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Alouettes de Montréal


ErickMontreal

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Une défaite de plus ou de moins. On est habitué à ça à Montréal!

 

:mad: :mad: :mad: Avec une attitude négative comme la vôtre, incapable d'encaisser un simple résultat de match, je ne suis pas surpris de l'esprit de morosité de la ville. C'est avec des gens comme vous que la ville est perdante, Montréal qui a pourtant gagné la présentation de la coupe Grey et qui en a fait un grand succès.

 

Vous semblez oublier la maxime principale du sport: l'important n'est pas de gagner mais de participer.

 

Et Montréal a été à la hauteur de sa réputation en étant une ville-hôtesse accueillante, généreuse, joyeuse et super bien organisée. Elle renvoi ses visiteurs avec de beaux souvenirs et la satisfaction d'un voyage réussi.

 

Voilà là où Montréal a gagné et à cette façon de faire ainsi qu'avec sa personnalité unique elle sera toujours gagnante!!!!!!!!!!!!!!!!:thumbsup:

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:mad: :mad: :mad: Avec une attitude négative comme la vôtre, incapable d'encaisser un simple résultat de match, je ne suis pas surpris de l'esprit de morosité de la ville. C'est avec des gens comme vous que la ville est perdante, Montréal qui a pourtant gagné la présentation de la coupe Grey et qui en a fait un grand succès.

 

Vous semblez oublier la maxime principale du sport: l'important n'est pas de gagner mais de participer.

 

Et Montréal a été à la hauteur de sa réputation en étant une ville-hôtesse accueillante, généreuse, joyeuse et super bien organisée. Elle renvoi ses visiteurs avec de beaux souvenirs et la satisfaction d'un voyage réussi.

 

Voilà là où Montréal a gagné et à cette façon de faire ainsi qu'avec sa personnalité unique elle sera toujours gagnante!!!!!!!!!!!!!!!!:thumbsup:

 

J'aime mieux appeler une défaite une défaite! Sinon on parle de quoi? Une victoire morale? On est quoi, les Nordiques de 1990? J'aime mieux être déprimé après une défaite que de prétendre et rationaliser qu'en fait, il s'agit d'une victoire. Je ne veux pas faire comme ceux qui prétendent que c'est une bonne chose d'avoir perdu le Grand-Prix parce que "c'est un sport de riches". La Coupe Grey est une défaite pour Montréal, une autre en quelques semaines. Qu'on regarde la réalité en face!

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J'aime mieux appeler une défaite une défaite! Sinon on parle de quoi? Une victoire morale? On est quoi, les Nordiques de 1990? J'aime mieux être déprimé après une défaite que de prétendre et rationaliser qu'en fait, il s'agit d'une victoire. Je ne veux pas faire comme ceux qui prétendent que c'est une bonne chose d'avoir perdu le Grand-Prix parce que "c'est un sport de riches". La Coupe Grey est une défaite pour Montréal, une autre en quelques semaines. Qu'on regarde la réalité en face!

 

Si la coupe Grey avait été annulée, cela aurait été une défaite. Montréal a reçu une bonne injection de dollars touristiques et toute la ville en a largement profité. Elle a donc gagné.

 

Une défaite sportive est un événement ponctuel qui ne remet pas en question le dynamisme d'une ville. Comment peut-on réduire l'image d'une ville à un match qui exige nécessairement un perdant et un gagnant?

 

De grâce sortons de cette vision puérile des bons et des méchants, ce n'est qu'un jeu et c'est sur le plan financier que les vrais gagnants se font en permettant au jeu d'avoir lieu.

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Je suis particulièrement déçu mais il faut admettre que Montréal ce sont fait battre par un meilleur club, point à la ligne. Il est clair que Calvillo n`a pas nécessairement toujours prit les bonne décisions principalement à la fin du 4ième quart. Ceci dit, Buries a mit la défensive de Mtl dans çà poche arrière car il a terminé la game avec plus de 80 verges de au sol...

 

De toute façons, la CFL est une ligue professionnelle intéressante en soit mais somme toute assez mineure. En ce sens la ville perds peu en cas de défaite outre pour la confiance et l`humeur collective.

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  • 7 mois plus tard...

Game 1 summary: MTL 40, CGY 27

 

2009Summary_M1_at_CGY_en2718.jpg

 

Montreal wins season opener

 

By Richard Obrand,

MontrealAlouettes.com

 

Calgary - It’s nowhere near consolation for last season’s disappointing end, but it’s a start.

 

On Canada’s 142nd birthday, the Alouettes picked up their first win of the 2009 season, 40-27 over the defending Grey Cup champion Calgary Stampeders.

 

But don’t let the 13-point margin fool you – this was a close one.

 

Quarterback Anthony Calvillo picked up where he left off in 2008 as the soon-to-be 37-year-old hooked up with receiver Kerry Watkins for a 37-yard highlight-reel catch to give the Als a 7-0 lead just 2:21 into the game.

 

Calvillo finished the night with 255 yards and a touchdown, completing 75 per cent of his passes.

 

Following Calvillo’s first TD pass of the season, running back Avon Cobourne capped off an impressive first-quarter drive with his first rushing touchdown of the campaign, a 10-yard carry to put the Als up by 14.

 

Perhaps the most impressive Alouette on this night, however, was kicker Damon Duval, as the five-year veteran contributed 20 of his team’s 33 points – 18 of which were three-pointers.

 

Despite the visiting team’s strong start, however, Calgary pivot Henry Burris showed why he was named MVP of last year’s Grey Cup as he led the Stamps all the way back to a 27-27 tie.

 

Burris ended the day with 247 yards, completing 17 or his 33 passes with one touchdown and an interception and seemed poised to bring the Stamps all the way back for a check in the win column.

 

But in the waning minutes of the fourth quarter, linebacker Chip Cox returned a Burris fumble 80 yards to finally restore a double-digit lead for the Als and lock in the win for Montreal.

 

On the other hand, Burris didn’t exactly have it easy as he was sacked once apiece by defensive end John Bowman and rookie linebacker Ramon Guzman.

 

With the win, the Als are now 12-2-0 in season openers since re-joining the CFL in 1996.

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Game 2 summary: MTL 50, EDM 16

 

Les Alouettes dévorent les Eskimos

 

Jeudi 09 juillet 2009

RDS.ca

 

Par Francis Paquin - Les Alouettes ont encore manqué un peu de fini à la porte des buts, mais comme cela avait été le cas la semaine dernière à Calgary, la défensive a veillé au grain.

 

Kerry Watkins a inscrit le premier touché du match pour une deuxième semaine de suite, tandis que Keron Williams a obtenu deux sacs du quart en plus de recouvrer deux échappés et les Alouettes ont pris la mesure des Eskimos d’Edmonton 50-16, jeudi soir au Stade Percival-Molson.

 

Damon Duval, qui avait réussi ses six tentatives de placement contre les Stampeders, a raté cette fois-ci ses deux premiers essais, devant se contenter de simples à chaque occasion. Williams et ses coéquipiers de l’unité défensive ont toutefois brillamment racheté le manque d’opportunisme de leur botteur en limitant les Eskimos à trois placements avant que les substituts ne s’amènent sur le terrain.

 

Le joueur défensif par excellence des Alouettes la saison dernière a terminé sa soirée de travail avec cinq plaqués, alors que Chip Cox, John Bowman et Anwar Stewart ont également réussi des sacs aux dépens du quart des Eskimos Ricky Ray. Ces mêmes Bowman et Stewart ont été à l’origine des deux échappés recouvrés par Williams. Cory Huclack s’est aussi joint à la fête en ramenant sur 38 verges une interception pour un touché.

 

Click here to find out more!

« Nous pensions avoir bien fait la semaine dernière, mais nous avons définitivement fait mieux aujourd’hui », a déclaré le maraudeur québécois Matthieu Proulx. « Il y a évidemment des choses à corriger, mais dans l’ensemble, nous sommes satisfaits. »

 

Appelé à remplacer le demi inséré étoile Jamel Richardson, qui ratera les trois prochaines semaines d’activité en raison d’une blessure à l’épaule gauche, S.J. Green n’a pas joué les touristes. Green, qui en était son premier départ cette saison, a capté cinq passes pour des gains de 113 verges avec un touché. Watkins a également atteint le plateau des 100 verges en captant neuf passes pour des gains de 119 verges. Le demi inséré Ben Cahoon a quant à lui saisi un relai dans une 111e rencontre de saison régulière d’affilée.

 

« J’adore Montréal, c’est ici que je veux jouer », a indiqué Green, qui a refusé une offre de se joindre aux Argonauts après avoir été retranché au terme du camp d’entraînement.

 

« Il a été très patient », a ajouté Calvillo, qui a dirigé et complété ses deux premières tentatives de passes en direction de Green. « Chose certaine, il était prêt. »

 

Cavillo a complété 24 de ses 32 tentatives de passes pour des gains de 343 verges et lancé deux passes de touché pour s’approcher à deux du regretté Ron Lancaster au deuxième rang de l’histoire de la Ligue canadienne de football. Le quart des Alouettes totalise maintenant 331 passes de touché, 63 de moins que le meneur de tous les temps Damon Allen.

 

Calvillo, à la suite d’une course de quatre verges, Larry Taylor, après un retour de botté de dégagement de 68 verges, et Avon Cobourne, à la suite d’une trotte d’une verge, ont marqué les autres majeurs des Alouettes, qui ont inscrit 50 points pour la première fois depuis le 28 octobre 2004 à Toronto.

 

La défensive donne le ton

L’unité défensive des Alouettes s’est particulièrement distinguée en première demie, provoquant deux revirements, le premier sur le tout premier jeu de la première série à l’attaque des Eskimos.

 

Williams a ensuite fait avorter les deux séries à l’attaque suivante des Eskimos en réussissant des sacs, puis le demi recrue Arkee Whitlock a aidé la cause des Alouettes en échappant deux passes de touché faciles, les Eskimos devant se contenter de placements à chaque fois.

 

Ce même Whitlock a ensuite été à l’origine du deuxième revirement de la demie après que Stewart lui eut arraché le ballon.

 

« De réussir un gros jeu comme cela en début de match, cela a vraiment donné le ton », a avoué Proulx. « Nous avons réussi à déconcentrer leur porteur de ballon. »

 

Les Eskimos n’ont finalement inscrit que six points en première demie, alors que les Alouettes auraient pu en marquer bien plus que 19.

 

« Nous avons laissé plusieurs points sur le terrain », a reconnu Calvillo. « J’ai notamment raté la cible à deux reprises alors que Kerry (Watkins) était fin seul dans la zone des buts. »

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