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Économie de Montréal


Normand Hamel

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BCE élimine 4800 emplois, vend des stations de radio et écorche Ottawa

 

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PHOTO DAVID BOILY, LA PRESSE

BCE affirme dans une lettre ouverte signée par le président et chef de la direction Mirko Bibic que des emplois « à tous les niveaux de l’entreprise » seraient supprimés. 

Quelque 4800 emplois éliminés, des dizaines de stations radiophoniques régionales vendues – dont au Québec – et une baisse significative des investissements : le couperet tombe une fois de plus chez BCE dans le cadre d’une autre restructuration d’envergure dans le secteur des télécommunications. 

 

Pour une deuxième fois en sept mois, les employés de la société mère de Bell Média sont plongés dans l’incertitude dans la foulée des nouvelles annoncées par le conglomérat, jeudi. Certains salariés devaient être informés de leur licenciement, tandis que d’autres devront patienter avant de connaître leur sort. 

Dans l’ensemble, l’effectif de l’entreprise se contractera de 9 %. 

Selon le président et chef de la direction de BCE Mirko Bibic, « tous les niveaux de l’entreprise » seront touchés par les compressions. La division médiatique écopera ainsi une fois de plus. 

« Du côté de Bell Média, nos revenus publicitaires ont chuté de 140 millions en 2023, écrit M. Bibic, dans une note envoyée au personnel. Nos pertes d’exploitation annuelles s’élèvent à plus de 40 millions pour l’ensemble de nos services de nouvelles, et ce, malgré le fait que nous avons le réseau de stations de télévision le plus populaire. » 

C’est la deuxième vague de licenciements majeurs chez le géant des médias et des télécommunications depuis le printemps dernier, lorsque 6 % des emplois de Bell Média avaient été supprimés et que neuf stations de radio ont été fermées ou vendues. 

Un réseau qui fond

Bell Média se départira de 45 de ses 103 de ses radios régionales. Au Québec, sept stations passeront dans le giron du groupe québécois Arsenal Media. Ailleurs au pays, Vista Radio, Witheoaks, Durham Radio, My Broadcasting Corp, ZoomerMedia et Maritime Broadcasting sont les acquéreurs. Le Conseil de la radiodiffusion et des télécommunications canadiennes (CRTC) devra donner son aval aux ventes. 

Les stations de radio québécoises de Bell Média vendues : 

FZZ-FM (Saint-Jean-sur-Richelieu)

CFEI-FM (Saint-Hyacinthe)

CJDM-FM et CHRD-FM (Drummondville)

CJOI-FM et CIKI-FM (Rimouski)

CFVM-FM (Amqui)

Pour Arsenal Media, cela signifie que son réseau passera à 25 stations. L’entreprise devrait accueillir entre 30 et 40 personnes, a indiqué son président et chef de la direction, Sylvain Chamberland, dans un entretien téléphonique avec La Presse. 

« La différence entre un grand groupe et nous, c’est que nous sommes sur le terrain dans les régions parce que nous sommes plus petits, dit l’homme d’affaires. Ces sept stations s’inscrivent parfaitement dans notre plan de croissance. » 

BCE a imputé une partie de ses décisions à Ottawa ainsi qu’au CRTC. L’entreprise reproche au gouvernement fédéral d’avoir mis trop de temps à venir en aide aux entreprises médiatiques et à l’organisme fédéral d’avoir été trop lent à réagir à une « crise immédiate ». 

Cela concerne deux textes législatifs destinés à aider le secteur médiatique canadien en difficulté : le projet de loi C-18, également connu sous le nom de Loi sur les nouvelles en ligne, destiné à forcer les géants de la technologie à rémunérer les médias canadiens pour leur contenu, et le projet de loi C-11, qui met à jour la Loi sur la radiodiffusion pour obliger les plateformes numériques telles que Netflix, YouTube et TikTok à contribuer et à promouvoir le contenu canadien. 

Ottawa reste dans une impasse avec la société mère de Facebook, Meta, au sujet du C-18, la société continuant de bloquer les liens d’information sur ses plateformes. Par ailleurs, le gouvernement fédéral a plafonné à 30 millions le montant que les médias audiovisuels peuvent obtenir grâce aux paiements annuels de 100 millions de Google, le reste étant destiné aux médias imprimés et numériques. 

Le conglomérat réduira également d’au moins 500 millions ses dépenses d’investissements prévues cette année et réduira l’expansion de son réseau de fibre optique. M. Bibic blâme « les décisions gouvernementales et réglementaires ». 

« Nous sommes préoccupés par la récente décision du CRTC qui nous oblige à donner accès à notre réseau de fibre optique à haute vitesse à des revendeurs, et ce, avant même d’avoir pu récupérer nos investissements de plusieurs milliards de dollars », écrit-il à ses employés. 

Baisse du bénéfice net

En annonçant ces coupes majeures dans ses effectifs, BCE rapporte une baisse en un an de 23,3 % de son bénéfice net du quatrième trimestre, qui a reculé de 567 millions à 435 millions. Au cours de la même période, le bénéfice net ajusté a augmenté, de 654 millions à 691 millions. 

Le bénéfice net par action ordinaire est passé de 0,58 $ à 0,42 $. 

Pour l’ensemble de l’exercice financier 2023, BCE a réalisé un bénéfice net de 2,327 milliards, en baisse de 20,5 % par rapport à celui de 2,926 milliards rapporté en 2022. Le recul du bénéfice net ajusté a été moindre, de 4,3 %, de 3,057 milliards à 2,926 milliards. 

Avec La Presse Canadienne

https://www.lapresse.ca/affaires/entreprises/2024-02-08/bce-elimine-4800-emplois-vend-des-stations-de-radio-et-ecorche-ottawa.php

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il y a 23 minutes, Djentmaster001 a dit :

Atkins Realis, they will remain HQd here. But they quietly moved their U.S hub to Tampa Bay this year.

On va parler juste francais au Quebec. Mais on aura plus de Siege social mondial pour des compagnie globale. 

Gang de colon comme dirait ma mere Quebecoise originaire du bas du fleuve. 

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il y a une heure, mtlurb a dit :

BCE élimine 4800 emplois, vend des stations de radio et écorche Ottawa

Mis à jour à 12h00
 

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PHOTO DAVID BOILY, LA PRESSE

BCE affirme dans une lettre ouverte signée par le président et chef de la direction Mirko Bibic que des emplois « à tous les niveaux de l’entreprise » seraient supprimés. 

Quelque 4800 emplois éliminés, des dizaines de stations radiophoniques régionales vendues – dont au Québec – et une baisse significative des investissements : le couperet tombe une fois de plus chez BCE dans le cadre d’une autre restructuration d’envergure dans le secteur des télécommunications. 

 

Pour une deuxième fois en sept mois, les employés de la société mère de Bell Média sont plongés dans l’incertitude dans la foulée des nouvelles annoncées par le conglomérat, jeudi. Certains salariés devaient être informés de leur licenciement, tandis que d’autres devront patienter avant de connaître leur sort. 

Dans l’ensemble, l’effectif de l’entreprise se contractera de 9 %. 

Selon le président et chef de la direction de BCE Mirko Bibic, « tous les niveaux de l’entreprise » seront touchés par les compressions. La division médiatique écopera ainsi une fois de plus. 

« Du côté de Bell Média, nos revenus publicitaires ont chuté de 140 millions en 2023, écrit M. Bibic, dans une note envoyée au personnel. Nos pertes d’exploitation annuelles s’élèvent à plus de 40 millions pour l’ensemble de nos services de nouvelles, et ce, malgré le fait que nous avons le réseau de stations de télévision le plus populaire. » 

C’est la deuxième vague de licenciements majeurs chez le géant des médias et des télécommunications depuis le printemps dernier, lorsque 6 % des emplois de Bell Média avaient été supprimés et que neuf stations de radio ont été fermées ou vendues. 

Un réseau qui fond

Bell Média se départira de 45 de ses 103 de ses radios régionales. Au Québec, sept stations passeront dans le giron du groupe québécois Arsenal Media. Ailleurs au pays, Vista Radio, Witheoaks, Durham Radio, My Broadcasting Corp, ZoomerMedia et Maritime Broadcasting sont les acquéreurs. Le Conseil de la radiodiffusion et des télécommunications canadiennes (CRTC) devra donner son aval aux ventes. 

Les stations de radio québécoises de Bell Média vendues : 

FZZ-FM (Saint-Jean-sur-Richelieu)

CFEI-FM (Saint-Hyacinthe)

CJDM-FM et CHRD-FM (Drummondville)

CJOI-FM et CIKI-FM (Rimouski)

CFVM-FM (Amqui)

Pour Arsenal Media, cela signifie que son réseau passera à 25 stations. L’entreprise devrait accueillir entre 30 et 40 personnes, a indiqué son président et chef de la direction, Sylvain Chamberland, dans un entretien téléphonique avec La Presse. 

« La différence entre un grand groupe et nous, c’est que nous sommes sur le terrain dans les régions parce que nous sommes plus petits, dit l’homme d’affaires. Ces sept stations s’inscrivent parfaitement dans notre plan de croissance. » 

BCE a imputé une partie de ses décisions à Ottawa ainsi qu’au CRTC. L’entreprise reproche au gouvernement fédéral d’avoir mis trop de temps à venir en aide aux entreprises médiatiques et à l’organisme fédéral d’avoir été trop lent à réagir à une « crise immédiate ». 

Cela concerne deux textes législatifs destinés à aider le secteur médiatique canadien en difficulté : le projet de loi C-18, également connu sous le nom de Loi sur les nouvelles en ligne, destiné à forcer les géants de la technologie à rémunérer les médias canadiens pour leur contenu, et le projet de loi C-11, qui met à jour la Loi sur la radiodiffusion pour obliger les plateformes numériques telles que Netflix, YouTube et TikTok à contribuer et à promouvoir le contenu canadien. 

Ottawa reste dans une impasse avec la société mère de Facebook, Meta, au sujet du C-18, la société continuant de bloquer les liens d’information sur ses plateformes. Par ailleurs, le gouvernement fédéral a plafonné à 30 millions le montant que les médias audiovisuels peuvent obtenir grâce aux paiements annuels de 100 millions de Google, le reste étant destiné aux médias imprimés et numériques. 

Le conglomérat réduira également d’au moins 500 millions ses dépenses d’investissements prévues cette année et réduira l’expansion de son réseau de fibre optique. M. Bibic blâme « les décisions gouvernementales et réglementaires ». 

« Nous sommes préoccupés par la récente décision du CRTC qui nous oblige à donner accès à notre réseau de fibre optique à haute vitesse à des revendeurs, et ce, avant même d’avoir pu récupérer nos investissements de plusieurs milliards de dollars », écrit-il à ses employés. 

Baisse du bénéfice net

En annonçant ces coupes majeures dans ses effectifs, BCE rapporte une baisse en un an de 23,3 % de son bénéfice net du quatrième trimestre, qui a reculé de 567 millions à 435 millions. Au cours de la même période, le bénéfice net ajusté a augmenté, de 654 millions à 691 millions. 

Le bénéfice net par action ordinaire est passé de 0,58 $ à 0,42 $. 

Pour l’ensemble de l’exercice financier 2023, BCE a réalisé un bénéfice net de 2,327 milliards, en baisse de 20,5 % par rapport à celui de 2,926 milliards rapporté en 2022. Le recul du bénéfice net ajusté a été moindre, de 4,3 %, de 3,057 milliards à 2,926 milliards. 

Avec La Presse Canadienne

https://www.lapresse.ca/affaires/entreprises/2024-02-08/bce-elimine-4800-emplois-vend-des-stations-de-radio-et-ecorche-ottawa.php

Google et Facebook n'ont pas fini de tuer tout ce qui est média d'information et de divertissement. 

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Il y a 2 heures, andre md a dit :

On va parler juste francais au Quebec. Mais on aura plus de Siege social mondial pour des compagnie globale. 

J'aime mieux ça que parler juste anglais et quand même ne pas avoir de sièges sociaux de compagnies globales...

Ce n'est aps un phénomène français vs anglais, c'est un phénomène canadien.  Il n'y a qu'une poignée de grandes entreprises globales avec un siège social au Canada.  Oui, on a des grandes compagnies "nationales" mais elles existent surtout parce qu'elles sont protégées par la réglementation (banques, communications, transport aérien), ou en lien avec des ressources extraites au Canada.  Des compagnies comme Blackberry et Nortel n'ont pas coulées à cause du français, Alcan et les papetières n'nt pas été rachetées à cause du français, Bombardier n'a pas vendu la C-Series et sa division ferroviaire à cause du français.  On a un voisin vorace au sud qui aspire tout ce qu'il peut et qui considère notre marché comme étant sa cour arrière.  On peut toujours se spécialiser sur des succursales (comme le fait l'Ontario avec l'automobile, d'ailleurs) et avec des centres de recherches à forte valeur ajoutée.  En prime, le fait qu'on fonctionne en français et que celui-ci nous confère une culture différente du reste du continent force les compagnies qui veulent vendre à Québec à adapter leur message à la population, ce qui crée des emplois payants ici.  De plus, on est une parfaite porte d'entrée pour les compagnies française en Amérique du Nord.

Oui, ce serait bien d'avoir davantage de sièges sociaux internationaux, mais les astres sont alignés contre nous et ça ne vaut pas la peine de sacrifier notre culture et notre langue pour une faible chance d'arracher un grand siège social.

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il y a une heure, ToxiK a dit :

J'aime mieux ça que parler juste anglais et quand même ne pas avoir de sièges sociaux de compagnies globales...

Ce n'est aps un phénomène français vs anglais, c'est un phénomène canadien.  Il n'y a qu'une poignée de grandes entreprises globales avec un siège social au Canada.  Oui, on a des grandes compagnies "nationales" mais elles existent surtout parce qu'elles sont protégées par la réglementation (banques, communications, transport aérien), ou en lien avec des ressources extraites au Canada.  Des compagnies comme Blackberry et Nortel n'ont pas coulées à cause du français, Alcan et les papetières n'nt pas été rachetées à cause du français, Bombardier n'a pas vendu la C-Series et sa division ferroviaire à cause du français.  On a un voisin vorace au sud qui aspire tout ce qu'il peut et qui considère notre marché comme étant sa cour arrière.  On peut toujours se spécialiser sur des succursales (comme le fait l'Ontario avec l'automobile, d'ailleurs) et avec des centres de recherches à forte valeur ajoutée.  En prime, le fait qu'on fonctionne en français et que celui-ci nous confère une culture différente du reste du continent force les compagnies qui veulent vendre à Québec à adapter leur message à la population, ce qui crée des emplois payants ici.  De plus, on est une parfaite porte d'entrée pour les compagnies française en Amérique du Nord.

Oui, ce serait bien d'avoir davantage de sièges sociaux internationaux, mais les astres sont alignés contre nous et ça ne vaut pas la peine de sacrifier notre culture et notre langue pour une faible chance d'arracher un grand siège social.

Parmi les plus grosse miniere mondiale plusieurs ont leur siegees social a Toronto. Et elles sont tres presente en Afrique et en amerique du sud. Ensuite tu a les banque comme TD , BMO Avec une presence encore plus aux USA qu'au Canada. Et  la banque Scotia tres presente en amerique latine. 

Calgary compte plus de sieges sociaux que Montreal. 

La culture au Quebec est en peril beaucoup plus a cause du rouleau compresseur Internet avec les netflix, amazon prime , apple tv, disney + etc... On rajoute Google et Facebook qui on bouffé toute la pub de nos medias.  Je ne vois pas le fait que Brian hannash le ceo de couche tard soit unilingue anglais soit une menace a ma culture. 

Du temps que Bombardier avait le head office de sa filiale transport ferroviaire a Berlin le PDG de cette filiale Laurent Troger ne parlait pas allemand  non plus Danny Di Perna qui l'a remplacé. 

Pour quelqu'un qui defend le francais pourquoi tu répond en anglais a ceux qui ecrivent en anglais? 

Et si je me souvient j'ai vu a quelques reprises sur ce forum des francophones qui se rèponde entre eux en anglais pas ironique juste un peu. 

Une chose que je sais c'est que si on a  plus de moyen financier pour le Quebec ca ne fait pas de tort aussi pour promouvoir sa culture par le biais de subventions et aide de toute sorte. 

Et je prefere vivre dans une ville bilingue et meme mutlilingue que simplement une ville uniquement anglophone ou uniquement  francophone. 

 

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il y a 59 minutes, andre md a dit :

Parmi les plus grosse miniere mondiale plusieurs ont leur siegees social a Toronto. Et elles sont tres presente en Afrique et en amerique du sud. Ensuite tu a les banque comme TD , BMO Avec une presence encore plus aux USA qu'au Canada. Et  la banque Scotia tres presente en amerique latine. 

Calgary compte plus de sieges sociaux que Montreal. 

La culture au Quebec est en peril beaucoup plus a cause du rouleau compresseur Internet avec les netflix, amazon prime , apple tv, disney + etc... On rajoute Google et Facebook qui on bouffé toute la pub de nos medias.  Je ne vois pas le fait que Brian hannash le ceo de couche tard soit unilingue anglais soit une menace a ma culture. 

Du temps que Bombardier avait le head office de sa filiale transport ferroviaire a Berlin le PDG de cette filiale Laurent Troger ne parlait pas allemand  non plus Danny Di Perna qui l'a remplacé. 

Pour quelqu'un qui defend le francais pourquoi tu répond en anglais a ceux qui ecrivent en anglais? 

Et si je me souvient j'ai vu a quelques reprises sur ce forum des francophones qui se rèponde entre eux en anglais pas ironique juste un peu. 

Une chose que je sais c'est que si on a  plus de moyen financier pour le Quebec ca ne fait pas de tort aussi pour promouvoir sa culture par le biais de subventions et aide de toute sorte. 

Et je prefere vivre dans une ville bilingue et meme mutlilingue que simplement une ville uniquement anglophone ou uniquement  francophone. 

 

On aura des moyens financier avec des centres de recherche, des sièges régionaux, des usines et des programmes de marketing adaptés au Québec.

Pour les sièges sociaux canadiens, comme je mentionnais, ce sont des secteurs protégés ou des ressources naturelles (on peut compter Hydro-Québec dans ces deux catégories).

je répond en anglais quand on m'adresse en anglais, mais mes interventions initiales sont en français, et je parle en français à la maison et je fais mes achats en français.  Vouloir vivre en français ne veut pas dire ne jamais utiliser l'anglais, mais veut dire donner la priorité au français.  Si une entreprise fait affaire avec des anglophones, on transige en anglais (et idéalement, en espagnol, talien, allemand, japonais, etc.).  Mais à l'intérieur des murs, ça se passe en français.

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We'll be seeing a lot of this in the next few years, with older buildings. 

Petra Group Seeks To Please in Quest to Fill Vacant Downtown Montreal Office Tower

https://www.costar.com/article/775198037/petra-group-seeks-to-please-in-quest-to-fill-vacant-downtown-montreal-office-tower

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