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  1. lien video: http://www.youtube.com/watch?v=BRHTZ7TnMAA BRANCHEZ-VOUS! est allé manger dans un restaurant d'un tout nouveau genre au centre-ville de Montréal, l'iBurger. À cette occasion, nous avons pu tester leur table techno, qui intègre un écran tactile permettant aux clients de consulter le menu et de passer leur propre commande. Ouvert depuis la fin janvier à Montréal par Alexandre Maher (président), Frank Roche (VP aux opérations) et Jonathan Cyr (chef cuisinier), l'iBurger se distingue par la présence d'une surface tactile animée par un Mac Mini sur le dessus de chaque table. Le véritable défi des fondateurs de l'iBurger est de rentabiliser leur projet notamment en vendant des franchises, car chaque table coûte environ 3 200$. Pour l'instant, des personnes basées au Canada et au Maroc se sont montrées intéressées par l'achat d'une franchise iBurger. Évidemment, l'expérience du restaurant ne se résume pas uniquement à son aspect technologique. Lors de notre passage à l'iBurger, nous avons mangé un burger d'agneau accompagné d'un verre de vin rouge, proposé sur le menu pour accompagner le plat. Lors d'un deuxième passage au resto, nous avons aussi pu déguster l'assiette de fromage. Nous nous sommes régalés!L'écran est protégé par un verre tactile remplaçable en cas d'usure, mais les fondateurs du restaurant veulent garder leur technologie tactile secrète. L'écran tactile sert principalement à afficher et à détailler le menu ainsi que les différents plats, à l'aide d'images dignes de relever de l'art culinaire. Un petit historique est aussi proposé pour expliquer l'origine de chaque catégorie de plats (burger, hot dog, salade, pizza, etc.). Les usagers peuvent ainsi se laisser tenter par un plat et se le commander eux-mêmes. Les commandes sont directement dirigées vers la cuisine depuis la table, mais les clients peuvent aussi s'adresser directement au serveur. Une excellente utilisation de la surface tactile survient à l'heure de l'assiette de fromage. Grâce à des applications spécifiquement conçues pour contrôler le système à distance depuis un iPhone, les serveurs peuvent afficher le nom et la description des fromages. lien pour l'article: http://www.branchez-vous.com/techno/actualite/2011/03/iburger-montreal-restaurant-branche-mac-mini-table-tactile.html Autre article: http://www.cyberpresse.ca/vivre/cuisine/en-vrac/201103/21/01-4381388-iburger-des-ecrans-tactiles-pour-commander.php site internet: http://iburger.net/
  2. Robert Beauchemin, collaboration spéciale La Presse On m'avait prévenu, l'avenue du Parc subit le même sort que le boulevard Saint-Laurent il y a quelques années. Trottoirs défoncés, voies de circulation réduites, bouchons, boue, grillages de fer: tout est annonciateur de difficultés. Cependant, que cela ne vous empêche pas d'aller visiter Damas, un remarquable petit resto syrien, ouvert depuis quatre mois. Il appartient à ce genre qui nous remue. Pas uniquement pour son décor confortable, évocateur de l'Orient certes, mais d'un Orient de luxe, moderne, sans artifice folklorique, sans garde-à-vous nostalgique, sans lourdeur. Mais surtout pour sa cuisine, raffinée et opulente. La Syrie et le Liban sont très proches culturellement. Leurs cuisines se touchent, leur histoire est une collision de mélanges et de perplexité permanente. C'est que la Syrie entoure presque complètement le Liban. Les conflits passés n'ont pas empêché leurs cuisines de se nourrir réciproquement au point d'être pratiquement indiscernables. La cuisine syrienne, c'est un peu la cuisine libanaise, avec les formidables spécialités aleppines et ses influences juives, arméniennes et turques en prime. Le restaurant Damas en donne une interprétation fine, moderne et parfaitement authentique. Ce n'est ni la cuisine de souk, ni de vieille mémé. Les jeunes patrons d'origine syrienne, frères et soeurs, sont nés à... Calgary et ont manifestement décidé de dévoiler le meilleur de leurs racines culinaires. Allez! Il était minuit moins cinq; ravagées par la médiocrité commerciale, traînées dans la boue de la rapidité, le no man's land gastronomique, elles retrouvent ici une sorte de grandeur un peu décadente et extraordinairement raffinée. Car découvrir une telle cuisine, c'est s'exposer à d'autres parfums, d'autres douceurs, des notes acidulées, parfois cinglantes, des contrepoints insoupçonnés entre le sucré et le salé, des associations de textures et de couleurs singulièrement franches qui nous font souvent défaut en Occident. Chez Damas, on les découvre par des entrées spectaculaires. Et des plats d'une remarquable robustesse, aux goûts aussi crus et directs que les regards des Syriens quand ils nous apostrophent dans la rue. On reste presque sur la défensive devant tant de brillance, de chaudes associations de parfums, rose, pistache, olive, persil, sésame, tant de fulgurance en cuisine! Aussi bien dans les grillades que les salades et les petits plats de légumes et de fromages, chauds ou froids, qui nous servent d'entrées. Au fond, c'est un peu ça prendre un pays et le comprendre de l'intérieur, par le goût. Pour tous les sens À table, la salade fattouche, faite à l'instant de concombre, tomates, poivrons frais, est remuée avec de la très bonne huile d'olive, du citron fraîchement pressé, de la poudre de sumac légèrement acidulée. Puis un sauté de pointes d'okras miniatures, intensément tomaté, capiteux et riche avec des notes de mélasse de grenadine. Des kibbes d'agneau sont moelleux, goûteux et s'effritent délicatement sous nos doigts. On les trempe dans une sorte de sauce au yaourt citronné. On les présente joliment dans des assiettes toutes blanches. Un humus est assorti de viande de boeuf épicée, saupoudrée de pistaches et de noix de pins rôties, d'un trait d'huile, de gouttes de citron. C'est aussi beau à voir qu'un tableau de Francis Bacon. Et c'est bien meilleur. Les plats continuent d'arriver, ils sont copieux, affriolants dans leurs couleurs ardentes et leurs fumets intenses. Le muhammara - une purée de poivrons, de piments forts, de pain, de noix, tout cela malaxé à de la mélasse de grenadine - est un peu salé, mais on le termine en se léchant les doigts. C'est irrésistible, toute cette abondance. Des cailles grillées au citron et au piment, des courgettes confites, une purée de betteraves et d'aubergines au sésame. En plat, ce sera la même tonitruance, oh! Seigneur! Un plat de kebabs, traité dans une sauce riche aux cerises aigres, avec une petite pyramide de riz cuit au centre, est sucré à fond et pourtant bizarrement... salé. C'est l'un des plats les plus intenses qu'il m'ait été donné de goûter ces dernières années. J'ai envie de partir là-bas dès ce soir! Le Fatta de jarret d'agneau mélange, pèle-mêle, le pain grillé, un yaourt épais comme du miel, des épices, des pistaches, de la coriandre fraîche, de la menthe et de l'ail. Après ces étourdissements, on se demande: comment font-ils? Nous terminons sur des douceurs tout aussi suaves, la meilleure faite de fromage, de noix et parfumée d'un doigt d'eau de fleur d'oranger, il me semble. En un mot, ce resto est tout simplement épatant. Qu'attendez-vous? Damas 5210, avenue du Parc, Montréal 514-439-5435 Prix: Les mezze entre 5 et 15$, les plats de 17 à 27$, une formule comprenant 3 services pour 36$. Ce n'est pas donné pour ce genre de cuisine, c'est vrai. Mais le soin et la finesse des préparations justifient les prix et, au bout du compte, c'est raisonnable. Comptez une centaine de dollars pour deux personnes. Service: Rien ne vaut la courtoisie. La patronne est comme le temps qui passe, elle vous fait oublier vos soucis. Faune: Jeune et urbaine, couples pittoresques qui articulent leurs remontrances en chuchotant, groupes d'étudiants anglos bruyants et sympathiques, portant tuques et jeans en bas des hanches. Vin: On a obtenu le permis après notre passage. Décor: Mille et une nuits croisé à la trattoria du coin, un brin tapageur, mais confortable. (") Qualité et finesse de la cuisine. Et de l'accueil. (-) Pour y accéder, il faut passer derrière un mur grillagé, comme la frontière entre le Mexique et le Texas. On y retourne? Tout de suite! http://www.cyberpresse.ca/vivre/cuisine/restaurants/201011/15/01-4342827-restaurant-damas-raffinement-et-opulence.php?utm_categorieinterne=trafficdrivers&utm_contenuinterne=cyberpresse_B9_vivre_259_accueil_POS1
  3. IGA attire Fleury Michon au Québec 3 octobre 2008 - 06h36 La Presse Laurier Cloutier Alors que la restauration voit sa clientèle bouder, essence et crise financière obligent, Sobeys-IGA lance à partir du Québec une gamme de plats frais, «de qualité de restaurant», partout au Canada. La chaîne va même concurrencer ainsi les Couche-Tard Menu. Marc Poulin, président de Sobeys Québec, a discuté pendant quatre ans avec le spécialiste des plats frais emballés de France, Fleury Michon, qu'il a finalement attiré à Rigaud, à l'ouest de Montréal. Fleury Michon y a investi 42 millions de dollars dans un agrandissement de l'usine de Delta Dailyfood, à 151 000 pieds carrés. Achetée par Fleury Michon, à un prix non dévoilé, Delta a embauché 150 personnes de plus, pour un effectif total de 450 employés. Le but visé par Marc Poulin, mieux desservir les clients de ses 250 IGA affiliés du Québec, sera largement dépassé car le président a réussi par la suite à convaincre la direction de tous les supermarchés canadiens de Sobeys. Michael A. Clark, président de Delta Dailyfood, assure qu'il pourra livrer à Vancouver en quatre jours, par camion, ses plats cuisinés emballés d'une durée de vie de trois semaines. Il n'utilise pour l'instant que 50% de sa capacité de production et peut encore doubler la superficie de l'usine, qui dessert déjà les avions d'Air Canada et des clients dans les plats surgelés. Delta produit déjà plus de 25 millions de repas par année. Les familles manquent de temps, mais veulent manger des repas santé, une tendance qui profite à l'entreprise. Marc Poulin qualifie l'expertise de Fleury Michon «d'unique au monde», grâce à la technologie. Leader dans son secteur en Europe, Fleury Michon s'associe à des partenaires clés dans chacun des pays, dont Carrefour en France, et Wal-Mart-Sam's Club aux États-Unis depuis un an. Depuis lundi, les IGA du Québec offrent 10 nouveaux plats, sous la marque Compliments, sept autres suivront au début de janvier 2009 et cinq de plus le printemps prochain. C'est plus cher que du surgelé (qualité moindre) et des plats cuisinés au supermarché (d'une durée de vie plus courte), mais le prix demeure plus bas qu'au resto: de 4,99$ à 6,49$. En promotion, tous les nouveaux repas frais emballés sont actuellement offerts à 4,99$. Les IGA du reste du Canada les distribueront en 2009. Sobeys a conclu une entente à long terme avec Fleury Michon, d'une durée non précisée, même pour ses dépanneurs Bonisoir. Les plats à emporter de toutes catégories occupent déjà 5% du marché, selon Marc Poulin, et leur part doublera en quelques années, grâce à une croissance annuelle de 25%. Sobeys-IGA gagne déjà des parts de marché, assure Marc Poulin, et la chaîne compte maintenant devancer non seulement les autres supermarchés, mais aussi convaincre plus de clients de restaurants. Fondée en 1920, Fleury Michon lance 250 nouveaux produits par année, grâce à 3600 employés, et réalise des ventes de près de 750 millions de dollars.
  4. Alors que la restauration voit sa clientèle bouder, essence et crise financière obligent, Sobeys-IGA lance à partir du Québec une gamme de plats frais, «de qualité de restaurant», partout au Canada. Pour en lire plus...
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