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La Maison de la Francophonie


steve_36

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Depuis quelque temps il me vient à l'idée de voir Montréal s'offrir quelque chose de nouveau, quelque chose de grandiose et quelque chose d'utile. Un projet qui, selon moi, serait bénéfique autant pour la langue française (donc pour le Québec) que pour Montréal. Cette vision vise 2 objectifs. Le premier étant la mise en valeur et la promotion de la langue française et le second étant de doter Montréal d'une nouvelle institution de calibre international.


Je pense ici à une maison. Une Grande Maison. Une Maison de la Francophonie. Un endroit ou la langue de Molière et de Michel Tremblay serait à l'honneur en tout temps et ou les jeunes et moins jeunes ainsi que les gens de partout viendraient l'apprendre, la pratiquer, la partager et l'aimer.


Montréal étant la deuxième ville francophone au monde et la première dans les Amériques, il est plus que bienvenue qu'elle assume ce rôle primordial afin de devenir un carrefour incontournable dans l'émancipation de la langue française. Et pour ce faire, je crois fortement qu'il lui faut un outil d'envergure et, si possible, de grande qualité architecturale.


Imaginons un lieu invitant, ouvert et réunissant plusieurs organismes et institutions reliés à la langue française. Le tout afin de créer un écosystème dynamique, populaire et performant, un peu comme la Place des Arts le fait pour la culture en général ou la Maison de la danse le fait pour... " la danse ". Mais aussi comme à Paris ou l'institut du monde Arabe joue un rôle important dans la promotion de la culture Arabe.


Je partage donc ma vision dans cette section afin de susciter commentaires et suggestions de la part des membres intéressés. Mais aussi en espérant que cette idée puisse attirer l'attention de quelqu'un qui pourrait porter ce projet aux plus hautes instantes afin de le faire devenir réalité un jour.


Reste maintenant à mettre du contenu dans cette Maison, à imaginer un contenant et lui trouver un lieu adéquat et idéal.

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 La Maison de la Francophonie

Déjà dans plusieurs villes, il existe des ''Maison de la francophonie''. Vancouver, Ottawa, Paris même. Et chacune joue un rôle modeste et limité. Donc l'idée n'est pas nouvelle. Sauf que l'Idée ici est d'avoir une vraie Grande Maison, un lieu de rencontre et d'échange, d'apprentissage et de mémoire exceptionnelle. Quelque chose de grandiose. Il est temps que Montréal prenne amplement sa place de deuxième ville francophone du monde et qu'elle y jour un rôle d'importance.

 Le contenu

  Voici quelques exemples de ce qu'on pourrait trouver dans cette Maison. Un lieu qui se déclinerait en 5 thèmes.  Une sorte de centre culturel, de musée, d'école, de forum, tout cela réunit dans un grand lieu que j'appelle ''La Maison de la Francophonie'' mais qu'on pourrait aussi appeler ''L'Institut du monde Francophone''.

1- L'École:  (L'école des écoles de la langue française). On pourrait y tenir des cours de français pour les jeunes, pour les touristes, pour les étudiants en immersions et évidemment pour la francisation des nouveaux arrivants.

2- Le Musée: On pourrait y exposer l'histoire et l'origine de la langue, son parcours et cheminement à travers les siècles et les continents, ses accents, ses régionalismes. Dans ce cadre-ci on pourrait avoir des expositions permanentes qui nous expliqueraient le français des Acadiens, des Cajuns, des Antillais, des Belges, des Congolais, des Africains de l'ouest, des Suisses, des Gaspésiens etc.. Le tout avec des vidéos, des bandes sonores et des archives. Cela nous ferait voyager grâce à la langue française.

3-La bibliothèque:  Endroit où l'on retrouverait les grands classiques de la littérature française et où on ferait une place prépondérante aux Grands auteurs et écrivains de langue française, d'ici et d'ailleurs.

4- L'espace culturel: Endroit idéal pour y tenir des activités et évènements reliés aux français. Une scène pour la poésie, la chanson, le texte, l'improvisation ou tout autre manifestation de la langue française. Les universitaires, les collégiens et les étudiants pourraient participer à des jeux, des concours ou des compétitions entre écoles sur la locution, le vocabulaire, l'éloquence, etc...

5- Le Grand Carrefour : Endroit qui favoriserait les rencontres pour les familles, pour les enfants, pour les nouveaux arrivants dans le but de faciliter les échanges et la discussion avec des étudiants, bénévoles et francophiles de tous horizons. Idéal pour l'intégration. Les grandes institutions de la francophonie pourraient y avoir une place de choix afin de participer à leur façon. Je pense à Télé-Québec, Radio-Canada, TV5, le conseil supérieur de la langue française, les organisations internationales de la francophonie, les universités francophones etc.

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Le contenant

Rêvons un peu.

1- un immeuble patrimonial (aujourd'hui vacant) convertit aux besoins de cette nouvelle institution.
2- un tout nouveau projet moderne mais avec de l'envergure et une signature architecturale unique.
3- un petit immeuble existant mais en y ajoutant des annexes modernes afin de lui donner de l'ampleur.

Le lieu et/ou l'emplacement

Bien sur qu'il existe plusieurs endroits en ville pour y installer cette Maison mais j'en propose 3.

1- Premier choix: le Plateau Mont-Royal. Car c'est très central, très dense, déjà très francophone et assez vivant, culturellement parlant.

2-Deuxièmes choix: le Quartier Latin. Aussi assez central. Mais surtout pour profiter de l'affluence des foules en été et des autres institutions du secteur.

3-Troisièmes choix: le secteur Frontenac. La dynamique du centre-Ville semble s'étendre désormais vers l'est et il existe plusieurs terrains disponibles. Cette Maison pourrait donc être un moteur pour l'est.

 

 

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Le terrain au nord de la Grande Bibliothèque pourrait être intéressant (s'il est assez grand pour ta vision).  C'est central, à coté d'une bibliothèque importante, dans le très culturel Quartier des spectacles, à proximité du métro et du Plateau.

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Trés bonne idée je trouve..

Pour les emplacements, il y aussi l immeuble Patrimonial qui cherche une vocation sur la rue de la Montagne (au sud de ste-catherine, côté ouest) au centre-ville, ca pourra être intéressant de le convertir pour cette fin.. 

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Le 2019-12-04 à 12:53, ToxiK a dit :

Le terrain au nord de la Grande Bibliothèque pourrait être intéressant (s'il est assez grand pour ta vision).  C'est central, à coté d'une bibliothèque importante, dans le très culturel Quartier des spectacles, à proximité du métro et du Plateau.

J'ai effectivement pensé à ce terrain. Tout comme celui de l'Ilot Voyageur sud. Mais je ne suis pas sur si c'est possible de construire sur ce terrain (je parle de celui au nord de la Grande bibliothèque).

Et bien sur que ce secteur est non seulement très central et accessible mais la synergie avec la Grande Bibliothèque, l 'UQAM et le Quartier Latin serait naturelle.

Il y a 16 heures, Sherif a dit :

Trés bonne idée je trouve..

Pour les emplacements, il y aussi l immeuble Patrimonial qui cherche une vocation sur la rue de la Montagne (au sud de ste-catherine, côté ouest) au centre-ville, ca pourra être intéressant de le convertir pour cette fin.. 

Je n'avais pas pensé à cette option tout simplement parce que je pense que ce secteur est trop ''touristique-shopping-business'' et pas assez culturel disons.  De plus, je crois que l'immeuble en question est visé pour la construction d'une école, non ?

Mais ça reste une option à considérer.

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Le 2019-12-04 à 11:26, steve_36 a dit :

Le contenant

Rêvons un peu.

1- un immeuble patrimonial (aujourd'hui vacant) convertit aux besoins de cette nouvelle institution.
2- un tout nouveau projet moderne mais avec de l'envergure et une signature architecturale unique.
3- un petit immeuble existant mais en y ajoutant des annexes modernes afin de lui donner de l'ampleur.

Le lieu et/ou l'emplacement

Bien sur qu'il existe plusieurs endroits en ville pour y installer cette Maison mais j'en propose 3.

1- Premier choix: le Plateau Mont-Royal. Car c'est très central, très dense, déjà très francophone et assez vivant, culturellement parlant.

2-Deuxièmes choix: le Quartier Latin. Aussi assez central. Mais surtout pour profiter de l'affluence des foules en été et des autres institutions du secteur.

3-Troisièmes choix: le secteur Frontenac. La dynamique du centre-Ville semble s'étendre désormais vers l'est et il existe plusieurs terrains disponibles. Cette Maison pourrait donc être un moteur pour l'est.

 

 

Premièrement l'idée d'instituer une Maison de la Francophonie à caractère international à Montréal m'apparait géniale. Même ta proposition de l'appeler ''L'Institut du monde Francophone'' lui ajoute une dimension extra nationale qui pourrait en même temps souligner le rôle prépondérant que le Québec souhaite jouer dans le monde de la francophonie.

Aucun doute, nous avons les compétences pour réaliser une institution de classe mondiale, où on pourrait justement réunir sous un même toit différents organismes types dont tu fais mention: l'École, la Bibliothèque, le Musée, l'Espace Culture, le Grand Carrefour et qui sait d'autres lieux à inventer, de partage et de diffusion?

J'en profite pour dire que la culture et la langue française doivent devenir le véritable outil de cohésion sociale au Québec. La France l'a compris depuis longtemps, c'est pour cela qu'elle investit autant depuis des siècles pour donner pignon sur rue à toutes sortes d’institutions, qui non seulement ont unifié le pays, mais aussi lui ont donné le rayonnement nécessaire pour en faire la promotion partout dans le monde. Et c'est toujours vrai aujourd'hui.

Bien sûr le Québec ne peut prétendre à un tel parcours. Mais rien ne l'empêche de prendre le relais et de joindre ses forces pour que la francophonie trouve ici des assises solides et durables. Afin que notre culture puisse intensifier la sauvegarde de sa place si durement gagnée sur le continent nord-américain. Pour cela nous n'avons de meilleurs moyens que la promotion d'une langue riche et séduisante, moderne au vocabulaire vaste et précis, belle et aux intonations douces et si variées, parlée par plus de 300 millions de locuteurs dans le monde en 2018. https://fr.wikipedia.org/wiki/Francophonie

Tout le monde reconnait que la nation québécoise est un exemple éloquent de résilience culturelle. C'est un modèle pour tous les peuples qui souhaitent affirmer leur présence et leur dynamisme, face à la puissante vague d'assimilation culturelle qu'est la mondialisation. Mais pour cela il faut une volonté de concertation et une détermination à bâtir une instance qui rassemblera toutes les forces vives d'une société distincte et dont la fière histoire puise ses racines sur un autre continent. 

Alors un gros oui à une institution dédiée spécialement à la francophonie dans la métropole. Et pourquoi pas sur les rives du fleuve, cette impressionnante voie d'eau qui a ouvert l'Amérique à la colonisation française? Je pense notamment au Vieux-Port et particulièrement à la Pointe du Moulin, au pied du Silo # 5. Ce site exceptionnel a toutes les qualités requises pour en faire un lieu d'accueil idéal à quelques minutes de marche de la future station du REM à Griffintown. Ici peu de contraintes d'aménagement car l'espace est immense, vierge et près du lieu même de la fondation de la ville.

Je rêve à un bâtiment contemporain, écologique, versatile, vaste et lumineux, issu de nos forêts et aux qualités architecturales audacieuses. Ce dernier pourrait faire l'objet d'un concours ouvert justement à la grande famille de la francophonie internationale. Il faut effectivement une construction neuve, faite sur mesure pour les besoins, qui sera moins couteuse sur le plan budgétaire et qui serait de ce fait moins longue à ériger.

Depuis le temps que l'on souhaite un projet d'envergure pour la partie ouest du Vieux-Port, voilà une solution qui pourrait avoir un effet d'entrainement favorable pour le réaménagement de l'ensemble du site. Qui sait même inclure dans un deuxième temps le fameux silo pour le transformer en annexe de la nouvelle institution, en hôtel ou en lieu d'expositions et de diffusion culturelle?

Je termine en lançant une perche au nationalisme du gouvernement actuel et particulièrement à M. Legault, qui tente de faire sa marque en voulant distinguer résolument la CAQ des autres partis politiques provinciaux. Voilà pour lui une occasion en or de laisser un héritage unique et combien pertinent en tant que premier ministre du Québec. Non seulement cet investissement permettrait de consolider le français sur notre territoire au moyen d'un éminent outil fortement rassembleur. Mais on lui donnerait en même temps le mandat de faire rayonner notre culture et notre langue par le biais de la francophonie à l'international. 

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  • 9 mois plus tard...

Un article/vision dans le Devoir rejoint en partie ma vision de la ''Maison de la Francophonie'' que j'avais imaginé, et que j’imagine toujours. L'idée de M. Laplante vise surtout le segment universitaire, volet qui est extrêmement important et essentiel dans ma vision. Par contre, lui il privilégie le site de l'ancien hôpital Royal-Victoria pour implanter l'université alors que moi je ne toucherais pas à ce site, je le laisse plutôt à l'université McGill dont la proximité géographique est plus naturelle. Je privilégie plutôt l'actuel ''Maison des sourdes-et-muettes'' de la rue Saint-Denis pour sa proximité du métro (entre autre) ou l'ancien hôpital de l’hôtel-Dieu dont l'architecture est plutôt de style français par rapport à l'architecture Écossais du Royal-Victoria.

Pour la création de l’Université internationale de la Francophonie

Robert Laplante

Directeur, «L’Action nationale»

3 septembre 2020

Le ministre Jolin-Barette semble bien déterminé à faire un effort sérieux de redressement de la situation du français. Aura-t-il les appuis suffisants au sein du caucus de la CAQ et plus largement au sein du gouvernement pour mettre en œuvre des mesures qui permettront d’infléchir les tendances lourdes et de mettre le cap sur une voie mobilisatrice, stimulante et audacieuse ? Cela reste à voir. Les vents contraires vont souffler fort et les anathèmes en décoifferont sans doute plusieurs. Mais il ne sert à rien de s’en inquiéter, tout se déroulera de manière tellement prévisible…

Le français a besoin d’amour et de confiance. Il a surtout besoin d’audace pour lui donner la place qui lui revient, c’est-à-dire celle d’un espace élargi, attirant et prometteur. Autant dire qu’il faut que le ministre Jolin-Barette sorte du cadre provincial pour épouser les vastes horizons auxquels le Québec est en droit d’aspirer. Il lui faut poser un geste fort qui témoignera à la face du monde que notre langue est celle de l’invention de l’avenir, d’un avenir de convergence et de partage entre les peuples. Un geste d’audace pour dire notre attachement à une grande langue de civilisation. Pour apporter notre contribution à son enrichissement et à son rayonnement, ici et dans le monde.

La véritable réforme dont le français a besoin est celle qui établira le primat de l’initiative sur le repli défensif. Il faut témoigner de la confiance dans la force et la capacité portante du français comme moyen et matériau de construction de notre apport au concert des nations. Une proposition phare doit être lancée pour faire la preuve du sérieux du gouvernement du Québec.

La création de l’Université internationale de la Francophonie devrait inaugurer le plan de renforcement et de promotion du français. Le Québec possède un très riche bassin de compétences dans tous les domaines du savoir et dans ses nombreuses universités. Ses savants et chercheurs sont en contact avec nombre d’homologues dans la plupart des pays francophones. Il est temps de propulser ces collaborations dans un cadre institutionnel qui en dévoilera tout le potentiel et en élargira les possibles. Notre présence internationale s’en trouvera mieux affirmée. Notre contribution aux diverses instances de la Francophonie pourrait y trouver son axe le plus structurant.

Il faut songer à une université du XXIe siècle, une université surtout consacrée aux études de deuxième et troisième cycles, destinée à accueillir des étudiants et professeurs d e toute la Francophonie. Elle pourrait reposer sur un modèle apparenté au fonctionnement en consortium auquel les diverses universités du Québec seraient appelées à participer en y déléguant des professeurs, en y apportant leurs meilleurs programmes, leurs séminaires des plus hauts niveaux, etc. Son fonctionnement reste à inventer. Ce serait la première tâche d’un comité fondateur auquel devraient être associés les responsables de l’Organisation internationale de la Francophonie et des regroupements d’universités francophones. Ce comité devrait être présidé par la ministre des Relations internationales et de la Francophonie en collaboration avec la ministre de l’Enseignement supérieur.

À Montréal

C’est à Montréal, sur les flancs du mont Royal, que cette université devrait être implantée. Le bâtiment de l’ancien hôpital Royal Victoria devrait l’accueillir. Sa création procéderait de la nécessaire reconfiguration institutionnelle requise pour la pérennisation du français au pays. Plantée au cœur de la métropole, elle contribuerait à en faire le centre de gravité, à lui donner visibilité et force attractive.

Une institution phare témoignant de la force et du prestige du français donnera au centre-ville l’instrument qui lui manque pour affirmer et démontrer que le cosmopolitisme peut fort bien se décliner en français. Notre métropole a besoin de la puissance symbolique d’une telle institution. Des centaines et des centaines d’étudiants en provenance du Sénégal, du Maroc, de la Réunion ou d’ailleurs pourront côtoyer de jeunes Québécois et s’y former et mieux se connaître, alors que les meilleurs professeurs des universités de la Côte d'Ivoire, de la Suisse ou de la Belgique pourront y tenir des séminaires et y donner des cours aux côtés de leurs collègues de l’UQAM, de l’Université de Montréal ou de l’Université Laval.

L’Université internationale de la Francophonie pourra faire apparaître pour les universités québécoises le rôle fédérateur qui leur manque. Elle favorisera la mise en commun des ressources et l’optimisation des initiatives actuellement trop éparpillées et malheureusement trop souvent conduites en concurrence. Elle permettra une meilleure gestion des ressources de rayonnement et l’émergence d’une vision partagée qui pourrait éventuellement contribuer à l’enrichissement des politiques de soutien au savoir et à la recherche. La coopération entre institutions n’aura plus à souffrir de hiatus entre les priorités nationales et les projets internationaux.

La métropole du Québec est déjà un centre universitaire exceptionnel. Il faut renforcer sa vocation et améliorer sa position. La création d’une université de calibre et à vocation internationale ne sera pas sans d’importantes retombées économiques. Malmené par la crise sanitaire et ses impacts sur les perspectives de développement, le centre-ville pourrait bien trouver, avec l’apport de cette nouvelle institution, un moyen de relance pouvant contribuer à la mutation de sa vocation. […]

C’est grâce à l’audace de l’Université de Montréal qu’a été créée en 1961 l’Association des universités partiellement ou entièrement de langue française (AUPELF). Il faut savoir s’inscrire dans la continuité et s’inspirer des valeurs des innovateurs qui ont défié la peur en misant sur la fierté et la confiance.

C’est pour cela que l’Université internationale de la Francophonie devrait porter le nom de Jean-Marc Léger, un artisan de l’AUPELF et un visionnaire dont l’amour de la langue française a balisé tous les engagements.

https://www.ledevoir.com/opinion/idees/585255/quebec-pour-la-creation-de-l-universite-internationale-de-la-francophonie

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L'institut des Sourds et Muet sur St-Denis, ferait beaucoup plus de sens que le Royal Vic, je crois que c'était juste pour une raison idéologique que l'auteur a choisi le lieu... un hôpital anglophone, qui à le nom d'une ancienne reine...

Le projet serait vraiment un gros boost pour le Plateau et ce secteur de la St-Denis, surtout avec l'ITHQ proche et le métro Sherbrooke, ça serait un no-brainer d'installer ça dans un bâtiment qui est déjà ''réservé'' à une autre université pour sont expansion et contrer son manque d'espace. De plus, un emplacement sur le Plateau, on serait proche de l'OQLF, de l'antenne montréalaise de l'Université Laval edu CÉGEP Gaspésie, les Îles, de l'UQAM, la BANQ, INRS, la Société St-Baptise, consulat d'Algérie et de la future bibliothèque pour adolescent (Saint-Sulpice)

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Non seulement ce site serait idéal pour ce genre d'Institution mais ça serait l'occasion de l'occasion de redynamiser cette partie de St-Denis qui a pourtant beaucoup à offrir mais qui, pour l'instant, est sous animé, sous utilisé et un peu trop négligé à mon gout. 

Dans ton énoncé tu soulignes la présence d'institution intéressante qui sont situés à proximité. Je n'avais pas pensé à tous ces acteurs qui pourraient, d'une façon ou d'une autre, participer aux activités d'une Université de la Francophonie, comme le propose M. Laplante, ou d'une Maison de la Francophonie, comme je l'ai déjà suggéré.  Donc merci pour cette énumération pratique.

S'il y a d'autres institutions du genre dans le secteur alors n'hésite pas à les mentionner, ça peut être utile. 

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