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  1. Une usine d’eau potable de trop selon Projet Montréal Alors que la Ville de Montréal a demandé un audit de son plan d’investis*sement en infrastruc*tures de l’eau, Projet Montréal répète qu’au moins une des six usines d’eau potable est de trop. Selon les calculs réalisés par l’élu de Projet Montréal Sylvain Ouellet, la production d’eau a été en moyenne de 1,8 million de m3 par jour entre 2009 et 2013, soit 62% de la capacité maximale de production de la Ville. «Même en prenant la pire journée de canicule sur une période de cinq ans, les usines ont un excédent de capacité de 367 310m3, soit deux fois la capacité totale de production des usines de Lachine et Dorval», évalue M. Ouellet. Ce dernier note en outre que l’usine de Pierrefonds est actuellement en rénovation pour augmenter de 70% sa capacité de production, que des travaux du réservoir Rosemont sont en cours pour augmenter la capacité de stockage de Mont*réal et que le colmatage des fuites dans le réseau d’égouts et d’aqueducs a contribué à réduire les besoins de l’ordre de 19% entre 2001 et 2012. Malgré ce constat, la Ville s’apprête à investir 32,2M$ dans les usines de Dorval et de Lachine, note M. Ouellet, qui a demandé lors du conseil municipal du mois d’avril que la Ville lance une étude sur la question. En 2013, un Montréalais habitant sur l’île consommait 903l d’eau par jour. Cela inclut la consommation d’eau des industries, des commerces et des institutions, ainsi que les fuites. L’élu de Projet Montréal semble avoir été en partie entendu. Durant la réunion du comité exécutif de mardi, l’administration Coderre a indiqué qu’elle octroyait un contrat de 83 700$ à l’Institut national de recherche scientifique (INRS) pour analyser la stratégie de l’eau et le plan d’investissement 2015-2024 qui y est lié. Mais l’audit en question ne se penchera pas sur l’opportunité de fermer une des usines de production d’eau potable. «Ce n’est pas dans nos cartons. La population va continuer d’augmenter. Il n’est pas question à court terme de fermer une usine», répond Chantal Rouleau, l’élue responsable de l’eau à la Ville. L’administration Coderre souhaite plutôt obtenir une analyse neutre des réalisations effectuées. «On a prévu d’investir 4,6G$ sur 10 ans. Faut-il maintenir le rythme ou l’augmenter?» dit Mme Rouleau pour illustrer ses propos. Elle souligne par exemple que l’arrivée de nouvelles techniques telles que le chemisage [un système de gainage qui permet de réparer les conduites sans creuser de tranchées] a permis d’accélérer les travaux et de diminuer les coûts, ce qui change la donne en matière de prévisions. Le rapport final de l’INRS sera déposé à l’automne. http://journalmetro.com/actualites/montreal/802290/une-usine-deau-potable-de-trop-selon-projet-montreal/
  2. Ce n'est pas une blague,y a pas de petits profits... Et si le prochain pape était Québécois? La possibilité que le prochain pape soit Québécois n’est pas exclue. Un des meilleurs spécialistes du marketing touristique, le Québécois Frédéric Gonzalo, analyse ce que serait l'impact d’une telle élection pour le tourisme au Québec. En voici quelques extraits. Il faut savoir qu’entre 100,000 et 200,000 pèlerins par année visitent le village natal des papes Jean-Paul II et Benoît XVI. Il y aurait donc un énorme défi mais également un beau potentiel à développer l’accès à La Motte, qui se trouve à plus de 600 km de Montréal. Le village compte 300 âmes, aucun gîte touristique ou restauration pour suffire à une telle demande éventuelle, et il faut savoir que la maison d’enfance de Marc Ouellet, l’école et le presbytère ont été détruits et qu’il faudrait repenser en termes de construction ou reconstitution. Au-delà du village de La Motte et de l’Abitibi, c’est l’ensemble de la destination canadienne et québécoise qui y gagnerait car pour le pèlerin international, il s’agirait d’abord et avant tout d’un voyage au Canada. Une offre variée et des forfaits devront être mis de l’avant afin de mettre de l’avant les infrastructures actuelles qui répondent déjà bien aux standards des voyageurs internationaux. On pense notamment à l’Oratoire St-Joseph de Montréal, la Basilique Sainte-Anne-de-Beaupré ou le Sanctuaire Notre-Dame-du-Cap Dans l’axe Montréal-Québec Ces trois lieux de pèlerinage sont situés dans l’axe Montréal-Québec, où l’offre d’hébergement et les modes de transport sont en mesure de supporter une augmentation éventuelle. Il existe néanmoins plusieurs autres lieux de culte en région, notamment l’abbaye bénédictine de Saint-Benoît-du-Lac, dans les Cantons-de-l’Est, l’abbaye Val-Notre-Dame dans Lanaudière ou encore l’Ermitage Saint-Antoine au Saguenay-Lac-St-Jean. Un chemin de Compostelle à la québécoise L’avènement d’un pape québécois saurait-il propulser une nouvelle offre regroupée, par exemple et incorporant des lieux de culte déjà établis? Ce type de circuit existe déjà depuis 1998 sous l’appellation de Chemin des Sanctuaires, une route de 375 km qu’empruntent plusieurs pèlerins à chaque année, liant justement l’Oratoire St-Joseph au Sanctuaire de Sainte-Anne-de-Beaupré. Si Marc Ouellet devient pape, l’industrie touristique québécoise et canadienne devra recevoir la nouvelle comme on accueille l’obtention des Jeux olympiques ou la tenue d’une épreuve de Formule 1. À la différence que le tourisme religieux est ancré dans la foi et dans le temps: les investissements envers ce nouveau créneau seraient porteurs pour plusieurs années à venir, et non seulement pendant une brève période de temps. On parle potentiellement d’un important changement, notamment dans la réaffectation des budgets publicitaires et dans la stratégie commerciale. Ceux que le sujet intrigue liront avec intérêt Le tourisme religieux, un dossier spécial du Réseau de Veille en tourisme. A noter que si le ghanéen Peter Turkson était élu, les retombées économiques pour ce pays peu développé qu’est le Ghana, bien qu’on n’y dénombre aucun site miraculeux ni même remarquable par son architecture, lui seraient sans doute plus utiles. Il y manque toujours, par exemple, plus de 8000 écoles. En attendant, les fidèles scrutent l’arrivée à Rome du prélat québécois : il est où, Ouellet ? — on n’allait pas la rater, celle-là ! C.B. http://www.pagtour.net//index.php?option=com_content&view=article&id=587
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