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  1. Loto-Québec rénovera le Casino de Montréal au coût de 100 millions Le Devoir Kathleen Lévesque Édition du mardi 17 mars 2009 Mots clés : rénovation, Loto-Québec, Casino, Montréal, Québec (province) Après avoir jonglé avec l'idée d'agrandir ou de déménager le Casino de Montréal, Loto-Québec doit se rabattre sur un projet de rénovation. Quatre ans après avoir enterré le virage récréotouristique que représentait le projet de 1,18 milliard du Bassin Peel, Loto-Québec vient de soumettre pour approbation au gouvernement du Québec un projet de restauration des installations de l'île Notre-Dame d'au moins 100 millions. Le président des opérations de la Société des casinos, Claude Poisson, estime que «cet établissement [...] a besoin qu'on lui donne un second souffle». C'est ce que M. Poisson a souligné hier dans une allocution faite devant le Cercle canadien. «Les lieux actuels nécessitent des améliorations pour maintenir leur qualité et pour que le Casino puisse mieux répondre aux besoins et aux attentes de la clientèle», a-t-il précisé sans toutefois donner de détail sur le projet. Tout au plus a-t-il précisé que les changements toucheraient notamment les systèmes mécaniques du bâtiment et les aires de jeu. Il a toutefois donné l'assurance que l'offre de jeu demeurerait inchangée. La Société des casinos collabore par ailleurs avec une autre filiale de Loto-Québec, Ingénio, pour développer et offrir de nouveaux jeux à la clientèle. Il s'agit notamment de tables de jeux électroniques. En 2005, le p.-d. g. de Loto-Québec, Alain Cousineau, faisait la promotion du déménagement du Casino de Montréal aux abords du quartier Pointe-Saint-Charles et soutenait qu'il ne pouvait y avoir de solution de rechange. M. Cousineau refusait également d'envisager un agrandissement de l'édifice actuel. Quant à une rénovation, cela nécessiterait au bas mot un investissement de 80 millions, arguait-il. Le projet du Bassin Peel a été largement critiqué, et le principal partenaire, le Cirque du Soleil, s'est retiré de l'aventure. «Le statu quo aura un coût appréciable sur les bénéfices nets du Casino de Montréal, donc sur les dividendes versés au gouvernement», prévenait alors M. Cousineau. Par ailleurs, le salon de jeu de Mont-Tremblant transformé en projet de casino, doit ouvrir ses portes le 24 juin prochain. Quant aux deux autres salons de jeu qui cohabitent avec un hippodrome (Québec et Trois-Rivières), aucune réflexion n'aurait cours actuellement pour en faire à terme des casinos, a dit Claude Poisson. http://www.ledevoir.com/2009/03/17/240010.html (17/3/2009 10H33)
  2. Le Québec a de moins en moins de pauvres Publié le 29 août 2009 à 05h30 | Mis à jour à 09h37 Hélène Baril La Presse La lutte à la pauvreté est un vieux combat dont les résultats sont souvent décourageants. Mais au cours de la dernière décennie, le nombre de personnes considérées comme pauvres a diminué de façon spectaculaire au Québec. De 1997 à 2008, la baisse atteint 40%. Le Québec compte moins de pauvres, moins de chômeurs et moins d'assistés sociaux, principalement en raison de la longue période de prospérité économique qu'il a connue depuis près de 15 ans. À l'exception de trois légers ralentissements, la croissance économique a été au rendez-vous chaque année entre 1992 et 2008. Les emplois aussi, ce qui ne va pas nécessairement de pair. Il y a des périodes de croissance qui s'accompagnent de très peu de création d'emplois. Mais en 2008, il y avait 20 % plus d'emplois au Québec que dix ans auparavant. La croissance économique a-t-elle fini par vaincre la pauvreté ? Les disciples d'Adam Smith et de la «main invisible» du marché le croient fermement. Selon la théorie développée par l'économiste anglais au 18e siècle, tout individu qui travaille à son enrichissement personnel finit par enrichir la collectivité. L'intervention de l'État n'est donc pas nécessaire puisque les forces du marché (la main invisible) se chargent de redistribuer la richesse. «Le marché a fait sa job», convient Pierre Fortin, économiste et professeur qui s'intéresse depuis longtemps aux moyens de vaincre la pauvreté. Le marché a fait sa part du chemin, selon lui, mais pas tout le chemin. «Lorsque l'économie croît, les Québécois partagent volontiers», constate-t-il. Ainsi, au cours des dernières années, la couverture sociale s'est épaissie et protège mieux les moins nantis. L'assurance-médicament, les garderies d'abord à 5$ par jour, puis à 7$, les congés parentaux, sont des exemples de mesures sociales qui ont contribué à réduire la pauvreté. L'impact de ces mesures a été particulièrement remarquable chez les femmes monoparentales, plus touchées par la pauvreté, qui ont pu intégrer le marché du travail. «Le taux d'emploi chez les femmes a beaucoup augmenté, et on a en sorti un paquet de la pauvreté», souligne Jean-Michel Cousineau, professeur à l'École des relations industrielles de l'Université de Montréal et spécialiste de la mesure de la pauvreté. Comme Pierre Fortin et Jean-Michel Cousineau, Joëlle Noreau, économiste principale chez Desjardins, croit que la croissance économique n'est pas la seule cause de la diminution de la pauvreté. «Le marché ne peut pas tout faire. Les congés parentaux, les garderies à 7$, pour des gens qui travaillent au salaire minimum, ça peut faire la différence et les faire passer au-dessus du seuil de faible revenu», dit-elle. L'augmentation du salaire minimum a aussi contribué à réduire la pauvreté. De 7$ l'heure en 2001, le salaire minimum a augmenté à 8 $ l'heure en 2007, et à 9$ l'heure en 2009. En même temps, le nombre d'employés qui doivent se contenter du salaire minimum a décru de 7% à 5,4% du nombre total de travailleurs. Selon Pierre Fortin, le pouvoir d'achat du salaire minimum québécois est maintenant un des plus élevés en Amérique du Nord. L'économiste de Desjardins est d'accord. «Le salaire minimum n'est pas une panacée à la pauvreté, mais dans certaines circonstances, elle peut, en conjonction avec des mesures d'appui comme les crédits d'impôt sur la TPS et la TVQ, le remboursement d'impôts fonciers et la prime au travail, faire la différence entre la dépendance et l'autonomie», affirme Joëlle Noreau. On a longtemps cru qu'il suffisait de créer de la richesse pour éliminer la pauvreté, rappelle Jean-Michel Cousineau. «Le temps où on croyait qu'il suffisait que la marée monte pour que tous les bateaux flottent est bel et bien révolu», dit-il. La croissance économique est un ingrédient indispensable de la recette anti-pauvreté, mais dans quelle mesure ? Jean-Michel Cousineau s'est penché sur cette question. Il a estimé que la croissance économique est responsable d'un peu moins de 60% de la diminution de la pauvreté et que l'autre partie, soit un peu plus de 40%, s'explique par les investissements sociaux. Le couple État-marché est peut-être bancal, mais il est devenu indissociable dans la lutte pour contrer la pauvreté. On devrait en avoir une autre preuve dans les statistiques à venir, qui refléteront la détérioration des conditions économiques. Le niveau de pauvreté des familles québécoises, qui avait atteint l'an dernier un bas historique, se mettront à remonter, prévoit Pierre Fortin. L'effet de la conjoncture se fera sentir et le nombre de pauvres devrait augmenter, croit lui aussi Jean-Michel Cousineau. Mais le spécialiste estime que la lutte à la pauvreté a donné des résultats permanents. «Il y a des gains réels qui devraient rester», avance-t-il.
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