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Messages posté(e)s par 3dimensions

  1. il y a une heure, Mondo_Grosso a dit :

    Être unique n'est pas le seul critère pour juger la qualité architecturale d'un bâtiment. Je sais que le concept de «qualité» en architecture est un sujet controversé, beaucoup disent qu'il ne s'agit que d'une opinion personnelle. Si on doit fonder notre jugement uniquement sur l’opinion, le moyen le plus juste serait de le baser sur a) le consensus général des professionnels du domaine, et b) le consensus général du grand public. Sans partager mon opinion personnelle, je suppose que l'avis serait négatif dans les deux cas.

    En réalité, le concept de qualité dans le design est un concept dynamique qui évolue. Il existe cependant des critères fondamentaux, qui sont à la fois esthétiques et techniques, avec lesquels on peut commencer pour déterminer la qualité architecturale. Tous ces facteurs sont ouverts au débat, mais on peut commencer par: 

    1. Qualité des matériaux et de l'exécution (Les matériaux sont-ils durables? Les matériaux peuvent-ils être clairement définis comme de qualité supérieurs par rapport aux matériaux similaires disponibles? Étaient-ils installés / construits correctement?) 

    2. Satisfaction des exigences relatives aux fonctions (Dans ce cas, est-ce que le design est optimale pour les étudiants, les enseignants et toutes les utilisations connexes?) 

    3. Relation avec son entourage. (Le bâtiment renforce-t-il les qualités architecturales existantes des bâtiments environnants et son emplacement?)

    Prenons le 500 Place d'Armes comme exemple. Pour les critères 1 et 2, je considère que c'est un succès. Mais pour le critère numéro 3, c'est un échec. La tour KPMG serait un succès selon les 3 critères. En résumé, une architecture de qualité est produite lorsque la forme, la fonction et les techniques de construction sont réunies et mises en œuvre dans une idée artistique complète. Selon ces critères, je ne suis pas sûr de pouvoir considérer le McConnel Building comme une réussite architecturale, même si elle est unique.

    J'ai longtemps pensé que le 500 place d'armes n'avait pas ton numéro 3. Puis réalisant que chaque bâtiment de la place représentait une époque précise de mtl, j'y ai vu sa place. Autrement, les critères techniques suffisent-ils vraiment à déterminer la valeur d'un bâtiment ? Le lien émotif n'est-il pas important ? Imaginons Venise avec ces critères. Cette ville raserait la moitié de ses quartiers et ne garderait que les palais et ses cathédrales et églises. Et la tour de Pise, quoi faire ? L'europe ? Et que dire du fanstasme hitlérien de germania. Comment construire son histoire architecturale si chaque génération détruit ce qui n'est pas parfait selon ses propres critères ? Et le 1500 de maisonneuve est plutôt un projet correct, mais se soucie-t-il vraiment de sa relation avec son voisin... ? Qui était là bien avant lui.

  2. Je me souviens l'avoir déjà écrit ici (je radote, mais j'aurai bientôt l'âge légal pour le faire en toute impunité) mais le façadisme, puisqu'on ne peut sauver l'intégralité des bâtiments à grande échelle pour des raisons économiques, pragmatiques et autres, pourrait ne pas être qu'une solution pour préserver ces belles façades anciennes, mais bien  devenir carrément un style architectural, voire la norme. J'imagine en grand nombre (pas au point de saturer le paysage urbain...) toutes ces `"devantures" (victoriennes ou autres) d'où jailliraient à l'arrière de petites tours toutes plus différentes les unes des autres, comme cherchant à se surpasser, faisant des émules, créativité hétéroclite mais cohérente et balancée (peut-être de même hauteur, qui sait), tout en partageant cette uniformité harmonieuse au niveau de la rue.  

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  3. Ça pris plusieurs années, mais j'avais fini par m'habituer et trouver beau cette verdure et cette vue sur la petite église. C'est fou comme nos perceptions peuvent changer avec le temps. Mais je ne plaindrai pas, car j'avoue que cette tour va vraiment faire du bien. 

  4. Il y a 21 heures, acpnc a dit :

     

    En effet il faudrait délirer pour imaginer construire un monticule de pierre et de terre sur son sommet en le dénaturant irrémédiablement. De toute façon cette colline artificielle faite de remblayage, serait par nature instable et s'effondrerait au premier tremblement de terre conséquent, en se liquéfiant par les secousses.

    Sans parler d'une incroyable insensibilité vis à vis de l'environnement en altérant à tout jamais son fragile équilibre. Une action qu'on pourrait assimiler à une agression en totale opposition au développement durable, qu'aucun gouvernement sensé n'autoriserait jamais. Sans parler d'un budget astronomique en pure perte pour satisfaire l'élévation supérieure de quelques tours hypothétiques.

     

    Je ne m'attendais pas à ce qu'on s'enthousiasme devant cette idée si hors du commun, voire saugrenue, mais les arguments pour repousser du revers de la main le projet me semblent alambiqués. D'abord, il est faut de prétendre qu'il est impossible d'élever un mont sous prétexte qu'il serait instable et s'effondrerait à la première secousse sismique. C'est réellement méconnaître ou sous-estimer l'ingénierie et la technologie d'aujourd'hui. Deuxio, le fleuve et l'île Ste-Hélène font partie intégrante de notre identité montréalaise, et pourtant nous n'avons pas hésité à construire l'île Notre-Dame qui, non seulement allait faire de l'ombre à la vieille île et à la splendeur du fleuve, mais allait très certainement perturber la vie marine. Mais nos yeux et la nature, avec le temps, ont fini par inclure dans leur paysage mental et réel cette île artificielle comme si elle avait toujours existé. Entendons-nous, j'aime le Mont-Royal, (pas de là à dire que se forme est inspirante et spectaculaire, car cela confirmerait que l'amour rend aveugle...) mais bon, et bien que je comprenne qu'une idée comme celle-là soit choquante et provoque des réactions négatives et réfractaires, je dis simplement que rien n'est sacré au point d'être fermer à toute réflexion...  Argumenter que c'est débile ou impossible (peu importe les raisons) est une réaction normale, mais cela demeure un réflexe récurrent face à toute nouveauté, sans par contre alimenter vraiment le débat, car le débat ne peut partir que du possible, sinon toutes les avenues sont d'emblée bouchées.

     

    (Ce message répondait aussi à Louisleonardo, mais sans citation)

    Désolé pour cette étrange digression.... 

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  5. Comme a dit quelqu'un, je pense, à moins que je délire, on pourrait élever le sommet du mont-royal de 100 mètres ou plus à l'endroit du parc. On construit des îles, pourquoi pas une couple de pelleté de roches et de terre côté plateau (est)... (ça semble absurde peut-être, mais réalisable.) Et on pourra ainsi, tout en respectant la hauteur de la colline (mais pas la colline elle-même 🙂), faire de belles et hautes et minces tours de plus de 250 mètres. 

  6. Il ne s'agit pas de forme, à mon avis, mais de bon goût. De matériaux. D'une âme. (Toronto à peine à trouver son âme) Un bâtiment qui ne se résume qu'à son extravagance est souvent un édifice raté. À vouloir toujours être original, on finit par produire des caricatures. L'architecture est une création, la plus noble, la plus répandue, celle qui a le plus d'impact dans la communauté, et malheureusement la plus dispendieuse et difficile à réaliser, et comme toutes créations en art c'est l'authenticité du créateur qui paye et perdure. Beaucoup d'architectes, mais peu de réels artistes. Alors ne soyons pas trop dur avec nous-mêmes.

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  7. Il y a 14 heures, Normand Hamel a dit :

    De par sa localisation stratégique l'impact visuel du Duke sera bien plus grand que ses modestes 25 étages ne le laissaient supposer au départ. C'est du moins l'impression qu'il me donne de plus en plus depuis qu'il a commencé à s'élever dans le ciel.

    Tu as tout à fait raison et c'est bien cela qui m'envahit de tristesse...😁

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  8. Il y a 4 heures, Né entre les rapides a dit :

    Mais pas sans qu'il n'y ait eu des perdants et des gagnants entretemps.  Cet énoncé est court mais il est lourd de signification.  

    Positionnons nous au début d'une crise, dont nous ne connaissons alors ni la gravité ni la durée.  Nous avons beau "savoir" (être persuadé/même convaincu)  que le temps finit toujours par arranger les choses, nous demeurons confrontés à l'impératif de faire face avec succès aux soubresauts qui se produiront entretemps.  Si par exemple nous sommes des investisseurs et que nous devenons incapables de rencontrer nos obligations, nous serons contraints de céder nos avoirs à vil prix, et peut-être même de déclarer faillite.  D'autres investisseurs plus solides emporteront la mise, et leur richesse sera multipliée, le jour où l'économie reprendra de la vigueur.

    C'est pourquoi les investisseurs sont confrontés aujourd'hui à des décisions difficiles faisant appel à leur jugement, et tenant compte de leur position financière.  Dans certains cas, il est préférable d'accepter de subir des pertes limitées maintenant (ou de renoncer à des profits qui étaient attendus), afin de diminuer sa vulnérabilité.  C'est l'opposé d'un optimisme aveugle.

    La situation actuelle comporte des similitudes avec le krach de 1929, mais il y a de nombreuses différences.  Je m'attarderai à une de celles-ci, soit le comportement des gouvernements (et de leurs banques centrales).  Il y a 90 ans, les gouvernements étaient encore prisonniers d'une orthodoxie monétaire et budgétaire qui a renforcé/empiré, au moins jusqu'en 1933,  les effets de la crise  (boursière et bancaire avant de s'étendre à l'activité économique et au commerce international).  Maintenant en 2020, les gouvernements sont parfaitement à l'aise pour intervenir vigoureusement via un relâchement des politiques monétaires et fiscales.

     

    Plate à dire, mais vous parlez de la vie tout simplement. Un beau pladoyé par contre. Longue période de stabilité entrecoupée de courte période chaotique..  sinon l'évolution n'existerait pas. Trop stable pas d'évolution. Trop chaotique pas d'évolution. 

  9. Il y a 2 heures, Fortier a dit :

    @Rocco n’oublie pas que ce n’est pas la fin du monde. Oui beaucoup de gens perdent leur emploi et on vit un stress énorme. Mais des projets de tours comme Meastria, 1sqP et VSLP sont des projets à plus long terme. Quelle sera la situation dans 3-4 ans? Difficile de dire.

    Pendant ce temps les promoteurs qui ont les liquidités suffisantes peuvent profiter d’une main d’œuvre plus abondante, des taux d’intérêt plus faibles et des prix des ressources également plus faibles suivant le cours du pétrole.

    Si la situation devait perdurer et s’aggraver et que nous faisions effectivement face à une vague d’annulations, on en reparlera. Mais en attendant, ça ne sert le profit de personne de jouer l’oiseau de malheur et de crier au loup à tue tête. Restons zen pendant la tempête.

    Prends un peu de temps dans ta quarantaine pour regarder toutes tours construites à New York pendant la Grande dépression, peut-être que ça te changera les idées. ;) 

    D'accord en tout point, mais n'oublions pas non plus que l'empire state building a longtemps été vide après sa construction, pour ensuite devenir une des adresses les plus recherchées et prestigieuses. Comme quoi le temps finit tjrs par arranger les choses.

  10. Le 2020-03-07 à 12:56, acpnc a dit :

    Quand on est sur un terrain public, rue, parc ou place, on n'a qu'à obéir à la réglementation municipale qui est en général assez permissive en matière d'actions et de libre expression. De l'autre côté sur un site privé, c'est la réglementation du promoteur qui aura préséance dans la plupart des cas.

    Il peut ainsi limiter certaines privilèges et heures d'usage; établir des règles qui pourraient brimer certains comportements considérés comme naturels, acquis ou communs en dehors; installer un système de surveillance plus invasif; contrôler l'ensemble des activités qui ont cours sur l'ensemble de sa propriété (sans consultation ni avertissement); changer les règles unilatéralement et discréminer par différents moyens certaines clientèles considérées comme moins désirables.

    A noter qu'il y a une grande différence entre espace public et espace accessible au public. Dans un site de développement comme le Royalmount, tous les espaces accessibles au public, indépendamment de leur nature seront privatisés et chapeautés par l'administration des lieux. L'objectif premier étant de favoriser au maximum les activités commerciales et d'affaires et tout ce qui peut en découler, comme la publicité et le marketing, les communications, les événements, la sécurité, le choix des services et des partenaires, en se donnant la liberté de limiter la concurrence et d'établir des frais divers sans autre formalité.

    Dans un espace circonscrit à l'intérieur du centre commercial, pas de problème c'est business as usual comme partout ailleurs dans ce même genre d'établissement. Mais quand on arrive à des espaces communs extérieurs à l'intérieur des limites physiques des lieux, en tant que résidents on demeure toujours sous gestion privée. A la rigueur, l'administration pourrait même se permettre de tarifer certains endroits (parcs ou places) ou jusqu'à l'usage du mobilier urbain si elle le juge pertinent. 

    C'est ce genre de sentiment d'aliénation qui me dérange vraiment dans cette formule, parce que comme je l'ai dit dans mon intervention précédente, j'aurais toujours l'impression d'être vu davantage comme un client captif (que l'on pourra suivre à la trace de la porte de son condo) grâce à la technologie moderne, que comme un simple citoyen (vraiment chez soi) anonyme et de passage.

     

    Un peu tard, j'avoue, mais merci pour votre réponse. Evidemment, si on ajoute que la municipalité qui a les pouvoirs de déterminer les règlements et les limites au promoteur est Ville Mont_Royal, on peut s'attendre à ce que le promoteur n'ait même pas besoin de faire de surenchère... les restrictions (règlements) qui émaneront du conseil municipal seront sans doute très nombreuses !! 😊 (C'est de l'ironie... ( (fin de parenthèse) ) et merci encore.

  11. il y a 22 minutes, Normand Hamel a dit :

    C'est vrai pour ceux qui travaillent à l'extérieur mais pas pour les autres qui travaillent à l'intérieur dans des espaces confinés.

    Merci de faire la distinction ; j'y avais pensé, mais comme la majorité des chantiers sont pour la plupart encore à l'air libre, ma lâcheté m'a empêché de le noter. En fait, ça reste du cas par cas et laissé au bon jugement du promoteur ou constructeur, qui ne souhaitent certainement pas perdre ses employés pour cause de transmission.  

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  12. il y a 36 minutes, Gab a dit :

    Il faut tout simplement que le gouvernement demande l'arrêt des chantiers comme a Boston.

    Ne soyez pas surpris que les chantiers soient stoppés pour plusieurs semaines voir plusieurs mois.

    Est-ce vraiment nécessaire de passer d'un extrême à l'autre et dans toutes les sphères de la société ? La construction est tout sauf un lieu sensible à la transmission du covid19. Surtout si on le compare à des lieux comme les épiceries et les pharmacies, dont la plupart des travailleurs, comme les caissiers. sont en relation directe avec le public. Pis les gars sur les chantiers ont assez de maturité pour savoir comment gérer la situation...  me semble.

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  13. En regardant les italiens chanter confinés sur leurs balcons, j'ai reconfirmé l'idée que je me faisais, soit que des bâtiments d'une hauteur qui oscille entre 6 et 10 étages étaient d'une incroyablement belle densité... vivant, chaleureux, ou même les enfants se retrouvent et s'amusent.  Et très heureux que Rosemont Petite-Patrie est emboîté le pas.

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  14. Rêverie endimanchée.

    Il est vraiment temps que la rive-sud se développe tout le long de la voie maritime et du St-Laurent lui-même... de Châteauguay jusqu'à Boucherville...   (Pont mercier jusqu'au pont-tunnel.) Une ligne fine de bâtiments en hauteur tout en continuité. Parfois j'imagine ce que nous verrions du Mont-Royal si Tokyo était à nos pieds... et je vois une ville qui s'étend jusqu'au mont St-Hilaire. Nous aurions ainsi deux perchoirs naturels qui se font face pour s'observer. Mais à défaut de Tokyo, le tout se réalisera dans tout au plus 100 ou 200 ans, je suppose, à moins que...

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  15. Il y a 18 heures, SkylineMtl a dit :

    Dire que tout ça est parti d'un marché d'animaux exotiques à l'autre bout du monde. C'est débile les conséquences qu'un événement peut avoir partout dans le monde 😟 C'est une sacré illustration du principe de l'« effet papillon » en tout cas!

    Tout à fait. ... je dirais même plus : une sacré illustration de la théorie du chaos. 😊 (en lecture : James Gleick).

  16. il y a une heure, KOOL a dit :

    Le nombre d'étages n'a rien à voir puisque c'est le 200m max/moins de 232,5m qui prévaut. Techniquement il serait possible de faire une tour à condos de 75 étages destinée uniquement à des personnes de petite taille. 

    C'était de l'ironie à cause du terme utilisé par le journaliste : hauteur excessive...  (dans un autre commentaire je faisais remarquer que cette erreur grammaticale (utilisation du mot excessif dans un contexte inapproprié) se répétait vraiment trop souvent)

    à moins que ce ne soit qu'une blague de ta part également. 😊

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  17. Il y a 2 heures, Marc90 a dit :

    Architecturalement très générique, très ennuyant, très déjà-vu. Castelnau, Angus/Pélican, Griffintown... la ville commence à être saturée de condos poches qui ont l'air de rien mais qui prennent beaucoup trop de place visuellement, sur des terrains beaucoup trop vastes pour la grisaille qu'ils sont.

    En terme de typologie de logement, c'est same same and no different. C'est ennuyant. Des boîtes à chaussures plates empilées autour de corridors centraux plates, des halls plates, des balcons plates, des unités non-traversantes, des cours impersonnelles, des terrasses inutilisées, des pelouses tristes vides. Pleine de bancs où il n'y aura jamais personne. Des alignements de corniches moches tout au même niveau, aucun jeu volumétrique, juste des gros plaquage de matériaux qui ne fit pas ensemble autrement que par leur camaïeu de gris. 

    Des plaques de métal qui ont l'air lisse en rendu mais qui vont être mal installées et toutes gondolées après 2 ans. Des balcons en saillie. D'autre en alcove. Aucune cohérence ni distinction. 
    Bref, un gros zéro sur le plan de la composition des façades. C'est juste plate. Ça n'amène aucune diversité. 

    Mais ce n'est pas "laid".  
    Mais on mérite et on pourrait faire bien mieux. 

    Cela dit, c'est de la densité intéressante pour un secteur bien situé. Mais je n'habiterais jamais dans ce genre de projet.

     

    Ce genre de projet est à l'habitation ce que la fosse commune est au cimetière. 

    Plus je lisais ton commentaire plus j'avais l'impression de lire un poème. Un poème du XIXe siècle, pour être plus précis. Ce beau siècle quand le concept de résilience n'existait pas encore, alors que la mélancolie était l'état ou le sentiment le plus élevé et le plus noble qu'on pouvait atteindre et vivre... Au fait, ça va ? 😊

  18. Même à NY ils réalisent de plus en plus que la serveuse du bar hyper chic pour l'élite et le fameux boulanger qui prépare le meilleur pain au monde pour les milliardaires du coin, doivent également se loger ! Quelle révélation ! Blague à part, j'espère que ça ne vous étonne pas... (Autrement dans l'article, il parle de hauteur excessive (et oui la Bombardier en moi se manifeste encore. - Tais-toi, sors de moi !)... donc une hauteur impossible à réaliser, à moins que 62 étages soit trop haut pour Mtl ? Même à Dubaï on ne peut parler que de hauteur extrême... (au plan technique et monétaire, dois-je préciser... pour l'éthique et la morale, c'est une autre histoire)

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