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  1. Publié le 10 novembre 2008 à 07h24 | Mis à jour à 10h43 Le «Off» Quartier des spectacles prend forme Mario Cloutier La Presse Pendant que le Quartier des spectacles s'élève, sa version «underground» prend forme aussi. Un nouveau complexe artistique et culturel de quatre étages est en préparation dans le Vieux-Montréal. Le Centre Phi comprendra une salle de spectacle et un restaurant qui ouvriront en 2010 à l'intersection des rues Saint-Pierre et Saint-Paul. Situé dans deux édifices fusionnés, d'une superficie totale de 40 000 pieds carrés, le Centre fournira l'équipement de production pour les projets du Groupe dirigé par la philanthrope Phoebe Greenberg, également directrice de la Fondation DHC/Art qui gère une galerie dans la rue Saint-Jean, toujours dans le Vieux-Montréal.«C'est l'étape de rénovation, restauration et construction, souligne la porte-parole du groupe Phi, Myriam Achard. Il n'y a aucune autre activité pour l'instant.» Quand les travaux seront terminés, toutefois, le centre deviendra une véritable ruche de création et de diffusion. En plus des bureaux de la Fondation DHC/Art, du restaurant et de la salle de spectacle de «beaucoup moins de 1000 places», dit Mme Achard, on y trouvera des salles d'exposition, de création et d'enregistrement. «Tout n'est pas encore coulé dans le béton, les plans évoluent quotidiennement, avoue la porte-parole. Mais ce sera un lieu de création et de diffusion ainsi qu'un laboratoire. Ce sera tout ça à la fois.» Sur son site internet, le groupe Phi dit vouloir «identifier, développer et produire des projets artistiques de grande qualité en unissant les efforts de créateurs innovateurs dans le domaine de la musique, du vidéoclip et de l'industrie cinématographique, dans le but de promouvoir et célébrer l'art comme force vitale». L'édifice sera donc équipé de studios d'enregistrement vidéo et audio pour la production et la postproduction de films, notamment. La dernière activité qui y a eu lieu est le tournage du court métrage Next Floor de Denis Vileneuve, primé en mai à la Semaine internationale de la critique du Festival de Cannes. «Phoebe voulait un document sur l'immeuble avant sa transformation. L'idée du film lui est venue ainsi», note Myriam Achard. Parmi les artistes que le groupe Phi produit ou dont il assure la promotion, il y a Denis Villeneuve, évidemment, la chanteuse Betty Bonifassi, les musiciens Slim Williams et Yoav ainsi que les cinéastes George Fok et Pedro Pires. De son côté, la galerie de DHC/ART présentera à la fin novembre une exposition de l'artiste d'origine californienne, Christian Marclay, dont on peut déjà voir deux oeuvres au Musée d'art contemporain dans le cadre de l'exposition Sympathy for the Devil.
  2. DHC/ART met Montréal sur la carte Phoebe Greenberg, artiste, femme d’affaires et diplômée de l’École internationale de théâtre Jacques-Lecoq, à Paris, a créé la fondation DCH/ART, qui versera notamment 1,3 million par année aux artistes contemporains. Photo André Pichette, La Presse Mario Cloutier La Presse Le nouvel espace d’exposition DHC/ART ouvre ses portes vendredi dans le Vieux-Montréal avec une quarantaine d’œuvres récentes de l’artiste britannique Marc Quinn, sa première exposition individuelle au Canada et sa plus importante organisée à ce jour en Amérique du Nord. Jusqu’au 6 janvier 2008. [/url] Ce nouveau lieu de diffusion permanent accueillera ensuite des expositions internationales, trop grandes pour la plupart des galeries et comparables à ce que font plusieurs musées. Derrière tout ça, une nouvelle fondation, qui versera notamment 1,3 million par année aux artistes contemporains. La mécène Phoebe Greenberg en a voulu ainsi. Elle nageait sous la surface depuis longtemps à Montréal. Doucement, craintivement presque, elle émerge avec un immense cadeau à sa ville d’adoption, elle qui est née à Ottawa, au sein d’une famille reconnue pour sa philanthropie, et qui a aussi vécu en Europe. «Tout a commencé avec une idée : réfléchir à la condition humaine. J’aurais pu créer une fondation dans un autre domaine, mais les arts comptent vraiment pour moi. C’est là ou je peux exceller», explique-t-elle. Artiste, femme d’affaires, Mme Greenberg nous vient du théâtre. Elle est diplômée de l’École internationale de théâtre Jacques-Lecoq à Paris. Elle a joué, elle a produit des spectacles, produit et écrit un court métrage de Denis Villeneuve l’été dernier. Mais l’œuvre de sa vie, c’est indéniablement cette galerie à couper le souffle, avec ses puits de lumière, ses murs rétractables et un ascenseur transparent. La Presse a eu la chance d’y pénétrer sur la pointe des pieds avec la maîtresse des lieux. Les employés s’affairaient à ouvrir les boîtes contenant les pièces de Marc Quinn, ou pourrait-on dire, les «cercueils» de ses troublantes sculptures. «Les artistes qui sont venus voir aiment les dimensions. L’édifice présente des défis, mais nous avons tenté de créer un espace flexible sans être une boîte blanche», dit-elle en déambulant dans ce joyeux bordel pré-exposition. L’art en avant-scène Auparavant, DHC/ART avait aidé David Altmejd pour son séjour à la Biennale de Venise cette année. Plus tôt encore cette année, le groupe avait aussi présenté en primeur à Montréal le film Zidane, un portrait du 21e siècle. DHC/ART Fondation pour l’art contemporain est une OSBL qui ne fonctionne qu’avec des dons privés. «Le secteur a une responsabilité face aux arts», croit Mme Greenberg. DHC sont les lettres de sa compagnie de production, Diving Horses Creations, un nom inspiré d’un divertissement populaire dans les années 1880 où un cheval plongeait de très haut dans une piscine. Pourtant, Phoebe Greenberg ne semble pas de celles prêtes à se lancer dans le vide. Mais elle n’aime pas parler d’elle-même. Son amour pour l’art prend toute la place. Elle en parle avec chaleur et pertinence. Au long de son parcours, de ses voyages, elle a vu que le talent existe à profusion chez nous et que celui qui triomphe à l’étranger veut venir respirer l’air créatif de Montréal. «Montréal est une ville jeune et vibrante, dit-elle. Nous avons besoin de voir des expositions internationales. Il y a énormément de talent ici. Dans mes voyages, en visitant les biennales, j’ai compris que les artistes étaient inspirés par l’idée de venir à Montréal, même s’ils ne sont jamais venus. Marc Quinn est un grand artiste et je suis honorée qu’il ait accepté notre invitation.» _________________________________________________________ Marc Quinn à la galerie DHC/ART, 451, rue Saint-Jean, à partir de vendredi. Infos : www.dhc-art.org.
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