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Messages posté(e)s par MtlMan

  1. Il y a 10 heures, p_xavier a dit :

    Oui mais sans cas. Je blâme les politiciens mous et émotifs pour tout mort de ce virus au Canada.

    Le Canada est en bien meilleure posture que les États-Unis en ce moment. Trump a hyper mal réagi au début des cas en disant que ça allait disparaître dans 2 semaines. La situation est en train de déraper là-bas. Pas encore au Canada. Et tu blâmes notre gouvernement et te laisse aveugler par la fausse "force" du gros connard orange? D'ailleurs, une telle mesure en ce moment est trop peu trop tard pour eux.

    Come on.

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  2. Il y a 3 heures, Gio22 a dit :

    It breaks my heart to say this but there goes the return of our Expos😭😭😭

    Faut pas pas exagérer. La même chose a été dite quand le promoteur de Royal Mount a annoncé qu'il revoyait son plan.

    C'est en construction maintenant. Il ne sert à rien de sauter à de telles conclusion bien trop hâtives.

  3. Citation

    on fera tout pour que l’automobiliste ne se sente pas le bienvenu, assure Marie-Geneviève B-Pellan. On veut qu’il ait un doute et se demande “est-ce que je peux y aller ?”

    Tsé, tant qu'à être entre deux chaises, choisissez l'un ou l'autre: que les autos y aillent, ou pas pantoute. Me semble.

    Pour le reste, il y a des choses intéressantes. Des grandes surfaces, mais en sous-sol, avec entrée visible de la rue. Pourquoi on n'a pas pensé à ça avant? Très bon.

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  4. Il y a 4 heures, acpnc a dit :

    GNL Québec en péril

    PHOTO YVES TREMBLAY, ARCHIVES LES YEUX DU CIEL

    (Québec) Déjà le ralentissement économique international n’augurait rien de bon. Mais les frictions avec les autochtones d’un bout à l’autre du pays ont scellé le sort du projet : Énergie Saguenay a perdu l’investisseur de premier ordre dont l’appui était déterminant pour aller de l’avant avec le projet de GNL Québec, désormais sérieusement compromis.

    Publié le 05 mars 2020 à 5h00

    https://www.lapresse.ca/affaires/202003/04/01-5263360-gnl-quebec-en-peril.php

    Denis Lessard
    La Presse

    Selon les informations obtenues par La Presse, des éléments qui circulent en coulisse au gouvernement fédéral de même qu’à Québec, la direction du projet québécois a, la semaine dernière, indiqué aux deux ordres de gouvernement que l’important investisseur qui devait permettre la concrétisation du projet venait de se désister.

    La nouvelle n’avait jamais été révélée, mais depuis des mois, Énergie Saguenay pensait pouvoir miser sur l’appui du gigantesque fonds Berkshire Hathaway, dont le patron, Warren Buffett, a accumulé une fortune de 81 milliards. La confirmation du partenariat devait être rendue publique fin février, mais, la semaine dernière, Jim F. Illich, président du conseil d’administration d’Énergie Saguenay, passait un coup de fil à Ottawa et à Québec pour les prévenir que leur investisseur s’était désisté.

    « On ne peut confirmer l’identité de ce groupe, mais il est vrai qu’un investisseur éventuel important s’est retiré à la dernière minute », a indiqué mercredi Stéphanie Fortin, directrice des communications de GNL Québec. Cet investisseur a expliqué son retrait par « les blocus autochtones, le contexte politique général au Canada ».

    « Pas compromis pour l’instant »

    Le projet « n’est pas compromis pour l’instant », a-t-elle insisté. « Depuis le début, il est prévu que les décisions finales, d’aller ou non de l’avant, seraient prises en 2021 », a-t-elle précisé.

    Outre les cabinets de Justin Trudeau et de François Legault, les ministères responsables de l’énergie et des ressources naturelles ont aussi été informés, de même que le cabinet de Jason Kenney, premier ministre de l’Alberta. La nouvelle du revirement de situation a été transmise aux gouvernements canadien, québécois et albertain, confirme Mme Fortin.

    Par ailleurs, des rencontres prévues au plan politique avec les représentants de Berkshire ont été annulées, sans autre explication du groupe américain, semble-t-il. Le fonds américain avait déjà réalisé sa « revue diligente » du projet. Ce retrait du plus important bailleur de fonds rendra extrêmement difficile une relance. Tout investisseur studieux verra comme un verdict très lourd le retrait du fonds de M. Buffett, expliquent des sources proches du dossier.

    Warren Buffett, patron du fonds Berkshire Hathaway

    Depuis un bon moment, les promoteurs n’avaient pas fait mystère du fait qu’ils comptaient sur un investisseur « aux poches profondes » pour mener à bien le projet. Cette participation était cruciale : le fonds Berkshire devait contribuer quelque 4 milliards au projet d’usine de liquéfaction de gaz naturel à partir de l’énergie électrique. L’usine nécessitait une mise de fonds de 9,5 milliards CAN ; le gazoduc de 780 kilomètres qui devait acheminer le gaz depuis l’Ontario jusqu’au Saguenay représentait un investissement de 4,5 milliards CAN.

    Le projet GNL Québec cheminait depuis six ans, mais dans la région, des groupes d’environnementalistes de même que des autochtones avaient annoncé leur désaccord. À Québec, on décode que le fonds américain est extrêmement préoccupé par son image de marque et ne tient pas à se trouver plongé au cœur d’un affrontement entre Blancs et autochtones.

    Le désistement du financier est survenu au moment où, partout au pays, des nations autochtones bloquaient des voies ferrées par solidarité avec la nation wet’suwet’en.

    GNL avait de son côté engagé une centaine de millions dans la préparation du projet. Une grande partie de la centaine de travailleurs affectés au projet d’usine devront éventuellement être licenciés. Aucun congédiement n’est prévu pour l’instant, précise toutefois Mme Fortin. Pour « le moyen et long terme », il est trop tôt pour s’avancer, ajoute-t-elle.

    La liste s’allonge

    Avec l’incertitude qui s’abat sur GNL, la série noire de ces mégaprojets énergétiques s’allonge. Il y a quelques jours, les promoteurs tiraient un trait sur le projet d’exploitation de sables bitumineux Teck Frontier (20 milliards), Coastal GasLink (6 milliards) est en panne à cause des blocus autochtones, et les coûts de Trans Mountain, acheté par Ottawa, ont bondi de 7 à 13 milliards.

    Devant la décision de Berkshire, les déclarations récentes de François Legault et du ministre québécois des Ressources naturelles, Jonatan Julien, deviennent subitement plus limpides. Tous deux savaient que la participation de Berkshire était compromise en raison des blocus autochtones. 

    « GNL Québec a besoin d’investissements majeurs pour faire atterrir ce projet. La situation qu’on vit actuellement, les conseils d’administration des firmes d’investissement doivent regarder ça attentivement », avait prévenu M. Julien la semaine dernière, au plus fort des blocus autochtones. La veille, M. Legault avait laissé tomber que, pour GNL Québec, « pour l’instant le financement n’[était] pas complètement en place ».

    Cette nouvelle est tombée au moment où le Bureau d’audiences publiques sur l’environnement (BAPE) se préparait à entreprendre des audiences publiques sur le projet. Une rencontre préparatoire a eu lieu mercredi, en vue d’une première audience le 16 mars.

    GNL Québec en bref

    Un projet de 14 milliards

    Annoncé en novembre 2018, le projet de GNL Québec vise à transporter le gaz naturel de l’ouest du pays jusqu’à Saguenay afin de le transformer pour ensuite le vendre en Europe et en Asie. Une usine de liquéfaction doit être construite à Saguenay, pour faire passer le gaz de l’état gazeux à l’état liquide, de sorte qu’il se transporte plus facilement. Le projet est estimé à 14 milliards, y compris les 4,5 milliards nécessaires pour le gazoduc. Les premières livraisons sont prévues pour 2025.

    Un gazoduc de 780 km

    Pour acheminer le gaz de l’Ouest à l’usine de transformation, le projet prévoit la construction d’un gazoduc de 780 kilomètres. La conduite doit relier Saguenay au nord-est de l’Ontario pour se connecter au réseau de transport de TC Énergie. Ce réseau se rend déjà jusqu’en Alberta. Le nouveau gazoduc vers Saguenay nécessite une emprise de 30 mètres.

    Des investisseurs étrangers

    Les principaux investisseurs derrière GNL sont des Américains. Le milliardaire Jim Breyer avait été l’un des premiers à investir dans Facebook. Jim Illich, quant à lui, est un ancien dirigeant de Bechtel qui a lancé sa firme d’investissement. Les Américains ont choisi Saguenay pour plusieurs raisons. Le climat permettrait d’économiser de l’argent pour refroidir le gaz. Le port en eau profonde du Saguenay est aussi un avantage.

    Béluga et GES

    Le projet de GNL Québec a suscité l’opposition de plusieurs groupes écologistes comme Greenpeace ou Équiterre. C’est que le gaz naturel est une énergie fossile. La transformation et l’exportation de 11 millions de tonnes de gaz naturel liquéfié chaque année augmenteraient les émissions annuelles de gaz à effet de serre (GES). Mais de combien de tonnes ? L’entreprise laisse entendre que 40 % de sa production ne remplacerait pas des énergies polluantes en Asie et en Europe. Bref, ce gaz aurait été un ajout aux GES mondiaux. Les opposants s’inquiètent aussi de la hausse du trafic maritime sur le Saguenay, où vit le béluga. L’entreprise prévoit le passage de 320 navires méthaniers chaque année. Les audiences du Bureau d’audiences publiques sur l’environnement (BAPE) doivent commencer à Saguenay le 16 mars.

    — Gabriel Béland, La Presse

    J'ai l'impression qu'on vient de franchir le tipping point. Les grands conglomérats ou investisseurs se détachent des énergies fossiles. Je pense aussi que ça va s'accélérer. On est rendu là.

    Jason Kenney aura beau accuser tout le monde et sa soeur d'être des méchants, faire des crises de bacon à la télé ou déchirer sa chemise dans la rue, time's up for this kind of economy (stupid!).

    Il devra (lui et les autres Conservateurs) dépenser son énergie de façon plus productive et plus rentable : trouver des alternatives et diversifier son économie.

    That's it.

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  5. il y a 9 minutes, urbino a dit :

    J'en ai nommé une dizaine qui ont gagné.

    Franchement.

    Donc malgré ce que j'ai amené comme info, vous dites encore que la CAQ a peur de la diversité?

    Que si on ne s'apelle pas Tremblay, on ne peut y faire sa place?

    C'est bien cela votre opinion?

     

    Je dis que les politiques de la CAQ parlent bcp plus que qq noms qui ne sont pas au conseil des ministres, et d'autres qui ont des noms "étrangers", mais qui sont de souche ancienne, ce qui ne les qualifie pas d'immigrants. Au Saguenay, il y a plein de Munger. Un nom anglo. Mais ils sont depuis longtemps presque tous purement francos. Ils ne se qualifient pas comme de la "diversité" dans un parti! Misère.....

    Ou bien, soutenez-vous que pcq qq a un nom qui n'est pas Tremblay, il est "immigrant"? Assez étroit comme vue.

    Si on est de souche immigrante récente, non, on n'a pas très envie de militer dans ce parti. Il ne donne pas le goût d'y aller, avec les cafouillages sur tous les sujets qui traitent d'immigration. C'est exactement ce que je dis.

    Franchement, sur quelle planète faut-il vivre pour ne pas se rendre compte de cette caractéristique évidente de ce parti au pouvoir?

    Peut-être changera-t-il. Je l'espère. mais en ce moment, c'est indéniablement un parti "not-immigration-full-friendly", mettons.

    Bon, ça fera les pertes de temps de ce genre.

    Pas plus aveugle que celui qui ne veut pas voir, dit-on.

     

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  6. Arrêtons cette hypocrisie : la CAQ est un parti "frileux" envers l'immigration. Pas raciste, pas xénophobe par principe, mais frileux, comme sa clientèle. Ça lui fait prendre des décisions sans raport avec le bon sens économique de notre Québec contemporain. C'est vrai que c'est un fil sur l'économie. Mais le sujet reste quand même connecté.

    Cela dit, il est aussi vrai, qu'on pourrait passer à autre chose pcq on ne s'entendra pas, c'est évident.

    Et il est vrai que l'article récent plus haut cité est intéressant.

     

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  7. il y a 9 minutes, urbino a dit :

    Ça change rien à mon point

    Oui ça change énormément de choses! ce sont des candidats qui n'ont pratiquement aucune chance de gagner. C'est le même phénomène qu'avec les femmes pendant longtemps. Quand on veut vraiment avoior de la diversité dans son parti ou son conseil des ministres, on place des candidats issus de cette diversité dans un compté qu'on pense pouvoir remporter. 

    Quand le PQ a un candidat anglophone dans Westmount, a-t-il vraiment l'intention de l'avoir comme ministre? Voyons-donc, il sait bien que ce gars n'a aucune chance d'être élu sous cette banière. Il peut bien mettre qui il veut. Le gars n'est même pas obligé d,avoir de réelles assises avec le parti. On lui donne  un peu d'argent, pis y met sa face sur des pancartes.

    Au final, le PQ demeure un parti qui n'attire pas les anglophones et ne s'adresse pas vraiment à eux, malgré la présence de ce type sur des "poteaux".

    Les noms que tu citaient étaient dans des quartiers très multiethnique de Montréal, pour la plupart. La CAQ n'avait pas de jeu là-bas. Autrement dit, ça ne compte pas. 

    Come on, un peu de sérieux.

     

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  8. il y a 54 minutes, urbino a dit :

    Également, parmi les candidats défaits de la CAQ, on retrouve les noms de famille suivants;

    Abou-Khalil, Cohn, Dudas, Hilchey, Petrari, Kamanyana, Azéroual, Baaklini, Baronian, Bacchi, Klisko, Mitton, Quenum, Barone, Reeves, Rapoport et Solomykina.

    Ça fait très pur Poitou-Charente, en effet (comme Bock, peut-être......).

    On appelle ça des poteaux en général.

    Une seule chose est certaine : Ousb a raison : la CAQ et ses électeurs carburent à l'identiraire québécois pure laine blanc francophone. ce ne sont pas q1 ou 2 exceptions dans un conseil des ministres qui changent cela.

    Baisser les taux d'immigration dans une période de pénurie de main-d,oeuvre ne fait aucun sens, sinon pcq on se méfie des immigrants, et on se méfie de leur contribution.

    Ce n'est pas pcq qu'on dit que les régions hors Mtl sont frileuses devant l'immigration nombreuse (un fait avéré dans les résultats d'élection) qu'on dit que les Qc sont des extrémistes racistes.

    Il faut arrêter de brailler devant ces constats tout à fait normaux et parlants. Ça ressemble aux crises de bacon du JdeM chaque fois qu'on parle de racisme systémique. Ça existe point. Réglons ce problème au lieu de aire semblant que ça n,existe pas, ce qui va l'aggraver.

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  9. il y a 35 minutes, Decel a dit :

    Pour avoir quelque chose de plus évolué il faudrait une clientèle plus exigeante. Or tout se vend comme des petits pains chauds présentement.

    On est ce que l'on consomme.

    C'est malheureusement vrai. Nos architectes sont capables et certainement willing de faire plus audacieux. C'est juste que leurs clients leur demande du banal. Moins cher possible.

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  10. Il y a 21 heures, Normand Hamel a dit :

    Je suis tout à fait d'accord avec toi sur ce point. Montréal c'est plus carré habituellement. 

    Justement! Nous avons besoin de changement!!!!! Misère, on est condamnés à rester dans du carré? 

    Il y a 4 heures, Marc90 a dit :

    Je suis d'accord sur le fait que la tour doit avoir du caractère, et pour moi, une boîte de mur-rideau en verre est l'absence de caractère et d'ambition architecturale, si le volume n'est pas extrêmement audacieux (comme aux Hudson Yards par exemple). La plupart des projets couverts de mur entièrement vitrés à Montréal sont en fait le reflet d'une paresse architecturale plutôt que d'une recherche en matière de design contemporain, puisque nous n'avons fait à peu près rien d'autre que des boîtes rectangulaires banales que nous avons recouvert "à grandeur", puisque c'est ce qui est facile et rapide. "Ça va faire propre". C'est un argument relativement analogue avec la manie qu'ont certaines personnes d'asphalter tout ce qu'ils peuvent sur leur terrain. 

    Faire un bâtiment de grande hauteur intéressant, de près ou de loin, demande davantage qu'un traitement matériel uniforme. Là-dessus, je trouve que Montréal a produit ses plus belles oeuvres dans le courant du postmodernisme et qu'en matière de contemporain, nous sommes généralement des cancres. Nous avons perdus la capacité de conjuguer transparence et opacité d'une manière où le bâtiment a une texture tout en ayant des fenêtres très généreuses. Anyway, le mur-rideau de verre est le revêtement le moins responsable environnementalement parlant. 

    On ne refera certainement pas du faux vieux et du néo-gothique du début du siècle dernier, mais on peut clairement faire des projets contemporains texturés et avec des formes qui sortent de la boîte - littéralement. Et où les surfaces opaques sont travaillées autant que les surfaces transparentes. 


    EDIT :

    Nous aurons des boîtes banales tant et aussi longtemps que nous ne relèverons pas la barre en matière d'exigence réglementaire qualitative auprès des promoteurs. Leur but unique est de faire du profit : réduire la taille des étages supérieurs (pour faire un courronnement effilé, pyramidal ou autre) est pour eux une absurdité économique, puisqu'il s'agit des pieds-carrés les plus chers et les plus prisés. Il n'y a que le résidentiel de luxe qui puisse s'offrir ça, en raison de la plus value des unités. Et encore...

    Eh ben là, on est 2000% en accord!

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