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Gbx

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Messages posté(e)s par Gbx

  1. C'est décourageant. Malgré que je connais beaucoup de professionnels qui disent la même chose, que le meilleur site c'était décidément le 6000 Saint-Denis.

     

    la seule raison pourquoi les Libéraux voulaient d'un autre site, c'est parce que c'était le compté de André Boisclair à l'époque. Regardez ça aujourd'hui, André Boisclair est parti, les Libéraux se sont entre-déchiré (rare pour les Libéraux) entre le site de St-Luc (centre-ville) et le site proposé par l'U de M dans la cours de triage d'Outremont. Celui qui a mis tout son poids politique pour que ce soit St-Luc, le bon docteur Couillard, lui aussi est parti.

     

    Des millions de dollars investit à faire des "scénario", plusieurs qui se sont éliminés dès qu'on en a entendu parlé, construire le square Papineau, conserver le vieux bâtiment de Saint-Luc, etc... qui ont en effet ralentit le développement d'un projet final.

     

    Et l'ajout in-extremis de 72 lits et 9 salles d'opération pour faire plaisir au Docteur Barette, le président de la Fédération des médecins spécialistes du Québec, celui-la même qui a parlé de retourner au site d'Outremont le lendemain de l'annonce du départ de Couillard.

     

    Et la trame de fond: l'entêtement d'un gouvernement à vouloir faire cela en PPP, pour des raisons idéologiques plus que n'importe quoi, parce que celle qui est assise sur le porte-feuille , Monique Jérôme-Forget, tient à ce qu'un minimum soit glissé dans la case dette, juste pour avoir l'air d'être capable de conserver un équilibre financier... Car c'est bien mieux si c'est le Privé qui paye, même si au bout du compte, on paye plus cher en intérêt sur 20 ans.

     

    Les seuls qui se font vraiment de l'argent avec les PPPs ce sont les avocats. Et comme ils font à peu près tous parti du Parti Libéral, qu'il financent à gros sous (3,9 millions dans les coffres un an après une élection, wow) ben c'est comme un retour sur leur investissement.

     

    à ce point-ci, je pense que si on tasse les Libéraux de là et qu'on repart le projet à zéro, on va vraiment sauver de l'argent aux québécois...

     

    Con à dire, mais ce serait p't'être mieux comme ça.

     

    Il y a quand même aussi des point positifs à le faire sur le site actuel de St-Luc, un (et non des moindre, en ce qui nous concerne) est qu'on fait d'"une pierre deux coups" en permettant la reconfiguration d'un espace urbain central.

     

    Je connais bien le domaine des hôpitaux et je peux vous dire que les médecins sont parfois bien capricieux... Quand à la formule PPP, elle n'a RIEN à voir avec les retards que le CHUM connait, puisque le projet aurait été autant retardé selon un mode de réalisation conventionnel (il s'agit de l'approbation du plan clinique qui une étape préalable à la conception des plans à la charge des soumissionaires). La formule du partenariat est la seule raisonnable à l'heure actuelle pour faire ce genre de projet, premiérement car elle va garantir l'entretien adéquat du bâtiment pendant 30 ans. On a vu ce que la gestion publique des hôpitaux a donné et il est temps d'y mettre un terme!

  2. :relieved: Je crois que vue l'état d'avancement des plans du CHUM, il n'est plus pertinent de discuter sur le choix du site mais plutôt de se réjouir de la quasi unanimité qu'il fait maintenant depuis qu'on a décidé de la démolition de l'hôpital St-Luc et de l'addition du nombre de chambres et de salles d'opération.

     

    Vite maintenant qu'on démarre les travaux si l'on veut respecter les échéanciers.

     

    Désolé de gacher la fête, mais les appels de proposition n'ont même pas encore étaient lancés, il faudrait au moins un an avant la première pelleté de terre. En fait, les plans sont très préliminaires à present puisque le design détaillé reste à la charge des soumissionaires.

  3. Ça ne change pas le fait que c'est un autre bel exemple de notre résau routier qui ressemble de plus en plus à ce que l'on peux retrouver à Baghdad!!! C'est vraiment pathétique notre affaire!

    Continuons à subventionner des HLM et des garderies à 7$ par jours...continuons même si nous n'avons pas le cash!!

     

    Si le viaduc est privé, j'imagine que c'est le CP qui est en cause?

  4. Publié le 31 octobre 2008 à 17h05 | Mis à jour le 31 octobre 2008 à 17h07

     

     

    L'échangeur Turcot reconstruit en PPP

     

    Viaducs délabrés

    Consultez notre dossier sur les viaducs qui tombent en morceaux. »

     

    Martin Croteau

    La Presse

     

     

    Québec reconstruira l'échangeur Turcot en partenariat avec le secteur privé, a annoncé le gouvernement, mettant fin à un affrontement interne sur la façon de gérer le gigantesque projet de 1,5 milliards.

     

    La ministre des Transports, Julie Boulet, a fait savoir vendredi qu'elle confiera la conception, la reconstruction, le financement et l'exploitation du vaste chantier à un consortium d'entreprises selon la formule du PPP.Le gouvernement lancera un appel de qualification à toute firme intéressée à s'associer au projet d'ici au mois de juin. Mais il n'est pas en mesure de réciser à quel moment le contrat sera attribué à la firme qui aura présenté la meilleure offre.

     

    Transports Québec entamera des travaux de préparation du chantier dès janvier, et le BAPE tiendra des audiences pour établir la viabilité environnementale du projet dans les mois suivants.

     

    Par son annonce de vendredi, Québec épouse les recommandations d'une étude de l'Agence des partenariats public-privé, qui estime que la formule permettra à la province d'économiser 100 millions.

     

     

    Ce rapport avait provoqué des frictions entre la ministre des Finances, Monique Jérôme-Forget, et sa collègue aux Transports, a rapporté La Presse la semaine dernière. La seconde préférait que le projet soit mené de la manière usuelle.

     

    Mme Boulet n'était pas disponible pour commenter l'annonce, pas plus que sa collègue Mme Jérôme-Forget. Au bureau de cette dernière, on assure que les économies seront substantielles, et que la formule en PPP garantira l'entrée en service du nouveau complexe Turcot dans les délais, soit en 2015.

     

    «Le consortium aura des délais serrés qu'il s'engagera à respecter, a expliqué l'attachée de presse de la ministre des Finances, Catherine Poulin. Il y a beaucoup d'exemples dans d'autres provinces canadiennes, notamment en Colombie-Britannique, où le consortium privé est pénalisé s'il a une journée de retard.»

     

    Un rapport préparé par la firme PricewaterhouseCoopers pour le gouvernement révèle que la conception de l'ouvrage, qui date de 1967, est désuète et que la structure vieillit prématurément. Les experts mettent carrément en doute la sécurité de l'échangeur.

     

    En février dernier, Transports Québec a accordé un contrat de 1,5 million par année pendant 10 ans aux firmes Dessau-Soprin, SNC et Cima pour surveiller continuellement la structure. Quelques mois plus tard, en juillet, un nid-de-poule d'un mètre de diamètre a forcé le Ministère à fermer certaines voies de l'échangeur et à faire passer les voitures au centre de la chaussée.

     

    Près de 280 000 véhicules empruntent l'échangeur Turcot chaque jour.

  5. Le vrai problème est politique. Les gens qui prennent les décisions sont tellement loin qu'ils traitent le dossier comme si Turcot c'étaitau milieu d'un champs et qu'on pouvait faire du remblais facilement sur 35 de hauteur (!?!).

     

    Ils ignorent le contexte urbain car ils sont assis derrière leur bureaux du MTQ à Québec.

     

    Turcot c'est vraiment compliqué, et c'est pas vrai qu'un PPP va faire sauver du temps et de l'argent.

     

    Le PPP a vraiment rien prouvé à ce jour. On met tous nos oeufs dans le même panier, le pont de l'A-25, l'A-30, le CUSM, le CHUM et l'OSM, avec une formule qui n'a pas encore été testée, dont on a pas un exemple pour dire que ça marche. Maintenant Turcot. Cibole, Jérôme-Forget est en forme.

     

    Je vois venir la catastrophe, le segment de 60 pieds qui tombe parce qu'on a engagé ti-caille qui a bidé le moins cher et qui a pas les équipements qu'il faut, le manager privé qui est dépassé et qui s'en remet au ministère, et les dépassements de coûts, enquêtes publiques, bouchons monstrueux...

     

    Il y a tellement de projets importants à Montréal, et pas un Ministère dédié à la Métropole. Plusieurs poules sans-têtes, qui prennent des décisions à l'arraché, sans consulter la ville, sans ligne maitresse pour le développement réfléchi de la métropole.

     

    Pour emprunter l'expression de Malek, "misère" que ça va mal.

     

    Euh? Dans un PPP, le soumissionaire est responsable de l'entretien pendant 30 ans, ce qui encourage grandement à l'amélioration des infrastructures livrées... En effet la société a plutôt intérêt à livrer quelque chose de solide si elle ne veut pas se ruiner en travaux de réfection. Et je ne sais pas si tu as regardé qui a soumisionné pour l'A25 et l'A30 mais il ne s'agit que grandes sociétés internationales spécialistes des infrastructures routières type SNC, OHL et autres qui gèrent des des autouroutes comme elles respirent. Les dépassements de coûts sont à la charge du soumissionaire puisqu'il s'agit d'un contrat à forfait. De plus, le soumissionaire est contractuellement obligé de remettre l'infrastructure dans un bon état à l'échéance du partenariat. Et je ne sais pas d'où les gens sortent que les PPP n'ont pas fait leur preuve, la formule a LARGEMENT fait ses preuves ailleurs dans le monde et même en Ontario, en CB, au nouveau brunswick, et même à PEI! (le pont de la confédération).

  6. Moi aussi j'ai toujours aimé le tas de "spaghetti" que l'échangeur Turcot ressemble. Le fait qu'il soit surélevé m'a toujours impressionné! J'aimerais voir l'échangeur modernisém nais de là à le ramner plus proche de la terre, ne m'impressionne pas. Par contre je peux comprendre pouquoi ils veulent faire ça(plus facile d'accès et moins couteux pour les réparations).

     

    C'est vrai qu'il est beau, cet échangeur! À l'origine, l'échangeur avait été surélevé pour faciliter les passages des navires au canal lachine. Maintenant que le canal n'est plus utilisé, cette élévation a perdu sa raison d'être. Ça permet de sauver tout un tas de coût!

  7. Probablement pas! Ça en est rendu un peu ridicule!

     

    Ça fait environs 6 ans que je fréquente ces forums, sur l'urbanisme et les Gratte-ceils (SSP et Mtlurb) et ça fait 5 ou 6 ans qu'ils les niveau différents de gouv. parlent de ce projet...et toujours rien. Typiquement Montréalais...notre immobilisme à son meilleur!

     

    Je peux vous dire que le projet avance rapidement, 3 soumissionaires sont en train de préparer des propositions et elles doivent être déposées avant la fin de l'année.

  8. avec aucun représentant fédéral, un parti provincial qui nous prend pour acquis et une mairie au prise avec de la fraude et des guerres intestines, Montréal est mal placée pour mener ce projet à terme.

     

    Ce projet est dans la même veine que le CHUM ou l'autoroute notre-dame. Il aura coûté plus cher de papier que de béton.

     

    Wow, j'ai rarement vu un commentaire aussi déprimant. Il y avait un article dans les affaires cette semaine sur "comment gérer les pessimistes au bureau", tu m'y fais penser lol.

     

    Autant que je sache, le projet est sur la bonne voie même s'il reste beaucoup de travail à faire. Beaucoup d'acteurs sont mobilisés pour le concrétiser. Puis la mairie n'est pas à date vraiment impliqué pour le dossier à date.

  9. L'échangeur Turcot ne serait pas sûr

     

    Construit en 1967, l'échangeur Turcot est frappé de «vieillissement prématuré» et affligé «d'une conception maintenant désuète».

     

    Photo: Martin Tremblay, Archives La Presse

    Denis Lessard

    La Presse

     

     

    Depuis six mois, le gouvernement a en main un rapport interne qui lui recommande de procéder rapidement à la réfection de l'échangeur Turcot, dont des structures «pourraient poser des problèmes de sécurité pour les usagers», selon les auteurs.

     

    Pour ce projet titanesque de plus de 1 milliard de dollars, l'étude commandée par l'Agence des partenariats publics privés recommande de procéder par PPP, pour économiser plus de 100 millions, une formule qui permettrait de procéder plus rapidement, avec moins de risques. Mais Transports Québec voit les choses autrement.Selon les informations obtenues par La Presse, le gouvernement Charest veut confier ce mandat gigantesque à SNC-Lavalin, la firme montréalaise qui a jusqu'ici été laissée pour compte dans les convoités mandats de l'autoroute 30 et du prolongement de la 25.

     

    Or, confient des sources proches du dossier, la firme préfère exécuter ce mandat en mode conventionnel, plutôt qu'en PPP.

     

    Comme le gouvernement a en main un rapport de PricewaterhouseCoopers, qui démontre plutôt les avantages d'un partenariat public-privé, le gouvernement tergiverse depuis six mois - l'étude de 100 pages remonte au 11 avril dernier.

     

     

    Interventions quasi quotidiennes

     

    La description de l'échangeur faite dans le «dossier d'affaires initial», identifié comme «confidentiel» et que La Presse a obtenu, donne froid dans le dos.

     

    L'ouvrage, qui date de 1967, est frappé de «vieillissement prématuré» et affligé «d'une conception maintenant désuète». Le ministère québécois des Transports a dû faire «de façon urgente des interventions répétées et onéreuses sur les infrastructures» de Turcot.

     

    Surtout, «plusieurs structures du complexe Turcot sont en mauvais état et pourraient poser des problèmes de sécurité pour les usagers». De plus, des «lacunes géométriques» - des pentes trop fortes ou des angles de virages trop serrés - «ont été repérées» et «plusieurs tronçons autoroutiers présentent de taux d'accidents supérieurs aux taux critiques», observe l'étude.

     

    Transports Québec est si inquiet qu'en février dernier, on a accordé un contrat de 1,5 million par année, pendant 10 ans, à un consortium formé par SNC, Dessau-Soprin et Cima, pour inspecter régulièrement la structure. Des interventions quasi quotidiennes ont indiqué d'autres sources à La Presse. «On a décidé d'accompagner la structure», se contente de dire Daniel Desharnais, porte-parole de la ministre des Transports, Julie Boulet.

     

    L'été dernier, Transports Québec a décidé de fermer certaines voies en faisant passer les véhicules au centre de la chaussée. Ces réparations avaient démarré subitement après qu'en juillet, un nid-de-poule de près d'un mètre fut apparu dans la chaussée. Transports Québec avait soutenu alors que la structure n'était pas en cause. Plus tard, un morceau de béton de plusieurs centaines de kilos s'était détaché de la structure pour tomber dans un stationnement. Depuis, on a installé des grilles de métal pour empêcher d'éventuels débris de tomber sur les automobilistes.

     

    Hier, Hughes Delaney, de l'Agence des PPP, a confirmé l'existence de l'étude sans vouloir discuter son contenu. Interrogé sur les précédents, il observe que Québec avait mis un peu plus de deux mois avant d'opter pour le PPP dans le cas de la 25 après avoir reçu le dossier d'affaires commandé par l'Agence. Dans le cas de la 30, le délai avait été de cinq mois, pour permettre à Ottawa d'organiser son cofinancement.

     

    Froid entre Boulet et Jérôme-Forget

     

    Les tergiversations du ministère des Transports dans ce dossier névralgique ont causé un froid entre Monique Jérôme-Forget et la titulaire des Transports, Julie Boulet. « Comment ça se fait qu'on n'a pas pris de décision ? Faudrait demander peut-être à Mme Boulet, c'est elle qui a le dossier. Moi, je suis très favorable aux PPP », a dit Mme Jérôme-Forget relancée par La Presse. Elle connaît l'étude de PricewaterhouseCoopers, mais celle-ci n'a pas fait l'objet d'un mémoire au Conseil des ministres.

     

    En fait, la situation reflète surtout le peu d'empressement du cabinet de Jean Charest à procéder en PPP. Depuis le départ de l'ancien stratège du Parti libéral du Québec, Pierre Anctil, de la vice-présidence de SNC-Lavalin, c'est Jacques Lamarre, le grand patron, qui multiplie les coups de fil auprès de tous les décideurs, pour s'assurer que sa firme aurait finalement ce mandat, a-t-on appris. M. Lamarre n'a pas rappelé La Presse.

     

    L'étude de Pricewaterhouse-Coopers soutient que le choix d'un PPP permettrait une «concurrence plus vive» entre les firmes pour l'obtention du mandat. Six bureaux pourraient participer à un consortium pour un partenariat public-privé, mais si le gouvernement choisissait un mode conventionnel de construction, seulement trois groupes au maximum se feraient concurrence. «Globalement, une concurrence moins intense devrait se traduire en un coût plus élevé», constate l'étude.

     

    En dollars de 2008, avec un coût de financement de 6,5 % (le chiffre proposé par les Finances) le projet en PPP coûterait 1,2 milliard au gouvernement contre 1,3 milliard en mode conventionnel, incluant l'entretien sur 35 ans, dans les deux scénarios. Avec un coût de financement de 8 %, l'avantage des PPP atteint 200 millions.

     

    Mais l'avantage à court terme pour les firmes de convaincre Québec de s'en tenir au mode conventionnel est très clair. En cas de pépin, les conséquences financières pour la firme ne peuvent dépasser 10 % de la valeur du contrat pour un projet conventionnel, tandis que le privé doit assumer le risque sur la totalité de l'investissement en PPP.

  10. Le pavillon devait être construit à Mascouche plus précisément mais vu les coups de rénovations et les conditions de sa réalisation, une partie du bâtiment était classé (le vieux manoir) l'institution s'est déclinée.

     

    C'est une super chose que la délocalisation des universités, cela permet un accès plus facile pour tout le monde et favorise davantage d'inscriptions. C'est toute la société qui en profite. On ne peut quand même pas être contre l'éducation accessible à tous?

     

    Parles-tu du projet actuel à coté de la station Montmorency? ça me semble être un développement "greenfield" sans rénovation...

  11. Dans la dernière edition de Espace Montréal, Paul Campbell de la SITQ parle du projet. Voici l'extrait:

     

    "Espace Montréal: Vous avez parlé de la SITQ comme d'une entreprise qui prend des risques et construit sur la spéculation. Que pouvez-vous nous dire à propos du 900 Maisonneuve que vous développez actuellement avec Hines? (...)

     

    Paul Campbel: (...) Le 900 n'est pas un édifice spéculatif. Nous construirons lorsque nous aurons le bon locataire principal. Puis ça se mettra en place très rapidement, dès que nous aurons ce locataire. Nous avons travaillé avec Hines en de nombreux endroits, à Paris, à Calgary et ailleurs. Nous avons une totale confiance en eux."

     

    Voilà qui vient confirmer ce que nos observateurs nous disaient déjà!

  12. Les villes européennes ont de toute évidence un meilleur contrôle de l'évolution de leur territoire : on a qu'à voir !! Il y a beaucoup plus d'homogénéité dans le tissu urbain sur ce continent-là. Et on aime ces villes-là.

     

    Mon idée est justement qu'il y a un peu trop d'homogénéité là bas et je préfère les villes nord-américaines pour ça, mais c'est une question de goût j'imagine. Quant à sauvegarder l'intégrité du centre historique, oui, mais tout en sachant aussi intégrer des nouvelles idées. Dans le cas de buddha bar, je crois que c'était le ministère de la culture et non la mairie qui avait refusé le projet?

  13. Si Montréal eat 'plain' c'est tout de la faute du maire ! Il a pas de couille. C'est un pissou.

     

    Je comprends ton premier point mais alors celui là, j'ai du mal à te suivre. Donc le maire aurait selon toi à dire aux promoteurs privés qui respectent tous les réglements d'urbanisme qu'il refuse le projet parceque son design est démodé?? Ça laisserait à la mairie un pouvoir quasi dictatorial (et hautement subjectif) sur la direction esthétique à prendre pour la ville... Critiquer la situation économique en déplorant le manque de besoin des agents économiques pour des projets prestigieux ok, mais dire que tout est la faute du maire...

  14. Le Campus Bell acheté par un fonds allemand

    Hugo Joncas, Les affaires 15:48 Pour en savoir plus

     

    Le Campus Bell. Photo: Architex

    Deux mois après son inauguration, le Campus Bell situé à l’Île-des-Sœurs vient d’être vendu. Canderel et son partenaire Proment touchent 185 millions de dollars pour les trois immeubles de la première phase du Campus, a appris le journal Les Affaires.

     

    L’acheteur est un fonds d’investissement immobilier allemand, KanAm Grund, par l¹intermédiaire d’une filiale torontoise créée sur mesure, Les Immeubles KanAm Carrefour Alexander Graham Bell.

     

    L’entente prévoit aussi que KanAm achètera la deuxième phase; cette seconde transaction aura lieu en mars, un mois après la fin des travaux de la phase 2.

     

    «C’était notre stratégie dès le départ : vendre le complexe à une institution financière cherchant à avoir un revenu stable, dit Daniel D. Peritz, vice-président principal de Canderel. Nous étions en discussion avec KanAm depuis environ un an.» Canderel est avant tout un constructeur : elle revend habituellement ses propriétés une fois que les travaux sont terminés. Le contrat a été rédigé il y a plus de sept mois, selon M. Peritz.

     

    Canderel a achevé à la fin de l’été la construction de la première phase du nouveau siège social de Bell, trois immeubles totalisant 605 000 pieds carrés, à l’Île-des-Sœurs, à deux pas du pont Champlain.

     

    La deuxième phase, de 240 000 pieds carrés, portera l¹investissement total à 250 millions de dollars. La première phase a coûté de plus de 130 millions, selon Canderel; elle et Proment touchent donc un profit d’une cinquantaine de millions sur la vente des trois premiers immeubles.

     

    Pour KanAm, il s’agit de la deuxième transaction d¹envergure à Montréal en quelques mois. Elle avait acquis la Cité du commerce électronique en avril.

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