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  1. La place d'Armes reconstruite Éric Clément La Presse Quelque 6,7 millions de dollars seront consacrés dans les prochaines années par l'agglomération montréalaise pour reconstruire complètement la place d'Armes, dans le Vieux-Montréal. «La place n'a pas été refaite depuis le milieu des années 70, explique Gilles Morel, secrétaire permanent du comité de coordination du Vieux-Montréal, à la Ville de Montréal. Elle manifeste des signes d'âge importants. La Côte de la Place-d'Armes, la place d'Armes elle-même et la rue Saint-Sulpice jusqu'à la rue de la Commune seront donc refaites.» La place d'Armes fait actuellement l'objet d'études afin d'en apprécier la fréquentation dans le but de la réaménager en tenant compte des automobiles et du flux de touristes. «Au cours de l'automne, des gens de l'Université de Montréal ont installé une caméra pour analyser la circulation des piétons, dit M. Morel. De plus, Tecsult a fait des comptages qui montrent qu'il y a jusqu'à 70 autobus chaque jour sur la place d'Armes.» Le pavement et les trottoirs seront refaits. La statue de Paul Chomedey de Maisonneuve, en place depuis près d'un siècle, ne sera pas déplacée, mais la fontaine sera rénovée. Sous la fontaine demeurent les vestiges de vieilles latrines qui logent actuellement une vaste colonie de rats. S'il n'est pas question d'installer une «Dame Pipi» sur la place, Gilles Morel dit qu'après avoir vérifié l'état de la structure de ces latrines, la Ville et la Société de développement commercial décideront si on peut les utiliser pour opérer un service. Sinon, elles seront démolies. Tout le réaménagement fera l'objet d'une réflexion. «Il y aura notamment un atelier l'automne prochain qui impliquera des équipes montréalaises, Design Montréal, et des équipes d'autres villes de design de l'UNESCO, comme Buenos Aires et Berlin. Par la suite, on fera un appel d'offres pour être en travaux en 2009-2010. Mais dès cette année, on refera la rue Saint-Sulpice dont on a reconstruit le réseau d'aqueduc.» Le nouveau design de la rue Saint-Sulpice sera d'ailleurs défini dès la fin du mois d'avril. Les plans seront présentés aux résidants du quartier. Chemin piétonnier au cimetière Notre-Dame-des-Neiges Par ailleurs, 3 millions seront investis pour créer un chemin piétonnier qui fera le tour du cimetière de Notre-Dame-des-Neiges. «Il partira du lac aux Castors, fera un circuit à l'intérieur du cimetière en fonction de l'intérêt d'un certain nombre de caveaux, descendra vers le chemin de la Côte-des-Neiges, fera le tour près de l'Université de Montréal et reviendra jusqu'au chemin Olmstead.» Tous ces travaux font partie d'un plan de mise en valeur du patrimoine pour lequel l'agglomération va emprunter 23,5 millions. Québec le finance en partie (8 millions) grâce aux ententes signées depuis 1979 entre la province et la Ville pour entretenir le Vieux-Montréal. Mis à part la place d'Armes et le chemin de ceinture du cimetière, d'autres travaux visent la restauration des mansardes et du campanile de l'hôtel de ville (3,8 millions), la réfection des trottoirs de la rue Notre-Dame et de la rue Saint-Paul (3 millions), le réaménagement du chemin Queen Mary (2,5 millions), la rénovation des fortifications du Champ-de-Mars (1,5 million) et le remplacement des pavés de la rue de la Commune (1,4 million).
  2. <header id="page-header" style="color: rgb(135, 135, 135); font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; line-height: 16px; position: relative !important;">http://journalmetro.com/actualites/montreal/416662/montreal-a-travers-les-tombes/ Mise à jour: 11 décembre 2013 | 10:36 L’histoire de Montréal à travers les tombeso </header><article class="primary-article" style="margin-bottom: 25px; color: rgb(86, 86, 86); font-size: 15px; line-height: 1.8em; font-family: adelle, Adelle, Georgia, serif;"><figure style="display: inline-block; margin: 0px; max-width: 100%; box-sizing: border-box; padding: 6px; position: relative; border: 1px solid rgb(227, 227, 227) !important;"><figcaption style="background-color: rgba(0, 0, 0, 0.8); bottom: 0px; box-sizing: border-box; color: rgb(255, 255, 255); font-family: Arial, sans-serif; font-size: 12px; left: 0px; line-height: 1.4; border-style: solid; border-color: rgb(255, 255, 255); border-width: 0px 6px 6px; padding: 10px; position: absolute; width: 630px;">Yves Provencher/Métro«On n'apprend pas l'histoire de Montréal en se promenant dans le cimetière, mais on observe plutôt une projection de la vie urbaine du passé parmi les différents monuments,» explique Armelle Wolff, conférencière pour Archimuse.</figcaption></figure>Au milieu des dénivelées de la montagne et dans le silence des sépultures du cimetière Mont-Royal, le Montréal d’antan est toujours bien présent. Bien loin des bouquins et des façades du centre-ville se cache une tout autre manière de découvrir la vie des familles qui ont fait le passé de la métropole québécoise. Armelle Wolff, conférencière pour Archimuse, fait connaître ce secret de la ville lors de ses visites guidées du cimetière. «On n’apprend pas l’histoire de Montréal en se promenant dans le cimetière, mais on observe plutôt une projection de la vie urbaine du passé parmi les différents monuments», explique-t-elle. Dominant, même dans la mort À quelques mètres de l’entrée du cimetière, perché sur une petite colline, se dresse l’îlot de la famille Allen. Entouré d’un luxueux grillage en fer forgé, impossible de le manquer. «Cet aménagement correspond tout à fait à l’importance de la famille dans l’univers montréalais. Les frères Allen étaient les princes de Montréal», affirme d’emblée Armelle Wolff. Situé sur l’un des sommets de la partie la plus ancienne du cimetière, cet îlot familial a une vue impressionnante sur les sépultures autour. La tombe de Hugh Allen, détenteur de la plus grande fortune du Canada au 19e siècle, grâce à un monopole dans le commerce maritime, est donc placée aussi avantageusement dans le cimetière que la villa qu’il possédait près du mont Royal. «Il a le même rôle stratégique dans le cimetière que celui qu’il avait dans la ville, car, depuis sa résidence, il voyait arriver leurs bateaux dans le port. Même mort, il reste en terrain dominant», note la conférencière. Rencontre entre amis John Samuel McCord, premier président du cimetière Mont-Royal jusqu’en 1865, repose à l’endroit culminant du cimetière primitif. «Une place de choix», affirme Mme Wolff. Mais ses voisins de tombe révèlent un phénomène encore plus intéressant. À ses côtés se trouvent les sépultures de Peter McGill, ancien maire de Montréal, du révérend Francis Fulford et de la famille Ross. «C’était tous des amis, raconte Mme Wolff. Leurs villas à Montréal étaient voisines, tout comme leur tombe. Plusieurs de ces familles étaient même liées par des mariages.» Cette disposition des tombes regroupées entre famille et amis proches expose un phénomène courant de l’époque, selon la conférencière. «Les Montréalais avaient l’habitude de venir au cimetière le dimanche pour rendre visite à leurs proches décédés. Mais ils venaient entre amis et entre voisins. Avec cette disposition des tombes, ils se retrouvaient également entre amis et voisins au cimetière. Ils ne sortaient jamais de leur monde», explique la conférencière. La vie collective dans la ville ne faisait donc pas exception au cimetière. Des catholiques chez les protestants Le cimetière Mont-Royal ouvre en 1852 sous une administration anglophone protestante. Les protestants n’étant pas admis dans les cimetières catholiques, ils devaient reposer dans un espace distinct. Le cimetière Notre-Dame-des-Neiges, qui ouvre en 1855, est quant à lui réservé aux catholiques pratiquants en règle. Tous ceux qui ne peuvent pas prouver qu’ils sont de confession catholique, ou qui sont rejetés par le clergé, ne pouvaient pas, jusque dans les années 1960, être enterrés en terrain consacré. Ils étaient alors automatiquement dirigés vers le cimetière protestant Mont-Royal. «Vous voyez, ici, c’est la loge des francs-maçons francophones…catholiques», lance Mme Wolff. Étonnant pour un cimetière protestant… «Chez les francophones catholiques, la franc-maçonnerie était une hérésie. C’était des anticléricaux, qui se battaient pour l’éducation laïque», rappelle la conférencière. Les francs-maçons étant donc bannis de l’Église, ceux de confession catholique devaient eux-aussi être enterrés dans le cimetière protestant Mont-Royal. «Souvent, les gens ont tendance à fonctionner par polarisation: c’est blanc ou noir. Il y a les catholiques et les protestants. Ici on peut voir que, dès le départ, c’était beaucoup plus compliqué que ça», affirme Armelle Wolff. Les Molson s’imposent «L’imposante structure du mausolée de la famille Molson et la place qu’il occupe au cimetière témoignent, comme aucun autre pareil, de l’importance de cette famille à Montréal», affirme Armelle Wolff. Une revue touristique de 1868 parlait même de ce mausolée comme étant le plus prestigieux et le plus monumental du continent Nord-Américain, selon la conférencière. «Ici, ils dominent la ville comme ils dominaient dans le paysage socioculturel montréalais», résume-t-elle.</article>
  3. un nouveau projet sur le mont royal, je pense. sur le chemin de la côte-des-neige, en face de la cimetière côte-des-neige. j'ai visité le bureau de vente, c'est trés beau, haute-gamme. http://www.foresthillcondos.ca
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