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Normand Hamel

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Tout ce qui a été posté par Normand Hamel

  1. En fait on se plaint surtout des tarifs résidentiels et commerciaux. Car les tarifs industriels ne sont pas les mêmes que les tarifs commerciaux. D'ailleurs à bien y penser je crois que ce sont les tarifs commerciaux qui sont subventionnés et je ne sais pas vraiment ce qu'il en est des tarifs industriels qui sont particulièrement complexes.
  2. Je crois comprendre d'où vient le malentendu. C'est qu'au Québec les alumineries bénéficient de tarifs spéciaux qui n'ont rien à voir avec les tarifs industriels de base. Cela a permis d'attirer et/ou de garder les alumineries ici. Ce que ne peut pas faire l'Ontario. Par contre pour les tarifs industriels de base mon impression est que l'écart est relativement faible. Mais comme je le disais précédemment je n'ai pas les chiffres.
  3. Cet article concerne surtout les consommateurs qui sont victimes du déclin industriel de l'Ontario et qui ne bénéficient pas d'un tarif uniforme comme au Québec. De plus il ne précise pas le tarif industriel et ne fait que dire que les entreprises ont délocalisé à cause du tarif trop élevé. Je n'y crois tout simplement pas. Je n'ai cependant pas les chiffres les plus récents pour comparer les provinces entre elles, non plus l'évolution des prix au fil des années. Pour comparer des pommes avec des pommes il faut comparer les tarifs industriels des provinces en fonction de la puissance utilisée sur courtes et longues périodes.
  4. Non je ne crois pas car les tarifs industriels en Ontario sont maintenus artificiellement bas par le gouvernement. Il faut savoir aussi que l'Ontario s'est désindustrialisée plus rapidement que le Québec et qu'ils ont maintenant des surplus de capacité dans certaines régions.
  5. Je me suis posé la même question et j'ai même été étonné que le ministre ne se fasse pas poser la question par l'animateur. Selon moi c'est parce que l'Ontario dispose encore de centrales au gas qui peuvent être remises en service rapidement au besoin.
  6. Les États-Unis entrevoient un ralentissement économique Consommation en baisse et prix de gros qui reculent : l’économie américaine semble montrer les prémices d’un ralentissement tant attendu dans la lutte contre l’inflation, au moment où des faillites de banques font vaciller les marchés et compliquent la tâche de la banque centrale. Les ventes au détail ont reculé en février aux États-Unis, de 0,4 % par rapport à janvier, selon les données publiées mercredi par le département du Commerce. Il s’agit, certes, d’une mauvaise nouvelle pour les détaillants, mais c’est souhaité pour lutter contre l’inflation, car cela desserre la pression sur les prix dans une économie en surchauffe. « Les ventes au détail ont reculé en février, mais pas suffisamment pour signaler une détérioration majeure de la propension à dépenser des consommateurs », relève cependant Oren Klachkin, chef économiste pour Oxford Economics. Sur un an toutefois, les ventes sont en hausse de 5,4 %. Ces chiffres ne sont en effet pas ajustés de l’inflation, qui contribue donc mécaniquement à faire augmenter le montant total des ventes. Or, celle-ci s’est élevée en février à 6,0 % sur un an, selon l’indice CPI qui fait référence. Pour le même montant, les consommateurs repartent ainsi avec un panier bien moins rempli. Oren Klachkin s’attend « à ce que les dépenses de consommation s’affaiblissent plus tard cette année à mesure que les hausses de salaire fléchiront, que l’épargne s’épuisera, que les coûts d’emprunt augmenteront et que l’inflation restera élevée », ajoute-t-il, dressant un tableau sombre pour les consommateurs. Les consommateurs en effet, ont déjà vu leur pouvoir d’achat réduit avec la forte inflation, mais ont continué à consommer, car ils avaient accumulé beaucoup d’épargne depuis le début de la pandémie de COVID-19 et que les salaires ont augmenté en raison d’une pénurie de main-d’œuvre dans le pays. Dilemme pour la Fed Mais la banque centrale américaine (Fed) est bien décidée à ne pas laisser les prix continuer à grimper autant, et relève donc ses taux à marche forcée depuis un an, ce qui renchérit le coût du crédit, affaiblissant ainsi la capacité à consommer. Les responsables de la Fed se réuniront les 21 et 22 mars, et se trouveront face à un dilemme de taille : relever les taux face à une inflation toujours trop forte, ou marquer une pause, en raison de l’incertitude sur les marchés financiers depuis la faillite de la Silicon Valley Bank (SVB), qui a justement été poussée par ces fortes hausses de taux. D’autant plus que les prix de gros aux États-Unis, publiés mercredi par le département du Travail et qui mesurent l’inflation côté producteurs, ont reculé de 0,1 % en février sur un mois, en raison notamment de la baisse des prix de l’essence. Et sur un an, la hausse des prix connaît sa plus faible évolution depuis mars 2021, à 4,6 %, contre 5,7 % en janvier. « Les prix à la production sont loin de leurs sommets, mais l’inflation est toujours élevée », souligne Rubeela Farooqi, cheffe économiste pour HFE, qui s’attend à une hausse des taux de la Fed la semaine prochaine, d’un quart de point de pourcentage. Elle n’exclut cependant pas la possibilité d’une pause dans les hausses de taux, car « les responsables prendront en considération les risques pour la stabilité financière ». « Si les marchés restent aussi désordonnés qu’ils le sont actuellement, la Fed ne relèvera pas ses taux la semaine prochaine », anticipe pour sa part Kieran Clancy, économiste pour Pantheon Macroeconomics. L’activité manufacturière de la région de New York, considérée comme un bon baromètre de l’évolution de l’économie américaine, s’est elle de nouveau contractée en mars, pour le quatrième mois d’affilée, selon l’enquête mensuelle Empire State, publiée mercredi par l’antenne de New York de la banque centrale américaine (Fed) et réalisée auprès d’industriels de la région. https://www.lapresse.ca/affaires/economie/2023-03-15/les-etats-unis-entrevoient-un-ralentissement-economique.php
  7. En fait il ne disait rien. Il pensait simplement tout haut, genre « Bientôt il y aura une tour de 200m ici. »
  8. Il y a combien de banques plus ou moins dans la même situation? Ce qu'il faut comprendre c'est que certaines entreprises sont très sensibles aux hausses des taux d'intérêt et les hausses des derniers mois ont été nombreuses et brutales. Par conséquent selon moi ce que l'on voit présentement sont les signes avant-coureurs de ce qui pourrait devenir une grave crise économique.
  9. J'ai bien peur que non! On parle plutôt de juin. 😥
  10. Bientôt tu vas pouvoir y aller en REM. 😃
  11. Moi j'attendrais de voir le produit final avant de me prononcer. Pour l'instant je trouve la proposition fort prometteuse. Watch and Learn Wait and See.
  12. En règle générale oui. C'est pourquoi entre autres je suggérais que ces appartements peuvent avoir été conçus comme des condos avec l'idée ou non de les vendre individuellement un jour.
  13. Oui il s'agit en effet d'une contradiction dans les termes si les appartements ne sont pas à vendre mais à louer seulement. On peut certes louer un condo en tant que propriétaire de l'unité mais à partir du moment où tout l'immeuble est à louer il s'agit alors de simples appartements. C'est comme si les promoteurs voulaient rendre leurs unités de logements plus attrayantes en disant qu'il s'agit de condos, comme si ces derniers étaient des appartements de luxe. D'un autre côté je peux très bien acheter l'appartement dans lequel je vis depuis un certain nombre d'années et il deviendra alors instantanément un condo au moment de la transaction. Cela dit, se pourrait-il que les promoteurs aient conçu un véritable édifice à condo mais avec l'intention de les louer temporairement jusqu'à ce qu'ils décident de les vendre un jour?
  14. Le port de Montréal, aujourd'hui le Vieux-Port, en 1900.
  15. En fait je n'avais aucunement l'intention de te contredire et d'ailleurs je trouvais ton commentaire très intéressant car cela m'a forcé à me questionner sur la raison pour laquelle une ville comme Détroit pourrait être plus éclairée que Montréal et la seule explication que j'ai pu trouver est que compte tenu du haut taux de criminalité de cette ville il se pourrait bien que l'on cherche, consciemment ou inconsciemment, à la rendre plus éclairée la nuit. Ce n'était qu'une suggestion qui ne voulait en aucune façon contredire ce que tu disais mais tentait simplement de l'expliquer. Cela dit, il se pourrait très bien aussi, comme tu le suggères, qu'ils soient tout simplement meilleurs que nous au niveau de l'éclairage. Après tout même si comme tout le monde le sait Montréal est la meilleure ville du monde cela ne veut pas dire que nous sommes les meilleurs dans tout. 😛
  16. Bleury près de La Gauchetière, 26 mai 1921
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