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MtlMan

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Messages posté(e)s par MtlMan

  1. Le 2021-04-27 à 18:45, acpnc a dit :

    Non pas de concours, un starchitecte ferait l'affaire, car on est en manque d'audace à Montréal.

    Ça peut aussi être des architectes d'ici. Il suffit de leur donner carte blanche. Le problème ici, c'est qu'on ne les laissent pas s'amuser et s'exprimer à leur plein potentiel. N'oublions pas que la qualité de l'architecture est toujours relative à la volonté d'investissement en ce sens par le promoteur.

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  2. Oui @neentrelesrapides et @NormandHamel, nous sommes en total accord. Et Rocco aussi.

    Nous avons fait les bons choix, ceux qui s'avèrent désormais DURABLES. La preuve est de plus en plus éclatante que les états qui ont fait le choix du gain rapide, ou succombé aux sirènes de l'illusion néo-libérale en paieront le prix. Malheureusement, les conséquences de cette absurdité économique se feront sentir encore longtemps un peu partout, et on ne sera pas épargnés. Mais nous sommes actuellement sur des bases solides pour bien avancer.

    Hallelujah!

     

  3. Il y a 22 heures, Né entre les rapides a dit :

     

    Je ne parle pas des fameux "effets de retombées" (trickle-down effects en anglais) popularisés au début des années 1980 mais sérieusement discrédités depuis (la théorie prétendait que des baisses d'impôts pour les riches allaient profiter aux pauvres).  

     

    Trickle-down economics, c'est l'une des plus grandes impostures (pour pas dire bullshit) intellectuelle du dernier siècle. Comme tant de politiques reagano-thatchériennes, des conneries qui ne servaient qu'à cacher ce qui ne pouvait pas se dire : mettre fin à l'état-providence et transformer celui-ci en un vaste terrain d'exploitation servant uniquement à profiter aux plus riches. Bref un retour au Scroogisme victorien camouflé dans une dialectique pseudo-académique et conceptuelle.

    On en paie aujourd'hui les nombreux prix : inégalités croissantes, perte de confiance dans nos systèmes démocratiques, avec le corollaire de la montée des populisme de droite et de gauche, et plus encore.

    Il est grand temps de mettre fin à cette fabulation indécente.

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  4. C'es n'importe quoi, en faisant fermer le fil, les promoteurs viennent de démontrer qu'on avait raison sur plusieurs points importants. C'est de la gestion d'amateurs de leur part. Laisser aller et on aurait continuer de prendre tout ça avec un grain de sel, comme la plupart des rumeurs.

    Geez.

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  5. Il y a 19 heures, yarabundi a dit :

    Bien oui !! C'est bien connu !! Ceux qui achètent des penthouses à $2M et ceux qui louent un 2 et demi sur Fullum (ton mépris est évoquant !!) sont les mêmes !! 

    Décidément, ton mépris pour les plus démunis de notre société et pour ceux et celles qui ont de l'empathies pour ces mêmes démunis est éloquent !! 

    Sans compter sur le phénomène des «rénovictions»  qui fait qu'il y a de moins en moins de logements abordables à Montréal. 

    La réalité aura toujours plus raison que n'importe quelle idéologie : des terrains qui se vendent des millions ne pourront jamais pouvoir être rentabilisés par des apparts à prix abordable si tu y construits des duplex ou des triplex. Peut-être dans un univers parallèle, mais pas dans le nôtre. À moins que tu souhaites étatiser les terrains disponibles et les offrir à bas prix. Dans ce cas, prépare-toi à payer pour ça d'une autre manière.

    Oui, les rénovictions sont un problème, mais imagine la tentation encore plus grande des proprios de faire comme ça à mesure que les terrains augmentent en valeur, mais qu'on ne compense pas par plus de densité pour amoindrir.

    Je suis le premier à vouloir (oui vouloir) qu'on utilise mes impôts pour financer plus de logements abordables. Mais il faut faire preuve de logique et foutre à la poubelle les idéologies quasi-religieuses à propos des hauteurs : elles feront partie de la solution (partie, pas LA seule solution, mais partie) dans un cocktail qui finira par ramener un peu d'équilibre et éviter les horreurs de Vancouver, qui ne vaut pas le tiers des prix demandés.

    Alors c'est le temps de te demander si tu veux t'acharner à maintenir artificiellement une position que tu semble presque lier à ton identité profonde, ou observer les faits et accepter les décisions à prendre qui ne sont finalement qu'accessoires en regard d'un ensemble bien plus vaste de problèmes : l'accessibilité pour tous et toutes dans une ville comme Mtl, et surtout éviter le piège qui a happé tant d'autres villes.

    Et que ceux qui ramènent le cas des achats par des ''étrangers'' arrêtent un peu : la majorité des ventes ne sont pas dans cette catégorie. Ceux qui achètent dans une tour haute n'achèteront pas un condo ''rénovicté'' à grand prix. Ça amoindris la pression sur ces immeubles de plus petite envergure dans les quartiers plus familiaux. 

    Bref, le cocktail devrait comprendre des mesures comme:

    - Taxes sur la spéculation (pratique répugnante en contexte de pénurie)

    - Resserrement des règles contre les proprios qui abusent (genre, imposent des renonciations de droits légaux, ce qui est louche, refusent inspection, etc.)

    - Jouer sur l'offre de logements (apparts ou condos) en l'augmentant, ce qui veut aussi dire :

    - densifier

    - donc augmenter les hauteurs, pcq à part construire à l'horizontale (et prendre des terres agricoles, ou des parcs), on ne peut que construire à la verticale et vers le haut, à moins de se transformer en troglodytes!

    - Augmenter substantiellement les budgets pour rénovations subventionnées et permettre à des gens à faible revenus de pouvoir en bénéficier.

    - Imposer du gain en capital pour les gens qui revendent à profit, genre en obligeant d'avoir habité un logement/maison pendant 5 ans pour éviter ce gain en capital en vendant sa maison

    - Etc. (les ajouts de valeureux membres de ce forum sont les bienvenus!! Peut-être dans une autre section cela dit....)

    Voilà. Tu ne pourras pas avoir le beurre et l'argent du beurre.

    Et tu dois te demander quel ta priorité prioritaire : limiter des hauteurs sans arrêt, ou assurer un avenir plus équitable en matière de logement dans cette ville?

    Moi, mon choix est fait. Et il n'implique pas ''les deux en même temps''! Non. Ça suffit la pensée magique.

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  6. Le 2021-04-29 à 22:35, MDCM a dit :

    Haaa si c’était si simple mon ami, est-ce qu’il y a une section politique sur ce site? C’est un peu agaçant quand politique se mêle aux plaisirs de lire sur les divers projects.

    Ceux qui ne pensent pas comme toi “comprennent pas”. Bon ok. Est ce qu’il y a un fil politique ailleurs que ici? Je participe moins maintenant mais j’adore suivre les projets et c’est désagréable de lire des trucs de partisanerie ici :(

    Y'a des gens qui ont des idéologies qui ne fittent pas dans la réalité. de là a dire qu'il y a qq chose qu'ils ne semblent pas comprendre, c'est juste de la logique. Pas désolé de brusquer leur sensibilité à fleur de pot.

  7. Le 2021-04-27 à 12:08, santana99 a dit :

    Toronto doit expier pour son arrogance.

    Le Quad sera le prix de son expiation !

    CF nous prépare quelque chose de BIG ! ;)

    Si tu as des sources fiables, bravo, mais peux-tu nous le spécifier?. Mais s'il s'agit de ''wishful thinking'', please, don't....

    La déception serait (encore) trop grande.

    🤨

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  8. Le 2021-04-26 à 07:13, acpnc a dit :

    PME Innovation

    Les livreurs du troisième type

    PHOTO MARTIN CHAMBERLAND, LA PRESSE

    Raphaël Gaudreault et Dardan Isufi ont lancé la coopérative de transport Eva.

    L’économie de partage est souvent loin de livrer équitablement les bénéfices qu’elle génère. Eva est une petite entreprise de transport qui fait le pari de donner une part plus juste à tous ses usagers.

    Publié le 26 avril 2021 à 7h00

    https://www.lapresse.ca/affaires/pme/2021-04-26/pme-innovation/les-livreurs-du-troisieme-type.php

    Hélène Baril
    La Presse

    L’idée

    C’est avec l’intention de concurrencer les taxis d’Uber, rien de moins, qu’est née l’idée de la coopérative de transport Eva. Raphaël Gaudreault, étudiant en génie logiciel à l’Université Laval, et Dardan Isufi, étudiant en sciences politiques à McGill, en avaient discuté lorsqu’ils s’étaient rencontrés au cours d’un stage en Saskatchewan.

    « C’était quand Uber négociait avec le gouvernement et menaçait de quitter le Québec. On se disait qu’il n’était pas normal de ne pas avoir notre propre technologie et de dépendre d’une entreprise étrangère », se souvient Dardan Isufi.

    La graine a germé, et les deux fondateurs se sont rencontrés quelques mois plus tard pour la concrétiser. Eva, l’application de transport, a vu le jour en 2019 et, contre toute attente, a pris son envol pendant la pandémie.

    Le produit

    PHOTO MARTIN CHAMBERLAND, LA PRESSE

    Raphaël Gaudreault et Dardan Isufi, fondateurs d’Eva, ont vu que leur technologie pouvait s’appliquer à tous les sites transactionnels. Les magasins et les commerces de toutes sortes, mais aussi les restaurants pouvaient s’en servir sans payer les frais des entreprises de livraison.

    Eva est une application de transport unique en son genre. « Nous avons développé un modèle coopératif, et nos activités sont basées sur la technologie de la chaîne de blocs », explique Dardan Isufi, cofondateur et responsable des opérations.

    Contrairement à Uber, qui ne laisse qu’une partie de ses profits à ses chauffeurs, les conducteurs d’Eva font partie de l’entreprise et peuvent s’attendre à toucher une part de ses bénéfices sous forme de ristournes. Eva prélève une commission de 15 % sur le prix de la course, ce qui est inférieur à celle d’Uber.

    Eva a connu le succès très rapidement. La petite entreprise s’est constitué un réseau de chauffeurs et d’usagers, et s’est notamment fait une place à l’aéroport de Montréal. Puis est arrivée la pandémie. Ç’a été un choc, puis de nouvelles avenues se sont ouvertes.

    Les fondateurs ont vu que leur technologie pouvait s’appliquer à tous les sites transactionnels. Les magasins et les commerces de toutes sortes, mais aussi les restaurants pouvaient s’en servir sans payer les frais souvent astronomiques des entreprises de livraison établies.

    D’une entreprise de transport de personnes, Eva est devenue avec la pandémie une entreprise de livraison de repas et de ce qui peut être acheté sur l’internet. « On a pris une place qui était inoccupée », résume le cofondateur.

    Magasins de vêtements, microbrasseries, boutiques spécialisées et, bien sûr, restaurants peuvent utiliser ses services sans avoir à payer de frais. En plus de concurrencer les taxis d’Uber, Eva est devenue un concurrent d’Uber Eats, de Skip, de DoorDash et d’autres services de livraison de repas. Un concurrent 100 % local.

    « Pour les commerçants, notre service est sans commission et sans limites de distance, précise Dardan. Pour le client, la livraison est instantanée, à un coût établi d’avance, et il peut suivre sa progression en temps réel. »

    Le prix de la livraison établi d’avance est composé d’un tarif de base de 5 $, plus 0,50 $ par kilomètre parcouru et 0,25 $ par minute de déplacement. Actuellement, les utilisateurs du service paient en moyenne 8 $ en frais de livraison.

    L’avenir

    Le réseau d’Eva se compose de 2000 membres conducteurs et de 50 000 personnes qui ont téléchargé l’application à Montréal, à Québec et à Saguenay. L’entreprise ambitionne de reproduire son modèle dans d’autres villes du Canada et des États-Unis. « Des alliances sont possibles avec des entreprises de taxi et des centres commerciaux. Le potentiel de croissance est énorme », assure Dardan Isufi.

    À court terme, Eva teste différentes formules qui lui permettraient de fidéliser encore davantage ses conducteurs, comme un salaire minimum garanti et un nombre d’heures minimal.

    L’entreprise peut compter sur des partenaires solides, comme Desjardins, pour financer son développement. Elle vise la rentabilité en 2021.

    > Consultez le site d’Eva

    Oui, une belle initiative, surtout pour concurrencer le modèle empoisonné style Uber, qui n'a de partage que celui qui envoie l'essentiel des profits à une nouvelle minorité de wizz profiteurs voraces de calofornicatie......

    🙂

  9. CF n'a pas fait d'immenses efforts pour de l'ambition avec ses versions de TDC. Même que, ils ont downgradé, à mon avis, la qualité architecturale de leur #2 et 3 en cours de route. En terme de qualité, je fait moins confiance à CF qu'à Brocco, par ex.

    C'est pas que je ne veux pas du exceptionnel là, mais je n'ai pas de très hautes attentes.

    J'espère être contredit!

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  10. Il y a 17 heures, urbino a dit :

    Je rappelle à votre attention un document intéressant pour voir quels étaient les constats et les stratégies à développer en 1986. C'est Mulroney qui avait commandé ce rapport. C'était un excellent rapport, à mon avis. Mieux savoir d'où  on vient pour savoir où on va.

    Rapport du Comite consultatif au Comite ministeriel sur le developpement de la region de Montreal. (il fut aussi appelé rapport Picard, du nom du président  (Laurent Picard) du comité.)

    Il doit être dur à trouver, mais j'ai trouvé ce lien sur Internet. Il dort sans doute sur quelque étagère dans une bibliothèque près de chez vous.

    https://www.worldcat.org/title/rapport-du-comite-consultatif-au-comite-ministeriel-sur-le-developpement-de-la-region-de-montreal/oclc/1132444243&referer=brief_results

     

     

     

    Oh, belle découverte! J'aimerais bien avoir un résumé des principaux points....

     

    Merci!

    Il y a 12 heures, Né entre les rapides a dit :

    Ce n'est certainement pas que j'ignore les principaux éléments de la transformation, que j'ai fréquemment évoqués au fil des ans sur ce forum.  Dans mon message précédent, je souhaitais simplement prendre le pouls des autres membres  -- ce qu'ils trouvaient le plus important.  Ce que tu as mentionné dans ton message est une excellente énumération des principaux facteurs.  Mieux encore, tu soulignes les faiblesses structurelles qui accompagnaient le boom des années 1960.   

    Il y a quand même quelque chose de remarquable dans l'identification présente des facteurs de succès.  Ce n'est pas tant que nous (je m'inclus) oublions certains autres facteurs positifs, mais le fait que des facteurs explicatifs négatifs qui occupaient une grande place dans l'opinion (y compris celle de plusieurs experts) ont simplement disparu (dans la réalité ou dans les perceptions).  Il s'agit de 1) la "menace séparatiste" et 2) du fardeau fiscal trop élevé par rapport à ses concurrents.

    Oui, je vois. Merci! 🙂

  11. Il y a 13 heures, Né entre les rapides a dit :

    Je veux bien être aussi positif et optimiste que toi, mais je ferai une remarque sur ton premier point et solliciterai des explications sur ton second:

    1) "Ça ne paraît quasiment pas" dans les statistiques portant sur le taux de chômage et les revenus des particuliers, comme presque partout ailleurs au Canada, grâce à des mesures de stimulation fiscales et monétaires d'une ampleur sans précédent; en d'autres mots, ça tient sur des béquilles temporaires.  Des secteurs comme la construction et les industries qui l'alimentent prospèrent, mais les services comme la restauration, l'hébergement et le divertissement fonctionnent péniblement et seulement à cause des subventions des gouvernements aux salariés (et moindrement aux entreprises).  Mais comme on s'attend à ce que l'activité rebondisse fortement une fois la pandémie vaincue, grâce à la demande refoulée (pent-up demand), je suis plutôt optimiste pour l'avenir, à condition que les établissements survivent entretemps (et qu'ils retrouvent les employés qui se sont dirigés ailleurs).

    2) Je suis parfaitement capable d'identifier des facteurs qui différencient l'économie montréalaise de notre temps de celle des années antérieures.  Mais j'aimerais bien connaître  tes vues: qu'est-ce qui est si différent, et qu'est-ce qui fait que Montréal serait si "hot hot hot" en comparaison de Toronto par exemple, au contraire du demi-siècle précédent.  

    Pas nécessaire si tu veux de t'attarder sur le premier point; c'est sur le second  que je souhaite découvrir des perspectives qui m'échappent peut-être.

    Mtl a été longtemps une ville d'économie déclinante telles que les manufactures, les usines, etc. Des types d'économies qui, comme on l'a vu, on finit par être délocalisées. De plus Mtl n'avait pas le niveau de diversification qu'elle a auj. Maintenant, son économie est fortement basée sur des secteurs d'avenir, la techno, fintech, biopharma, aéronautique (oui, il en reste), I.A, telecomms, startups, en plus d,avoir un bien plus grand bassin qu'avant de jeunes (4 universités, qui sont bcp plus grosses qu'elles ne l'étaient) étudiants. En plus le spectre politique a grandement changé et des investissements majeurs en infras sont en train de se réaliser. Oui, il y a eu un gros boum aussi dans les années 60-70, mais auj. c'est comme ça, en mieux, et à peu près sans les désavantages chroniques et structurels qui sapaient par en-dessous.

    Bref, je comprends mal que tu ne le voies pas, puisqu'on en parle régulièrement dans ce forum, mais c'est mon explication.

    PS: pour le 1er point, n'oublies pas que TOUTES les villes vivent la même situation. Mais elles ne manifestent pas toutes les chiffres malgré tout positifs que Mtl montre en ce moment!

    🙂

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  12. Il y a une époque où Mtl aurait pris 20 ans à se remettre d'une crise comme la pandémie. Maintenant, ça ne paraît quasiment pas.

    On est vraiment dans un autre paradigme. je ne peux qu'imaginer à quel point l'après COVID sera monumentalement expansif pour notre ville.

    Mtl is hot hot hot....!!

     

    🤗

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  13. Il y a 9 heures, Rocco a dit :

    Je viens de découvrir pourquoi Montréal a adopté la limite de 120m sur plusieurs emplacements. Car il s'agit de la hauteur de l'édifice de la SunLife (122m). Étant considéré comme une référence architecturale à Montréal depuis près de 100 ans, ce fut sûrement l'implication directe du choix qui s'est fait à 120m plutôt que 140 ou 150m.

    Une autre raison ésotérique pour expliquer une limite de hauteur. Misère, et dire qu'il y en a pour dire qu'on est une société ''laïque''. On invente du faux-sacré-vrai-dogmatique-super-absurde jusque dans des règlements municipaux d'urbanisme!

    Voici une suggestion: tu veux construire plus haut que la limite du MR? Vas-y! Une condition, cependant : CONCOURS D'ARCHITECTURE.

    Comme ça, pas de passe-droit pour des banalités. ET la ville y gagnera au change.

    Vlan.

  14. Le 2021-04-02 à 08:52, swansongtoo a dit :

    Autre chose je me demande est si Coderre parle de revoir les limites de hauteur est ce que cela a pour effet de voir des promoteurs prendre une approche "wait and see" avant de poursuivre des projets sur la table a dessins.  

    Me disait la même chose. C'est probable.

    Il y a 21 heures, yarabundi a dit :

    Juste pour ça, il n'aura pas mon vote.

    T'as bien raison. Quels autres sujets sont plus importants anyway dans une élection à la mairie? L'économie? L'environnement? La sécurité? Le développement et le rayonnement de la ville?

    C'est bien d'avoir des priorités prioritaires.😊

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  15. Il y a 21 heures, KOOL a dit :

    « Les bâtiments dont la démolition est proposée présentent de faibles valeurs historique et architecturale » 

    @ le CCU : tant qu'à payer un bon nombre d'individus pour trouver des problèmes à tout prix,  ça ne vous tenterait pas de déverser un petit excédent salarial pour vous offrir les services d'un linguiste compétent ?

     

    Théoriquement, ça PEUT être ok. Si ce qu'ils disent c'est qu'il y a une valeur historique et une valeur architecturale, mais 2 au total.

    Comme quand on dit : LES gouvernements provinciAL et fédérAL.

    😉

     

     

     

     

     

     

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