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  1. On retourne à nos anciennes amours, du temps des années 60s où la PVM offrait sur le toit de l'édifice un observatoire et une grande terrasse extérieure pour admirer Montréal. C'est maintenant une version plus moderne et certainement plus percutante qu'on prévoit au sommet de la belle dame de Montréal. Voici le lien et le texte http://affaires.lapresse.ca/economie/commerce-de-detail/201403/21/01-4749884-place-ville-marie-un-observatoire-high-tech-au-sommet.php Publié le 21 mars 2014 à 06h25 | Mis à jour à 06h25 Place Ville Marie: un observatoire high-tech au sommet Été comme hiver, les clients de l'observatoire de... (Photo Graham Hughes, archives PC) Été comme hiver, les clients de l'observatoire de la Place Ville Marie auront de loisir de s'attabler à l'une des deux grandes terrasses extérieures chauffées au 44e étage et d'admirer des vues imprenables sur le centre-ville, le mont Royal et le fleuve Saint-Laurent. André Dubuc La Presse Montréal comptera bientôt sur une nouvelle attraction touristique de premier plan avec l'aménagement d'un observatoire multimédia interactif de plus de 10 millions de dollars en lieu et place du Club Lounge Altitude 737, fermé il y a plus d'un an. Aménagé aux trois derniers étages de l'immeuble cruciforme du centre-ville, le projet, qui occupera une superficie de 15 000 pieds carrés et obtenu par La Presse Affaires dans ses grandes lignes en exclusivité, comprend l'aménagement d'un restaurant de qualité de type brasserie. L'établissement de 120 places offrira aux visiteurs «les plats que les Montréalais aiment», nous dit-on. Vues imprenables Été comme hiver, ses clients auront de loisir de s'attabler à l'une des deux grandes terrasses extérieures chauffées au 44e étage et d'admirer des vues imprenables sur le centre-ville, le mont Royal et le fleuve Saint-Laurent. La future attraction touristique s'inspire de l'observatoire Top of the Rock du Rockefeller Center et de celui de l'Empire State Building, à New York. Outre la vue, les visiteurs seront conviés à vivre une expérience en haut de Place Ville Marie avec du contenu, des écrans et des interactions. On va être en mesure de comprendre tout ce que Montréal a à offrir en une seule visite, entend-on, en coulisses. Il est question, bien que rien ne soit arrêté pour le moment, d'une exposition permanente qui fera découvrir la ville et son passé par le regard de personnalités montréalaises. Le montage financier n'a pas encore été dévoilé. Mais le projet réunit une poignée d'investisseurs à la feuille de route bien remplie: Claridge, la société d'investissement de la famille Bronfman, le propriétaire immobilier Ivanhoé Cambridge, filiale de la Caisse de dépôt et placement, et la firme de design montréalaise gsmprjct°. Cette dernière a réalisé les observatoires Ion Sky du complexe Ion Orchard à Singapour en 2010 et At the Top, Burj Khalifa à Dubaï au 124e étage de la tour du même nom. Il paraît plausible de penser que gsmprjct° installera à l'observatoire de PVM son TellscopeMC, un appareil qu'elle a créé en 2010 et qui permet aux visiteurs, selon leur bon vouloir, de contempler la ville le jour, la nuit, l'été, l'hiver et même à des époques différentes. Plus près de nous, on doit à gsmprjct° la réalisation du Temple de la renommée du Canadien au Centre Bell. Et si on recule dans le temps, c'est la firme de design fondée par Jacques Guillon qui a dessiné les wagons bleus et le logo du métro de Montréal. Il y aura un tarif d'entrée, mais des abonnements annuels seront disponibles. L'ouverture de l'observatoire est prévue en juin 2015.
  2. Une collaboration avait été formé avec acpnc et moi-méme, puis une 3e personne et nous avons soumis ce projet, un ascenseur écolo pour le pont Jacques-Cartier, dans le cadre du Concours d’idées en aménagement Moroh.o.polis. Le thème de l’édition 2016 était : *** Reconvertir Montréal Les équipes devront produire une proposition de reconversion d’un ensemble existant Montréalais sous forme de projet, système, stratégie constructive ou d’aménagement du territoire. Trouvez des solutions innovantes, repensez la façon dont on peut convertir les bâtiments existants, les infrastructures et le paysage. Et aussi réfléchir à des systèmes techniques et esthétiques qui font un usage responsable des énergies renouvelables. *** Voici le texte de notre manifeste et les croquis de notre proposition Manifeste Reconvertir le pont Jacques-Cartier Contexte • Construction débutée en 1925 pour relier la Rive-Sud à Montréal • Alimentation par les artères majeures telles que Papineau, De Lorimier et Notre-Dame • 35,8 millions de véhicules empruntent le pont chaque année • Icône et porte d’entrée importante de Montréal Problématique • Circulation véhiculaire bruyante, souvent congestionnée, engendrant beaucoup d’émanations de gaz carbonique • Îlots de chaleur nombreux à proximité • Intersections autour du pont sont peu sécuritaires et peu invitantes pour les piétons et cyclistes • L’accès actuel de la piste multifonctionnelle (piétonne et cycliste) est périlleux et du métro Papineau il faut se diriger vers le nord sur la rue Dorion, puis revenir vers le sud sur le pont (total de 1 km) • Barrière physique et psychologique, allant jusqu’à nuire à l’essor économique du secteur Solution Un ascenseur avec un observatoire adjacent au pont Une infrastructure au service des citoyens et adaptée à son milieu urbain • Ascenseur autoportant relié au pont, donnant un accès universel sécuritaire • Observatoire avec vue sur le centre-ville • Escalier avec une vue panoramique de 360 degrés à son sommet • Café-terrasse et toilettes publiques au pied de l'escalier • Panneaux solaires intégrés aux sommets des tourelles • Mur végétalisé sur l’observatoire • Parc linéaire aménagé avec plantations sous le pont • Écran interactif pour des annonces (nombre de véhicules sur le pont en temps réel avec équivalent en gaz carbonique…) • Pôle de loisirs : sportifs et culturels Avantages • Permettrait un accès direct, universel et attrayant au tronçon de la piste multifonctionnelle • Ajouterait une sortie supplémentaire en cas d’urgence • Encouragerait plus de gens à traverser le fleuve par la piste multifonctionnelle comme moyen de transport écologique et aiderait conséquemment à diminuer le nombre de véhicules • Favoriserait de meilleures habitudes de santé • Permettrait une plus grande fréquentation du parc Jean-Drapeau • Serait un attrait récréotouristique et un catalyseur de développement pour le quartier Image clée
  3. Les syndicats perçus comme les gardiens des paresseux Cinquante-neuf pourcent de la population croit que les syndicats protègent trop les incompétents et les paresseux, selon un sondage mené par Pierre Côté, fondateur de l'Indice relatif de bonheur (IRB). Les syndiqués eux-mêmes sont loin d'être en désaccord avec cette affirmation : 52% d'entre eux répondent oui lorsqu'on leur demande si, dans la société d'aujourd'hui, les syndicats protègent trop les incompétents et les paresseux. Le camp du non rallie un maigre 9 % de l'ensemble des sondés et 11 % de la population syndiquée. Le sondage dans son ensemble ne révèle ni amour ni haine envers les syndicats. Bien qu'on ne les érige pas en leaders de la société, on reconnaît leur utilité : 40 % des sondés les jugent essentiels dans la démocratie et l'équilibre social. Toutefois, 55 % croient que les syndicats incarnent des instruments politiques au service de leurs intérêts. Au-delà du sondage, la question de la paresse et de l'incompétence au travail soulevée par Pierre Côté illustre une réalité des organisations. Selon un sondage CROP commandé en 2007 par l'Ordre des conseillers en ressources humaines et en relations industrielles (ORHI), 69 % de la population affirme côtoyer au travail des employés dont le rendement est médiocre et qui sont maintenus en poste. Mais, dans les faits, quel rôle les syndicats jouent-ils lorsqu'un patron est confronté à une situation d'incompétence ou de paresse flagrante d'un employé? «En bout de ligne, le résultat est le même, syndicat ou non», affirme Laurent Francoeur, président et directeur général de l'ORHI. «Gérer l'incompétence relève de la responsabilité de l'employeur puisque celui-ci détient un droit de gérance. Le syndicat va encadrer le processus menant au congédiement, et il contestera la décision si les procédures n'ont pas été suivies correctement», ajoute-t-il. Cependant, cette opinion de l'expert est loin d'être partagée par les sondés de l'IRB. Alors que Laurent Francoeur positionne les syndicats comme les gardiens de procédures établies, l'opinion publique estime que les syndicats encouragent la paresse et l'incompétence, entravant la productivité des organisations. Crise de perception ou signal d'alarme lancé aux syndicats? «Les syndicats doivent faire une introspection et redéfinir leurs objectifs, déclare Pierre Côté. Ils ne se battent plus pour une cause, mais pour conserver leurs acquis et renforcer leur pouvoir.» Observatoire social L'Indice relatif de bonheur s'affiche comme un observatoire social indépendant. Pierre Côté, l'homme derrière l'indice, est consultant en communication marketing. Depuis qu'il a fondé l'IRB en novembre 2006, il a posé plus de 350 questions aux internautes naviguant sur indicedebonheur.com. Quelque 1257 personnes ont répondu en ligne au sondage de l'IRB portant sur la perception des syndicats, la marge d'erreur étant de 2,8%. http://lapresseaffaires.cyberpresse.ca/article/20080617/LAINFORMER/806170546/5891/LAINFORMER01
  4. Les syndicats perçus comme les gardiens des paresseux 17 juin 2008 - 07h27 Le Soleil Anne-Sophie Pratte Cinquante-neuf pourcent de la population croit que les syndicats protègent trop les incompétents et les paresseux, selon un sondage mené par Pierre Côté, fondateur de l'Indice relatif de bonheur (IRB). Les syndiqués eux-mêmes sont loin d'être en désaccord avec cette affirmation : 52% d'entre eux répondent oui lorsqu'on leur demande si, dans la société d'aujourd'hui, les syndicats protègent trop les incompétents et les paresseux. Le camp du non rallie un maigre 9 % de l'ensemble des sondés et 11 % de la population syndiquée. Le sondage dans son ensemble ne révèle ni amour ni haine envers les syndicats. Bien qu'on ne les érige pas en leaders de la société, on reconnaît leur utilité : 40 % des sondés les jugent essentiels dans la démocratie et l'équilibre social. Toutefois, 55 % croient que les syndicats incarnent des instruments politiques au service de leurs intérêts. Au-delà du sondage, la question de la paresse et de l'incompétence au travail soulevée par Pierre Côté illustre une réalité des organisations. Click here to find out more! Selon un sondage CROP commandé en 2007 par l'Ordre des conseillers en ressources humaines et en relations industrielles (ORHI), 69 % de la population affirme côtoyer au travail des employés dont le rendement est médiocre et qui sont maintenus en poste. Mais, dans les faits, quel rôle les syndicats jouent-ils lorsqu'un patron est confronté à une situation d'incompétence ou de paresse flagrante d'un employé? «En bout de ligne, le résultat est le même, syndicat ou non», affirme Laurent Francoeur, président et directeur général de l'ORHI. «Gérer l'incompétence relève de la responsabilité de l'employeur puisque celui-ci détient un droit de gérance. Le syndicat va encadrer le processus menant au congédiement, et il contestera la décision si les procédures n'ont pas été suivies correctement», ajoute-t-il. Cependant, cette opinion de l'expert est loin d'être partagée par les sondés de l'IRB. Alors que Laurent Francoeur positionne les syndicats comme les gardiens de procédures établies, l'opinion publique estime que les syndicats encouragent la paresse et l'incompétence, entravant la productivité des organisations. Crise de perception ou signal d'alarme lancé aux syndicats? «Les syndicats doivent faire une introspection et redéfinir leurs objectifs, déclare Pierre Côté. Ils ne se battent plus pour une cause, mais pour conserver leurs acquis et renforcer leur pouvoir.» Observatoire social L'Indice relatif de bonheur s'affiche comme un observatoire social indépendant. Pierre Côté, l'homme derrière l'indice, est consultant en communication marketing. Depuis qu'il a fondé l'IRB en novembre 2006, il a posé plus de 350 questions aux internautes naviguant sur indicedebonheur.com. Quelque 1257 personnes ont répondu en ligne au sondage de l'IRB portant sur la perception des syndicats, la marge d'erreur étant de 2,8%. http://lapresseaffaires.cyberpresse.ca/article/20080617/LAINFORMER/806170546/5891/LAINFORMER01/?utm_source=Fils&utm_medium=RSS&utm_campaign=LPA_S_INFORMER
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