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Gbx

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Messages posté(e)s par Gbx

  1. Je suis sceptique. une entreprise qui fait signer un contrat ou le partenaire publique porte tout le risque doit être un peu de mauvaise foi... ou au moins profiteur.

     

    Vous allez me dire que c'est le propre d'une entreprise privé. Alors pourquoi on fait des PPPs?

     

    Justement pour éviter cela! L'idée à l'origine du PPP EST le transfert de risque. En mode conventionnel, le secteur public assumme tous les risques (avec les performances que l'on sait), alors qu'ils sont partagés en partenariat.

     

    Il semble aussi qu'il y ait pas mal de confusion sur ce qu'on entend par "mode conventionnel", en effet beaucoup de gens semble croire que c'est le secteur public qui construit traditionnellement. Nous n'avons pas au Québec de société de la couronne faisant de la construction! En fait il s'agit toujours d'une entreprise privé qui assume la construction, ce n'est que la gestion du projet qui est déléguée au privé en PPP.

     

    La deuxième idée, c'est de garantir la qualité. En effet, en conventionnel, le constracteur n'est plus responsable du site une fois qu'il est livré alors qu'en partenariat, il doit l'entretenir pendant 30 ans. Le partenaire est très fortement incité par ce biais à utiliser des matériaux de bonne qualité car il va vouloir minimiser les frais d'entretien durant le partenariat. En mode traditionnel, les constructeurs sont incités à ne pas penser à long terme et le public a tendance a retenir le soumissionaire offrant des couts de construction les moins cher sans tenir compte que cela va impliquer des frais d'entretien plus élevés à l'avenir.

     

    De plus, les budgets d'entretien étant déterminé à l'avance, on élimine le risque "politique" du sous investissement en entretien (qui est extremement couteux à long terme, car un entretien insuffisant mène au viellissement prématuré des infrastructures). C'est en quelque sorte une assurance du gouvernement contre lui même!!

  2. On dirait que tu ne comprends pas que l'électricité est un bien essentiel et qu'on ne peut pas s'en passer. Surtout au Québec avec notre froid national.

     

    Et que si tu ne paies pas Hydro-Québec pour ton électricité, tu l'aurais payé à une compagnie privée a un prix beaucoup plus élevé. Et pour en rajouter, les profits seraient versés aux actionnaires, qu'ils soient au Québec ou à l'extérieur. Ces profits ne viendront pas soutenir les projets d'ici.

     

    En plus, tu continues tu fais allusion au Gouvernement comme si c'était une entité éloignée et étrangère.

     

    Les profits de Hydro-Québec sont versés au Gouvernement, donc à Nous, pour nos projets.

     

    Malek, c'est toi qui soutient ce discours? Je suis surpris ;)

     

    Essentiel, pas essentiel, qu'est que ça veut dire? La bouffe c'est encore plus essentiel, est-ce qu'on la vend à moitié prix? J'ai du mal à croire que nous avons au 21ème siècle encore un débat sur le contrôle des prix!

     

    Et pourquoi est-ce que l'électricité est plus essentielle que disons le gaz naturel, avec lequel on peut se chauffer et faire cuire des aliments? Vous allez me répondre que c'est parcequ'on ne la produit pas et donc que ça ne "profite" pas à la société québécoise.

     

    À ça je vous dirais que le rendement de l'actif d'hydro tourne autour de 2 %... je suis pas certains qu'on "s'enrichit" collectivement tant que ça grâce à hydro... Tout est une question de coût d'opportunité!

  3. On ne peut reprocher à Busac d'avoir tenté de faire de l'argent légalement.

     

    C'est clair qu'il y a eu négligence de la part de l'UQAM et qu'ils ont signé un contrat qui avantageait outrageseument le promoteur. Je pense qu'ils vont tenté de plaider la "mauvaise foi" du contrat pour le faire lever, celui-ci ne comportant aucun partage du risque il pourrait être jugé "déraisonnable".

  4. Par ailleurs, le Québec offre l'impôt sur le revenu pour les entreprises le plus bas en Amérique du Nord. Cette tirade sur l'impôt et la stimulation n'était donc pas nécessaire. De plus, on ne subventionne pas l'électricité directement au Québec sauf en ce qui concerne les infrastructures.

     

    Je ne sais pas si tu achètes ton électricité chez Hydro Québec, mais si c'est le cas chaque kw d'électricité que tu consommes est subventionné car on te la vend à un prix inférieur au prix du marché.

     

    Les principaux bénéficiares de cette subvention ne sont pas les plus pauvres, mais bien les plus riches, car ce sont eux qui consomment le plus d'électricité. Si l'on veut aider les plus pauvres, il faut le faire d'une autre façon (par exemple en envoyant des "coupons rabais" aux personnes éligibles), mais il est essentiel de s'assurer que l'ensemble de la société soit consciente du coût réel de l'électricité.

     

    Je pourrais te confirmer que le Québec est loin d'avoir le régime fiscal le plus intéressant pour les entreprises en Am du Nord. Certes l'impôt sur le revenu y est plutôt bas (bien qu'il y ait de très nombreux états proposant des taux plus faibles, et même l'Alberta au Canada), mais il y a beaucoup d'autres contributions "sociales" à charge de l'employeur et d'autres types de taxe (comme la taxe sur le capital, qui va heureusement être abolie d'ici quelques années) qui viennet perser sur les marges et décourager l'investissement. De plus la baisse des impôts pour les particuliers, très lourd ici au Québec, est aussi un facteur de produtivité.

  5. Par ou commencer?

     

     

    Hausser l’électricité n’est pas un impôt déguisé. Tout le monde sait qu’Hydro Québec appartient au gouvernement du Québec et que les profits d’Hydro vont au gouvernement. La différence entre les tarifs d’Hydro et l’impôt, c’est qu’en augmentant les tarifs d’électricité, on taxe la consommation (et par extension la surconsommation). Cette « taxe » est relative à la quantité d’électricité qui est consommée. Qui consomme le plus d’électricité : la personne qui a une maison de 15 pièces avec piscine chauffée ou la personne dans un 3 et demi non climatisé? Cette mesure favorise ceux qui consomment le moins d’électricité.

     

    Les taux d’imposition sont déjà trop élevés au Québec, on cherche des solutions pour les baisser. Des impôts trop élevés nuisent à l’investissement et au développement économique. On essaye de compenser pour nos impôts trop élevés en subventionnant l’électricité. Ça crée plus de bureaucratie pour gérer tout ça. En ramenant l’électricité au prix du marché (ou peut être même légèrement en bas du prix du marché) et en réduisant les impôts, on améliore l’environnement économique du Québec.

     

    Augmenter les tarifs d’électricité va faire diminuer la consommation, surtout si on fait cette augmentation d’un seul coup. Évidemment, il faudra compenser ailleurs pour diminuer le choc (peut être diminuer la TVQ ou offrir une aide aux foyers plus démunis pour encaisser le choc plus facilement). Si le prix de l’électricité monte et que les gens en sont conscients, ils s’adapteront pour diminuer leur consommation. Il faudra aussi offrir des programmes importants d’économie d’énergie. Quant aux gens qui ne voudront pas faire l’effort de diminuer leur consommation, je leur dit merci beaucoup! Plus de profits pour Hydro et donc moins d’impôts pour moi à payer. Je considère que la surconsommation d’énergie (généralement due à un manque d’effort des consommateurs à gérer leur consommation) est une niaiserie et je suis en faveur de taxer les niaiseries. Tu consommes comme un cave, alors paye, le cave!!

     

    La bonne volonté a ses limites, et je crois que l’on a atteint cette limite au Québec en ce qui concerne l’économie d’énergie. Il faut aller vers d’autres avenues. Et augmenter les tarifs d’Hydro-Québec nous permettrait à la fois de diminuer la consommation d’électricité, augmenter la productivité des entreprises et des ménages, de diminuer les impôts, d’augmenter les revenus du gouvernement du Québec, d’augmenter les exportations d’électricité, bref : de créer de la richesse!

     

    Bravo toxik! Toi tu as une formation en économie, je me trompe?

  6. Si je comprends bien, selon votre logique, il faut hausser les tarifs locaux pour que les Québécois consomme moins fasse aux hausses de facture et qu'on puisse ainsi exporter plus d'électricité au Sud.

     

    Hausser les prix de l'électricité, ce n'est qu'un impôt déguisé. Dans un contexte où tous les profits reviennent à l'État, tout dollar de plus dépensé par un Québécois n'équivaut donc qu'à une taxe puisqu'elle lui revient, en plus d'avoir dû transiger par un palier de plus (Hydro) que si on l'avait prélevé directement sur le revenu. Autant augmenter le taux d'imposition pour financer les projets qu'on veut financer par la hausse de tarif, ce serait plus efficace.

     

    Le fait d'augmenter les prix ne va pas faire magiquement tomber la demande intérieure. Le monde n'est pas régi que par la logique de marché. Plusieurs s'en foutent royalement du prix de l'électricité et consommeront tout autant. On le voit très bien avec les compteurs d'eau: beaucoup de maisons de Brossard en ont et ils continuent quand même d'arroser leur asphalte... Les seuls qui feront des changement dans leur consommation risquent d'être les pauvres qui en arriveront à leur limite de leur budget. Les autres ne feront probablement que couper ailleurs, pour la même raison qu'on ne mange pas nécessairement moins de beurre de pinotte quand le prix augmente.

     

    Il est certain cependant que plus la hausse sera grande et plus le nombre de personne songeant à baisser leur consommation pourra augmenter. Toutefois, pourquoi faudrait-il que les Québécois baissent leur consommation ET paient plus par unité d'électricité pour atteindre ce but? Ils ne peuvent QUE baisser leur consommation et on pourrait tout autant exporter la balance au gros prix. En augmentant les tarifs intérieurs, on coupe du budget des Québécois une somme qui pourrait être investie en entreprise, en culture ou ailleurs pour faire rouler l'économie. On se tire donc un peu dans le pied.

     

    Si la seule raison pour hausser les prix est de réduire la consommation (par opposition à gérer des coûts d'exploitation grandissants), alors ça ne vaut pas la peine. Croire que les gens ne peuvent pas réduire leur consommation d'électricité si on ne leur hausse pas le coût, c'est prendre les gens pour des caves.

     

    Je crois que la plupart que 99 % des ménages ne se "foutent" pas du tout de la facture d'électricité qu'ils paient et seraient prêt à changer leur comportement de consommation en conséquence. Les prix ridicules que l'on pratique ici fausse le signal des investissements visant à sauver de l'énergie, ou à trouver des sources d'énergie alternatives pour le chauffage (comme le gaz naturel par exemple) qui deviennent non concurentiels car l'électricité est subventionnée. Cette électricité que l'on pourrait vendre au plein prix ailleurs...

     

    En ce qui me concerne, ces subventions sont imjustes car elles profitent justement aux mieux nantis qui consomment le plus d'électricité et pour lesquels l'utilité marginale de cette grosse consommation est mince...

  7. 13 Hilton Garden Inn 129m (425 ft) 37 Floors 2008

     

    http://en.wikipedia.org/wiki/List_of_tallest_buildings_in_Montreal

     

    finalement il n'est pas le 23ième plus haut building de Montréal mais le 13ieme

     

    129mètres de hauteurs

     

    Comme le disaient certains sur ce fil, il est très étonnant que cet immeuble fasse 129 m car il y aurait eu dans ce cas une consultation publique (cette hauteur déroge au réglement d'urbanisme en vigueur sur cette portion de la rue Sherbrooke).

  8. J'ai eu quelques infos concernant le chantier, il y avait eu des retards à cause de l'obtention d'un permis de la part d'un arrondissement, mais l'équipe de chantier a réussi à tout ratrapper. Comme dirait Bernard Derome "si la tendance se maintient", l'autoroute ouvrira avec un peu d'avence sur le calendrier.

  9. J'ai bien hâte de voir ce qu'ils entendent par modernisation du réseau de métro de Montréal.

     

    Oui! Je suis en train de lire le budget 2009 (le document original). C'est très intéressant. Quelque chose m'a un peu surpris en revanche:

     

    "Les travaux déjà en cours, comme la

    restauration du square Dorchester, de la

    place du Canada et de la place d’Armes, se poursuivent en

    2009. Ceux-ci permettront de valoriser le centre des

    affaires et le coeur touristique de Montréal."

     

    Je sais que des annonces ont été faites mais je n'ai pas vu de travaux en cours de réalisation sur ces places...

     

    On peut lire aussi d'autres bonnes nouvelles comme:

     

    "Parmi ces grands projets, le projet du Havre et la transformation

    de l’autoroute Bonaventure offrent un accès

    au fleuve et un potentiel immobilier hautement prometteur.

    Ces travaux, qui donneront un accès moderne à la

    ville, intégreront un corridor de transport collectif direct

    avec le centre-ville. La Ville y consacrera 72,5 M$ sur

    trois ans, dont 18,5 M$ dès 2009."

     

    "Par ailleurs, d’autres travaux majeurs sont prévus dans le

    cadre de la revitalisation du secteur de l’Acadie-

    Chabanel. Plusieurs interventions seront réalisées en ce

    sens en 2009, notamment la réfection de l’aqueduc et de

    trottoirs. Ces travaux commenceront en 2009 et bénéficieront

    d’investissements de 19,4 M$ sur trois ans, dont

    8,1 M$ dès cette année."

  10. Des projets pour 700 millions en 2009

     

     

    Archives La Presse

    Éric Clément

    La Presse

     

     

    La présentation du budget 2009 de la Ville de Montréal, le 26 novembre, avait pratiquement occulté les investissements réservés à l'application du Plan de transport de la métropole. Pourtant, ce ne sont pas loin de 700 millions qui seront dépensés l'an prochain pour 18 des 21 chantiers de ce plan.

     

    Dire qu'André Lavallée, monsieur Transport à la Ville, était déçu des réactions médiatiques à la suite de la présentation du budget est un euphémisme. Il faut dire que la Ville avait communiqué ses chiffres de telle manière que les médias ont eu l'impression que la municipalité se bornerait à investir 6 millions dans «son» Plan l'an prochain.

     

    En fait, la Ville consacrera avec ses fonds propres un total de 92,6 millions au Plan auxquels il faut ajouter 599,6 millions provenant de la Société de transport de Montréal (STM), qui participe évidemment beaucoup à la réalisation du Plan, comme l'illustre le tableau ci-contre.

     

    Le fonds de réserve financière de 6 millions, dont on voit déjà 5,3 millions dans le tableau, a été créé par la Ville à des fins de «transparence», selon M. Lavallée. «On pourra mettre dans ce fonds l'ensemble des dépenses qui seront versées pour la réalisation du plan, dit-il. Ainsi, les dépenses associées au plan seront visibles. On saura où va l'argent, par exemple si on va de l'avant avec les péages.»

     

    Il faut ajouter 5 millions supplémentaires à ce fonds, dit-il, car une quarantaine de personnes travaillent en permanence sur le Plan et le budget de fonctionnement de cette équipe est de 5 millions.

     

    M. Lavallée insiste pour dire que les investissements de 700 millions ne tiennent pas compte de l'argent qui sera versé en plus par l'Agence métropolitaine de transport ou Québec, ce qu'il appelle «un effet de levier». «Par exemple, quand on aura donné le contrat pour la modernisation des équipements du métro, il y aura 1,2 milliard qui viendra de Québec», dit-il.

     

    Sur les 700 millions, c'est la modernisation du réseau du métro et l'amélioration des services de la STM qui représente la plus grosse enveloppe, soit 588 millions. La modernisation de la rue Notre-Dame, dont les travaux ont été court-circuités par le déclenchement des élections par Jean Charest, ont débuté cette semaine avec une enveloppe montréalaise de 36 millions.

     

    Parmi les autres chantiers du Plan, notons le raccordement du boulevard Cavendish (11 millions), les travaux du réseau cyclable (9,8 millions), ceux de l'échangeur Dorval dans le cadre du projet de la navette ferroviaire entre le centre-ville et l'aéroport Pierre-Elliott-Trudeau (8,9 millions), les études de faisabilité du réseau de tramway (5 millions) et le prolongement du boulevard Maurice-Duplessis effectué à cause de la réalisation du train de l'est (3 millions).

     

    Le projet d'implantation d'un service rapide par bus (SRB) sur le boulevard Pie-IX, que l'AMT ne voit pas d'un bon oeil, coûtera 5,9 millions à Montréal. «On est à la veille d'avoir de l'action dans ce dossier, dit-il. La Ville a dépassé les limites de sa patience. S'il faut que la Ville le fasse, on va le faire.»

     

    Finalement, 300 000$ sont consacrés par la Ville pour mettre en oeuvre la Charte du piéton. Mais M. Lavallée dit que cela ne reflète pas la réalité, les arrondissements mettant eux-mêmes en oeuvre des mesures.

     

    «Des actions ont notamment été prises dans Côte-des-Neiges/Notre-Dame-de-Grâce et dans mon arrondissement, dit le maire de Rosemont-La Petite Patrie. On a posé des gestes au marché Jean-Talon, sur Christophe-Colomb, Bellechasse, Viau, Saint-Zotique et mis des radars pour protéger les piétons.»

     

    André Lavallée redit que «la Ville va de l'avant avec son Plan de transport» et que son ambition est toujours d'investir davantage. Mais que pour cela, la métropole a besoin de nouveaux outils financiers, un dossier toujours pas réglé, le gouvernement libéral n'ayant pas profité des élections pour annoncer l'aide spécifique de 250 millions que réclame le maire Gérald Tremblay régulièrement depuis 2002...

  11. BCE ? Leurs actions en bourse baissent à vue d'oeil !!

    TQS ? sauvé par la peau des dents !!

    Quelques compagnies manufacturières de meubles ? Le déclin de la consommation aux États-Unies ne devrait certainement pas aider ce secteur d'activité !!

     

    La chute de la valeur de BCE ne veut pas dire que l'entreprise va mal mais que que son rachat par teachers (et donc la prime à l'achat) ne va plus avoir lieu.

  12. Port of Montreal not content to contain itself

     

    Globe and Mail Update

     

    December 9, 2008 at 6:00 AM EST

     

    MONTREAL — The global economy might be slowing down and with it international trade, but so far it is having little effect on the Port of Montreal – one of the main North American gateways for goods transiting Eastern Canada and the U.S. Midwest.

     

    Container traffic is particularly strong: Preliminary data compiled by the Washington-based American Association of Port Authorities show that for the first eight months of this year, container traffic through Montreal grew 10.1 per cent from a year earlier.

     

    Not only is the port thriving, it is upgrading and expanding its facilities for anticipated growth, having launched a $2.5-billion infrastructure project – Vision 2020 – that will unfold over the next 12 years with a goal, among others, of tripling the port's container capacity to the equivalent of 4.5 million 20-foot container units.

     

    “We're running out of space,” says Patrice Pelletier, president and chief executive officer of the Montreal Port Authority (MPA). “The effects of the economic downturn could impact us in 2009, but these downturns are always cyclical and we want to be ready when the markets start coming back.

     

     

    “We have to keep looking ahead,” he adds. “This is a long-term project. Let's face it, people aren't going to stop eating or buying things that they need for the house.”

     

    The port, which is open year-round, sprawls along 25 kilometres of Montreal's waterfront. The downtown complex comprises four container terminals, 15 transit sheds for non-containerized general cargo (steel, forest products, food) and dry bulk (fertilizer, sugar, copper, road salt), storage space for 15 million barrels of liquid bulk (petroleum products) and a terminal capable of holding 260,000 tonnes of grain.

     

    Vision 2020 is being implemented in four phases, of which the first is already under way. The first two will streamline and reorganize existing infrastructure – remodelling old buildings, utilizing empty parking lots, converting underutilized spaces into container terminals and so on.

     

    Phases 3 and 4 will see the building of new terminals, either in Montreal East or at Contrecoeur, 40 kilometres down the St. Lawrence Seaway, to expand container capacity. The exact location and financing are yet to be worked out.

     

    According to Mr. Pelletier, part of the $2.5-billion financing will come from the private sector, as well as the port's own reserves, with $450-million to $650-million expected to be provided by the federal government. He points out that infrastructure projects of this size are typically financed over many years and thus have little exposure to short-term fluctuations in the market.

     

    “We're taking an attitude of prudent optimism,” Mr. Pelletier says. “We know that we must build on the essential infrastructure because it's important for the future development of Canada, not just Montreal.”

     

    Once completed in 2020, the port's makeover is expected to create 41,000 jobs and generate $3.4-billion in revenue, officials say. That doesn't include construction: Phases 1, 2 and 3 alone are expected to generate $740-million in gross domestic product and 10,000 jobs, they say. The port's activities and related spinoffs already account for 18,200 jobs, either directly or indirectly across the country; in 2007, MPA's profit was $8.4-million on operating revenue of $81.7-million.

     

    Contributing to the Port of Montreal's profit is revenue from the cruise industry. Part of the port complex includes Alexandra Pier, a cruise ship terminal, which, along with the rest of the port, is slated for redevelopment. The berths are close to downtown and cruise passengers can walk into the heart of Old Montreal with its many tourist attractions, but the MPA, taking its cue from other cruise destinations, want them to linger and spend money in the port area.

     

    At present, there is little to induce anybody to hang around the terminal buildings, which are basically a couple of unprepossessing sheds. Future plans under Vision 2020, however, include constructing a modern recreational and tourism complex with boutiques, restaurants, entertainment venues and the like, to create an attractive destination both for out-of-towners and for local residents.

     

    Determining the exact footprint of that area of the waterfront will be decided in 2009, according to Mr. Pelletier. The timing is good. Cruise traffic along the St. Lawrence River is growing. This year, 25 cruise ships carrying 32,100 passengers called at the port, and based on forward bookings, 2,000 more passengers are scheduled to arrive in 2009. The revamped Alexandra Pier is expected to attract many thousands more.

     

    In the meantime, while the Port of Montreal is enjoying a bumper year, cargo shipments might slow in 2009. Fluctuations in the rates of exchange between the Canadian dollar and other currencies affect the levels of international trade. Moreover, there tends to be a delayed reaction to the ups and downs of an economy and the flow of goods.

     

    “In our business, there's often a time lag between supply and demand,” explains Serge Dubreuil, president of Logistec Stevedoring Inc., one of the largest cargo-handling companies at the Port of Montreal. “We've noticed a drop, for example, in the export of recycled paper. It was going to China to be turned into packaging but now that the demand for Chinese-made goods has weakened, the demand for the paper has gone down as well.”

     

    “That being said, we've picked up business from other regions of the world, such as South America, where some economies are still growing and, right now, our cargo terminals are at capacity.

     

    “From our point of view, an expansion to the port is well overdue. We have to look ahead, well beyond what is happening right now.”

  13. L'Adresse symphonique - La livraison de la salle toujours prévue pour 2011

    405 words

    6 December 2008

    Canada Newswire

    Copyright © 2008 Canada NewsWire Ltd, tous droits réservés.

     

    MONTRÉAL, le 6 déc. /CNW/ -- MONTRÉAL, le 6 déc. /CNW Telbec/ - L'Agence des partenariats public-privé du Québec tient à préciser que, contrairement à ce qui a été indiqué dans un reportage diffusé hier sur les ondes de Radio-Canada, l'échéancier du projet de l'Adresse symphonique est maintenu : le candidat sélectionné sera annoncé en mars 2009 et la livraison de la salle est toujours prévue pour 2011.

     

    En fait, le projet a franchi une étape importante, le 4 novembre dernier, avec la réception des propositions techniques des trois candidats qualifiés pour prendre part à l'appel de propositions pour la conception, la construction, le financement, l'exploitation et l'entretien de l'Adresse symphonique, la future salle de concert acoustique de Montréal.

     

    Les propositions techniques déposées comprennent les éléments de conception physique proposés par les trois consortiums pour répondre aux exigences de performance spécifiées par le gouvernement pour la future salle. L'évaluation de ces propositions est présentement en cours. Toutes les propositions techniques reçues ont été jugées conformes aux exigences du gouvernement et le vérificateur du processus a déclaré que la progression du dossier respectait les règles établies.

     

    Les soumissionnaires ont maintenant jusqu'au 12 février 2009 pour remettre les détails de leur plan de financement. Malgré le resserrement observé sur les marchés de crédit, l'Agence demeure convaincue que les soumissionnaires obtiendront le financement nécessaire et que les avantages découlant de la décision de réaliser le projet en mode de partenariat public-privé seront maintenus. La valeur ajoutée liée à la réalisation en ppp sera communiquée à la suite de l'annonce du mois de mars, une fois que les détails de la proposition gagnante seront connus.

     

    Les soumissionnaires suivants ont déposé une proposition technique :

     

     

    <<

    1. Soumissionnaire : AXOR-DALKIA

     

    - Groupe Axor inc.

    - Dalkia Canada Inc.

    - Axor Construction inc.

    - Provencher, Roy + associés architectes

    - Menkès, Shooner, Dagenais et Letourneux architectes

    - Consortium Bouthillette, Parizeau/Teknika HBA

    - Pasquin Saint-Jean et associés inc.

     

    2. Soumissionnaire : GROUPE IMMOBILIER OVATION

     

    - SNC-Lavalin inc.

    - Diamond and Schmitt Architects Inc.

    - Aedifica inc.

    - Groupe Aecon ltée

    - Solotech inc.

    - Gala Systems inc.

     

    3. Soumissionnaire : ACCÈS SYMPHONIQUE MONTRÉAL

     

    - Babcock & Brown Canada ULC

    - Pomerleau inc.

    - Société de contrôle Johnson, S.E.C.

    - Lemay associés / Saucier + Perrotte, architectes

    >>

  14. À moins que je me trompe, on devrait en principe voir trois rendus différents, puisque trois consortiums sont en liste, avec chacun sa propre firme d'architectes. J'ai surtout très hâte de voir ce que Saucier+Perrotte va nous pondre.

     

    C'est ça, il y aura trois soumissions, mais je crois que nous ne verrons que celle du consortium gagnant (les autres voudront certainement protéger leur propriété intellectuelle). De toute façon, rien ne sera rendu public tant qu'on n'aura pas "closé" le deal.

  15. Oui je te comprend. Par contre, je veux bien admettre que dans ce cas-çi la crise économique y est pour beaucoup dans les délais provoqués.

    Gregbx pourrait peut-être nous le confirmer : les plans sont probablement définitifs. Bref, une fois le consortium choisi et annoncé les travaux pourraient en théorie débuter pratiquement immédiatement. Oui ou non ?

     

    Oui tout a fait! Tous les plans sont finalisés, et en fait les soumissionaires sont incités à commencer le plus tôt possible (afin de pouvoir être rémunérés le plus tôt possible, en PPP, ils ne sont payés qu'une fois les travaux terminés!). Les délais sont entiérement dus à la crise financières mais je vous en dirais plus dans quelques mois...

  16. Comme d'habitude, je croirai à ce projet quand je le verrai. Au stade où les choses se déroulent, on aura un CHUM avant d'avoir une salle pour L'OSM. Et comme je ne crois pas tellement aux chances du CHUM d'être réalisé....

    Avant que vous me traitiez de pessimiste : je me considère comme un lucide.

    Allez-y : attaquez !!

     

    Bon, comme vous pouvez vous en doutez, je suis un "insider" et je peux vous dire que le projet a toutes les chances de se réaliser et dans le calendrier prévu (à un trimestre prêt).

  17. My other comment: it really compromises the architectural integrity of PDA.

     

    On en connaitra l'allure de la future salle seulement au moment ou on aura selectionné le soumissionaire gagnant. En tous cas, l'intégration architecturale avec la PDA fera partie des critères majeurs d'appréciation des propositions.

     

    L'appel de proposition est sur le site de PPP Québec, c'est un document un peu technique mais les premières parties sont suceptibles de vous intéresser. Il y a notemment un historique de la PDA.

     

    http://www.ppp.gouv.qc.ca/index.asp?page=salle_de_concert_pour_lorchestre_symphonique_de_montreal_osm__fr&lang=fr

  18.  

    À l'origine, en 2006, les seuls coûts de construction étaient évalués à 105 millions de dollars. En 2007, ils sont passés à 266 millions de dollars.

     

     

    J'aimerais préciser qu'il faut faire très attention avec chiffres car ils ne représentent pas la même chose. Le 105 M$ sont des dollars constants pour les coûts de construction seulement. Le 266 millions sont des dollars actualisés (la valeur est pondéré dans le temps) comprenant non seulement la construction, mais aussi l'exploitation et l'entretien de la salle pendant 27 ans. De plus, environ un quart de ce montant servira en payer des taxes municipales qui seront empocher par la ville...

     

    Il faut préciser aussi que depuis sa première mouture, le projet a connu des tas de modifications qui sont venus gonfler les coûts (comme imposer un certain pourcentage d'utilisation du bois dans la construction). On ne compare pas donc des pommes avec des pommes.

  19. Bon évidemment je beurre épais ici. Il n'empêche qu'il y a des hyper-riches (je te l'accorde : pas au Québec. En comparaison des autres sociétés nord-américaines, le Québec est une société pauvre) qui en comparaison ne contribuent pas leur quote-part.

     

    Disons que si un ultra-riche paie 1 M$ de dollars d'impôt par année, même si ils ne paient pas ça "juste" part en terme de % de ces revenus réels, ils ramassent quand même un très gros bill pour un individu. Bien sûr des ultras-riches, y'en a pas beaucoup ici...

     

    Si l'on considère même les "très riches" de notre société soit le 1 % de la population qui gagne le plus de revenu (on parle de 250k par année, donc pas si riche que ça...) et ce sont des gens qui travaillent souvent très dur et qui sont très très taxés.

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