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Messages posté(e)s par Malek

  1. Comment trouver 1 G$ quand les temps sont durs?

     

    16 octobre 2008 - 06h00

     

    La Presse

     

    René Lewandowski, collaboration spéciale

     

     

     

     

    Une douzaine de banques ont allongé 1,1 G$ pour financer l'achèvement de l'autoroute 30. Un avocat d'Ogilvy Renault nous raconte les coulisses...

     

    L'avocat Robert Borduas est un pro pour ficeler des gros financements. Comme coresponsable de l'équipe Projet et financement de projet du cabinet Ogilvy Renault, il a, au cours de sa carrière, piloté plusieurs dossiers d'envergure, comme notamment une facilité de lettres de crédit de 4,3 milliards d'euros pour Bombardier ou représenté Alcan pour des lettres de crédit syndiquées de 1 milliard de dollars.

     

    Mais en novembre 2007, il a reçu un appel plutôt inusité d'un des dirigeants du consortium Nouvelle Autoroute 30, celui qui allait remporter l'appel d'offres quelque mois plus tard. «On aimerait que vous représentiez nos prêteurs; pouvez-vous le faire?» lui demande son interlocuteur.

     

    Jusque-là, rien à signaler. Sauf qu'il y avait un hic: Les prêteurs en question n'étaient pas encore connus et n'avaient donc pas de noms!

     

    «Il fallait que j'analyse le contrat de l'entente de partenariat en tenant compte des intérêts des prêteurs... que je ne connaissais pas», raconte l'associé de 42 ans, sans le moindre soupçon d'ironie.

     

    Qu'à cela ne tienne, il se met au boulot sur-le-champ. Mais il doit faire vite car son client lui demande de regarder le contrat - une brique d'un millier de pages - et de lui formuler son analyse une semaine plus tard.

     

    Il épluche donc la documentation. Ce qu'il scrute surtout c'est tout ce qui pourrait affecter les paiements prévus au contrat: les pénalités, les cas de défauts, les cas de force majeure.

     

    «Dans le fond, j'analyse l'ensemble du contrat, mais en me mettant dans la peau d'un prêteur», explique-t-il.

     

    Son boulot ne reprend qu'au printemps 2008. Cette fois, les trois consortiums finalistes sont connus et chacun d'entre eux a identifié une liste de prêteurs potentiels, de grandes institutions financières internationales pour la plupart.

     

    Robert Borduas, lui, a le mandat de négocier pour le compte d'une dizaine de banques le sommaire des termes et conditions, un document qui décrit en quelque sorte la structure du financement et les termes et conditions générales.

     

     

     

    Trois mille courriels

     

     

     

    Pendant deux mois, lui et son équipe chez Ogilvy Renault négocient serré avec tout ce beau monde. Ils tiennent des téléconférences avec Madrid, Londres, Barcelone, New York, Toronto... Des appels qui durent parfois plus de trois heures!

     

    «Les banquiers nous mitraillaient de questions, dit-il. Ils voulaient connaître les risques juridiques, les recours possibles selon les situations, l'environnement juridique propre au Québec...»

     

    À la fin du mois de mai, les trois finalistes déposent leur soumission, dont leur proposition financière; dans le dossier piloté par Robert Borduas, une demi-douzaine de banques se sont commises pour allonger les sous.

     

    Le tourbillon reprend de plus belle en juin 2008, à l'annonce du consortium gagnant. Bonne nouvelle pour Robert Borduas, il a choisi le bon cheval!

     

    «On n'avait que 90 jours pour conclure. C'est extrêmement court pour un dossier aussi important», dit celui qui a reçu plus de 3000 courriels entre juin et septembre, juste sur ce dossier.

     

    Pour les avocats, le travail consiste à transposer en documentation définitive tout ce que l'on a discuté au cours des mois précédents. Et à vérifier et revérifier les détails.

     

    Entre-temps, par le processus de syndication, le nombre de banques passe de six à douze.

     

    Tout allait bien en fait ...jusqu'à ce qu'arrive septembre et la crise financière.

     

    «Tout d'un coup, certaines banques sont devenues très nerveuses et se sont demandées si elles devaient embarquer ou non dans un prêt de 30 ans.»

     

    Au point de faire échouer la transaction? Pas vraiment, dit Robert Borduas. "Mais réunir plus d'un milliard de dollars dans ces conditions est tout de même un tour de force."

     

    Financement 101 en période de crise

     

    Vous cherchez du financement, mais ne savez pas comment aborder votre banquier en ces temps difficiles. Un pro vous explique ce qui se passe dans la tête de votre gérant de banque.

     

    1) Attendez. Deux facteurs ont présentement une influence importante sur le marché du prêt bancaire pour les entreprises, explique Robert Borduas: la crise de confiance qui affecte les institutions financières et l'anticipation d'une récession. Le premier facteur a pour effet d'augmenter le coût des fonds des banques et, par conséquent, les taux d'intérêt exigés par ces dernières sur les prêts aux entreprises. Si votre entreprise n'a pas à refinancer sa dette à brève échéance, il est sans doute préférable d'attendre que l'instabilité du secteur financier se résorbe.

     

    2) Occasions d'affaires. Quant à l'anticipation d'une récession, elle incite naturellement les banques à la prudence. L'entreprise qui sollicite des facilités de crédit devra donc démontrer qu'elle offre un profil de risque intéressant même en cas de récession. Par ailleurs, les récessions sont souvent source d'occasions d'affaires. Par exemple, une société pourra profiter d'un tel contexte pour acheter à bon prix un concurrent qui éprouve des difficultés. Les banques devraient donc demeurer ouvertes à la possibilité de financer leurs clients pour leur permettre de saisir de telles occasions.

     

    http://lapresseaffaires.cyberpresse.ca/article/20081016/LAINFORMER/810160968/0/LAINFORMER01

  2. L'autoroute à un milliard de dollars

     

    16 octobre 2008 - 06h00

     

    La Presse

     

    René Lewandowski, collaboration spéciale

     

     

     

     

    Pour représenter le consortium gagnant pour le L'achèvement en PPP de l'autoroute, une équipe d'avocats de Gowlings ont boulonné pendant 15 mois. Presque jour et nuit!

     

    S'il n'était pas de nature réservée, l'avocat Luc Lissoir aurait probablement crié de joie en cet après-midi du 18 juin 2008. Il venait de recevoir un courriel de KPMG - le représentant du ministère des Transports du Québec - lui confirmant que son client, le consortium Nouvelle Autoroute 30, avait remporté l'appel d'offres pour l'achèvement en partenariat public-privé (PPP) de l'autoroute 30.

     

    Discret, Luc Lissoir s'est plutôt levé de son fauteuil pour aller féliciter toute son équipe d'avocats qui avaient travaillé avec lui sur ce dossier et pour annoncer la bonne nouvelle à ses autres collègues du bureau de Montréal. Une demi-heure plus tard, l'information était disponible sur le réseau Intranet du cabinet, accessible aux quelque 700 avocats de Gowlings dans tout le Canada.

     

    «J'étais excessivement content parce que, grâce à cette victoire, je savais ce que j'allais faire pour le restant de l'année», dit l'associé de 53 ans, alors qu'il reçoit La Presse dans une salle de conférence de Gowlings, au 37e étage de la Place Ville-Marie.

     

    Pour Luc Lissoir et son équipe, le fait que leur client remporte cet appel d'offres représentait non seulement l'aboutissement de 15 mois de boulot intensif, mais aussi, et surtout, cela signifiait qu'ils allaient devoir mettre les bouchées doubles pour les mois à venir, car l'entente de partenariat finale devait être signée dans les 90 jours, au plus tard, ce qui fut fait.

     

    Inutile de dire que Luc Lissoir n'a pas pris un jour de vacances l'été dernier, ni depuis un bon bout de temps d'ailleurs.

     

    On n'imagine pas à quel point ce qu'un PPP de cette envergure peut représenter comme somme de travail juridique. Il faut négocier, conclure et signer des ententes avec les constructeurs et les sous-traitants de même qu'avec les financiers et les fonctionnaires. Il faut analyser des milliers de pages de documents. Plusieurs secteurs du droit sont sollicités: environnement, fiscalité, financement, corporatif, construction, droit des assurances...

     

    «C'est plusieurs milliers d'heures de travail», dit Luc Lissoir. Il souligne qu'une cinquantaine de professionnels de Gowlings ont planché sur ce dossier, à un moment ou à un autre.

     

    L'histoire avait pourtant débuté bien tranquillement pour Luc Lissoir. En décembre 2006, il reçoit un appel d'un de ses collègues de Gowlings de l'ouest du pays, qui lui mentionne qu'un des dirigeants de la société espagnole Acciona, S.A. avait un intérêt pour participer à l'appel d'offres de l'autoroute 30. Cette société de Madrid avait déjà fait partie d'un consortium pour l'autoroute 25, mais, semble-t-il, n'avait pas été satisfaite de ses conseillers juridiques et s'en cherchait de nouveaux.

     

    Après une rencontre aux bureaux de Gowlings, les choses en sont restées là jusqu'au printemps 2007 alors que le consortium dont faisait partie Acciona fut présélectionné pour aller plus loin.

     

    Ce n'est donc qu'à partir d'avril 2007 que Luc Lissoir et son équipe entrent en jeu avec le mandat de représenter le consortium et de l'assister dans la préparation et la présentation d'une soumission qui saura convaincre les fonctionnaires du Ministère des Transports du Québec.

     

     

     

    Un travail de séduction

     

     

     

    Dans un premier temps, les juristes font une analyse du risque financier et juridique. Ils analysent entre autres le document embryonnaire de l'entente de partenariat, le contrat de PPP en quelque sorte, qui liera éventuellement tous les intervenants.

     

    Ils mettent aussi par écrit les points importants à discuter lors des «ateliers». Au nombre de cinq, ces ateliers sont des périodes prédéterminées, alloués aux divers consortiums, où leurs dirigeants et leurs avocats ont des discussions avec les fonctionnaires du gouvernement, du ministère des Transports, de l'Agence des PPP, eux aussi représentés par leurs avocats.

     

    C'est l'occasion d'impressionner les «juges», mais aussi de poser des questions, de proposer des modifications, de préciser des technicalités, de discuter des modalités de financement. Une vingtaine de personnes sont présentes à l'occasion de ces rencontres, qui se déroulent entre septembre 2007 et janvier 2008.

     

    Une fois les ateliers passés vient la finalisation de l'offre. Elle contient deux volets. Un premier, technique, un deuxième, financier. Les documents sont précis et volumineux. «Il nous a fallu un gros chariot pour transporter les 12 boîtes de documents!» se souvient Luc Lissoir.

     

    L'avocat en a vu d'autres. Il soutient que bien qu'important, ce mandat n'est pas le plus gros ni le plus payant en 2008 pour le bureau montréalais de Gowlings. «Mais c'est certainement l'un des plus intéressants d'un point de vue humain», ajoute-t-il.

     

    Il explique qu'il y avait un volet «culturel» dans ce dossier, parce que les clients étaient étrangers. Ses intervenants étaient aussi bien français, espagnols, mexicains et britanniques. Une vraie tour de Babel quoi!

     

    http://lapresseaffaires.cyberpresse.ca/article/20081016/LAINFORMER/810160963/-1/LAINFORMER01

  3. Le but visé devrait être "d'intercepter" les automobilistes pour qu'ils délaissent leur voiture quand ils passent d'un secteur à faible fréquence de transport en commun pour entrer dans un secteur à plus forte fréquence. Avoir des stationnements incitatifs près de moyens de transport en commun à haut débit et à autre vitesse (métro, train de banlieue, tramway, ligne express d'autobus et voies réservées) est une excellente façon d'atteindre cet objectif.

     

    Ça ne veut pas dire qu'il faille complètement abandonner les autobus dans ces secteurs. À Laval, aux heures de pointes, il y a des autobus bondés sur plusieurs circuits. Hors pointe, c'est plutôt vide. La solution serait peut être d'avoir des autobus plus petits hors pointe et sur les circuits secondaires pour diminuer la consommation d'énergie?

     

    Hors pointe, l'idée la plus originale que j'ai vu, c'est à drumondville, un espèce de taxi sur horraire que tu paies 3$ pour aller ou tu veux...C'est vraiment efficace.

  4. On embarque encore dans un débat plus vaste, mais ce qui coute le plus cher, c'est de mettre des stationnement justement. Oui, à court terme c'est très peu cher de paver un bout de terre. Mais à long terme, c'est certainement pas ce qu'il y a de mieux pour la qualité des milieux de vie. Chaque chose a un coût réel qui ne se calcule pas en fonction de l'argent.

     

    Je vois pas ou ca coute plus cher???? qualité de vie? mais de quoi tu parles au juste?

     

    Dans les banlieux ce qui coute le plus cher justement c'est un service de bus qui est vide, c'est des gens qui se font chier à attendre 15-30 minutes pour un bus en heure de pointe. La neige, la pluie et le vent, tu connais pas? C'est ça la qualité de vie?

     

    Hop tu sautes dans ton auto, 5-10 minutes, tu te gares et tu prends le train ou le métro. Dans les zones moins denses, ce qui coute le plus cher justement c'est le transport en commun à courte distance, pourquoi ne pas accomoder le citoyen et le laisser payer entièrement la facture (son gaz, son auto,...).

  5. U.S. slowdown hits Canada but no recession seen: Conference Board

    4 hours ago

     

    TORONTO — Canada's economy faces some tough challenges as exports are further affected by a prolonged global slowdown and domestic demand weakens, the Conference Board of Canada says.

     

    Despite the cautious sentiment, Board economist Paul Darby says Canada will avoid a recession. He told the Conference Board's annual business outlook briefing that economic growth will be weak in many areas but he expects overall gross domestic product will be up next year.

     

    Canadian tourism is expected to be one of the hardest hit sectors in the new year while retailing, autos and furnishings will see a scaling back amid weaker consumer confidence, according to the board.

     

    But the situation is different now than in the 1990-91 and 1981-82 recessions, Darby said.

     

    "We're not part of the problem in a sense, even though we get into lower growth," Darby said.

     

    Darby says investments in business projects, including Alberta's oil sands, are weakening but will grow at three per cent next year.

     

    Business construction in major cities like Calgary and Toronto will also slow to reflect the weaker outlook.

     

    The U.S. turmoil is holding Canada's projected economic growth for this year to 0.8 per cent, the think-tank said Wednesday.

     

    Darby projected that weaker domestic demand will contribute to weaker employment growth of 0.7 per cent in 2009.

     

    "This is clearly no disaster," he said. "Those are not employment numbers consistent with a recession".

     

    The Board's outlook makes several assumptions, including that the rescue packages in the United States and Europe will help loosen the banks' lending practices and increase business investments".

     

    "Living beside a troubled neighbour is taking its toll," Glen Hodgson, another economist with the private-sector think-tank.

     

    "Massive declines in the trade sector have shredded Canada's economic growth, and raw material prices have fallen off their peak levels. Still, the domestic economy has enough momentum to keep Canada out of a recession."

  6. Ils ne veulent pas investir dans la construction de nouvelles routes, mais font des investissements dérisoire pour l'amélioration du TEC, ou sinon c'Est des années et des années de tergiversations pour avoir droit a un équipement lourd qui est plus efficace qu'un circuit d'autobus

     

     

    Pourtant ce qui coute le moins cher c'est de construire plus de stationnements right? Beeeen non, il faut faire chier le peuple en enlevant des stationnements dans les rues pour des voies réservés avec des bus vides, instaurer des vignettes de stationnement dans les rues même quand toutes les maisons ont des garages et mettre un horraire stupide pour le "nettoyage" de rues pour vraiment réduire l'offre.

     

    C'est ce qui se passe présentement à Laval en passant, c'est ridicule.

  7. Pas assez de stationnements incitatifs

     

     

    Photo: Ivanoh Demers, Archives La Presse

    Éric Clément

    La Presse

     

     

    La promotion des transports en commun et la hausse du prix de l'essence incitent un nombre grandissant de citoyens de la région montréalaise à délaisser l'auto en faveur du métro, du train ou de l'autobus. Mais pour laisser son véhicule dans un stationnement incitatif, encore faut-il qu'il y ait de la place...

     

    Renard Roy a ce problème. Demeurant à Terrebonne et travaillant au centre-ville de Montréal, il utilise son véhicule jusqu'au métro Radisson, où se trouve un parc-auto de 518 places. Mais il doit arriver avant 6h30 pour trouver une place. «En septembre et début octobre, c'est même complet à 6h15, dit-il. Je dois donc quitter la maison autour de 5h30-5h45, ce qui implique de me lever vers 4h45!»

     

     

    M. Roy a appelé l'Agence métropolitaine de transport (AMT). «Ils ont confirmé mes dires: le stationnement affiche complet à 100% tous les jours, dit-il. Dans leur planification triennale (2008 à 2010), ils prévoient ajouter 100 places, ce qui est nettement insuffisant aujourd'hui. Alors, imaginez en 2010! À mon avis, qui est partagé par plusieurs collègues qui demeurent dans la couronne nord et dans la région de Repentigny, il faudrait ajouter au moins 250 places maintenant et 250 places en 2010.»

     

     

    Renard Roy estime qu'on ne peut à la fois inciter les gens à utiliser les transports en commun et ne pas leur fournir le service approprié.

     

    «On est conscient que les stationnements incitatifs sont très occupés, dit Martine Rouette, responsable des communications à l'AMT. Plusieurs projets d'augmentation de leur capacité s'en viennent. On a la même situation au métro de Laval. On sait qu'il y a une hausse de la fréquentation du réseau, notamment pour le train, de 8%.»

     

    Travaux en cours

     

    Des travaux d'augmentation de la capacité des parcs incitatifs sont en cours le long de la ligne de train de Deux-Montagnes, à la gare de Sunnybrook (Pierrefonds-Roxboro) pour 100 places supplémentaires. Des travaux pour 80 places supplémentaires sont aussi faits à la gare de Sainte-Dorothée (Laval), dit Mme Rouette.

     

    «Il y en aura d'autres dans les semaines à venir, dit-elle. Sur la ligne Blainville-Saint-Jérôme, 80 nouvelles places sont en cours de réalisation près de la gare de Vimont. Cet été, nous avons augmenté de 250 places le stationnement incitatif de la gare Vaudreuil, sur la ligne Dorion-Rigaud. De nouvelles places seront d'ailleurs créées à cet endroit au cours de l'automne. Et sur la même ligne, à la gare de L'Île-Perrot, 150 nouvelles places ont été aménagées cet été.»

     

    Mais Mme Rouette confirme que la capacité du stationnement du métro Radisson ne sera augmentée que de 100 places d'ici 2010. M. Roy va donc continuer à se lever tôt, ou alors à prendre sa voiture jusqu'au centre-ville, ce qu'il juge fort regrettable pour lui mais aussi pour l'environnement.

     

     

    http://www.cyberpresse.ca/actualites/regional/montreal/200810/15/01-29519-pas-assez-de-stationnements-incitatifs.php

  8. It's great to extend the green line into Lasalle.

    The problem is that the wagons are already overflowing with people at peak periods.

    What this city needs is a city-wide commuting plan with incentives for people and companies to have staggered shifts (e.g. 7-4, 10-6, 11-7) so that the 9-5 crowd can breathe!

     

     

    I think the govt have to push daycares to adopt more flexible schedule to permit this.

     

    Lots of employers permit a flexible work schedule, it's the schools and daycares that are limiting workers.

  9. I think I'm the only one who has posted in this thread that SUPPORTS the exit of this festival of pollution, noise and industrial lust.

     

    Let it go. This is one of those circuses that make us really sick.

     

    If the only way for Montreal to bring in these tourists is to send cars hurtling around a loop and putting the city under a haze of carbon monoxide, we're better off without them.

     

    Car racing isn't Mother Teresa. It's marketing for the auto and oil industry, as well as a way for alienated and bored males to pretend to be taking part in something "important" and "international."

     

    Replace it with a World Bicycle race or marathon. Car racing is both anachronistic and infantile.

     

    :rolleyes: :rolleyes: :rolleyes:

  10. Grand Prix du Canada «Montréal va manquer à la formule 1» - Scott Speed

     

    Dominic Fugère

    Journal de Montréal

    10/10/2008 09h56 e-journaldemontreal.gif

    «C'est vraiment moche que l'épreuve de Montréal ait été supprimée, parce que c'était vraiment l'un des trois meilleurs endroits à visiter du calendrier», a dit l'ex-pilote de F-1 Scott Speed, qui fera ses débuts en coupe Sprint de NASCAR ce week-end.

     

     

    Au-delà du circuit, c'est Montréal en tant que ville qui manquera à la F-1, estime Speed.

     

    «La beauté d'une ville est quelque chose qui est très difficile à feindre et Montréal est vraiment une belle ville.

     

    «Le circuit en tant que tel est correct, mais l'emplacement, dans le parc, au milieu du fleuve, est extraordinaire. Au-delà de ça, cependant, c'est quand on se promène dans les rues que la ville se révèle.

     

    «L'architecture est exceptionnelle, surtout pour une ville nord-américaine», explique Speed qui, même s'il est né en Californie, se dit davantage Européen qu'Américain.

     

    Vie festive

     

    S'il n'a pas fréquenté les bars de danseuses si prisés de son ex-coéquipier Mark Webber, Speed croit que la F-1 regrettera sans doute la vie festive de la métropole.

     

    «Les fêtes organisées conjointement par Red Bull et le Cirque du Soleil, avec des lits partout, les artistes du Cirque et l'atmosphère très spéciale resteront éternellement gravés dans ma mémoire», a ajouté Speed.

     

    Cela dit, il n'exclut pas un retour sur le circuit Gilles- Villeneuve, en série Nationwide de NASCAR.

     

    «Si Red Bull estime que c'est une bonne chose d'y aller, j'y serai. Ils ont pris toutes les décisions jusqu'ici dans ma carrière et ils ne se sont pas trop trompés.

     

    «En revanche, je ne ferai pas de crise s'ils décident de laisser faire», a conclu Speed.

     

     

    http://www2.canoe.com/sports/nouvelles/archives/2008/10/20081010-095601.html

  11. Question aux gens qui sont dans l'industrie de la construction (ou ailleurs si vous voulez commenter), ne trouvez-vous pas que cette panique médiatique commence à se faire sentir dans le réel ? On observe depuis 1 mois, à la compagnie pour laquelle je travaille actuellement, une baisse assez importante de demande de renseignements venant de nouveaux clients. Je ne peux pas encore mettre le doigt sur la cause de ce problème, mais je crois que le robinet du crédit a réellement commencé à se refermer au Canada.

     

    Je crois que les gens ont simplement pris panique et mettent tout sur pause. Je ne crois pas que les banques canadiennes ont vraiment fermé le robinet du crédit comme tu le dis.

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