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  1. voilà

     

    Vente de l'un des plus anciens gratte-ciel

    Les Affaires, 18 octobre 2008 Pour en savoir plus

    Articles de l'industrie

     

    L'un des plus anciens gratte-ciel de Montréal vient de changer de mains.

     

    Le Californien Georges Marciano, fondateur de Guess Jeans, a acquis le 507, côte de la Place-d'Armes, un joyau architectural de la métropole, pour 22 millions de dollars. L'édifice de style art déco a été construit entre 1929 et 1931, lors de la Dépression.

     

    M. Marciano a l'habitude de ce genre d'acquisitions. " Il achète de vieux immeubles un peu négligés qu'il rénove ", dit Michel Bensmihen, le courtier ayant servi d'intermédiaire dans cette vente. M. Marciano a découvert le Vieux-Montréal en 2006, où il a acquis notamment les 438 et 444, place Jacques-Cartier.

     

     

     

    Selon M. Bensmihen, M. Marciano veut protéger le caractère unique de l'immeuble, où loge notamment Léger Marketing. " Il achète pour le long terme, dit-il. Il veut conserver les éléments historiques de l'édifice, en faire un des beaux immeubles de bureaux à Montréal. " C'est un des rares gratte-ciel de la ville à être doté de fenêtres ouvrantes, ce qui était courant à l'époque de sa construction.

     

    M. Marciano a réglé en espèces l'achat de l'immeuble de 23 étages, selon M. Bensmihen.

     

    Sidev a été chargée de la gestion du bâtiment de 220 000 pieds carrés, qui appartenait auparavant à une société à numéro contrôlée par la famille Lawee, propriétaire de plusieurs immeubles à Montréal.

     

    Le taux d'occupation du 507, Place-d'Armes s'établit à 86 %. H. Joncas

    http://www.lesaffaires.com/article/1/publication--lesaffaires/2008-10-18/484154/vente-de-lun-des-plus-anciens-gratteciel.fr.html

  2. Le chantier du Ritz-Carlton en retard

    Les Affaires, 18 octobre 2008 Pour en savoir plus

    Articles de l'industrie

     

     

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    Le chantier de rénovation et d'agrandissement de l'hôtel Ritz-Carlton connaît des retards. Andrew Torriani, pdg de l'établissement, a présenté, le 2 octobre, un appartementtémoin de son concept alliant chambres d'hôtel et condominiums de grand luxe. Mais quelques jours après, en entrevue, il a reconnu que l'entrepreneur avait fait face à des " imprévus " dans les travaux.

     

    " Il y a un petit retard sur le chantier, dit M. Torriani. On travaille avec de vieux plans. Certains murs, certains tuyaux ne sont pas à l'endroit indiqué. " L'hôtel a été construit en 1912.

     

     

     

    L'homme d'affaires s'attend tout de même à accueillir les premiers résidents à la date prévue, soit au début de l'année 2010. L'administration fait détruire une partie de l'intérieur de l'édifice pour permettre sa rénovation et son agrandissement, un projet de 100 millions de dollars.

     

    Des appels d'offres tardent à venir

     

    Quarante-neuf condominiums de luxe, de 1,5 million de dollars minimum, doivent être construits dans une structure en verre et en aluminium de dix étages au-dessus de la partie ouest du bâtiment. Le dernier étage de l'immeuble sera aussi remplacé par deux étages de condos. Les rénovations doivent par ailleurs permettre à l'hôtel de redevenir un établissement cinq étoiles.

     

    Mais pour l'instant, seul le contrat de démolition a été accordé. " Après, nous allons donner des contrats pour faire des murs, dit M. Torriani. Je crois que les appels d'offres sont presque prêts. "

     

    Pomerleau, gestionnaire du chantier, attend toujours les plans. " Les appels d'offres pour les sous-traitants sont plus longs que prévus à obtenir ", dit Jocelyn Favreau, chef de chantier, qui précise qu'il ne peut pas dire quand exactement il les obtiendra.

     

    Les condominiums projetés doivent être mis en vente par la firme Sotheby's " dans les semaines à venir ", selon M. Torriani. Selon lui, environ 700 personnes se sont montrées intéressées, dont 40 % de Québécois.

     

    Pour l'instant, le ralentissement économique n'affecte pas le projet, selon l'homme d'affaires. " On essaie de respecter l'échéancier du chantier ", dit-il. Une fois les travaux entamés, une interruption coûterait cher. " Si le marché ralentit, on pourrait revoir notre décision. Mais pour le moment, on a confiance dans le marché ", dit M. Torriani.

     

    Le Groupe financier Mirelis et le Groupe Torriani ont acheté ensemble la majorité des parts de l'hôtel Ritz-Carlton en décembre 2006. L'ancien propriétaire exclusif de l'hôtel, le Groupe Rolaco, reste actionnaire, mais ne s'occupe plus de la gestion.

     

    M. Torriani a annoncé le projet de rénovation et d'agrandissement de l'hôtel en septembre 2007. H. Joncas

    http://www.lesaffaires.com/article/1/publication--lesaffaires/2008-10-18/484205/le-chantier-du-ritzcarlton-en-retard.fr.html

  3. TRANSPORT COLLECTIF - La ministre des Transports annonce 155 M$ d'investissements pour des mesures supplémentaires visant à offrir de meilleurs services aux usagers

     

    QUÉBEC, le 20 oct. /CNW Telbec/ - La ministre des Transports et ministre

    responsable de la région de la Mauricie, Mme Julie Boulet, en présence du

    président-directeur général de l'Agence métropolitaine de transport, M. Joel

    Gauthier, du président du conseil d'administration de la Société de transport

    de Montréal et vice-président de l'Association du transport urbain du Québec,

    M. Claude Trudel, et du président de l'Association des conseils

    intermunicipaux de transport, M. Jean-Luc Labrecque, est heureuse d'annoncer

    des mesures supplémentaires de près de 155 millions de dollars pour les

    usagers du transport collectif.

     

    Ces mesures appuient la vision précise du développement du transport

    collectif à moyen et long terme que le gouvernement a présentée dans la

    première politique du transport collectif de l'histoire du Québec lancée en

    2006. Les sommes annoncées aujourd'hui s'ajoutent aux 4,5 milliards annoncés

    jusqu'en 2012 pour la réalisation de plusieurs projets. Rappelons entre autres

    les 622 millions accordés pour l'achat de matériel ferroviaire, les

    236 millions alloués à l'achat de 20 locomotives, les 386 millions accordés

    pour l'acquisition de 160 voitures de trains de banlieue et le 1,2 milliard de

    dollars investi dans l'achat de 342 voitures de métro.

     

    «L'annonce d'aujourd'hui vise à procurer aux citoyens plus de latitude

    dans leurs déplacements. Chaque matin et soir, les automobilistes sont

    confrontés à la lourdeur de la congestion routière, notamment dans la région

    de Montréal. Il me semble important d'offrir des options de qualité à ceux et

    celles qui souhaitent recourir au transport en commun. C'est pourquoi, en plus

    des investissements sans précédent que nous avons déjà annoncés, nous voulions

    aujourd'hui nous assurer que ceux et celles qui optent pour le transport

    collectif puissent bénéficier dans les prochains mois d'une amélioration

    notable de l'offre de services», a précisé la ministre des Transports.

     

     

    Des mesures concrètes

     

     

    Tous les partenaires en transport collectif du ministère des Transports

    pourront profiter de ces mesures pour bonifier leur offre de services aux

    citoyens à court terme. Par exemple, l'Agence métropolitaine de transport

    (AMT) ajoutera, dès janvier 2009, 80 départs par semaine sur ses lignes de

    train de banlieue de Deux-Montagnes, Dorion-Rigaud, Saint-Hilaire et

    Delson-Candiac. L'effet direct de cette mesure pour la population sera l'ajout

    de 61 000 places par semaine dans les trains de banlieue. De plus, pour

    faciliter l'accès des citoyens à ses services, l'AMT va également procéder à

    l'ajout de 2000 places de stationnement incitatif. Elle bonifiera aussi son

    parc par la location et la rénovation de cinq locomotives et de 35 voitures de

    banlieue.

     

    Autre bonne nouvelle, le gouvernement autorise la Société de transport de

    Montréal (STM) à aller en appel d'offres public dès maintenant afin de

    procéder au remplacement de 410 autobus à plancher surbaissé de première

    génération de type APS-1. L'investissement à cet égard est estimé à

    200 millions qui seront financés à 50 % par le ministère des Transports. «Nous

    souhaitons ainsi donner plus de marge de manoeuvre à la STM dans sa volonté

    d'accroître significativement son offre de services aux usagers. Et comme

    l'accessibilité universelle est une priorité en matière de transport des

    personnes, les véhicules neufs qui seront ainsi acquis devront être des

    autobus à plancher surbaissé, munis d'une rampe d'accès pour les fauteuils

    roulants», a précisé Mme Julie Boulet.

     

    Grâce à un investissement de 1,5 million de dollars du gouvernement, la

    STM et la Ville de Montréal vont également mettre en service dès le début de

    l'année 2009 une voie réservée sur le boulevard Saint-Michel, entre les rues

    Henri-Bourassa et Rachel.

     

    Des heures d'autobus additionnelles

     

    Quant aux autorités organisatrices en transport en commun, le ministère

    des Transports estime qu'avec les sommes additionnelles disponibles, elles

    pourraient ajouter quelque 300 000 heures de service supplémentaires afin

    d'accélérer l'atteinte des objectifs ciblés dans la Politique québécoise du

    transport collectif. Cet ajout devrait se traduire par une augmentation

    appréciable des services offerts aux usagers.

     

    Une voie réservée sur l'autoroute 15

     

    De plus, le ministère des Transports réalisera cet automne un projet

    pilote visant l'aménagement d'une voie réservée aux autobus sur les

    accotements de l'autoroute 15, à l'intérieur du territoire de Laval. Ce projet

    pilote, auquel collabore l'AMT, permettra de vérifier la pertinence de la mise

    en place de ces mesures à l'échelle du réseau autoroutier québécois.

     

    Des efforts inédits

     

    Rappelons que l'ensemble des interventions du ministère des Transports

    dans le financement du transport collectif totalisera près de 4,5 milliards de

    dollars au cours des cinq années de mise en oeuvre de la politique. De ce

    montant global, 1 milliard est prévu pour 2008-2009.

    «L'annonce d'aujourd'hui montre l'engagement ferme du gouvernement à

    faire du développement du transport collectif une priorité pour laquelle toute

    mesure jugée pertinente sera mise en oeuvre sans tarder. Par cet effort

    supplémentaire à court terme, nous répondons à la volonté croissante des

    citoyens d'adopter une mobilité durable», a conclu la ministre.

    On peut consulter les paramètres des différents programmes d'aide

    gouvernementale au transport collectif dans le site Web du ministère des

    Transports à l'adresse http://www.mtq.gouv.qc.ca.

  4. Locomotives bimode: le projet pourrait coûter 30% de plus

     

    17541.jpg Agrandir

     

    Les 20 locomotives bimode commandées à Bombardier pour équiper le réseau de trains de banlieue pourraient coûter 72 millions de plus que prévu.

     

    Photo: Bombardier

     

     

    8725.jpgBruno Bisson

    La Presse

     

    Les 20 locomotives bimode commandées à Bombardier pour équiper le réseau de trains de banlieue de la métropole à partir de 2010 pourraient coûter jusqu'à 72 millions de plus que le prix annoncé en août par l'Agence métropolitaine de transport (AMT).

     

    La Presse a appris que le coût total de ces 20 locomotives neuves pourrait s'élever à 308,8 millions, soit 30% de plus que les 236,3 millions annoncés en août dernier. Cette somme comprend les provisions pour le taux de change, un budget pour les imprévus, des droits de douane ainsi que des pièces de rechange pour les locomotives neuves.

     

    C'est d'ailleurs ce budget, frais de projet inclus, qui figure dans le dernier programme triennal d'immobilisations 2009-2011 de l'agence, et qui a fait l'objet d'une autorisation de dépenses de 288,6 millions signée par la ministre des Transports du Québec, Julie Boulet. (NDLR: Les dépenses autorisées par Québec excluent les frais de financement et les variations du taux de change.)

     

    Selon les données que l'agence a fournies à La Presse, ces frais se divisent globalement en trois catégories. Le budget total du projet d'acquisition des locomotives, négocié en dollars américains, prévoit ainsi une réserve de 8% pour couvrir les variations du taux de change. La valeur de la réserve s'établit à près de 21 millions de dollars.

     

    Le coût total du projet inclut également un budget de contingence de 10% sur le coût des locomotives et des pièces de rechange, soit près de 24 millions.

     

    Des droits de douane de près de 24,5 millions (23,095 millions US), soit plus d'un million de dollars par locomotive, s'ajoutent aux frais qui n'ont fait l'objet d'aucune mention lors de l'annonce du contrat attribué à Bombardier, le 18 août dernier.

     

    La différence de 72,5 millions entre le budget total et celui qui a été annoncé le 18 août dernier comprend également 2,46 millions en pièces de rechange, plus d'autres frais (financement, surveillance) qui n'ont pas été précisés.

     

    Un contrat «américain»

     

    L'acquisition de ces 20 locomotives, dont cinq sont réservées à la ligne Mascouche-Repentigny-Montréal, fait suite à une entente conclue en 2007 entre l'AMT et le transporteur américain New Jersey Transit (NJT).

     

    À l'origine, l'AMT devait acheter cinq locomotives neuves et prendre des options sur 15 autres, tandis que NJT cherchait un constructeur pour une commande ferme de 26 locomotives pouvant fonctionner à la fois aux carburants diesel ou à l'électricité.

     

    Le choix du constructeur, la conception et l'ingénierie des locomotives de même que les négociations entre les transporteurs et le constructeur ont été pris en charge, pour l'essentiel, par NJT. Les contrats ont été négociés en dollars américains, et les locomotives seront livrées aux États-Unis.

    C'est ce qui explique la réserve pour le taux de change et les droits de douane de 23 millions de dollars américains.

     

    En juillet dernier, NJT a annoncé la conclusion d'une entente pour l'achat de 26 locomotives neuves à un coût «approximatif» de 310 millions de dollars américains. Selon un communiqué diffusé le 9 juillet par NJT, ce coût inclut «la conception, l'ingénierie, la fabrication, la formation du personnel et les pièces de rechange».

     

    Cinq semaines plus tard, le 18 août dernier, l'AMT a annoncé à son tour la conclusion d'une entente avec Bombardier pour la construction de 20 locomotives semblables, à quelques éléments près, à celles du New Jersey. L'AMT a alors précisé qu'il s'agissait «d'un investissement total de 236,3 millions (223 millions US), dont 75% sont financés par le ministère des Transports du Québec (MTQ), et 25% par l'AMT.»

     

    Le même jour, le MTQ a annoncé par communiqué «un investissement de 236,3 millions (223 millions US) pour l'acquisition de 20 locomotives bimode qui seront produites par Bombardier».

     

    Ni l'un ni l'autre de ces communiqués ne faisait mention des autres coûts, bien qu'ils aient été prévus, budgétés et pris en compte dans les dépenses préautorisées par la ministre des Transports du Québec, Julie Boulet, dans le cadre du contrat.

     

    Pas nécessaire d'en faire état

     

    Vendredi, des porte-parole du MTQ et de l'AMT ont déclaré que les coûts annoncés le 18 août ne couvraient que le prix de la commande passée à Bombardier.

     

    Quant aux frais de projet, qui représentent jusqu'à 72,5 millions de plus, la vice-présidente aux communications de l'AMT, Mme Marie Gendron, a affirmé vendredi qu'on n'a pas jugé nécessaire d'en faire état puisqu'il est impossible de prévoir, à cette étape du projet, quelle portion de ces réserves sera vraiment utilisée.

     

    Ainsi, explique Mme Gendron, les quelque 21 millions prévus pour parer à d'éventuelles variations du taux de change ne seront utilisés que si le dollar canadien connaît une dépréciation importante d'ici à la livraison des locomotives.

     

    Le budget de contingences doit quant à lui couvrir des coûts qui n'étaient pas prévus à la signature du contrat et qui sont, par leur nature, impossibles à déterminer d'avance.

     

    Enfin, Mme Gendron a affirmé que l'AMT est en pourparlers pour être exemptée des droits de douane de 23,1 millions de dollars américains. La vice-présidente n'a pas expliqué avec qui ces négociations étaient en cours ni quels arguments l'Agence a l'intention d'invoquer pour être libérée de cette obligation.

     

    http://www.cyberpresse.ca/actualites/quebec-canada/national/200810/19/01-30900-locomotives-bimode-le-projet-pourrait-couter-30-de-plus.php

  5. Moi ce que je me demande qu'est ce qui est pire, des terrains vacant, des stationnements sur des terrains vacants ou un building abandonné.

     

    La construction n'est pas encore confirmer avec certains autres projets qui tombe en mode attente à cause de cette fameuse crise financière qui prend de panique les gens de l'industrie les nouvelles constructions vont ralentir donc...

     

    est-ce qu'on détruit pour avoir un terrain vide ou pour une vraie construction?

     

    En amérique du nord, je crois que c'est mieux vu un terrain vacant par du stationnement qu'un building abandonné.

  6. Est-ce que qq sait quand la ville va detruire la viaduc Sherbrooke/Berri et le metter au niveau?

     

    Je me rappelle qu'on parlait de le reconstruire de la meme facon que l'echangeur parc/pin.

     

    faudrait remblayer en maudit, et je crois pas que les résidents vont être ben content de toute la poussière et le bruit.:rolleyes:

  7. don't worry traffic will be crawling way before that turn.

     

    Removing a parking lane (watch out for all the double parking), cutting in half "boulevard-two-lanes" Maisonneuve at the place des spectacles won't help traffic speed either.

     

    Concordia school zone, that made me chuckle.

  8. F1

    Montréal, Québec et Ottawa analysent les données financières du Grand Prix sse Canadienne

    17/10/2008 14h39

     

    Les autorités gouvernementales sont présentement à analyser les données financières du contrat liant Normand Legault au grand manitou de la Formule Un, Bernie Ecclestone.

     

    Le maire de Montréal, Gérald Tremblay, a indiqué, vendredi, qu'il attend désormais la confirmation d'une date de rencontre avec M. Ecclestone afin de voir ce que seront les nouvelles exigences de ce dernier.

     

    Pendant ce temps, Montréal, Québec et Ottawa poursuivent la préparation de leur dossier afin de tenter de convaincre M. Ecclestone de remettre le Grand Prix du Canada au calendrier.

     

    M. Tremblay a cependant précisé qu'il était trop tôt pour savoir si le projet sera viable.

     

    Il ajoute toutefois que la rencontre avec M. Ecclsetone devra se tenir dans les plus brefs afin de permettre l'organisation de l'épreuve.

     

    M. Tremblay a rencontré la presse alors qu'il accueillait le maire de Paris, Bertrand Delanoë, à qui il a présenté le projet montréalais de prêt gratuit de bicyclettes aux citoyens, le projet Bixi, qui doit prendre son envol le printemps prochain.

     

    Cette présentation devait être suivie d'une réunion du comité d'orientation économique Paris-Montréal, qui regroupe une soixantaine de membres. Ceux-ci devaient notamment discuter de la crise économique actuelle et de son impact sur l'économie des deux villes.

     

    http://www2.canoe.com/infos/quebeccanada/archives/2008/10/20081017-143927.html

  9. Change course or run deficits, top economist warns Ottawa

     

    Grim forecast and fresh recession prediction pose a challenge to Harper and his cabinet

    STEVEN CHASE

     

    With reports from Brian Laghi and Heather Scoffield

     

    October 17, 2008

     

    OTTAWA -- The federal government is on track to run budget deficits in each of the next four years - as deep as $10-billion in two of them - unless the re-elected Harper Conservatives move to avert the red ink, a senior Canadian economist projects.

     

    The forecast, which came as a second big bank predicted an imminent recession, suggests a big challenge ahead for Jim Flaherty, whom sources say will remain as federal finance minister when Prime Minister Stephen Harper assembles his post-election cabinet.

     

    Keeping Mr. Flaherty in his post is aimed at avoiding an unsettling change of economic leadership as Canada grapples with spillover from global financial turmoil. Yesterday, the Bank of Montreal followed the Bank of Nova Scotia in predicting a recession, saying the economy will start contracting in the fourth quarter of 2008.

     

    Toronto Dominion Bank chief economist Don Drummond forecasts a balanced budget for the current fiscal year ending March 31, 2009. But he projects a deficit of $10.4-billion in the next fiscal year, 2009-10, as well as a $9.9-billion deficit in 2010-11. He also forecasts deficits of $5.5-billion and $2.4-billion respectively in the two subsequent years.

     

    His estimates are based on spending and tax plans as set out in the 2008 budget and assumes that revenue collected by the government will "soon begin to deteriorate" as the worsening U.S. economy drags down Canada.

     

    "I really couldn't see a credible scenario in which they [deficits] didn't last for a long time," Mr. Drummond said.

     

    The economist said his deficit projections show the Tories will be under pressure to trim spending.

     

    "Many economists have said it's acceptable to run a modest deficit for a short period of time, but there's virtually nobody on record as saying it's acceptable to run deficits for many years in a row."

     

    "I don't think you can tolerate a deficit of that magnitude going on for four years," he said of his projections.

     

    The TD forecast does not predict a recession, but does say there will be a dramatic slowdown.

     

    During the election campaign, Mr. Harper vowed to keep budgets balanced and not raise taxes, commitments that leave spending cuts as his only option. On the hustings, however, he dismissed questions about where he would reduce spending as "a ridiculous hypothetical scenario."

     

    At the same time, however, Mr. Drummond said he thinks the government will be hard-pressed to balance the budget when facing potential annual deficits of $10-billion. He said it is hard to cut that much spending because many programs are politically risky to touch.

     

    "If you want to get something like $10-billion [in savings], you've got to go and nuke a whole bunch of programs," said Mr. Drummond, a former federal Finance Department official.

     

    "I can't imagine they will trample into things like Old Age Security and the major transfers to the provinces, and probably not defence while [the mission in] Afghanistan is still going on."

     

    Mr. Drummond suggested the government may have to focus on later years for cuts. "I think they will have to cut [spending], but not necessarily in 2008 or 2009, when the economy will be at its weakest."

     

    In its 2008 budget, the government forecast a surplus of $1.3-billion for the next fiscal year and modest surpluses in years after.

     

    Mr. Harper is expected to take about 10 days or more to put together a cabinet. One senior Tory said he does not expect it to be unveiled until at least the last week in October.

     

    But sources said Canadians can expect that Mr. Flaherty will attend the meeting of the Group of Twenty finance ministers Nov. 8-9 in Brazil, an event that will almost certainly take place after the cabinet is announced.

     

    The Prime Minister will have to find a replacement for departing Foreign Affairs Minister David Emerson. It is possible, Tories say, that the capable and trusted Industry Minister Jim Prentice could be shuffled into the post, although Mr. Harper may want to keep that economic minister where he is.

     

    There's a big question mark over the future of Agriculture Minister Gerry Ritz, who drew fire during the election campaign after it emerged he had made light of the listeriosis tragedy.

     

    Mr. Harper, whose party the latest counts indicate won 19 seats more than in 2006, has a number of new female MPs with impressive backgrounds to choose from for his cabinet.

     

    They include: Gail Shea, a former PEI cabinet minister; Lisa Raitt, most recently president and chief executive officer of the Toronto Port Authority; Shelly Glover, a Winnipeg police officer; and Kamloops-Thompson-Cariboo MP Cathy McLeod. A registered nurse, she offers the party a spokesperson on social issues that it has lacked.

     

    http://www.theglobeandmail.com/servlet/story/LAC.20081017.TORIES17/TPStory/National

  10. Publié le 17 octobre 2008 à 08h03 | Mis à jour à 08h08

     

     

    Pas besoin de Gaborik

     

    Bon, ça y est, c'est reparti. On a passé l'été à espérer la venue du sauveur Sundin, et voilà que maintenant, on espère la venue d'un autre sauveur. Sauf que cette fois-ci, le sauveur n'est pas suédois, mais bien slovaque.

     

    Son nom? Marian Gaborik.

     

    Ça vaut ce que ça vaut, mais on n'a qu'à faire « Gaborik « et « Canadiens « sur Google pour voir le nombre de rumeurs qui circulent à ce sujet. Certains écrivent des sottises - Gaborik tout de suite pour Higgins, Plekanec et Komisarek? Euh, pas vraiment. D'autres par contre écrivent des trucs qui font réfléchir. Ainsi, un quotidien du Minnesota a laissé entendre récemment que Doug Risebrough, le DG du Wild, aurait déjà commencé à offrir les services de son talentueux attaquant. À ce qu'il paraît, Bob Gainey serait parmi les intéressés. À ce qu'il paraît.

     

     

     

     

    On connaît déjà les problèmes de Gaborik au Minnesota. En gros, ça se résume à ceci : monsieur se dit sous-payé (il touche 7,5 millions cette saison), et il veut plus d'argent. Fâcheuse situation, mais bon, ça arrive. L'ennui, c'est que les patrons du Wild ne sont pas d'accord. En fait, les patrons du Wild lui ont déjà offert un juteux contrat de 10 ans à plus de 8 millions par saison. Mais monsieur a dit non.

     

    Évidemment, le principal intéressé a affirmé qu'il adore le Minnesota et qu'il ne veut pas partir, mais comme on le sait, ce genre de déclaration d'amour est souvent suivi par un déménagement rapide. S'il fallait dresser la liste des joueurs qui ont dit adorer Montréal, mais qui ont fini par aller voir ailleurs, on aurait besoin d'un cahier de 30 pages.

     

    Pour ajouter un peu de piquant à l'histoire, Gaborik et le Wild ont fait savoir qu'ils souhaitaient en arriver à une entente... avant l'ouverture de la saison régulière. Pas de chance, la saison régulière est bel et bien commencée, et toujours pas d'entente à l'horizon.

     

    Tout ça est bien assez pour alimenter la grosse machine à rumeurs montréalaise. Au premier coup d'oeil, c'est vrai que le Canadien pourrait s'avérer un acheteur de choix pour le Wild. Les DG Risebrough et Gainey sont de vieux amis, le Canadien regorge de jeunes joueurs dignes d'intérêt, et le Wild va probablement essayer de refiler son employé mécontent à une équipe de l'Est.

     

    Mais il y a une question à laquelle il faudrait commencer par répondre : honnêtement, le Canadien a-t-il besoin de Marian Gaborik? Me semble que la réponse est un gros non.

     

    Voyons un peu. Gaborik est un ailier droit. Si on l'amène au Centre Bell avec ce gros salaire-là, ce sera pour qu'il joue au sein du premier trio. Mais un certain monsieur Kovalev occupe déjà cette place. Problème...

     

    On dit aussi que Gaborik aime bien se comporter en diva. Ça tombe bien mal, puisque l'esprit d'équipe est justement l'une des grandes forces du Canadien. Peut-on sérieusement prendre le risque de briser ce bel esprit avec un joueur qui pense à lui un peu trop souvent? Sans doute pas.

     

    Il y a la question santé. Monsieur a bel et bien disputé 77 matchs la saison dernière, mais avant ça, c'était 48. Et voici qu'on le dit aux prises avec des petites blessures « dans le bas du corps «. Il va disputer combien de matchs cette saison, le Marian? Seul son coiffeur le sait.

     

    Cela dit, le problème principal est d'ordre financier. L'incontournable plafond salarial est un obstacle de taille, mais il y a aussi que Bob Gainey, depuis son arrivée au Centre Bell, ne fait pas trop de folies avec l'argent de George Gillett (pas qu'il n'ait pas été tenté, remarquez...). Si Marian Gaborik ne veut pas d'une offre de 10 ans pour plus de 8 millions de dollars par saison, il veut quoi, alors? Probablement trop d'argent au goût de Bob Gainey.

     

    Non, vraiment, le Canadien n'a pas besoin de ce gars-là. L'équipe est solide. L'esprit de corps est bon. La relève semble assurée. Pour toutes ces raisons, il serait imprudent de tout chambouler pour un joueur qui suscite autant d'inquiétudes. Et pour un joueur qui, de toute évidence, a déjà hâte au 1er juillet 2009.

     

    http://www.cyberpresse.ca/sports/hockey/200810/17/01-30207-pas-besoin-de-gaborik.php

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