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Un bain public dans le Vieux-Port


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http://journalmetro.com/actualites/montreal/814125/premiere-etape-vers-un-bain-dans-le-vieux-port/

 

 

27/07/2015 Mise à jour : 27 juillet 2015 | 7:58

 

Première étape vers un bain dans le Vieux-Port

Par Laurence Houde-Roy Métro

Collaboration spéciale Bains portuaires, Islands Brygge, au Danemark

 

Une première étape s’amorcera bientôt en vue de la création du bain portuaire dans le Vieux-Port promis pour 2017 par la Ville : le comité exécutif se penchera mercredi sur l’octroi du contrat pour la réalisation de l’étude de faisabilité.

 

Les fonctionnaires de la Ville de Montréal recommandent au comité exécutif d’accorder un contrat de 74 222$ à l’entreprise Zins Beauchesne et associés pour la réalisation de cette étude portant sur le concept et les aspects techniques, a appris Métro. Les élus devront autoriser cette recommandation au cours de leur réunion hebdomadaire cette semaine.

 

Zins Beauchesne et associés est une entreprise de marketing et de développement qui «offre aux décideurs [privés et publics] l’assistance professionnelle dont ils ont besoin pour prendre des décisions éclairées quant à leurs stratégies et programmes», indique-t-elle sur son site internet.

 

La Ville de Montréal a promis en mars dernier, dans son Plan de l’eau, l’installation d’ici 2017 d’un bain portuaire dans le Vieux-Port, un espace sécurisé dans le fleuve Saint-Laurent où les gens pourraient se baigner. Celui-ci serait construit près de la Tour de l’Horloge juste à temps pour le 375e anniversaire de Montréal. La responsable de l’eau, Chantal Rouleau, avait même affirmé que les Montréalais pourraient se rendre dans le Vieux-Port pour se rafraîchir pendant la saison chaude en «2016 si possible».

 

La Ville n’a pas donné d’estimation des coûts pour ce projet qui a déjà été réalisé dans des villes telles que Copenhague, Berlin et Londres.

 

L’idée d’un bain portuaire a été lancée l’été dernier par Projet Montréal. Le parti politique chiffrait alors le projet à environ 1M$ et estimait qu’il pouvait être réalisé en un an.

 

Sylvain Ouellet, élu de Projet Montréal, a expliqué en mars à Métro que le bain portuaire pourrait consister à mettre en place des quais flottants au centre desquels un filet serait installé pour empêcher les baigneurs d’être emportés vers les profondeurs du fleuve, comme à Copenhague. Sinon, comme ce que la Ville de New York prévoit faire, le bain portuaire pourrait prendre la forme d’une piscine installée sur le fleuve où l’eau serait filtrée.

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  • 2 semaines plus tard...
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Je commence à penser qu'ils vont opter pour une piscine flottante comme à New York. Quoique moins interessant comme concept que des bains portuaires, il ny aura jamais de problème avec la qualité d'eau..

 

sent via Tapatalk

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  • 11 mois plus tard...

http://journalmetro.com/actualites/montreal/995754/bain-portuaire-montreal-veut-analyser-leau-davantage/

 

19/07/2016 Mise à jour : 19 juillet 2016 | 22:09

Bain portuaire: Montréal veut faire analyser l’eau davantage

Par Marie-Eve Shaffer Métro

Chantal Levesque/Métro Le bain portuaire doit être installé près du quai de l'horloge.

 

La Ville de Montréal veut en savoir plus sur les propriétés de l’eau du fleuve Saint-Laurent qui coule près du quai de l’Horloge, où un bain portuaire doit être installé l’an prochain.

 

Un appel d’offres a été lancé cette semaine afin de trouver une firme spécialisée qui sera en mesure d’«analyser les paramètres hydrologiques pour l’aménagement d’un bain portuaire». Celui-ci consiste à disposer des quais flottants au centre desquels il pourrait y avoir un filet pour empêcher les baigneurs de se rendre dans les profondeurs du fleuve.

 

La qualité de l’eau sera analysée par la firme qui obtiendra le contrat de la Ville de Montréal, de même que les enjeux liés à la sécurité et au confort des baigneurs, notamment en ce qui trait à la profondeur de l’eau, son débit et sa turbidité. L’impact de l’installation du bain portuaire sur la navigation commerciale devra aussi être considéré.

 

«[L’entreprise choisie] aura à signaler tout risque hydrologique sur l’équipement visé, susceptible d’occasionner des dommages aux personnes et aux biens dans des situations d’occurrence aléatoire, est-il écrit dans les documents de la Ville, faisant référence à une surélévation de l’eau entrainée par des forts vents ou des vagues.

 

Une évaluation des coûts pour le maintien du bain flottant sur le fleuve pendant l’hiver devra aussi être faite.

 

«Les résultats de l’analyse hydrologique (…) détermineront la faisabilité définitive du projet», est-il mentionné dans les documents de la Ville.

 

C’est l’entreprise Zins Beauchesne et associés qui, dans l’étude de faisabilité qu’elle a initiée l’an dernier, a recommandé qu’une analyse hydrologique soit effectuée. Métro a demandé d’en savoir plus, mais au moment de mettre en ligne, la Ville de Montréal n’avait pas été en mesure de répondre à nos questions.

 

La Société du Vieux-Port de Montréal et l’Administration portuaire de Montréal, qui est responsable des eaux où est projetée l’installation du bain portuaire, sont aussi consultées pour ce projet.

 

Dans le cadre de son Plan de l’eau, dévoilé en mars 2015, l’administration du maire Coderre a prévu d’installer un bain portuaire, au bout du quai de l’Horloge dans le Vieux-Port de Montréal, comme l’ont déjà les villes de Londres, Berlin et Copenhague. Elle répondait ainsi positivement à une motion que Projet Montréal avait déposée l’été précédent. La formation politique avait alors estimé qu’un tel projet coûterait environ 1M$ et qu’il pouvait être réalisé en l’espace d’un an.

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J'aime bien l'idée d'un bain portuaire qui serait à mon avis un élément plus authentique du fleuve, qu'une piscine où tout est artificialisé. J'ai vu les installations de Copenhague et elles sont tout simplement magnifiques. En plus l'idée de se baigner dans les eaux du St-Laurent serait une preuve du soin que nous prenons de la qualité de son eau, tout en affichant une image positive de Montréal sur le plan écologique et environnemental.

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  • 2 mois plus tard...

Tant qu'à se lancer de gauche à droite, pis annoncer n'importe quoi n'importe comment sans même savoir de quoi elle parle, pour être sérieuse dans ses démarches la Ville devrait se concentrer sur quelques projets phares qui seront bien faits et qui seront fait dans des délais plus raisonnables.

Bergeron me deçoit en maudit par moment.

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Un autre projet qui qui risque d'attendre l'après 2017. Mais ici il faut comprendre que la Ville, en dépit des meilleures intentions, ne peut pas tout prévoir. Le bain public est sur le territoire du Port et de ce fait est soumis à son approbation. Les règles du fédéral s'appliquent qu'on le veuille ou pas, et il faut s'incliner quand des restrictions sont exposées. On doit comprendre aussi que l'agenda de la Ville n'est pas nécessairement l'agenda de l'autre juridiction à laquelle il faut se conformer. Ici le Port fait ressortir un risque pour la sécurité dont on devra tenir compte dans les plans et qui augmentera probablement la facture finale.

 

Ce que je retiens de tout cela, c'est la complexité des règles qui s'additionnent avec la participation d'autres gouvernements ou organismes. Non pas que ce soit différent en d'autres temps. Mais ici à cause de l'échéancier serré, le défi et les contraintes n'en sont que plus apparents.

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  • 2 années plus tard...

https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/1165215/bain-portuaire-montreal-plus-tard

Le projet de baignade dans le Vieux-Port de Montréal encore retardé

Publié aujourd'hui à 15 h 40

Radio-Canada

Ce n'est pas cet été que les visiteurs du Vieux-Port de Montréal auront accès à un endroit pour se baigner dans l'eau du Saint-Laurent, dont la qualité est en général bonne. Des études montrent que le projet de bain portuaire étudié depuis quatre ans est trop complexe et trop coûteux.

L’administration de Denis Coderre avait prévu aménager en 2017 un bassin de baignade à côté de la plage du quai de l’Horloge, un projet dont Valérie Plante avait fait une promesse électorale à réaliser dans un premier mandat.

bain-portuaire-projet.jpg
Un des concepts étudiés pour le bain portuaire Photo : Radio-Canada

Selon des études consultées par Radio-Canada, deux concepts ont été analysés dans le but de construire des bassins permanents qui auraient eu un fond solide comme celui d’une piscine. Des espaces de baignade pour les adultes et pour les enfants étaient prévus.

Or, on constate maintenant que ces concepts étaient trop complexes et trop coûteux, entre autres en raison des forts courants et de la présence de glace en hiver qui aurait pu abîmer la structure. Une étude s’est même penchée sur la faisabilité d'un mur de protection, qui aurait d'ailleurs partiellement caché la vue.

Si bien que l’administration Plante envisage maintenant une installation plus simple qui pourrait être retirée en hiver.

« Est-ce que l'ancienne administration, en regardant plus facilement dès le départ d'autres options, aurait pu accélérer les démarches?, demande Sylvain Ouellet, responsable des infrastructures au comité exécutif de la Ville de Montréal. Probablement, mais ça n'a pas été fait. »

Il faudra donc reprendre une série d’études pour un nouveau concept, ce qui pourrait prendre plusieurs années.

« Il n'y a pas d'échéancier de prévu encore, déplore Alain Saladzius, président du conseil d’administration de la fondation Rivières et membre du Comité citoyen Montréal Baignade. C'est vraiment très décevant. […] Je pense qu'on se complique la vie. Il est possible de se baigner au quai Jacques-Cartier, où il y a beaucoup moins de courant avec une surveillance de la qualité de l'eau en continu. »

Chaque année, des dizaines de personnes se baignent d’ailleurs au quai Jacques-Cartier à l’occasion du Grand Splash, qui s’y déroule chaque année depuis 2003 à l’invitation du Comité citoyen Montréal Baignade.

À Verdun, mais pas à Pointe-aux-Trembles

plage-verdun-2.jpg
Les baigneurs devraient avoir accès à la plage de Verdun dès cet été. Photo : Radio-Canada

Pour sa part, le projet de plage de l’est promis pour 2016 à Pointe-aux-Trembles ne verra pas le jour avant 2022.

Québec vient d'annoncer un investissement de 5 millions de dollars pour y nettoyer le fond de l'eau qui était plus contaminé que ce qu'on croyait.

Mais la nouvelle plage de Verdun, elle, ouvrira finalement cet été avec un an de retard.

Les projets de bain portuaire et de plages à Verdun et à Pointe-aux-Trembles faisaient tous partie du Plan de l’eau présenté par l’administration de Denis Coderre en mars 2015.

D’après un reportage de Jean-Sébastien Cloutier

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  • 2 mois plus tard...

11:47 30 juillet 2019Par : Zacharie GoudreaultMétro

Grand Splash: le projet de bain portuaire reçoit l’appui de Québec

https://journalmetro.com/actualites/montreal/2354736/grand-splash-le-projet-de-bain-portuaire-recoit-lappui-de-quebec/

Des dizaines de citoyens et des élus sautent à l'eau à l'occasion du 15e Grand Splash, afin de revendiquer un meilleur accès public à l’eau dans le grand Montréal.

Alors qu’une centaine de personnes ont sauté mardi dans le fleuve Saint-Laurent dans le cadre de la 15e édition du Grand Splash, la Ville de Montréal garde le cap sur son projet de bain portuaire, qui est accueilli favorablement par Québec.

L’événement annuel, qui vise à revendiquer un meilleur accès public aux berges de l’île de Montréal, a attiré tant de citoyens mardi matin que la soixantaine de gilets de sauvetage qui avaient été prévus par les organisateurs n’ont pu répondre à la demande.

«C’est très significatif du besoin des Montréalais d’avoir accès au fleuve, à un fleuve de qualité, et il faut répondre à ce besoin-là», a déclaré la ministre déléguée aux Transports et responsable de la région métropolitaine, Chantal Rouleau. La ministre a elle-même sauté mardi dans l’eau du fleuve, tout comme plusieurs élus municipaux.

Bain portuaire

Bien qu’elle soit tolérée pendant le Grand Splash, la baignade est actuellement interdite sur le site du Vieux-Port de Montréal pour des raisons de sécurité. La Ville de Montréal poursuit toutefois ses études concernant la création d’un bain portuaire près de la plage du quai de l’Horloge. Un projet que l’ancienne administration municipale avait prévu réaliser à temps pour le 375e anniversaire de Montréal en 2017.

«Le bain portuaire, c’est quelque chose auquel je crois énormément. […] Il y aura sans doute des nouvelles à venir parce que c’est un projet que je continue à suivre de très près», a ajouté l’ancienne responsable de l’eau sous l’administration de Denis Coderre. Cette dernière n’a d’ailleurs pas fermé la porte à une éventuelle contribution financière de Québec à ce projet. 

Le responsable de l’eau au sein de l’administration de Valérie Plante, Sylvain Ouellet, a pour sa part souligné que la Ville devra d’abord «encore avoir des négociations avec les autorités portuaires» avant que ce projet complexe aille de l’avant.

Contacté par Métro, la Société du Vieux-Port de Montréal a toutefois confirmé avoir «déjà donné [son] accord» à la Ville quant à l’utilisation du site pour l’aménagement d’un bassin flottant.

«On est très enthousiastes à l’idée d’accueillir un bain portuaire au Vieux-Port de Montréal et on continue notre collaboration avec la Ville de Montréal pour que ça puisse devenir une réalité», a indiqué le porte-parole de l’entité fédérale, Jean-Philippe Rochette. 

Les forts courants dans ce secteur de même que les enjeux concernant l’entretien hivernal d’un éventuel bain portuaire font partie des facteurs qui rendent ce projet complexe, et donc coûteux pour la Ville.

«Il faut accélérer le processus. Ça n’a pas de bon sens que ça prenne autant de temps.» -Alain Saladzius, président de la Fondation Rivières 

Qualité de l’eau

Des tests menés dans les derniers jours et mardi matin en prévision de l’événement font état d’une qualité de l’eau jugée «excellente», indique un communiqué de presse publié mardi par la Fondation Rivières, l’organisme qui chapeaute le Grand Splash.

«Ce n’est pas parce qu’il y a certaines journées dans l’année où la qualité de l’eau est mauvaise qu’il faudrait se priver d’aller dans l’eau quand la qualité de l’eau est bonne», a souligné M. Ouellet. 

L’élu a toutefois noté que l’aménagement des berges est souvent «extrêmement complexe».  Cela a notamment été la cas à la plage de Verdun, qui a ouvert officiellement le mois dernier, soit deux ans plus tard que prévu.

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