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Wave Arts

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Messages posté(e)s par Wave Arts

  1. Il y a 22 heures, Chuck-A a dit :

    J'ai du manquer la nouvelle, merci d'être aussi passionné! 

    • Like 1
  2. Les voies réservées devraient commencer à la 930, après le viaduc de la 15, surtout que des voies réservées seront aménagées sur la 132. Ainsi, il n'y aura pas de problèmes de trafic pour les utilisateurs de la rive-sud qui prendront le REM. Ça va offrir un service «expresse» qui va encourager plus de personnes à utiliser le TEC dans la région du Roussillon, où les taux d'utilisation sont faibles.

  3. Il y a 7 heures, KOOL a dit :

    Bon, ça fait un mois jour pour jour que Rocco a posté ses photos. Y'arrive quoi avec le SQP1 ? Leur gomme balloune leur a explosé en pleine face ? 

    Sérieux, y'a pas un photographe du forum qui est passé dans le coin du Square Phillips depuis 30 jours ? Si le chantier est inaccessible, je vous suggère de prendre l'ascenseur dans le 505 R-L Ouest qui n'a pas de garde de sécurité au rez-de-chaussée et plusieurs étages sont inoccupés, permettant ainsi de belles prises de vue sur l'ancien stationnement. 

     

     

    2012_IMG_1787.jpg

    Merci de l'info !

    • Like 1
  4. Il faut aussi s'attarder sur l'éducation au niveau secondaire. Le taux de décrochage est horrible et le système à trois vitesses me fait honte. Je suis sur qu'en investissant maintenant, on verrait des effets bénéfiques pour l'économie dans quelques années : moins d'abandons à l'université, taux de réussites plus élevés, emplois et salaires plus élevés, etc. On abandonne présentement les élèves qui sont dans les programmes réguliers. 

  5. il y a 7 minutes, Windex a dit :

    Devisubox, c'est juste la technologie. C'est les constructeurs (destructeurs dans ce cas-ci) qui achètent et utilisent cette technologie pour notre plaisir :)

    Ah ok merci de la précision, je pensais que c'était une firme engagée par les ^compagnie et qui s'occupait de tout le processus.

  6. Il y a 8 heures, acpnc a dit :

    On entend les autoroutes quand le vent souffle dans notre direction

    Le vent a vraiment un important effet sur la transmission sonore, beaucoup plus que ce que je m'imaginais. Quand je vais sur le bord du fleuve, à environ 400m à l'est des Rapides, avec un vent normal d'ouest, je les entend. Pour ceux qui ne savent pas à quoi le bruit ressemble, c'est un espèce de rugissement grave et constant (c'est assez fort, je l'entend depuis ma maison la nuit, qui est pourtant à quelques km.)

    Par contre, quand le vent vient de l'est, le bruit est totalement absent, mais j'entends les barques qui naviguent pas loin du pont SdC, à quelques km de moi. J'entends aussi la 15 qui est elle aussi à une distance considérable. 

    • Like 1
  7. Il y a 8 heures, map2 a dit :

    Dans une coopérative subventionnée AccèsLogis, le loyer est fixé à 80% du prix médian d'une unité locative similaire dans le quartier. Il n'y aura aucun 5 et demi à 400$ par mois là dedans.

    (Disclaimer : Marc90 ici, de retour sur le forum après quelques ennuis web, qui m'ont forcé à créer un nouveau compte au final)

    Tu devrais remettre ton image, comme ça on va savoir que c'est toi.

  8. il y a 3 minutes, Normand Hamel a dit :

    Yves Gingras a certes contribué à nous le faire connaître mais c'est vrai qu'il reste encore aujourd'hui un personnage méconnu. C'est sans doute en partie attribuable au fait qu'il portait la soutane. Il a également joué un rôle très important dans la création de l'Université de Montréal.

    Si Marie-Victorin revenait aujourd'hui visiter le Jardin botanique qu'il a créé en 1931 il serait étonné de son développement. Et encore plus étonné de constater qu'au fil des ans cela a attiré un stade olympique, un biodôme, un insectarium et même un planétarium. D'ailleurs j'ai déjà suivi des cours d'astronomie au Jardin botanique avant même l'inauguration du Planétarium Dow! Ce qui ne me rajeuni pas... Le déménagement du planétarium à Espace pour la vie était donc en quelque sorte un retour aux sources. 😃

    csm_47_victorin_gingras-yves_aeab855611.jpg

    C'est tu juste moi ou Yves Gingras ressemble comme deux gouttes d'eau à Marie-Victorin?

  9. Il y a 12 heures, Né entre les rapides a dit :

    C'est incontestable que Montréal ne "l'a pas facile".  Mais ça concerne surtout le centre des affaires, ce qui n'est pas rien, mais en même temps, ce n'est pas comme si toute la ville et ses banlieues étaient à l'arrêt.  Si c'était le cas, on ne verrait plus personne nulle part, pas de véhicules sur les routes, pas de cyclistes ni de piétons, l'immobilier en chute libre (c'est le contraire!), etc.

    "Saint Drapeau, priez pour nous"!  --Pas vraiment.  Je reconnais que Jean Drapeau a fait de grandes choses pour Montréal, qu'il l'a repositionnée sur la scène internationale, qu'il a finalement fait aboutir un projet de métro (dix ans après Toronto), etc, mais ni lui (ni personne d'autre d'ailleurs) n'a pu empêcher "sa" ville de céder sa place à Toronto en tant que métropole du Canada.  Les forces qui ont provoqué cette perte de statut  étaient étrangères aux performances des maires.  La réalité telle que je la connais et que je la comprend, c'est que Montréal, même dans ses belles années:

    - Progressait déjà moins vite que Toronto depuis la fin du 19e siècle, même s'il elle demeurait alors la métropole du Canada, tant pour ce qui est du nombre d'habitants que fonctionnellement (première place financière, de l'industrie et du commerce).  Déjà l'Ontario était plus peuplé que le Québec, grâce à un écoumène plus vaste et plus favorable, et Toronto développait ses propres institutions financières et les fonctions industrielles et commerciales pour sa province, ainsi que, de plus en plus, l'ouest du pays.

    - Dès le lendemain de la première guerre mondiale, donc essentiellement dans les glorieuses années 1920, les USA étant devenus le principal partenaire du Canada,  la position de Toronto au coeur du principal complexe industriel américain d'alors la favorisa (Montréal étant traditionnellement plus tournée vers la Grande-Bretagne).  Aussi, ce sont les financiers de Toronto, au lieu de ceux plus "traditionnels" de Montréal, qui s'intéressèrent au développement de l'industrie minière, qui allait devenir la base de grandes fortunes.

    - Après la seconde guerre mondiale, le rôle des USA devint encore plus prépondérant, et le sud de l'Ontario (dont évidemment Toronto) attira la très grande majorité des filiales des entreprises américaines qui s'installèrent au Canada.  L'immigration internationale privilégia aussi l'Ontario;  jusque là, le Québec avait réussi à compenser ce désavantage par un taux d'accroissement naturel plus élevé (la "revanche des berceaux"), mais cette époque tirait à sa fin.  Dans les années 1950 (et techniquement jusqu'au recensement de 1976), Montréal conservait son titre de métropole du Canada, mais cela tenait plus au décompte de la population qu'à autre chose;  certains secteurs de l'industrie montréalaise étaient encore très prospères (par exemple la pétrochimie), mais à côté de ce dynamisme,  une partie importante de la population était encore employée dans des secteurs à bas salaires (qu'on appella "secteurs mous" quand la concurrence étrangère les terrassa dans les années suivantes jusqu'à la fin des années 1970).  Au début des années 1960 se répandit la notion de deux villes en symbiose, qui se livraient concurrence à forces égales.  D'une part Montréal bénéficia d'importantes transformations bien visibles, surtout jusqu'à l'Expo 67, mais d'autre part la prépondérance de Toronto dans le secteur financier et le grand commerce se faisait de plus en plus sentir auprès de ceux qui oeuvraient dans les affaires.  Puis la déprime (essentiellement à Montréal) de 1968, la Crise d'Octobre 1970, puis l'élection d'un parti indépendantiste en 1976 achevèrent de consacrer le déclin de Montréal.  (en rétrospective: pas pour toujours, mais seulement pour un temps, car...)

    - Toute mauvaise chose a une fin.  La longue période difficile vécue par Montréal ne fut pas pour autant passive. Les jalons d'un futur retour à la prospérité furent posés.  Je retiens surtout le relèvement remarquable du niveau d'éducation des Québécois en général.  Je note aussi l'assainissement des finances publiques de la province, qui redonna confiance aux investisseurs.  Des caractéristiques urbaines un peu particulières à Montréal devinrent attrayantes aux yeux des nouvelles générations.  Le succès attira le succès.  Nous fûmes à nouveau en droit de parler d'une lancée ou d'un essor phénoménal, qui ne passa pas inaperçu chez nos voisins et au-delà.  La croissance de la population alla de pair, soutenue cette fois par l'immigration internationale et le tarissement du déficit migratoire inter-provincial.

    Ces avantages ne devraient pas disparaître du jour au lendemain.  En d'autres mots, nous avons d'excellentes raisons de demeurer optimistes.  Il faut seulement pouvoir passer au travers de la crise actuelle sans encourir trop de dommages.  La question du moment est comment et jusqu'à quel point nous devons viser un retour "à la normale" dans sa forme ex ante, ou si plutôt nous devons accepter de nous adapter à  une nouvelle donne, qui se différencierait surtout  par la distribution spatiale des occupations (emplois etc.) 

         

    Un excellent commentaire, bravo. J'aimerais aussi ajouter que Montréal jouait d'un avantage géographique : les Rapides de Lachine. Les bateaux devaient s'arrêter à Montréal ce qui permettait de lui assurer une place importante pour l'économie du Canada. Avec la construction de la voie maritime dans les années 50, on a permit aux bateaux de pénétrer plus loin dans le continent et ainsi, déplacer le noyau économique de Montréal à Toronto. Ajoutons également que le Midwest américain était en effervescence et que ses nombreuses industries apportait une demande croissante de bateaux dans l'ouest.

  10. Il y a 16 heures, KOOL a dit :

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    Ça, c'est la vision très peu inspirante que l'on avait depuis de nombreuses années en prenant la sortie de l'IDS qui passe sous le pont près de la caserne des pompiers (et encore, ça ne rend pas vraiment justice à l'appréhension car on ne voir pas la «super poutre»), je vous jure que  ça n'inspirait pas vraiment confiance quand on devait aller sur la Rive-Sud... surtout après la tragédie du pont de Gênes qui avait été construit 5 ans après le futur défunt Pont Champlain. 

     

    C'était pareil sur la Rive-Sud, en passant sous le pont pour prendre la bretelle pour aller en direction Montréal, on avait l'impression que le pont était sur le point de s'effondrer. J'ai pris cette photo hier après midi, toute une différence avec le SdC.

    20200920_134144.jpg

  11. il y a 49 minutes, Rocco a dit :

    Je ne comprends pas qu'ils aillent avec du béton sur 26 étages alors que tous les nouveaux édifices autour sont en métal légers ou en verre.

    Ça va faire contraste et puis on aime ça à Montréal, le contraste.

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  12. il y a 24 minutes, champdemars a dit :

    Effet couronne? Je cale des cheveux, est-ce à cause des lignes électriques dans mon coin? :D

    Sérieusement, qu'est-ce que c'est ?

    C'est des mini-décharges électriques dans l'air à proximité d'un fil électrique. C'est ce qui cause le grésillement des lignes de haute tension.

    En gros, puisque la tension qui traverse le fil est très élevé, le champs électrique à l'entours aussi. L'air est un excellent isolant, mais s'il fait humide (ou qu'il y a présence de brouillard, par exemple), sa conductivité augmente et devient proche du point auquel il peut être ionisé et laisser passer le courant. Ainsi, certaines particules plus conductrices passant proches du fil permettent de créer des mini-décharges. 

    Toutefois, il faut comprendre que comme la puissance du champs électrique est exponentiellement décroissante à la distance, au delà de quelques mm, peu importe le taux d'humidité de l'air, ce dernier est trop isolant pour pouvoir permettre cet effet. Il n'y a absolument aucun dangers, mais le bruit peut être fatiguant pour certains.

    Voici un lien qui explique mieux que moi : https://fr.wikipedia.org/wiki/Effet_corona

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  13. La déconstruction du pont Champlain progresse

    Amorcée le 23 août, la déconstruction de la culée du pont Champlain du côté de l’Île-de-Sœurs a été complétée à 60%. Les composantes se trouvant de l’autre côté de la rive sont les premières à être déconstruites, soit la culée du pont, deux travées et une pile.

    Dans un premier temps, le consortium Nouvel Horizon Saint-Laurent a retiré certains éléments de renforcement et installés des supports temporaires sous la structure. Par la suite, différents éléments structuraux, dont des dalles de béton, des appareils d’appui et des poutres, ont été remis aux entités qui participent au volet Recherche et développement du projet de déconstruction.

    La déconstruction mécanique de la culée et des deux travées, du chevêtre et de la pile se trouvant à proximité du boul. René-Lévesque a mobilisé jusqu’à huit excavatrices. À elle seule, la déconstruction de la culée aura généré un total de 2200 tonnes de béton qui seront recyclées dans des centres de tri à proximité.

    L’ensemble des travaux, incluant le terrassement du secteur, sera complété pour la fin du mois de septembre.

    Parallèlement à la déconstruction de la culée, la mise en place d’une jetée temporaire a débuté à l’Île-des- Sœurs et se poursuivra cet hiver. La mise en place de la jetée du côté de Brossard s’est également amorcée il y a quelques semaines. Son élargissement se poursuivra au printemps 2021. Enfin, une troisième jetée sera construite sur la digue de la Voie maritime, à proximité de l’estacade, en 2021.

    Ces jetées permettent de démanteler des éléments structuraux du pont dans les secteurs en rive où l’utilisation des barges n’est pas possible en raison des eaux peu profondes. (G.M.)

    https://www.lereflet.qc.ca/la-deconstruction-du-pont-champlain-progresse/?fbclid=IwAR1vjfEt4kWPIDI2o5iQ4i3814hG-bRFk2uCUTzoX5rgQIJLHTBHZo7DSF8

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  14. https://www.lereflet.qc.ca/plusieurs-phases-de-travaux-au-quartier-tod-de-la-gare-a-candiac/

    Plusieurs phases de travaux au quartier TOD de la gare à Candiac

    Des travaux d’infrastructure débuteront autour du quartier TOD de la gare à Candiac, le 21 septembre, et dureront jusqu’en décembre, annonce la Ville. Un carrefour giratoire, le pavage de voies et le début du chantier en vue de l’aménagement d’un parc linéaire s’inscrivent notamment dans cette nouvelle phase de travaux.

    Du 21 au 25 septembre, l’asphaltage d’une portion de la rue Syracuse sera effectué. Après cette étape, l’accès à la gare de Candiac se fera par ce chemin, et ce, jusqu’à l’été 2021.

    Un chantier sur le boulevard Jean-Leman sera en branle à compter du 21 septembre également, pour la construction d’un carrefour giratoire au niveau de l’avenue des Chênes.

    «En plus d’offrir un meilleur niveau de sécurité pour tous les usagers, ce carrefour giratoire contribuera assurément à réduire le bruit, puisque les véhicules auront moins souvent à effectuer un arrêt complet ou à recourir à l’utilisation du frein moteur», fait valoir la Municipalité.

    La circulation se fera en alternance la plupart du temps au moment de ces travaux.

    «Bien que requises afin d’exécuter les travaux d’asphaltage sur Jean-Leman, les entraves complètes seront réduites au minimum et feront l’objet d’autres communiqués à venir en temps opportun», ajoute la Ville.

    Elle affirme également vouloir profiter de cette période plus calme au stationnement incitatif de la gare, en raison de la COVID-19, pour effectuer des travaux sans nuire à la circulation. En décembre, le camionnage sera à nouveau admis et l’interdiction de stationner qui sera mise en place le 28 septembre sur la rue Syracuse sera levée.

    Parc linéaire

    Pour la réalisation du parc linéaire, la rue de la Sorbonne sera définitivement fermée et revégétalisée. La phase finale pour son aménagement s’amorcera à l’été 2021. Au même moment, l’asphaltage et l’aménagement de l’avenue des Chênes seront finalisés et l’artère deviendra l’accès principal à la gare.

    À terme, le parc linéaire sera doté d’une piste multifonctionnelle, de stations d’exercice et d’une aire de jeux. Il comportera également de nombreux arbres à grand déploiement, arbustes et de la végétation diverse.

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  15. Le 2020-09-17 à 20:29, budgebandit a dit :

    Some advice for the city.... it would be a great idea to anticipate the pushback / resistance on some of their projects and provide immediate solutions. 

    ex: we are taking away your marina in Lachine but this other site would be a great alternative

    The lack of foresight is incredible. 

     

    Je sais que c'est un peu loin, mais je propose la Rive-Sud, entre l'ile Sainte-Catherine et le pont SdC. Le petit bassin de Laprairie est déjà contaminé et largement utilisé par des bateaux. En plus, ça éviterait de perturber les écosystèmes sensibles du fleuve et des Rapides. Il y a déjà eu quelques marinas et ça pourrait stimuler l'économie touristique de la Rive-Sud. Je suis habitué de voir plusieurs voiliers, bateaux de plaisances ainsi que navires de 200m chaque jour et l'ambiance créée est assez spéciale, ça ne pourrait qu'être mieux avec une plus grande quantité de voiliers.

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