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Malek

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Messages posté(e)s par Malek

  1. oui avec un pied de neige et de glace, du vent et le froid, c'est donc agréable de pédaler.

     

    Tu dévie complétement du sujet yara, les deux articles portent sur un effort accru de concertation entre les différents services de circulations.

     

    Il faudrait un organisme un peu pareil que l'AMT mais pour la circulation pour rendre les choses moins ardus pour tout le monde incluant les nombrilistes du plateau.

     

    En passant, quand je suis pris dans le traffic, j'ai le temps de faire des coups de fils, faire des plans pour la soirée, me rattrapper sur les nouvelles de la journée et au pire écouter de la musique.

     

    Mais le meilleur, c'est si je décide de rester plus tard au bureau ou à côté de la job, retourner chez moi ne me prends que 15 minutes une fois le traffic dissipé, j'ai pas à subir le service de transports lents hors-pointe, ce que beaucoup de gens ne peuvent faire même à vélo-marche et ce même s'ils habitent sur le plateau.

  2. La dernière fois que je suis allé à New York, pour m'orienter je me suis arrêté dans un Circuit City. En 15 secondes, le temps de loader Google Maps, une employée venait m'avertir que je n'avais pas le droit d'utiliser Internet.

    Un peu plus et elle m'expulsait du magasin (vide).

    Voila une chaine qui n'a visiblement rien compris de l'évolution des besoins de la clientèle me suis-je dit.

     

    J'ai l'impression que les Bureaux en Gros/Stapels auront droit à de belles réorganisations dans le genre...

     

    ah les enculés, c'est le meilleur moment de l'année avec la rentrée pour compenser pour le restant de l'année...

  3. Montréal est orange fluo

     

     

     

    Bruno Bisson

    La Presse

     

     

    Les automobilistes qui roulent dans les rues de Montréal vont devoir s'y habituer. Les conditions de circulation sont exécrables et elles vont l'être longtemps. Alors que la Ville de Montréal commence à peine à reconstruire ses infrastructures, le ministère des Transports reconstruit ses autoroutes et ses ponts. Ils en ont, l'une et l'autre, pour plusieurs années. Et les vrais grands chantiers ne sont même pas commencés.

     

    Alors que l'hiver frappe à la porte, le ministère des Transports du Québec (MTQ) et la Ville de Montréal comptaient, ce matin, une cinquantaine de chantier actifs sur le réseau autoroutier de l'île de Montréal et le réseau artériel de la ville. Cela inclut les travaux aux réseaux d'eau et d'égout dans des rues locales.Une demi-douzaine des chantiers qui causent quotidiennement des maux de tête aux usagers de la route depuis la rentrée sont encore en activité sur les autoroutes de la métropole. Les pires, ceux de l'autoroute Ville-Marie (A-720) et de l'échangeur Turcot, se termineront dans un mois. Les derniers (pont Galipeault, A-15) vont fermer pour Noël.

     

    En ville, les chantiers continuent de pousser comme des champignons. Au cours des deux dernières semaines seulement, Montréal a lancé des travaux de grande envergure rue De Lorimier, dans le chemin de la Côte-Sainte-Catherine et dans la rue Sherbrooke. En plein centre-ville, le futur Quartier des spectacles bourdonne du vacarme des marteaux-piqueurs, des excavatrices et des camions.

     

    Selon une compilation préparée par la Ville de Montréal, à la demande de La Presse, une quarantaine de chantiers de rues, de pistes cyclables, d'égouts et de conduites d'eau étaient toujours actifs ou sur le point de commencer, à la fin d'octobre.

     

     

    La dispersion de ces chantiers, illustrée par la carte ci-dessus, ne témoigne toutefois pas avec justesse de l'envahissement des petits bonshommes orange, qui gênent partout les déplacements des piétons et des cyclistes aussi bien que des automobilistes. Car il faut ajouter une multitude de petits chantiers de planage et d'asphaltage de rues, qui relèvent principalement des arrondissements de Montréal.

     

    De plus, les entrepreneurs en construction se livrent traditionnellement à une sorte de sprint de fin de saison à ce temps de l'année, avant les premières chutes de neige qui signalent la fin des travaux de chaussée. Et cette année, en raison notamment des pluies continuelles de juillet, beaucoup de chantiers sont en retard et doivent être achevés à la dernière minute.

     

    Une information déficiente

     

    Pour l'ingénieur Ottavio Galella, président de Trafix, une firme spécialisée dans la gestion de la circulation, «les solutions actuelles pour informer les usagers des entraves à la circulation, à Montréal, ne sont plus appropriées».

     

    Selon lui, la surabondance des chantiers, la multiplication des administrations qui en sont responsables et l'absence d'information centralisée pour localiser ces entraves et pour détecter les problèmes qui en résultent, en temps réel, font en sorte qu'il est impossible d'informer les usagers des pièges de la circulation.

     

    «Je crois que Montréal est mûr pour adopter une gestion centralisée de la circulation, comme le font certaines grandes villes d'Europe. Cela permettrait à la fois de mieux informer le public sur les chantiers et de réagir plus vite lorsque des situations imprévues se produisent dans la circulation.»

     

    À la Ville de Montréal, le directeur du SITE (service des infrastructures, des transports et de l'environnement), Robert J. Marcil, reconnaît qu'il est impossible pour un automobiliste ou une entreprise qui possède de nombreux véhicules sur la route de planifier ses déplacements en évitant les embouteillages causés par les travaux d'infrastructures. L'information sur ces entraves est trop dispersée, et les sites internet des arrondissements et de la ville centre ne sont pas mis à jour.

     

    Mais la création d'un service de type «Inforoutière» consacré exclusivement à Montréal, souligne M. Marcil, mobiliserait des ressources importantes que la Ville préfère investir ailleurs.

     

    «La priorité de la Ville de Montréal est d'améliorer les communications avec les populations riveraines qui doivent subir ces chantiers.»

     

    «Nous avons négligé d'entretenir nos infrastructures pendant des décennies, rappelle M. Marcil, Ce n'est plus un secret. Et quand nous rencontrons les gens, pour expliquer ce qu'on va faire près de chez eux, ils sont plus réceptifs qu'ils l'étaient il y a quelques années.»

     

    À la fin de 2008, rappelle-t-il, l'administration centrale Montréal aura investi plus de 400 millions dans près de 200 chantiers d'infrastructures. Et sous réserve de l'approbation des budgets nécessaires, «on souhaite en faire encore plus l'an prochain».

     

    http://www.cyberpresse.ca/actualites/regional/montreal/200811/10/01-37931-montreal-est-orange-fluo.php

  4. Embouteillage en pleine nuit

     

     

    Bruno Bisson

    La Presse

     

     

    Les embouteillages du pont Champlain sont devenus banals. On ne se surprend plus de patienter matin et soir entre 40 et 50 minutes pour emprunter ce pont de la Rive-Sud en période de pointe, les jours de semaine.

     

    Mais rester pris à l'entrée du pont pendant deux heures? En pleine nuit? Le week-end?Dans la nuit du 18 au 19 octobre, des milliers d'automobilistes sont tombés dans un invraisemblable bouchon de circulation causé par les fermetures simultanées du pont Victoria, de deux voies de circulation du pont Champlain, de trois bretelles de l'échangeur Turcot et de l'autoroute Ville-Marie (A-720 Est), en direction du centre-ville de Montréal.

     

    La combinaison de ces fermetures a obligé des milliers d'automobilistes à converger dans un immense entonnoir, formé à l'entrée de la seule voie qui était encore libre sur le pont Champlain en direction de la Rive-Sud, dans le plus important corridor de transport de Montréal. Les files d'attente sur l'A-15 et l'A-20 se sont étirées sur des kilomètres.

     

    En plein coeur de la nuit, vers 2h du matin, il fallait compter jusqu'à deux heures pour se rendre au pont et traverser le fleuve.

     

     

    Un porte-parole du MTQ a expliqué la semaine dernière que les fermetures de l'A-720, des bretelles de l'échangeur et du pont Victoria étaient programmées et qu'elles n'auraient pas dû poser de problème en soi, jusqu'à ce que la Société des ponts Jacques-Cartier et Champlain annoncent aussi des travaux «urgents» sur des piliers du pont Champlain.

     

    À la Société des ponts Jacques-Cartier et Champlain, on affirme toutefois que les réparations avaient été programmées. Mais on ne savait pas, alors, que le pont Victoria serait aussi fermé cette nuit-là. «On l'a su vendredi, la veille. Il était beaucoup trop tard pour annuler notre chantier», a affirmé un porte-parole de la société des ponts fédéraux, Jean-Vincent Lacroix.

     

    Les routes et les rues de Montréal sont entre bonnes mains. Beaucoup de mains, en fait. Les autoroutes sont provinciales. Trois des ponts entre Montréal et la Rive-Sud (Jacques-Cartier, Champlain et Mercier) relèvent du fédéral. Le pont Victoria est privé (il appartient au Canadien National).

     

    En ville, les grandes voies de circulation qui composent le réseau artériel de Montréal sont sous la responsabilité de l'administration centrale de la Ville (la dite «ville centre»).

     

    Mais ces avenues et ces grands boulevards ne représentent que 20% des rues qui quadrillent le territoire montréalais. Environ 1000 km sur 5000.

     

    Le reste, soit 4000 km de rues locales, relève des arrondissements de la Ville de Montréal.

     

    Il y en a 19.

     

    Devant un si grand nombre d'intervenants, qui veillent chacun de leur côté au fonctionnement de réseaux qui sont tous interreliés, il est inévitable que des problèmes de communications finissent par surgir. On ne saura sans doute jamais l'origine précise du cafouillage qui a causé cet embouteillage de nuit.

     

    Mais au moment où le ministère des Transports, la Ville de Montréal et le gouvernement du Québec s'apprêtent à lancer une série de mégaprojets urbains, routiers et institutionnels qui vont se chevaucher jusqu'en 2015, l'incident soulève des doutes sur les capacités communes de ces intervenants à prévenir le chaos.

     

    Chantiers à venir

     

    Dès l'an prochain, le MTQ prévoit mettre en chantier la reconstruction de l'échangeur Turcot, dans le sud-ouest de Montréal, et le projet de transformation de la rue Notre-Dame, l'une des artères de circulation les plus importantes dans l'est de Montréal (voir les zones ombrées sur la carte).

     

    L'année suivante, la Ville de Montréal projette de transformer en boulevard l'autoroute Bonaventure, entre le pont Champlain et le centre-ville. Son chantier de trois ans coïnciderait en partie avec la reconstruction de bretelles qui relient l'échangeur Turcot à l'autoroute Ville-Marie. Les deux principales voies de sortie et d'entrée, à l'ouest du centre-ville, pourraient ainsi être en chantier en même temps.

     

    Au centre-ville, la construction du nouveau CHUM pourrait raisonnablement débuter en 2010, au moment où le Quartier des spectacles sera toujours en plein chantier, à quelques rues de là.

     

    Et alors que le nouvel hôpital sera en pleine construction, les impacts de son encombrant chantier qui paralysera en partie l'est du centre-ville vont s'ajouter à ceux de la rue Notre-Dame, transformée en autoroute encaissée jusqu'aux pieds de la rue Amherst... à quelques centaines de mètres du CHUM.

     

    http://www.cyberpresse.ca/actualites/regional/montreal/200811/10/01-37948-embouteillage-en-pleine-nuit.php

  5. La collecte des déchets une fois par semaine?

     

    Violaine Ballivy

    La Presse

     

     

    Deux, c'est bien, mais un, c'est parfois mieux: la Ville de Montréal étudiera la possibilité de réduire de moitié la fréquence de la collecte des déchets pour forcer les citoyens à recycler davantage. Les ordures ne seraient ramassées qu'une fois par semaine.

     

    Le maire de l'arrondissement de Côte-des-Neiges-Notre-Dame-de-Grâce, Michael Applebaum, croit que les Montréalais sont mûrs pour ce changement. Il préside le comité à l'origine de cette recommandation, qui sera soumise à l'approbation du conseil d'agglomération en novembre, puis au comité exécutif de la Ville en vue de l'adoption prochaine du plan directeur de gestion des matières résiduelles de Montréal.

     

    «Si on limite la quantité de déchets que les gens peuvent mettre à la rue, ils vont nécessairement chercher des moyens de réduire la taille de leur sac-poubelle en recyclant plus», dit M. Applebaum.

     

    L'expérience a déjà été tentée dans quelques arrondissements. Saint-Léonard l'a fait le premier en 2006 avec des résultats spectaculaires, assure le maire Alan DeSousa. «Le taux de recyclage a tout de suite monté en flèche et il continue de croître. Ce n'est pas juste un effet de mode.»

     

     

    L'arrondissement a distribué 3100 bacs de recyclage supplémentaires pour répondre aux besoins grandissants des citoyens, et il en fournira bientôt de nouveaux, de deux à quatre fois plus grands que les anciens. Verdun a emboîté le pas il y a deux semaines.

     

    Avec les économies substantielles qui pourraient être réalisées, on pourrait investir dans l'implantation d'un système de compostage sur tout le territoire de la Ville. "Ce serait essentiel pour éviter les problèmes dans les quartiers centraux, où la population n'a pas beaucoup d'espace pour entreposer ses déchets", affirme Coralie Denys, porte-parole du Conseil régional de l'environnement de Montréal. "Tant qu'on ne collectera pas les matières putrescibles, le sac à déchets restera volumineux." Et malodorant, particulièrement l'été, ajoute-t-elle.

     

    Le comité présidé par Michael Applebaum suggère que trois sites de compostage soient ouverts dans l'est, l'ouest et le sud de Montréal d'ici à 2012.

     

    http://www.cyberpresse.ca/environnement/politique-verte/200811/10/01-37958-la-collecte-des-dechets-une-fois-par-semaine.php

  6. Trains de banlieue: l'AMT convoite l'emprise du CN

     

     

    L'Agence métropolitaine de transport veut devenir propriétaire du corridor ferroviaire de 33 km utilisé quotidiennement par le train de banlieue de Deux-Montagnes. Si la transaction se réalise, l'acquisition de cette emprise par l'agence gouvernementale, qui ne paie pas d'impôt foncier, privera les commissions scolaires et plusieurs municipalités de revenus totalisant 870 000$ par année dès l'an prochain.

     

    Photo: Martin Chamberland, La Presse

    Bruno Bisson

    La Presse

     

     

    L'Agence métropolitaine de transport (AMT) a offert 45 millions de dollars au Canadien National (CN) pour acheter un couloir ferroviaire de 33 km utilisé quotidiennement par le train de banlieue de Deux-Montagnes.

     

    Selon ce qu'a appris La Presse, si la transaction se réalise, l'acquisition de cette emprise par l'agence gouvernementale, qui ne paie pas d'impôt foncier, privera des commissions scolaires et plusieurs municipalités de revenus totalisant 870 000$ par année à partir de l'an prochain.

     

    L'emprise convoitée s'étend de l'entrée de la Gare centrale, au centre-ville de Montréal, jusqu'au point Montford, à Saint-Eustache, en banlieue nord de la métropole. D'une largeur de 30,48 m et d'une longueur totale de 33,47 km, la ligne de chemin de fer comprend deux ponts au-dessus des rivières des Prairies et des Mille-Îles, de même que le tunnel ferroviaire du mont Royal.

     

    L'offre, déposée en mai dernier, a été acceptée par le CN. Des évaluations de l'état des infrastructures, de même que des analyses environnementales pour évaluer la contamination des sols le long des voies ferrées, sont en cours. L'AMT n'a pas précisé quand ces analyses seront terminées. La transaction doit aussi être approuvée par le ministère des Transports du Québec (MTQ) qui pourrait en financer la moitié.

     

     

    La vice-présidente aux communications de l'AMT, Marie Gendron, a aussi confirmé hier qu'un projet de 20 millions est en préparation pour étager la jonction de l'Est, un des rares endroits du réseau où deux chemins de fer se croisent au même niveau. Cette jonction se trouve sur le parcours de la ligne de train de Deux-Montagnes. Ses infrastructures sont comprises dans la transaction, mais pas les terrains sur lesquels elles sont construites, qui restent la propriété du CN. L'AMT y bénéficierait d'une servitude permanente.

     

    Le projet serait financé par l'AMT, le MTQ et le CN.

     

    Ces investissements visent à assurer une plus grande autonomie à l'AMT pour la circulation de ses trains sur les réseaux du CN et du CP, qui donnent la priorité aux trains de marchandises.

     

    En achetant l'emprise du CN (où les conflits de passage sont en revanche plutôt rares puisque le train de Deux-Montagnes est seul à y circuler), l'AMT veut aussi «éliminer toute source de conflit potentiel avec le CN pour le développement des projets futurs tels que l'augmentation de la capacité sur la ligne de Montréal/Deux-Montagnes, la mise en place du train de l'Est, et le branchement éventuel du service de train de banlieue Montréal/Blainville/Saint-Jérôme au corridor Deux-Montagnes».

     

    L'AMT voudrait aussi que tous les trains de la banlieue nord - Deux-Montagnes, Blainville et le futur train de l'Est, qui desservira Terrebonne, Mascouche et Repentigny - aient comme terminal la Gare centrale, qui appartient aussi au CN, mais qui ne fait pas partie de la transaction.

     

    Sur le plan financier, l'AMT estime dans un document remis à La Presse, que l'acquisition de l'emprise du train de Deux-Montagnes permettrait de réduire considérablement ses coûts d'exploitation.

     

    En effet, même si cette ligne a été électrifiée et reconstruite au coût de 300 millions de dollars par le gouvernement du Québec dans les années 90, l'AMT n'en est quand même que «locataire». Le loyer annuel qu'elle verse au CN s'élève à 2,4 millions.

     

    «On calcule donc que, avec le loyer épargné et des économies sur les coûts d'entretien récurrents des infrastructures, le coût d'acquisition serait amorti complètement en 20 ans», a expliqué en substance la vice-présidente de l'AMT, Marie Gendron.

     

    Le train de Deux-Montagnes est le joyau du réseau de l'AMT. Il transporte environ la moitié de la clientèle quotidienne des trains de Montréal (70 000 usagers).

     

    http://www.cyberpresse.ca/actualites/regional/montreal/200811/06/01-36719-trains-de-banlieue-lamt-convoite-lemprise-du-cn.php

  7. La ville ne donne plus de permis pour des bars after hours, son service d'incendie fait tout en son possible pour qu'il n'y ait pas d'evenements tel que le bal en blanc, sensation et autres mega partys. Les policiers font des descentes regulierement dans les bars pour toutes sortes de raison stupides. Quand tu fous a terre ton red light district pour en faire un quartier d'ecolos et "d'artistes" c'est assez claire me semble. J'ai d'autres exemples parceque je suis tres renseigné dans ce secteur, mais je préfère les garder pour moi-même.

     

    Disons que Montréal se gériatrise.

     

    Voici un autre exemple à New York ou des comités de citoyens, un peu comme à Montréal, font tout pour tuer leur nightlife... ce que Montréal tente d'imiter petit à petit.

     

    4 A.M. Last Calls Could Be Headed The Way of Smoky Bars

     

    By CHRISTOPHER FAHERTY, Staff Reporter of the Sun | April 17, 2008

     

    City nightlife industry insiders fear that the days of 4 a.m. last calls are numbered.

     

    In most parts of Manhattan, bar and club owners say, it has become nearly impossible to open new nightlife establishments that are permitted to serve alcohol until 4 a.m. — the Prohibition-era curfew that is seen as a bedrock of New York City's party town identity.

     

    Community boards that now hold substantial clout with the New York State Liquor Authority are increasingly requesting that liquor licenses be tied to earlier closing times, often at or before 2 a.m., a number of advocates for the nightlife industry said.

     

    "It is a trend that has certainly increased in the last six months, and if it keeps increasing there are going to be serious problems for the nightlife industry and the city's economy," a lawyer for the New York Nightlife Association, Robert Bookman, said. An independent study conducted at the request of his association found that city nightlife establishments garner 58% of their revenues between the hours of 1 a.m. and 4 a.m., he said. Under state law, which says the closing time for bars in the city is 4 a.m., the liquor authority lacks the power to place stipulations on the operating hours of bars and clubs. However, if a bar owner agrees to limit its hours of operation with the local community board, the liquor authority will write it into the license.

     

    Community boards for years have provided the liquor authority with recommendations for liquor licenses, but only recently has their influence become a determining factor in designating them. "The new leadership that took over during the last few years of the Pataki administration has been dramatically more responsive to the community than any I've ever seen with many years of experience with the SLA, and I think that's a good thing," a state assemblyman who represents the Chelsea area of Manhattan, Richard Gottfried, said.

     

    A spokesman for the liquor authority, William Crowley, said the agency determines liquor licenses on a case-by-case basis and follows the letter of the law.

     

    Some say community boards are wielding their newfound power with the liquor authority to force bars to close earlier than ever before.

     

    "More and more of the community boards are insisting that bars close at 2 a.m. or earlier," Ben Leventhal, the editor in chief of Eater.com, a Web log that chronicles many of the liquor license issues arising in the city, said. "It's become the community boards' de facto bargaining chip."

     

    Matthew Piacentini, an entrepreneur poised to open a European-style parlor, said he decided to back out of plans to open the lounge in a commercial building on Hudson Street in TriBeCa after the community board stipulated he would have to close at midnight on weekdays and 1 a.m. on weekends. Mr. Piacentini pitched his establishment as an upscale anecdote to nightclubs for a clientele interested in having conversation. "If I could only be open for six hours there was no chance I could bring in the necessary revenue," he said.

     

    Brad Hoylman, the chairman of Community Board 2, which covers Greenwich Village and SoHo, said the board approves 90% of all liquor license applications, and 80% of those are tied to certain stipulations such as time constraints.

     

    "In our neighborhoods, most people don't want to live next to a nightlife establishment, he said. "What we try to do is be reasonable and have a fair negotiation with the applicant."

     

    Community Board 3, which covers the bar-saturated neighborhoods of the East Village and the Lower East Side, is widely described as the stingiest board in the city when it comes to obtaining a new liquor license. The board's district manager, Susan Stetzer, said her board doesn't stipulate closing times, but that the applicants themselves come to the board with their own closing times.

     

    According to minutes from the board's monthly meetings in November, December, and January, the most recent records available, not a single liquor license recommendation was granted to a bar that would close after 3 a.m. on weekends and 2 a.m. on weekdays.

     

    Copyright 2008 The New York Sun.

  8. Publié le 06 novembre 2008 à 07h04 | Mis à jour le 06 novembre 2008 à 07h06

     

    Montréal achète une île pour 4 millions

     

    La Ville de Montréal achète l'île Lapierre, dans la rivière des Prairies, objet d'un projet controversé depuis 30 ans. L'achat de 4,3 millions, réalisé par l'entremise de Canards Illimités, permettra d'agrandir le parc-nature du Ruisseau de Montigny.

    Le propriétaire original de l'île, Concordia Construction, une compagnie appartenant à la famille Argento, a accepté de céder l'île à Canards Illimités et renonce à son droit acquis d'y construire quatre tours d'habitation de 16 à 20 étages.

     

    En retour, l'entreprise recevra une combinaison d'argent et de crédits d'impôt.

     

    L'île de 5,4 hectares est reliée par un ponceau au boulevard Gouin, près de la 6e avenue, dans l'arrondissement Rivière-des-Prairies. Le secteur est voisin de l'emplacement du futur pont de l'autoroute 25.

     

     

    Dans son sommaire décisionnel, la Ville affirme que l'île Lapierre et trois îles voisines (Boutin, Rochon et Gagné) «constituent des habitats de reproduction pour les poissons, le rat musqué, l'herpétofaune (reptiles et amphibiens) et les canards».

     

    «C'est une île de plaine inondable, alors il y a une grande richesse écologique, dit Édouard Raymond, du groupe Approche Nature. C'est un secteur très fréquenté par les ornithologues. Du côté nord, on ne se croirait pas en ville.»

     

    M. Raymond s'est réjoui de la nouvelle, mais s'inquiète quand même pour l'avenir. «La construction de la 25 va faire fuir les oiseaux, dit-il. La sauvagine n'aime pas le bruit. Mais il y a peut-être moyen de limiter les dommages avec des pare-bruits.»

     

    L'intention de la Ville d'acquérir l'île Lapierre avait été annoncée dans le budget 2008, qui prévoyait la somme de 30 millions sur trois ans pour l'acquisition de milieux naturels à protéger.

     

    La Ville a annoncé sa décision lors de la séance publique du Comité exécutif, hier soir, à Pierrefonds. Elle versera en outre 509 214$ à Canards Illimités pour ses frais de notaire, taxes et frais juridiques. En tout, la dépense pour la Ville atteint cinq millions.

     

    http://www.cyberpresse.ca/actualites/regional/montreal/200811/06/01-36720-montreal-achete-une-ile-pour-4-millions.php

  9. Un magnifique projet de résidences pour personnes pré-retraitées et retraitées autonomes.

     

    Le projet comporte quelques 700 logements répartis dans 4 tours d'habitations; tous les services, incluant un centre d'activités physiques, une marina, restaurants, salles de rencontre, sentiers de marche, etc., etc., seront disponibles dans ce site unique et exclusif à ses résidents.

     

    La mise en chantier est prévue pour le printemps 2007 et les premiers résidents pourront y déménager à compter de juillet 2008.

     

    L'ouverture de nos bureaux de location est prévue pour l'automne 2007.

     

    http://www.junon-dev.com/francais/NosProjets/residences-Pre-Retraites-RetraitesAutonomes.htm

  10. moi ce que je trouve lamentable c'est que ça fait depuis 2003 que les libéraux sont aux pouvoirs, que eux aussi ont changés le site et que finalement 5 après, il n'y a pas de pelleté de terre, ni de béton coulé. Si ces deux dernières choses étaient faits on auraient pas cette discussion.

     

    Les Libéraux sont aussi coupables.

  11. Toronto home resales down 35 per cent in October;

    average price falls 13 per cent2 hours ago

     

    TORONTO — The number of resale home deals fell 35 per cent in the Greater Toronto Area last month compared with a year earlier, according to a tally by the Toronto Real Estate Board.

     

    And the average price was down 10.6 per cent, to $352,974 from $394,646.

     

    The realtors' group tracked a 13 per cent price decline in the central city to $376,896 and an eight per cent pullback in the suburban 905 area to $336,049.

     

    The number of properties listed for sale swelled 32 per cent from a year earlier to 27,277.

     

    The overall region booked 5,155 home resales in October, down from 7,915 in October 2007 and 6,876 in October 2006, the board said Wednesday in a report headed: "Resale housing market continues to reflect economic times."

     

    However, board president Maureen O'Neill stressed:"There's no doubt that real estate will continue to be a solid long-term investment in our country."

     

    O'Neill suggested that "consumer confidence is being unduly affected by media reports on the United States economy," and she emphasized: "There's no question that in Canada the economic fundamentals to support a healthy housing market remain in place."

  12. nouveau video non-officiel filme a l'aide de la 5D MarkII, la qualité est incroyable!

     

    http://www.akihabaranews.com/en/news-16980-Canon+5D+Mark+II%3A+The+World%27s+first+forbidden+HD+Video+finally+Official!!.html

     

    et ayez un bon ordinateur pour pouvoir regarder le video en HD + fullscreen

    Oooopppsss, you are not allowed to see this news yet, please come back later

     

    Q6700 + 6gb de ram c'est assez ? :P

  13. C'est aussi tous les groupes de pressions à qui la ville donne trop d'importance, les processus sont trop étapés, trop de gens veulent donner leur opinions et on essai de plaire à tout le monde.

     

    On finit par des projets trop chers qui sont tellement dilués qu'ils n'ont aucun bon sens (je pense tout de suite à l'"autoroute 720".)

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