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Malek

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Messages posté(e)s par Malek

  1. Je veux dire que le Port pourrait très facilement mettre de l'eau dans son vin, concernant ce secteur. Il est sous-utilisé et n'est pas névralgique. Il suffirait de laisser 2 voies ferrées et le reste pourrait être cédé à un promoteur pour faire un projet similaire à ce que Etienne suggère.

     

    Où je voulais en venir, c'est que croyez-vous que le Port accepterait un tel compromis ?? très peu probable. Le Port se croit Dieu et Maître et croit avoir priorité d'usage sur tout le monde.

     

    Oui mais 2 voies de chemin de fer, c'est quand même un blocage sur le fleuve, c'est quand même pas ce que Étienne et sa bande veulent... c'est ça le problème, c'est pas le nombre de voies ferrés, c'est les voies ferrés eux-mêmes. Les grues pour container et le bruit ne déménageront pas, et personne veut vivre avec ça dans son jardin (si on regarde le plan d'étienne, il propose des résidences).

  2. Avec le temps, je me rends compte que c'est les gens qui ont le plus de temps entre les mains qui sautent dans les tribunes et contestent tout... le citoyen honnête qui doit se rendre au boulot dans un traffic de la mort, lui à pas la temps pour écrire des lettres et faire des marches à la con...

  3. Une opposition coûteuse

     

     

    Construit en 1967, l'échangeur Turcot est frappé de «vieillissement prématuré» et affligé «d'une conception maintenant désuète».

     

    Photo: Martin Tremblay, Archives La Presse

    Françoise Bertrand

     

     

     

    Des pétitions s'empilent contre les deux plus importants projets d'infrastructures routières de Montréal: l'échangeur Turcot et la rue Notre-Dame. Des groupes de citoyens s'opposent à ces deux projets au nom de l'écologie, de la promotion des transports en commun, de l'opposition à l'automobile, de la préservation intégrale des quartiers actuels ou d'une conception non définie du développement urbain.

     

    Pourtant, ces deux projets sont devenus indispensables au développement de Montréal et même à une approche plus intégrée des divers modes de transports dans la métropole.

     

     

     

    Le grand bouchon

     

     

    Commençons par l'échangeur Turcot. Il s'agit d'une infrastructure vieille de 40 ans, qui va bientôt poser des problèmes de sécurité, qui n'est pas particulièrement esthétique, qui défigure une partie du sud-ouest de Montréal et qui est congestionnée pendant de nombreuses heures de la journée. On se serait attendu à ce que la modernisation de cette infrastructure, un projet de 1,5 milliard de dollars, recueille un large consensus, d'autant plus que l'on va en profiter pour y mettre moins de béton et réhabiliter une partie du Sud-Ouest de la ville par la mise en valeur des terrains de l'ancienne gare de triage ferroviaire.

     

    Il en va de même de la modernisation de la rue Notre-Dame. Là encore, la désuétude de ce boulevard urbain crève les yeux. On ne voit pas en quoi la qualité de vie des résidants serait rehaussée par le maintien de l'infrastructure actuelle. Bien au contraire, le projet de modernisation, qui va coûter 1,2 milliard de dollars, va permettre non seulement une plus grande fluidité du transport routier, mais va faciliter l'aménagement de voies réservées aux transports en commun et même au vélo. On va revamper un quartier qui en a bien besoin.

     

    Non, dès lors que ces projets font appel à des grues, qu'on souhaite améliorer la circulation automobile et qu'il est porté par les pouvoirs publics, on doit s'y opposer. Dans la logique des opposants, il faudrait tout arrêter, faire fi des consultations qui se sont tenues depuis 2002, déchirer les ententes entre la ville et le gouvernement du Québec et mettre tous nos oeufs dans les transports en commun.

     

    Le souci légitime d'améliorer les transports publics n'enlève rien à la nécessité pressante de procéder aux travaux sur la rue Notre-Dame et à l'échangeur Trucot.

     

    Tout le monde dans le 450!

     

    Montréal a un urgent besoin de refaire une bonne partie de ses infrastructures. Privé de la modernisation de ses voies d'accès, Montréal continuera à se dépeupler et à voir ses entreprises et ses citoyens quitter pour la banlieue où la circulation est plus fluide. Est-ce bien l'objectif des opposants? Vider Montréal de ses résidants et de ses entreprises? Certainement pas. Mais c'est la conséquence à long terme des gestes qu'ils posent en ce moment.

     

    Ces travaux dérangent, c'est évident. Certes, la population doit être consultée et divers scénarios doivent être étudiés avant d'arrêter les meilleurs choix. Mais en définitive, il faut arbitrer, décider et passer à l'action. Dans les deux projets en cause ici, ce n'est pas la consultation qui a fait défaut.

     

    On ne fera pas du développement en prêtant une attention démesurée à des groupes qui s'opposent systématiquement à tout développement. Ils ont droit de parole. Les gouvernements ont la responsabilité d'agir.

     

    L'auteure est présidente-directrice générale de la Fédération des chambres de commerce du Québec.

     

     

    http://www.cyberpresse.ca/opinions/forums/la-presse/200810/29/01-33977-une-opposition-couteuse.php

  4. Une opposition coûteuse

     

     

    Construit en 1967, l'échangeur Turcot est frappé de «vieillissement prématuré» et affligé «d'une conception maintenant désuète».

     

    Photo: Martin Tremblay, Archives La Presse

    Françoise Bertrand

     

     

     

    Des pétitions s'empilent contre les deux plus importants projets d'infrastructures routières de Montréal: l'échangeur Turcot et la rue Notre-Dame. Des groupes de citoyens s'opposent à ces deux projets au nom de l'écologie, de la promotion des transports en commun, de l'opposition à l'automobile, de la préservation intégrale des quartiers actuels ou d'une conception non définie du développement urbain.

     

    Pourtant, ces deux projets sont devenus indispensables au développement de Montréal et même à une approche plus intégrée des divers modes de transports dans la métropole.

     

     

     

    Le grand bouchon

     

     

    Commençons par l'échangeur Turcot. Il s'agit d'une infrastructure vieille de 40 ans, qui va bientôt poser des problèmes de sécurité, qui n'est pas particulièrement esthétique, qui défigure une partie du sud-ouest de Montréal et qui est congestionnée pendant de nombreuses heures de la journée. On se serait attendu à ce que la modernisation de cette infrastructure, un projet de 1,5 milliard de dollars, recueille un large consensus, d'autant plus que l'on va en profiter pour y mettre moins de béton et réhabiliter une partie du Sud-Ouest de la ville par la mise en valeur des terrains de l'ancienne gare de triage ferroviaire.

     

    Il en va de même de la modernisation de la rue Notre-Dame. Là encore, la désuétude de ce boulevard urbain crève les yeux. On ne voit pas en quoi la qualité de vie des résidants serait rehaussée par le maintien de l'infrastructure actuelle. Bien au contraire, le projet de modernisation, qui va coûter 1,2 milliard de dollars, va permettre non seulement une plus grande fluidité du transport routier, mais va faciliter l'aménagement de voies réservées aux transports en commun et même au vélo. On va revamper un quartier qui en a bien besoin.

     

    Non, dès lors que ces projets font appel à des grues, qu'on souhaite améliorer la circulation automobile et qu'il est porté par les pouvoirs publics, on doit s'y opposer. Dans la logique des opposants, il faudrait tout arrêter, faire fi des consultations qui se sont tenues depuis 2002, déchirer les ententes entre la ville et le gouvernement du Québec et mettre tous nos oeufs dans les transports en commun.

     

    Le souci légitime d'améliorer les transports publics n'enlève rien à la nécessité pressante de procéder aux travaux sur la rue Notre-Dame et à l'échangeur Trucot.

     

    Tout le monde dans le 450!

     

    Montréal a un urgent besoin de refaire une bonne partie de ses infrastructures. Privé de la modernisation de ses voies d'accès, Montréal continuera à se dépeupler et à voir ses entreprises et ses citoyens quitter pour la banlieue où la circulation est plus fluide. Est-ce bien l'objectif des opposants? Vider Montréal de ses résidants et de ses entreprises? Certainement pas. Mais c'est la conséquence à long terme des gestes qu'ils posent en ce moment.

     

    Ces travaux dérangent, c'est évident. Certes, la population doit être consultée et divers scénarios doivent être étudiés avant d'arrêter les meilleurs choix. Mais en définitive, il faut arbitrer, décider et passer à l'action. Dans les deux projets en cause ici, ce n'est pas la consultation qui a fait défaut.

     

    On ne fera pas du développement en prêtant une attention démesurée à des groupes qui s'opposent systématiquement à tout développement. Ils ont droit de parole. Les gouvernements ont la responsabilité d'agir.

     

    L'auteure est présidente-directrice générale de la Fédération des chambres de commerce du Québec.

     

     

    http://www.cyberpresse.ca/opinions/forums/la-presse/200810/29/01-33977-une-opposition-couteuse.php

  5. Avenir du GP du Canada: une décision serait imminente- La Presse Canadienne

    Montréal

    29 octobre 2008 | 08 h 56

     

    Photo Archives La Presse - Agrandir

     

     

    Une décision serait imminente pour l'avenir à Montréal du Grand Prix du Canada de Formule Un.

     

    Le Journal de Montréal rapporte mercredi que les gouvernements devraient faire savoir d'ici vendredi s'ils accepteront ou non d'injecter des fonds publics pour sauver l'événement.

    Les hommes d'affaires Guy Laliberté et George Gillett analyseraient eux aussi la possibilité de consacrer de l'argent au Grand Prix.Pour confirmer un investissement, le gouvernement du Québec exigera qu'il soit moindre que les retombées fiscales qu'il tirera de l'événement qui a été biffé du calendrier de 2009.

     

    Le temps presse pour les pouvoirs publics et les investisseurs privés potentiels. La Fédération internationale de l'automobile (FIA) doit décider le 5 novembre de la constitution du calendrier 2009.

    http://monvolant.cyberpresse.ca/course-automobile/formule-1/200810/29/01-33993-avenir-du-gp-du-canada-une-decision-serait-imminente.php

  6. Ce que je comprends pas, c'est que logo est dévoilé, mais rien n'est rendu disponible!

     

    Le logo devrait être mis à la disposition de tous les gens qui veulent bien l'utiliser.

     

    Cela dit, le logo a plusieurs couleurs et montages pour remplir chaque case du M... j'en ai vu plusieurs à la tv et je crois que certains d'entre eux sont pas mal du tout...

  7. Pas de consultation publique cet automne

    Noée Murchison

    Le Journal de Montréal

    28/10/2008 08h26

     

     

    Les consultations publiques sur l'implantation d'un péage autour de Montréal n'auront pas lieu cet automne finalement.

     

     

    Joint par le Journal hier, le responsable du transport au comité exécutif de la Ville de Montréal a indiqué que la tenue d'une telle commission est écartée à court terme. «C'était le scénario qu'on avait au mois de mai, mais dans le contexte où il y a des élections à Ottawa et aussi à Québec, on tient compte de l'environnement», dit André Lavallée.

     

     

    L'administration Tremblay annonçait en juin dernier la tenue d'une commission de consultation publique pour rallier les villes de banlieue à son projet d'imposer un péage de près de 3 $ pour circuler en ville. Cette mesure, envisagée pour financer l'ambitieux Plan de transport de Montréal de 8,1 milliards de dollars, avait soulevé la colère de plusieurs maires des couronnes. M. Lavallée affirme cependant que tous les scénarios sont encore envisagés.

     

    http://www2.canoe.com/infos/quebeccanada/archives/2008/10/20081028-082600.html

  8. Très bien : si cet évènement génère autant d'argent dans l'économie, on parle bien de capitalisme. Donc, ce sont ceux qui en profitent qui doivent payer pour le GP. Pas le gouvernement. Ni celui de la ville, ni celui du Québec.

    Pour ma part, je suis déjà préparé à vivre l'après-GP. Ma profonde conviction que si nous perdons le GP à jamais (et je n'en serais pas surpris) que la ville s'en remettra.

     

     

    Je crois que tu comprends pas ce que les mots revenues fiscales veulent dire, les gouvernements en tirent avantage, c'est ça qui paie tes nouveaux bus et ton service de métro en partie.

     

     

     

    Solution à la prostitution : la rendre légale et la confiner dans un quartier spécialisé. C'est tellement simple et ce n'est pas "ma" solution mais une alternative connue et suggérée depuis longtemps.

    C'est vrai que ce coin est beaucoup moins fréquenté par les putes qu'autrefois justement parce que les résidents du quartier ont eu la Ville à l'usure et que l'administration a finalement dû se plier aux désidératas de la population et agir en conséquence.

    On pourrait emménager ce quartier spécialisé dans ton quartier, sur le plateau, quelque part au sud de Mont-Royal, au nord de Rachel. Ça fitterait parfaitement non?

     

     

     

    Quant aux after-hours : c'est la même chose. Une ville évolue et les quartiers aussi. Une activité disparaît pour laisser place à une autre. Le centre-ville qui n'était pas autant habité l'est désormais. Certaines activités commerciales sont innaceptables dans un quartier résidentiel. Elles finissent par disparaître.

     

    C'est ça tu n'aimes pas la banlieu, trop résidentielle, mais virer ton centre ville en un centre ville ennuyeux et résidentiel ça te dérange pas... double standard?

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