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  1. Vidéotron construira un centre de données à Montréal pour 40 millions LIA LÉVESQUE La Presse Canadienne Vu les besoins croissants, Vidéotron a annoncé mercredi la construction d'un centre de données au coût de 40 millions $. Au cours d'une rencontre avec la presse, mercredi, la présidente et chef de la direction de Vidéotron, Manon Brouillette, a souligné que la décentralisation des serveurs des entreprises vers des centres de données était une tendance lourde à l'échelle mondiale, une tendance dont l'entreprise souhaite profiter. Le centre de 4000 mètres carrés sera situé dans l'arrondissement de Saint-Laurent, dans le Technoparc Montréal. Environ 300 emplois seront ainsi créés durant la phase de construction et entre 15 et 20 emplois permanents par la suite pour gérer les infrastructures, a précisé Mme Brouillette. Vidéotron souhaite ainsi intéresser les entreprises et les institutions de toutes les tailles et ne compte pas s'arrêter aux frontières du Québec. «On vise tout type de clientèle. On a 120 000 clients aujourd'hui; on a une demande de cette clientèle-là, mais également, il y a des clients de grande taille. On voit vraiment une tendance; on est près des frontières. Tout: le climat, le dollar canadien, tout ça fait en sorte que c'est très favorable pour des clients internationaux. L'avantage qu'on a, c'est que nos infrastructures, nous, on est déjà avec nos interconnexions avec les États-Unis, l'Europe, etc., pour recevoir des clients et être capables de transiter les données», a expliqué Mme Brouillette. Le maire de Montréal, Denis Coderre, présent lors de l'annonce, ne cachait pas sa fierté. Il s'est dit doublement content, d'abord pour son Technoparc qui continue de se développer avec un centre de technologie de pointe, ensuite pour la croissance du nombre de centres de données au Québec. «Il ne faut pas se le cacher: le Québec et Montréal connaissent un léger retard dans ce domaine. À titre de comparaison, l'Ontario compte 1146 centres de données; le Québec n'en compte que 411», a dit le maire Coderre. Pierre Dion, président et chef de la direction de Québecor, a précisé qu'en fait, c'est non seulement Montréal et Québec, mais «tout le Canada qui est en retard sur les États-Unis» en la matière. Le maire Coderre pense que ce centre de données de Vidéotron permettra d'attirer ici d'autres entreprises. «Grâce au nouveau centre de données qui sera érigé ici, les entreprises montréalaises et du Québec entier pourront bénéficier d'une infrastructure infonuagique à la fine pointe. Pour Montréal, c'est un avantage incroyable, qui nous permettra d'attirer chez nous de nouvelles entreprises numériques ou de conserver celles que nous avons déjà», s'est-il félicité. http://affaires.lapresse.ca/economie/medias-et-telecoms/201509/16/01-4901121-videotron-construira-un-centre-de-donnees-a-montreal-pour-40-millions.php
  2. Propriétaires cherchent locataires Photo Martin Chamberland, La Presse Philippe Orfali La Presse Le nombre d’appartements inoccupés a bondi à Montréal depuis le 1er juillet, selon les propriétaires de logements et les groupes communautaires. Une situation qui pourrait laisser présager des jours meilleurs pour les locataires et des maux de tête pour les propriétaires. L’Opération relogement de l’Office municipal d’habitation de Montréal (OMHM), qui vient en aide aux familles sans logis, a reçu environ 350 appels cette année. C’est trois fois moins que les 1200 appels reçus en 2007. «Ce sont maintenant les propriétaires qui nous appellent, parce qu’ils sont à la recherche de locataires», affirme le chargé de projet Frédéric Roy. L’OMHM a reçu une quarantaine d’appels du genre depuis le 1er juillet. «Notre recherche de logements a été beaucoup plus simple que l’an dernier. Les locataires avaient beaucoup plus de choix», dit-il. Même son de cloche au Front d’action populaire en réaménagement urbain (FRAPRU). «On a constaté une augmentation importante du taux d’inoccupation du logement locatif, indique la porte-parole, Marie-Josée Corriveau. Beaucoup moins de gens sont venus nous voir cette année.» Les propriétaires ne devraient pas s’inquiéter pour l’instant, estime toutefois le professeur d’urbanisme à l’Université de Montréal Daniel Gill. « Avec un taux d’inoccupation actuel d’environ 3%, on est à un point d’équilibre, dit-il. Mais si la tendance se poursuit, le taux de logements inoccupés à Montréal pourrait facilement atteindre 5% d’ici trois ou quatre ans. » Rendus là, les propriétaires n’auront d’autre choix que de baisser leur loyer ou d’offrir des mois gratuits, croit l’expert. «Pas question», tranche Hans Brouillette, porte-parole de la Corporation des propriétaires immobiliers du Québec (CORPIQ). «Tous les coûts d’exploitation augmentent, c’est illogique que nous baissions nos loyers. Ce sont déjà les plus bas en Amérique du Nord.» De locataires à propriétaires Selon la CORPIQ, le fait que les salaires aient augmenté plus rapidement que les loyers des Québécois incite de plus en plus de locataires montréalais à s’acheter une maison en banlieue. «Cinquante pour cent des Montréalais étaient locataires en 2001. On est rendus à environ 45% en 2008, dit M. Brouillette. Ça a des répercussions sur les propriétaires de logements locatifs.» Plusieurs milliers de logements abordables ont également été bâtis au cours des dernières années par le gouvernement provincial, regrette M. Brouillette. «Que le gouvernement cesse de bâtir du logement social ! s’exclame-t-il. On en a des logements. Ce qu’il faut, c’est prendre l’argent qu’on aurait mis dans les logements neufs et aider les familles à payer le juste prix pour leur logement.» Une proposition qui fait bien rire Marie-Josée Corriveau, du FRAPRU. Selon elle, les logements qui affichent encore «À louer» sont soit hors de prix ou en mauvaise condition. «Les propriétaires doivent comprendre qu’ils ne peuvent pas demander des prix exorbitants pour leur appartement. Avec une plus grande offre de logements, les locataires vont refuser de payer autant.»
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