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Malek

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Messages posté(e)s par Malek

  1. What most people don't seem to understand is that the Grand Prix brings in 80 million$ in economic activity to the city. The Nascar Race brings in 10 million$...not the same thing.

     

    Also, what the Grand Prix brings is a large number of RICH people from across the world who are willing to pay 500$ a night for a htel room, whereas the hotels usually charge only 250 for the same room one week later.

     

    Le GP attire une clientèle très riche qui dépense beaucoup d'argent dans notre ville pendant 4-5 jours au mois de juin.

     

    À tous ceux qui croient qu'on peut remplacer le GP avec n'importe quel autre course (que ce soit le Nascar, Le Mans etc...) vous êtes tout simplement ignorants de l'ampleur du GP et de la quantité de cash que cet événement apporte à la ville!

     

    Quand on dit que c'est le plus gros événement au FVCKING CANADA, ce n'est pas rien!

     

     

    Je suis prêt à mettre ma main au feu que plusieurs de ces visiteurs internationaux sont aussi des clients de condos de luxes, leur enfants de clients pour nos universités, même des investisseurs dans notre économie durant le restant de l'année... ya beaucoup de choses qui se passe durant cette fin de semaine, et pas seulement la course de F1.

  2. Ce n'est rien de nouveau. Il n'y avait même pas de permis possible quand j'avais dans la vingtaine. Tous les Afterhours étaient illégaux et il y avait des descentes tout le temps -et les bars fermaient pour réouvrir ailleurs la semaine d'après. Bref, je ne vois pas ce qu'il y a de nouveau. Il n'y a pas de quoi fouetter un chat !!

     

    C'est fou, je veux pas te ridiculiser plus que ça, je t'invite à lire ce texte pour que tu comprennes bien que t'est dans le champ solide.

     

    Des after-hours à rendre insomniaque

     

    Des after-hours à rendre insomniaque Jeanne Corriveau

    Édition du vendredi 24 janvier 2003

    Mots clés : limitation

     

    Les élus de l'arrondissement Ville-Marie aimeraient bien trouver le moyen de limiter le nombre de ces discothèques

     

    Les discothèques sans alcool ouvertes toute la nuit, plus connues sous le nom d'after-hours, sont trop nombreuses au centre-ville, estiment les élus de l'arrondissement Ville-Marie, qui aimeraient bien en limiter la prolifération. Mais faute de réglementation municipale adéquate, il demeure impossible d'imposer un moratoire sur ce type d'établissement.

     

    Les quelques after-hours qui ont pignon sur rue au centre-ville sont des établissements tout à fait légaux, ouverts généralement la fin de semaine pour accueillir les oiseaux de nuit désireux de poursuivre la fête après la fermeture des bars, à 3h. «Ils n'ont pas besoin de permis d'alcool car ils n'en vendent pas. Ils ont plutôt un permis de salle de danse. Les gens dansent effectivement, mais on sait très bien qu'il y existe tout un phénomène de consommation de drogue», explique Robert Laramée, conseiller municipal de Saint-Jacques.

     

    Le district de M. Laramée compte cinq établissements de ce type, parmi lesquels figurent Le Stereo, sur la rue Sainte-Catherine, Le Sona, sur la rue de Bleury, et l'Aria, sur la rue Berri. Pour le conseiller municipal, cinq after-hours, c'est déjà trop. «Ils perturbent la qualité de vie des citoyens. Les principaux sujets de plaintes sont les activités autour de ces établissements: les autos qui démarrent, les regroupements de gens et les atteintes à la propriété privée. C'est un capharnaüm qui ne finit jamais», dit-il.

     

    Les after-hours doivent se soumettre à certains règlements municipaux, comme celui sur le bruit, mais c'est insuffisant, estime M. Laramée, d'autant plus que dans un jugement rendu l'été dernier, la Cour d'appel a déclaré caducs tous les règlements municipaux régissant la nuisance en milieu urbain.

     

    Droits acquis

     

    Les établissements existants ont déjà des droits acquis, convient M. Laramée, mais la loi 106, entrée en vigueur l'an dernier, permet aux arrondissements d'imposer des moratoires ou des mesures de contingentement. Le noeud du problème, c'est la classification dont les after-hours font l'objet pour l'obtention de permis. «Présentement, ça fait partie d'une large et vaste catégorie qui s'appelle "salle de danse". Avec des juristes, nous allons tenter de nous donner une définition pour classifier ce type de commerce avec des paramètres précis pour être en mesure, par la suite, d'imposer un moratoire», dit-il.

     

    Un cas problématique, survenu l'été dernier, a incité les élus à entreprendre une réflexion à ce sujet. Deux semaines après avoir délivré un permis de salle de danse et de salle de réception au propriétaire de la boutique Foam, rue Sainte-Catherine, les autorités municipales ont appris que celui-ci avait l'intention d'y accueillir des clients après la fermeture des bars. «Même si nous l'avions su avant, nous n'aurions pas pu l'en empêcher car nous n'avions pas de poignée réglementaire», déplore M. Laramée.

     

    «Nous n'ouvrons pas d'after-hour», se défend le propriétaire du commerce en question, Stéphane Tousignant. «Une de nos salles pourra être louée pour des événements de ce genre, une fois de temps en temps, mais notre vocation principale, ce sont les réceptions.»

     

    Pour l'instant, l'arrondissement de Ville-Marie serait le seul à devoir composer avec les after-hours à Montréal, mais il en existe plusieurs à Saint-Jérôme et à Laval. «Si nous sommes capables de définir de façon juridique une classification propre, nous pourrons peut-être leur réserver des zones spécifiques lors de la révision du plan d'urbanisme, et ça pourrait servir à d'autres arrondissements», indique M. Laramée. Cette démarche devra toutefois être accompagnée d'une révision de la législation provinciale, notamment celle sur les heures d'ouverture, dit-il.

     

     

    http://www.ledevoir.com/2003/01/24/18999.html

     

    Ça c'était en 2003, depuis il y a eu une reglémentation pour ne plus donner de nouveaux permis.

     

    Sona s'est fait tasser pour donner de la place à une salle symphonique, le projet à été annulé après que SONA soit contraint de déménager (ce qui a signé sa mort). Un peu comme on fait maintenant, on veut nettoyer le red light district pour donner de la place à des écolos et des artistes...:rolleyes:

     

    AJOUT: pour le compte, il ne reste qu'un seul after hours au centre ville.

     

    Je connais des gens qui habitent ce quartier depuis plus de 20 ans. Ils n'ont pas à souffrir des inconvénients de la prostitution de rues. Lorsque une femme qui rentre à la maison se fait harceler par un homme qui cherche une pute ce n'est sûrement pas agréable. Tu ne dois pas avoir beaucoup d'empathie pour les femmes pour penser comme ça. Si tu tiens tant que ça à ce que la prostitution de rues et les peeps shows se perpétuent, on peut les envoyer dans ton quartier !!

     

    Je sais pas de quoi tu parles, mais ce coin est déjà beaucoup moins problèmatique pour ce qui est de la prostitution, c'est quand même un coin chaud depuis très longtemps, bien avant il y a 20 ans. De toute façon, si tu trouves une solution à la prostitution dis le nous, la planète en entier te sera reconnaissante.

  3. C'est trop hors sujet. Je peux pas réellement dire plus, désolé je veux pas nuire à mes contacts dans le secteur.

     

    Par contre, voici ce qui se fait à Toronto et dont l'élu là bas ne se gêne pas du tout pour mettre ses cartes sur la table. Remplacer Toronto par Montréal et vous verez bien que c'est très semblable à ici, sauf qu'on est plus hypocrite et subtile.

     

    A master plan to rein in 'Clubland'

     

    DAVE MCGINN

     

    Special to The Globe and Mail

     

    October 18, 2008

     

    Business owners in Toronto's Entertainment District are poised to release a new master plan, and although they won't come right out and say it, the blueprint appears designed to put the squeeze on Richmond Street's booze-soaked club zone.

     

    The strategy: Improve landscaping, protect heritage sites and, above all, encourage more residents, shops and restaurants to move in so there'll be a critical mass of people with a vested interest in cracking down on "Clubland."

     

    "The reality is, the clubs cause more problems than they're worth," says Councillor Adam Vaughan, whose ward, Trinity-Spadina, includes the Entertainment District.

     

    "I'm bringing in development to get rid of clubs. Boo-hoo."

     

    Although Mr. Vaughan has been fighting nightclubs for two years, the difference now is that business owners in the Entertainment District - which, as a neighbourhood, stretches well beyond Richmond's nightclubs, as far south as Lake Shore Boulevard - founded a formal Business Improvement Area (BIA) last November.

     

    Since then they've spent more than $50,000 hiring an urban design firm to draft the master plan, which will be presented to the BIA's board next month. Some club owners fear it's all subtly engineered to force them out of business.

     

    "Clubs are too often unfairly demonized," says Peter Gatien, owner of CiRCA, a 55,000-square-foot nightclub on John Street south of Richmond. "If they make it impossible for legitimate operators to function, it will end up going the way it was 10 or 15 years ago, where you had raves in warehouses and unsafe areas."

     

    The Entertainment District boasts about 2,000 businesses. (Not all are members of the BIA.) The BIA began working on the master plan in the spring. "You need a vision," says Jack Robinson, chair of the BIA's board.

     

    "The master plan can assist in guiding us with decisions, priorities, impacts on the physical environment of the district in a strategic way so that we can go forward with the city to make things happen."

     

    While the master plan has long-term goals that may not be realized for a decade, the first phase is expected to roll out as early as next year, a phase that will include "beautification" projects.

     

    "The reality is that the club district is changing," says Harold Madi of The Planning Partnership, which the BIA hired to write the master plan. "The real exciting stuff in this master plan is, what does that Richmond-Adelaide corridor become, what's it going to evolve into?"

     

    An online survey conducted earlier this year by the BIA as part of the master-plan process identified "noise, crime and safety" as an "issue."

     

    But pushing clubs out is not a goal of the plan, says Mr. Robinson.

     

    "I think it's important to have clubs. You've got to have some reasonable, good entertainment. It's just got to be the right people and safe," he says.

     

    Indeed, the BIA has formed a "safe streets" committee tasked with the job of "constantly working with police" and ensuring that "forms are filled out when somebody sees something that is not right," says Mr. Robinson.

     

    The owner of the club Crocodile Rock sits on the BIA board, says Mr. Robinson, and other clubs have been invited to participate in creating the master plan.

     

    But some clubs are just now discovering that a plan exists.

     

    "This is the first I've heard of the master plan," says Arthur Geringas, general manager of Republik nightclub.

     

    With the plan calling for more residential units and retail businesses in the area, it will inevitably increase pressure on clubs to close, he says. "There's a general sense against nightclubs to begin with downtown, so anything at this point doesn't really surprise me."

    For his part, Mr. Vaughan believes the club fad is beginning to disappear on its own - the BIA master plan and his crackdowns are only hastening the inevitable.

     

    The club industry "is a generational phenomena that's had its moment and is disappearing all over North America," he says.

     

    "We're just making sure it disappears in a responsible way and what gets replaced with it is not empty warehouses but, in fact, the new neighbourhood. And if [clubs] don't like it, well, they can move."

     

    While the club district is changing, it is still too dangerous, he says. "From 3 o'clock in the morning to 5 o'clock in the morning it's a friggin' war zone. It's less so now. We've been cracking down for two straight years and coming after the club owners with everything we can get our hands on."

     

    However, Mr. Vaughan says he is not intent on forcing all clubs out of the neighbourhood. "If we build the neighbourhood properly, then the good nightclubs will survive and be viable and contributing partners to the business community," Mr. Vaughan says.

     

    Mr. Gatien says he will be happy to see more cafés and retail stores brought to the Entertainment District. However, he says nightclubs contribute to the culture of Toronto, and their contribution should not be ignored by the BIA or the city.

     

    "I believe that most of the operators in this area are very focused and they're very legitimate," says Mr. Gatien. "If they treat us fairly, we can survive."

     

     

     

    source:

    http://www.theglobeandmail.com/servlet/story/LAC.20081018.ENTER18/TPStory/TPEntertainment/?page=rss&id=GAM.20081018.ENTER18

  4. La ville ne donne plus de permis pour des bars after hours, son service d'incendie fait tout en son possible pour qu'il n'y ait pas d'evenements tel que le bal en blanc, sensation et autres mega partys. Les policiers font des descentes regulierement dans les bars pour toutes sortes de raison stupides. Quand tu fous a terre ton red light district pour en faire un quartier d'ecolos et "d'artistes" c'est assez claire me semble. J'ai d'autres exemples parceque je suis tres renseigné dans ce secteur, mais je préfère les garder pour moi-même.

     

    Disons que Montréal se gériatrise.

  5. Montreal continue sa descente pour ne devenir qu'une cute ville régionale et provinciale.

     

     

    C'est ça que je vois depuis des années, tous ces projets pour calmer Montréal, tramway cute, rues plus étroite, ça fait plus cute, ça calme les gens, c'est plus silencieux, ça tue le "hustle and bustle" de la ville... la vie nocturne va suivre, elle va mourir. On va se ramasser dans un Bordeaux à 3.5 millions d'habitants:yawning: :yawning: :yawning:

  6. Il faut justement pas faire tout en même temps, alors par définition il y a toujours un bout qui fais plus dure... ceux qui disent qu'aux states toutes les routes sont belles, et bien, je peux vous dire que j'ai vu pleins de places ou ce n'était pas la cas. Dans le centre de l'univers (new york), j'ai vu des rues qui metteraient en honneur celles de Montréal.

     

    De toute façon, étienne, je veux que tu me dises, est-ce que si on enlèverait les autoroutes comme ton héros bergeron voudrait faire. Y aurait-il plus ou moins de traffic dans les rues artérielles de Montréal? (et là je parle pas de celles qui sont résidentielles).

  7. Montréal fait rêver les passagers de Swiss

     

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    Caroline Rodgers, collaboration spéciale

    La Presse

     

     

    C'est en regardant des photos du Stade olympique, du Marché Bonsecours et du Palais des congrès que les passagers de Swiss pourront rêver pendant leur prochain vol.

     

    Le Swiss Magazine, distribué à bord des avions de la compagnie aérienne, met Montréal en vedette au mois d'octobre. Vingt pages, dont 13 consacrées à de magnifiques photos, tracent un portrait flatteur de la métropole.

     

     

     

    Le chef Martin Picard, la foule des Piknic Electronik et les smoked-meat de Schwartz's sont au nombre des stars choisies du photographe. Et en page couverture, les vitraux multicolores du Palais des congrès.

     

     

    Dans les éditions précédentes, des villes comme Sofia, Shanghai, Florence et Londres étaient mises en lumière. Au tour de Montréal de se faire complimenter... et de jouir d'une grande visibilité auprès de milliers de visiteurs potentiels! Montréal est décrite comme une ville unique, mélange de simplicité nord-américaine et de distinction à l'européenne, avec une touche festive et artistique.

     

    En cette semaine douloureuse pour le Grand Prix, on ne peut toutefois s'empêcher de remarquer l'ironie involontaire d'un certain passage: «De festivals de films en événements sportifs comme la Formule 1, il se passe toujours quelque chose à Montréal», peut-on lire.

     

    Et à la classique question «pourquoi Montréal?», la designer de mode Mariouche Gagné répond: créativité, mélange culturel, paradis culinaire et sécurité. Un carnet d'adresses bien garni présente enfin les restaurants, hôtels et autres choix incontournables du journaliste. De quoi donner envie aux voyageurs du monde entier de nous rendre visite.

     

    http://www.cyberpresse.ca/voyages/nouvelles/200810/22/01-31725-montreal-fait-rever-les-passagers-de-swiss.php

  8. encore une fois, je ne crois pas être hors sujet. à cet effet, la crise économique qui a déjà commencé au niveau mondial aura de très grandes conséquences sur l'emploi d'ici les prochains mois et prochaines années. Donc, il faut reprendre le contexte mon cher Malek lorsqu'on dit une information. Ainsi, le fait que Toronto (cash city) aimerais avoir une 2e équipes dans la LNH ne se matéralisera pas dû à la crise économique qui frappera l'Occident. Donc, avant de dire a quelqu'un qui est hors sujet, veuillez vous en tenir aux informations !.

     

    regarde, arrête de détourner les sujets sur chaque fil, de "bumper" tous les maudits fils parceque t'aime rosemont (on est réellement indifférent) et de dénigrer Toronto (cash city) à chaque texte que tu écris. Les gens ont le droit de pas partager ton opinion, il faut que tu t'y habitues, sinon c'est vraiment pas ta place ici.

  9. those who benefit directly from it should pay the bill !! Simple Capitalism 101 !!

     

    well its the governments, your city of montreal that profits from it.

     

    It has been repeated so many times by all the media and governments that simply brushing it off like you're doing (you're assuming store owners and restaurants should pay the bill) looks similar in my opinion to disdain to anything rich people might enjoy, you're anti-bourgeois, c'est tellement évident.

  10. ...but that'S the thing, it is profitable by a country mile from 100 million dollars in foreign money + global exposure = future toursitic dollars!! This is not NASCAR, where TV is limited to Canada and USA, this is F1, the elite racing series shown globally across our planet. Asia, Arab countries, Europe, Australia, South America etc etc... gets to see Montreal in all its, glory during Grand Prix week-end + we have the back ing of the F1 constructors such as fferrari, Mercedes, Honda, Toyota, BMW's of the world in our corner 'cause they desperately need North American exposure. It's a win win situation. The people who are screaming against it aren't race fans, pointe finale!

     

    I don't find F1 very intresting, I'm still wondering why it's considered as a sport... but that's another debate.

     

    Still, I think it's urgent to keep this event here in Montréal, it's the only jetset event we have and is very profitable to Montréal's image.

  11. L'éditeur Avanquest ouvre une filiale à Montréal

     

    21 octobre 2008 - 15h58

     

    Presse Canadienne

     

    L'éditeur français de logiciels Avanquest Software annonce l'ouverture d'une filiale canadienne à Montréal, ce qui devrait créer une centaine de postes d'ingénieurs au cours des trois prochaines années.

     

    Le nouveau centre de recherche et développement s'ajoutera aux installations d'Avanquest situées en France, aux États-Unis et en Chine.

     

    Dans un communiqué, Avanquest présente le Canada comme un «véritable vivier de jeunes informaticiens à la pointe des technologies de nouvelle génération», notamment dans les domaines du multimédia et du web.

     

    La filiale montréalaise prendra en charge une partie des projets qui constitueront «la pierre angulaire de la stratégie 2008-09 du groupe», a indiqué le président-directeur général et cofondateur d'Avanquest, Bruno Vanryb.

     

    Les employés montréalais travailleront à mettre au point des composants logiciels dans les domaines de la mobilité, des utilitaires et de la sécurité, à créer des sites et des contenus web pour soutenir et accroître les ventes en ligne, de même qu'au développement d'un projet internet destiné à renforcer la relation d'Avanquest avec les utilisateurs de ses logiciels.

     

    La filiale montréalaise envisage d'embaucher 15 ingénieurs d'ici la fin de l'année. Elle vise un total de 50 employés d'ici la fin 2009 et de 100 à la fin de sa troisième année d'existence.

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