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Normand Hamel

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Messages posté(e)s par Normand Hamel

  1. Des véhicules électriques autonomes près du Parc olympique cet automne

    La Ville de Montréal a décidé d'imiter celle de Candiac en permettant cet automne à des autobus électriques autonomes de circuler dans ses rues.

    Depuis lundi, deux navettes électriques autonomes offrent gratuitement une courte balade à ceux qui le veulent près du Parc olympique.

    Ces véhicules, qui avaient déjà été testés l'année précédente dans le même secteur, effectuent un aller-retour de 1,6 kilomètre entre la rotonde du stade et le métro Viau, et font notamment des arrêts au Planétarium et au mât du stade olympique.

    Le trajet des navettes devrait toutefois être prolongé cet automne. Les véhicules voyageraient du Parc olympique jusqu'au marché Maisonneuve. En prévision du prolongement, des feux de circulation avec capteurs ont d'ailleurs été installés récemment sur l'avenue Pierre-De Coubertin pour permettre à la navette de quitter l'enceinte du Parc.

    Voyez ces véhicules en action avec le reportage du journaliste Jean-Sébastien Cloutier.

    Reportage de Radio-Canada:

    https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/1122998/navette-electrique-autonome-automne-parc-olympique-stade-metro-viau-test

    BBNa4gf.jpg

  2. Il y a 2 heures, MtlMan a dit :

    Il reste donc 2 ou 3 étages non déservis.

    C'est d'ailleurs ce qui pourrait expliquer pourquoi ils ne sont pas loués. Pour ce qui est des deux autres étages non loués juste en dessous, mais qui eux sont desservis par les ascenseurs, je crois qu'à terme Desjardins pourrait les louer si elle venait à manquer d'espace. À moins bien entendu qu'ils ne trouvent preneur d'ici là.

  3. Place Ville Marie: un jardin sous un toit de verre

    Une surface de 35 000 pieds carrés, un plafond de verre de 50 pieds de large sur 165 pieds de long, un jardin intérieur baigné de lumière naturelle, une brasserie, une izakaya, un bar, une ruelle bordée de kiosques de bouffe... La nouvelle foire alimentaire de la Place Ville Marie réservera bien des surprises. Coup d'oeil sur ce projet de 200 millions de dollars qui sera inauguré dans un an.

    Suzanne Colpron - La Presse

    UN LIEU DE VIE 

    Le lieu a été entièrement redessiné par Sid Lee Architecture et A5 Hospitality pour attirer les gens d'affaires de la Place Ville Marie, mais aussi les touristes et les Montréalais. But de l'opération ? Se moderniser. Rester dans le coup. « On s'est rendu compte que l'expérience ne correspondait plus aux besoins de la clientèle », explique Bernard Poliquin, vice-président principal chez Ivanhoé Cambridge, le bras immobilier de la Caisse de dépôt et placement, qui détient la Place Ville Marie à 100 % depuis 2013. « Les gens recherchent quelque chose d'unique, de particulier, et ils sont prêts à se déplacer. On l'a vu parce que plusieurs occupants de la tour sortent le midi pour aller dans de petits restaurants près de la Place Ville Marie, même à - 35 oC l'hiver. »

    L'IDÉE

    Les concepteurs ont repensé les espaces communs de la foire alimentaire de la même façon que WeWork a repensé les espaces de bureau. C'est d'ailleurs à la Place Ville Marie que le géant américain des espaces de travail partagés a loué ses premiers locaux au Canada, au printemps 2016 : trois étages, 74 000 pieds carrés. « WeWork a changé la façon d'utiliser l'espace pour répondre aux besoins des entreprises, affirme M. Poliquin. Ici, on a encore de grandes entreprises, de grandes sociétés, des bureaux d'avocats et des bureaux de comptables, mais même eux sont en train de repenser leurs espaces de bureau. » Résultat : pour suivre la vague, il fallait revoir les espaces communs. Créer un lieu de rassemblement. Impressionner. Divertir. Et surtout, retenir cette clientèle très courtisée.

    LA CONCURRENCE

    « Le centre-ville est mis sous pression », admet l'architecte Jean Pelland, associé principal chez Sid Lee Architecture. La raison ? « Il y a des offres d'expériences intéressantes en dehors des grands centres. Des pertes d'affluence se font sentir, comme c'était le cas à l'hôtel Le Reine Elizabeth. Les derniers grands travaux de la Place Ville Marie remontent à 1984. L'aménagement public était correct, mais ça ne répondait plus tout à fait aux attentes. » Les travaux pour rénover la Place Ville Marie s'inscrivent dans un vaste projet de revitalisation de 1 milliard d'Ivanhoé Cambridge au centre-ville de Montréal. Outre la construction de la Maison Manuvie, inaugurée en novembre 2017, et la rénovation du Reine Elizabeth, achevée l'an dernier, ce projet comprend la réfection du Centre Eaton (en cours) et de l'esplanade surélevée de la Place Ville Marie. Toutes des propriétés d'Ivanhoé Cambridge.

    L'ACCÈS

    Avant toute chose, les architectes ont voulu régler la question de l'accessibilité de la Place Ville Marie, qui débouche sur l'avenue McGill College, appelée à devenir piétonne dans un proche avenir. Les accès au stationnement souterrain ont été déplacés pour faire place à des marches menant à l'esplanade (en haut) et à la galerie marchande (en bas). Le nouveau lieu a été conçu en collaboration avec A5 Hospitality, qui se spécialise dans la création et l'exploitation de restaurants et de bars, principalement dans le Grand Montréal. A5 Hospitality possède 18 établissements à Montréal et dans les environs, dont Jatoba, Kampai Garden, Madame Bovary et Flyjin.« L'endroit va devoir vivre le jour et le soir », précise Alex Besnard, cofondateur de A5 Hospitality. « Une de nos forces, c'est la création d'univers. On doit se démarquer. »

    LE CONCEPT

    Élément impressionnant du nouveau design : le toit de verre gigantesque qui va flotter au-dessus d'un jardin aménagé au coeur de l'espace consacré à l'alimentation. « Ce sera discret de l'extérieur, mais impressionnant de l'intérieur », assure l'architecte Jean Pelland. De chaque côté du jardin, on va retrouver des restaurants. À droite, des kiosques pour les gens pressés. À gauche, des restaurants avec des places assises et la possibilité de réserver. Il y aura plusieurs petits restos, un bar, une brasserie, une izakaya, un deli, une pizzéria et un café. « Ce n'est pas un resto-bar. Ce n'est pas non plus un marché ni un jardin. C'est plusieurs restaurants regroupés sous le nom Le Cathcart et un bar appelé Le Biergarden », précise Alex Besnard. On pourra y manger seul à une grande table, prendre un verre le soir ou tenir un événement. « C'est une approche européenne », ajoute-t-il. Fait à noter : il n'y aura aucune enseigne. Que des restaurants offrant des expériences uniques.

    LES CHIFFRES

    La Place Ville Marie a été construite de 1958 à 1962 au coût de 80 millions. Avec sa tour cruciforme, c'est un des immeubles les plus reconnaissables de Montréal et le quatrième en hauteur. À son sommet, des rayons lumineux balayent le ciel comme un phare. Il a été conçu par les architectes I.M. Pei et Henry N. Cobb. Les tours de bureaux occupent une superficie de 3,4 millions de pieds carrés et abritent 10 000 travailleurs. Elles sont reliées au réseau de métro, à la gare de trains et au réseau piétonnier souterrain de Montréal. Ivanhoé Cambridge, qui détenait une participation de 50 % depuis l'an 2000 dans la Place Ville Marie, en a fait l'acquisition totale en 2013. Montant de la transaction : 400 millions. Sid Lee compte y déménager ses 350 employés en 2019.

    http://www.lapresse.ca/actualites/grand-montreal/201809/05/01-5195427-place-ville-marie-un-jardin-sous-un-toit-de-verre.php

    La Presse.jpg

  4. il y a une heure, p_xavier a dit :

    Je savais même pas que l'UQAM était connu pour les programmes en administration/gestion.

    L'ESG est non seulement la plus grosse école de gestion en Amérique du Nord mais également la plus grosse école francophone de gestion au monde. Je crois d'ailleurs qu'un étudiant sur quatre est Français.

  5. MONTRÉAL: CITY OF KNOWLEDGE

    When one thinks of Montréal, it’s easy to get distracted by mosaic of cutting edge culture that keeps the city on the forefront of international hipsterdom or the old world grandeur and cobblestone streets of Old Montréal. But the city’s much more than just a pretty, hip face – with world-renowned higher education institutions all active in research and innovation, Montréal is also a bonafide city of knowledge.

    The proof is in the numbers

    Over 43,000 degrees are awarded to students in Montréal each year, equalling 25% of new graduates in Canada and the highest number of graduates of any city in the country. There’s 185,000 students who call the city home, and Montréal is Canada’s heart of research with the highest number of research centres and amount of money invested in university research. This focus on knowledge and innovation has put Montréal at the forefront of areas like neuroscience, artificial intelligence, oncology and cancer research and finance, with new hires from each year’s graduating class maintaining the city’s leading edge. But there’s more to it than just end results. In Quacquarelli Symonds’ 2018 worldwide poll, students themselves ranked Montréal as the number one city in North America in which to study (and fourth overall in the world) – and that’s something worth shouting from the rooftops.

    World-class universities

    Home to four major universities, higher education is woven into the fabric of the city. Where other cities push their campuses to the sidelines, Montréal’s city centre is one punctuated by centres of learning with McGill University, the Université du Québec à Montréal (UQAM), Concordia University and the Université de Montréal (UdeM) all taking their place at the heart of the city. Each makes their own important and distinct contributions to research, development and international exchanges (and they’re also perfect locations for meetings and events).

    McGill

    Ranking in the top 100 universities worldwide McGill University is responsible for almost 200 years of groundbreaking discoveries and is a leading light in the “Canadian Ivy League” – even dubbed “The Harvard of Canada” in an episode of The Simpsons. Of its numerous achievements, one of McGill’s most important contributions was the Universal Declaration of Human Rights, drafted by John Humphrey (BCom’25, BA’27, BCL’29, PhD’45) who was then a Professor of Law at the school. The picture-pretty campus in the Golden Square Mile is an iconic blend of Hogwarts and Yale.

    UQAM

    With the largest School of Management in North America and one of the leading Arts programs in Canada, the Université du Québec à Montréal is known both for its creativity and cutting-edge finance education. The university also excels in Communication, Tourism Management and Environmental Sciences.

    Concordia

    The new kid on the block, Concordia University boasts a renowned Fine Arts school, with alumni making waves in film, dance and theatre. Other areas of expertise include Cyber Security, Journalism, Digital Media and the Center for Studies in Behavioral Neurology, and the school also boasts one of the highest numbers of graduates becoming CEOs of Fortune 500 companies in Canada.

    UdeM

    The largest research institution in Québec and second largest in Canada, the Université de Montréal’s stately campus dominates the northern side of Mont Royal – in particular the iconic Roger-Gaudry Building’s gorgeous art-deco tower.

    Specialized studies

    Montréal has an additional seven institutions of higher learning all noted for their contributions. HEC Montréal is Canada’s oldest management school, and in affiliation with UdeM is one of only two schools in North America to hold a triple accreditation in management education (AACSB, EQUIS and AMBA). Associated with UQAM, the Institut national de la recherché scientifique (INRS) is a post-graduate university conducting research in four broad sectors: Water, earth and the environment; energy, materials and telecommunication; human, animal and environmental health; and urbanization, culture and society.

    And there’s more! The École national d’administration publique, École Polytechnique Montréal, École de technologies supérieures, Université Téluq, and the University of Sherbrooke in Longueuil are also involved in moulding the minds of today into the leaders of tomorrow – in the process marking Montréal as a true world leader in education.

    https://blog.mtl.org/en/montreal-city-knowledge

    UdeM.jpg

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  6. Le 2018-09-04 à 23:42, Né entre les rapides a dit :

    - Intensifier l'automatisation** quand c'est techniquement faisable  --ce que ne font pas tous les employeurs, soit parce qu'ils ne disposent pas des ressources financières nécessaires pour acquérir l'équipement, soit que la main-d'oeuvre compétente n'est pas disponible,  ou soit encore parce qu'ils espèrent trouver encore des travailleurs peu qualifiés et peu rémunérés avec lesquels ils fonctionnwent présentement.

    1- Il existe des programmes gouvernementaux pour aider les entreprises à se moderniser et prendre le virage numérique. Pour ce qui est de la robotisation en particulier on vient de réaliser de nouveaux aménagements au CRIQ dans le but de s'en servir comme vitrines technologiques afin d'aider les entreprises à augmenter leur productivité en faisant appel à des robots ou des imprimantes 3D pour effectuer certaines tâches répétitives et/ou exigeant une grande précision (voir le premier lien ci-joint).

    2- Le Québec a fait des progrès spectaculaires ces dernières années en termes de productivité grâce à une plus grande automatisation au sein des entreprises (voir le second lien ci-joint).

    3- Le gouvernement actuel a investi plus de 815M$ dans au moins 423 projets afin d'aider les entreprises à se moderniser (voir le troisième lien ci-joint).

    https://www.lesoleil.com/affaires/criq-435-m-pour-numeriser-les-usines-cf6d10ecebf080ec81e70f832ffbcee9

    http://plus.lapresse.ca/screens/477db4b9-1f69-41b4-96aa-2d6296882238__7C___0.html?utm_medium=Ulink&utm_campaign=Internal+Share&utm_content=Screen

    https://twitter.com/DomAnglade/status/994918587402989569

     

  7. Il y a 2 heures, MontréalMartin a dit :

    Malgré l'angle de la tour, on peut voir sur ce vieux plan en coupe qu'il y a possibilité d'installer des ascenseurs en ligne verticale sur plusieurs étages.

    Sur la photo* ci-jointe on voit clairement le shaft des ascenseurs qui traverse la majorité des étages inférieurs (les plus importants en termes de superficie). Et l'illustration (déjà parue sur MTLurb) témoigne elle aussi du fait que plusieurs ascenseurs étaient prévus lors de la conception de ces nouveaux aménagements.

    *Je crois que la photo vient du compte Twitter de CCMM mais je n'en suis pas certain.

    À louer.jpg

    12_rio_vue-int_espaces-communs.thumb.jpg.1bd6ac1ec419e749531a8bb295e57476.jpg

  8. il y a 41 minutes, paulwillyjean a dit :

    Les critiques les plus récurrentes que j'entends face au mandat du gouvernement Couillard sont au niveau des coupes massives et de la dégradation de la qualité de service en santé, en éducation et dans le communautaire. Le réinvestissement qu'il met présentement dans certains de ces postes de dépense n'est pas toujours à la hauteur des coupes qui ont été effectuées.

    Juste dans le communautaire (intervention sociale, aide à l'itinérance, aide psychologique, etc), la charge de travail a augmenté de façon considérable, mais leur budget n'a pas été apprécié en conséquence. La majorité des organismes du Québec sont en manque chronique d'effectifs et de resources financières. En éducation, surtout dans la grande région de Montréal, la plupart des enseignant.es financent encore du matériel scolaire de première nécessité à même leur paie de travail, doivent gérer des classes de plus en plus larges et voient toujours une énorme partie de leur travail non-rémunéré. C'est sans compter la quasi-absence de resource spécialisée pour les élèves avec des besoins spécifiques. Puis, il y a la santé dont on a discuté en long et en large dans les médias et sur ce forum sur une base régulière.

    Négliger ces points d'intervention critiques a un coût social et économique immense sur l'ensemble de la société et c'est une considération politique à prendre en considération pour les personnes impliquées ou relativement proches de ces milieux.

    Je travaille dans l'une des industries qui vit le plus fort taux de croissance dans la province. J'ai donc un intérêt économique à très court terme à préserver le status quo. Cependant, ça n'ira pas loin, si le coût de la vie continue d'augmenter, que la moitié de la fonction publique tombe en burnout et que les personnes les plus vulnérables se retrouvent en absence de resources pour améliorer leurs conditions de vie.

    J'oubliais aussi leur guerre absurde aux pauvres, les mesures fiscales qu'ils ont mis en place pour punir les prestataires d'aide sociale ne fait que les précariser d'avantage.

    Après, c'est clair qu'entre le PLQ, la CAQ et le PQ, je me fais légèrement moins chier avec le PLQ qui a l'avantage de ne pas encore s'être approprié un discours anti-immigration ou de s'être associé à des groupes d'extrême droite et nationaliste blancs. J'aime bien le programme social de QS, mais je doute qu'il parvienne à être élu si je me base sur son bassin électoral somme toutes assez limité.

    Commentaire très intéressant. Sans vouloir contester ce que tu dis je me ferai cependant l'avocat du diâble.

    L'économie roule présentement à plein régime et les finances de l'état sont en excellente santé. Ce qui permet au gouvernement actuel de rectifier le tir suite aux coupures insensées des dernières années. Et ces nouvelles dépenses ont pour effet de stimuler encore davantage l'économie, dans une sorte de cercle vertueux.

    Le principe est simple: si l'économie va de mieux en mieux cela a pour effet de mettre à la disposition de l'État les sommes nécessaires pour répondre aux besoins de la population, qui croient plus rapidement que celle-ci. Mais si, et seulement si, les finances de l'État sont en santé. Car l'un ne va pas sans l'autre.

    Il s'agit cependant d'un équilibre fragile et c'est pourquoi selon moi il serait hasardeux en ce moment de changer de gouvernement. Autrement dit if it's not broken don't fix it.

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  9. il y a 11 minutes, Habsfan a dit :

    Les Libéraux ont sûrement fait plus de bien que de mal pour en arriver là! Je n'en reviens tout simplement pas que nous allons changer de gouvernement juste pcq ça fait longtemps qu'ils sont au pouvoir.

    J'écoutais hier un analyste (qui n'a jamais démontré auparavant de sympathie particulière envers le PLQ) dire qu'il ne comprenait pas pourquoi on cherchait tant à démoniser Philippe Couillard.

    Je crois que les gens qui demandent du changement et qui seraient prêts à voter pour n'importe qui sauf le PLQ ne savent bien souvent pas pourquoi exactement. S'ils évoquaient les coupures sauvages de la première moitié de mandat je comprendrais, même si cela a été suivi de réinvestissements majeurs là où cela s'avérait le plus nécessaire et que l'économie se porte particulièrement bien en ce moment.

    Je pense qu'en réalité le changement dont bien des gens auraient besoin est d'abord et avant tout dans leur propre vie. Autrement dit l'insatisfaction actuelle me semble refléter davantage leurs frustrations personnelles que les actions du gouvernement. Du moins pour une part importante de la population.

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