur la caserne.

    J'aime l'idée, mais comme le mentionne montreal67 la Caserne n'est pas très grande et je ne suis pas convaincu qu'elle répondrait bien aux besoins présents et futurs. De plus, il faut tenir compte du Collecteur de mémoires et au Carrefour de la cité auxquels le musée doit éventuellement être relié, comme on les aperçoit sur l'évocation ci-jointe.

    Carrefour de la cité.png

  13. Retour vers le futur pour le Centre d'histoire de Montréal

    Le Centre d'histoire de Montréal fera bientôt un voyage dans le temps. Afin de prendre un virage davantage ancré dans la modernité, l'institution quittera le Vieux-Montréal pour s'établir dans le Quartier des spectacles.

    Pierre-André Normandin - La Presse

    Inauguré au début des années 80 par Jean Drapeau, l'établissement qui relate l'histoire de la métropole aura droit à une nouvelle vie. Sa mission sera modernisée pour s'intéresser avant tout au Montréal d'aujourd'hui, de l'architecture de ses quartiers à sa démographie.

    Afin de symboliser sa nouvelle vocation, le Centre d'histoire de Montréal changera de nom pour devenir Mémoire des Montréalais - ou plus simplement MEM, selon l'acronyme que la Ville espère populariser.

    L'établissement occupera le premier étage du Carré Saint-Laurent, présentement en construction au coeur du Quartier des spectacles. Ce déménagement permettra de régler la confusion s'étant installée depuis le début des années 1990 avec l'ouverture non loin du musée Pointe-à-Callière... voué à l'histoire de Montréal.

    Le Centre d'histoire de Montréal, qui occupe présentement l'ancienne Caserne centrale des pompiers de Montréal, fermera ses portes à la fin de 2019. L'ouverture de MEM aura quant à elle lieu en 2021. Durant l'intervalle, une unité mobile sera mise en place pour éviter de créer un vide. La vocation de la caserne qui deviendra vacante n'est pas encore déterminée.

    En devenant locataire, le MEM deviendra devra débourser 1,8 million par an pour son loyer. La Ville estime que ce déménagement était nécessaire en raison du manque d'espace à la caserne pour assurer sa mission.

    La mairesse Valérie Plante estime que le MEM aura un rôle symbolique important puisqu'il sera situé sur le boulevard Saint-Laurent, «point zéro» de Montréal. Pour ceux qui l'ignorent, c'est en effet à cet endroit que les adresses postales débutent, tant vers l'Ouest que vers l'Est.

    «Saint-Laurent, c'est un peu le Greenwich de Montréal», souligne Dinu Bumbaru, d'Héritage Montréal, en référence au célèbre méridien séparant la Terre entre l'Ouest et l'Est.

    http://www.lapresse.ca/actualites/grand-montreal/201808/27/01-5194397-retour-vers-le-futur-pour-le-centre-dhistoire-de-montreal.php

    1573153-afin-symboliser-sa-nouvelle-vocation.jpg

    • Thanks 1
  14. Une dernière avant les rénovations au MAC

    JÉRÔME DELGADO - Le Devoir

    Il y a 26 ans, le Musée d’art contemporain de Montréal (MAC) prenait racine au centre-ville. Il ne bougera plus, mais le 26e automne sera son dernier tel qu’on le connaît. En janvier 2019, le MAC fermera pour une durée de 36 mois, le temps de se refaire une identité.

    Le musée de 1992 ne disparaîtra pas totalement, la transformation touchant à peine la moitié du bâtiment. Et encore : une partie des travaux se fera dans les zones jusque-là non visibles et non publiques, les réserves du sous-sol.

    L’établissement fondé en 1964 aura cependant une nouvelle image. Cet automne sera le dernier du hall en forme de rotonde, un espace souvent perçu comme l’emblème d’une architecture peu aimée. L’aménagement plus vaste et plus lumineux qui le remplacera sera la principale signature du projet élaboré par la firme Saucier + Perrotte.

    Pour John Zeppetelli, directeur depuis cinq ans du MAC, il fallait casser l’impression de musée fermé. « Les visiteurs se plaignent qu’ils ne trouvent pas la porte et, quand ils la trouvent, elle est très lourde. Puis ils arrivent dans la rotonde, avec ces colonnes weird… », dit-il, heureux à l’évocation du « pôle vitré » qui verra le jour à l’angle des rues Sainte-Catherine et Jeanne-Mance.

    Lui-même n’a jamais compris cet « espace complexe » qu’est la rotonde. Il se souvient pourtant de moments forts, tels que celui du Cheval de Xavier Veilhan — l’exposition Déjà, en 2011 — ou un des géants de David Altmejd, placé là en 2015. Pour sa dernière saison, le hall restera tel qu’il est depuis juin. L’oeuvre Pulse Spiral, de Rafael Lozano-Hemmer, y fonctionne à merveille, selon John Zeppetelli.

    Dans les réserves

    « Le projet de transformation est axé sur la conversion des salles d’entreposage en salles d’exposition », résume le directeur du MAC, qui rappelle qu’à peine 1 % des 8000 oeuvres sont montrées. Si l’agrandissement du hall supprimera une salle d’exposition du 2e étage, le réaménagement des réserves en fera gagner quatre.

    Gestionnaire des collections, Anne-Marie Zeppetelli — la soeur du directeur — travaille d’arrache-pied pour vider les réserves. Près de 75 % des oeuvres seront localisées dans un autre quartier, pour lequel le gouvernement du Québec doit donner son accord. En attendant, la collection sera entreposée dans le musée, là où il n’y aura pas de travaux.

    https://www.ledevoir.com/culture/arts-visuels/535174/entrevue-une-derniere-avant-les-renovations

    John Zeppetelli.jpg

    • Like 3
  15. Il y a 1 heure, Davidbourque a dit :

    Je me demande, vu la vitesse ou les tours à condo se vendent et monte au centre ville si on en construit assez pour tout ceux qui veulent y vivre.

    Au début du présent cycle plusieurs observateurs disaient qu'il se construisait trop de condos à Montréal. Et c'est un fait que pendant une courte période les condos se vendaient moins bien. Mais cela n'a pas duré très longtemps et depuis un certain temps déjà tout se vend rapidement. Par exemple la TDC2 n'est pas encore terminée alors que la TDC3 est déjà commencée. Même le très haut de gamme se vend bien.

    Montréal connait une certaine frénésie présentement car le niveau d'emplois n'a jamais été aussi élevé et l'économie se porte bien. Pour le moment seule une récession mondiale pourrait ralentir la construction à Montréal. Mais on part de loin et il y a encore beaucoup de rattrapage à faire.

    On a donc une beau problème à gérer présentement. C'est que si on fait abstraction des cônes oranges et de la congestion que toutes ces constructions engendrent Montréal devient une ville de plus en plus agréable non seulement à visiter mais pour y vivre également. Et il est de plus en plus facile d'y trouver un emploi. Donc au lieu de fuir la ville on vient s'y installer en nombres de plus en plus élevés.

    Lorsque le nouveau pont Champlain sera ouvert, que Turcot sera terminé et que le REM sera en service Montréal sera alors une ville encore plus attrayante. D'autant plus que l'intelligence artificielle devrait à ce moment là avoir commencé à donner des résultats tangibles. 

  16. Il y a 2 heures, MtlMan a dit :

    "Dynamique" me semble ouvrir plus sensiblement aux contrastes, parfois marquants.

    Plus le contraste est marqué plus il est dynamique en effet. Cependant il peut être dynamique sans être harmonieux. Et s'il n'est pas harmonieux il n'est pas beau. Du moins selon les canons traditionnels de la beauté.

    Mais comme le disait UrbMtl y'a pas de vérité absolue. Par exemple j'aime bien le Myriade. Je le trouve à la fois contrasté et harmonieux, et ce tant au niveau de sa géométrie que de ses couleurs. Pourtant certaines personnes, dont UrbMtl je crois, sont d'avis contraire. Et c'est très bien comme ça.

  17. Il y a 3 heures, MtlMan a dit :

    Voilà pourquoi je me méfie de la sacro-sainte tendance à "l'intégration"! Je remplacerais ça par "dialogue dynamique", ce qui amènerait à faire parler le nouveau avec l'ancien, sans nécessairement lui faire répéter ce que l'autre dit!

    Autrement dit un dialogue harmonieux. L'harmonie étant l'élément clé en architecture (et en urbanisme également).

  18. il y a 9 minutes, UrbMtl a dit :

    Ce que je vois quand je passe devant cet édifice.

    Je vois plusieurs problèmes d'exécution dont certains sont totalement inacceptables. Heureusement qu'ils ne sont pas trop apparents de loin. Mais ces défauts concernent davantage le contracteur que l'architecte.  

    • Like 1
×
×
  • Créer...