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  1. Canon EOS 5D Mark II Hands-on Preview

    September 2008, Phil Askey and Richard Butler

     

    frontview-001.jpg

    Preview based on a pre-production EOS 5D Mark II

    Back in August 2005 Canon 'defined a new DSLR category' (their words) with the EOS 5D. Unlike any previous 'full frame' sensor camera, the 5D was the first with a compact body (i.e. not having an integral vertical grip) and has since then proved to be very popular, perhaps because if you wanted a full frame DSLR to use with your Canon lenses and you didn't want the chunky EOS-1D style body then the EOS 5D has been your only choice. Three years on and two competitors have turned up in the shape of the Nikon D700 and Sony DSLR-A900, and Canon clearly believes it's time for a refresh.

     

    So here is the 5D Mark II, which punches high in terms of both resolution and features, headlining: 21 megapixels, 1080p video, 3.0" VGA LCD, Live view, higher capacity battery. In other words, a camera that aims to leapfrog both its direct rivals, either in terms of resolution (in the case of the D700) or features (in the case of the DSLR-A900). Full detail below.

    Key features / improvements

     

    • 21 megapixel CMOS sensor (very similar to the sensor in the EOS-1Ds Mark III)
    • Sensor dust reduction by vibration of filter
    • ISO 100 - 6400 calibrated range, ISO 50 - 25600 expansion (1Ds Mark III & 5D max ISO 3200)
    • Auto ISO (100 - 3200) in all modes except manual
    • 3.9 frames per second continuous shooting
    • DIGIC 4 processor, new menus / interface as per the EOS 50D
    • Image processing features:
      • Highlight tone priority
      • Auto lighting optimizer (4 levels)
      • High ISO noise reduction (4 levels)
      • Lens peripheral illumination correction (vignetting correction)

      [*]RAW and SRAW1 (10 MP) / SRAW2 (5 MP)

      [*]RAW / JPEG selection made separately

      [*]Permanent display of ISO on both top plate and viewfinder displays

      [*]AF microadjustment (up to 20 lenses individually)

      [*]Three custom modes on command dial, Creative Auto mode

      [*]Image copyright metadata support

      [*]98% coverage viewfinder (0.71x magnification)

      [*]3.0" 920,000 dot LCD monitor with 'Clear View' cover / coatings, 170° viewing angle

      [*]Automatic LCD brightness adjustment (ambient light sensor)

      [*]Live view with three mode auto-focus (including face detection)

      [*]No mirror-flip for exposures in Live View if contrast detect AF selected

      [*]Movie recording in live view (1080p H.264 up to 12 minutes, VGA H.264 up to 24 mins per clip)

      [*]Two mode silent shooting (in live view)

      [*]New jump options in play mode

      [*]HDMI and standard composite (AV) video out

      [*]Full audio support: built-in mic and speaker, mic-in socket, audio-out over AV (although not HDMI)

      [*]IrPort (supports IR remote shutter release using optional RC1 / RC5 controllers)

      [*]UDMA CompactFlash support

      [*]New 1800 mAh battery with improved battery information / logging

      [*]New optional WFT-E4 WiFi / LAN / USB vertical grip

      [*]Water resistance: 10 mm rain in 3 minutes

  2. La Chevrolet Volt est finalement prête!!

     

    La production commence fin 2010... ce qui est très proche dans le monde automobile.

     

     

    x11ch_vt005.jpg

     

    01_voltlive.jpg

     

    l'intérieur:

     

    <object width="425" height="344"><param name="movie" value="http://www.youtube.com/watch?v=1cmQ4qhyB3w&color1=0xb1b1b1&color2=0xcfcfcf&hl=en&fs=1"></param><param name="allowFullScreen" value="true"></param><embed src="http://www.youtube.com/watch?v=1cmQ4qhyB3w&color1=0xb1b1b1&color2=0xcfcfcf&hl=en&fs=1" type="application/x-shockwave-flash" allowfullscreen="true" width="425" height="344"></embed></object>

  3. j'ai payé 27$ a New york en fin de semaine ! Et c'est loin d'être le plus cher.

     

    J'ai toujours cru que les spots diplomatique étaient réservés parceque un diplomate n'est pas tenu de payer une contravention s'il ne paie pas les parcomètres... c'est pour ça qu'ils ont les meilleurs spots.

  4. Quelqu'un a des photos du paquebot au vieux port??

     

    Première dans le port de Montréal - Visite du prestigieux bateau de croisière Royal Princess à Montréal

    MONTREAL, le 15 sept. /CNW Telbec/ - Le bateau de croisière Royal

    Princess est arrivé lundi vers 7H00 du matin à Montréal, destination finale de

    son premier voyage transatlantique, en provenance de Stockholm. A l'occasion

    de cette première visite, le président-directeur général de l'Administration

    portuaire de Montréal, M. Patrice M. Pelletier, a remis une lithographie au

    capitaine Salvatore Lupo, commandant de ce prestigieux navire.

    La cérémonie s'est déroulée à la gare maritime Iberville, sur la jetée

    Alexandra, dans le port de Montréal, en présence de Mme Karen Deegan,

    présidente propriétaire de K D Marine qui représente les croisières Princess

    ainsi que les lignes maritimes Cunard à Montréal et à Terre-Neuve.

    Le président-directeur général du port a félicité le capitaine Lupo :

    "Votre passage à Montréal démontre que notre métropole constitue une

    attraction touristique et culturelle importante pour les croisiéristes du

    Saint-Laurent et de la côte Est de l'Amérique : c'est un honneur de vous y

    recevoir", a-t-il déclaré.

    Construit en 2001 aux chantiers navals de Saint-Nazaire, en France, le

    Royal Princess appartient et est exploité par Princess Cruises. Il devrait

    repartir lundi soir pour Québec, Ville Saguenay, Charlottetown, Sydney,

    Halifax, Saint-John, Portland, Boston, et New York.

    Long de 181 mètres et large de 25,5 mètres, le Royal Princess a un

    équipage de 373 personnes et peut transporter 777 passagers. Enregistré aux

    Bermudes, il jauge 30 277 tonnes.

     

    A propos de l'Administration portuaire de Montréal

     

    L'Administration portuaire de Montréal (APM) exploite le plus important

    port en eaux intérieures au monde. C'est un port de conteneurs de premier plan

    par lequel transitent annuellement 26 millions de tonnes de marchandises. En

    2007, 1 363 021 conteneurs EVP (équivalent 20 pieds) ont été manutentionnés au

    port de Montréal. Le port de Montréal possède son propre réseau ferroviaire

    directement sur les quais. Il est relié à deux importants réseaux

    ferroviaires, ainsi qu'à un réseau autoroutier. Le port exploite aussi un

    terminal céréalier et une gare maritime. Tous les autres terminaux sont gérés

    par des compagnies privées d'arrimage. L'activité portuaire soutient

    18 200 emplois, et génère des retombées économiques de l'ordre de 1,5 milliard

    de dollars.

     

    /AVIS AUX RESPONSABLES DE LA SECTION PHOTOGRAPHIQUE : Une photo

    accompagnant ce communiqué est disponible dans l'Archive photographique

    CNW et archivée à l'adresse http://photos.newswire.ca. Des images

    archivées sont aussi disponibles sur le site Web de l'Archive

    photographique CNW, à l'adresse http://photos.newswire.ca. Ces images

    sont gratuites pour les représentants accrédités des médias/

     

     

     

    Renseignements: Jean-Paul Lejeune, Directeur des communications a.i.,

    (514) 283-1489, Télécopieur: (514) 283-0829, lejeunejp@pdminfo.ca,

    http://www.port-montreal.com

     

     

     

    Le bateau de croisière Royal Princess est arrivé lundi vers 7H00 du matin à Montréal, destination finale de son premier voyage transatlantique, en provenance de Stockholm. A l'occasion de cette première visite, le président-directeur général de l'Administration portuaire de Montréal, M. Patrice M. Pelletier, a remis une lithographie au capitaine Salvatore Lupo, commandant de ce prestigieux navire. (Groupe CNW/Administration portuaire de Montréal)

  5. Ce qui est malade, j'étais à un Walmart dans la région de New York, et absolument aucun article de la LNH!!! RIEN! Tout est pour le football et baseball! J'hallucinais.

     

    Dans un journal local du new jersey, rien du tout sur le hockey, même pas un petit paragraphe dans le coin dans le cahier sport... le hockey c'est loin d'être d'un intérêt aux usa.

  6. Un autre article dans la même veine!

     

    Le lundi 15 septembre 2008

     

     

    Les nouveaux riches

     

     

     

     

    De plus en plus de Québécois accèdent à un niveau de vie supérieur à celui de leurs parents. Certains en ressentent de la culpabilité, même s'ils ont travaillé fort pour réussir.

    Photo Martin Chamberland, La Presse

     

     

     

     

    Émilie Côté

     

    La Presse

     

    Il y a les pauvres, et les très pauvres. C'est pareil pour les riches. Il y a les très riches, nés avec une cuillère en argent dans la bouche. Et les autres, qui se font une place dans les hautes sphères à la sueur de leur front. Et pourtant, souvent, c'est eux qui se font regarder de travers. Le blues du nouveau riche, le premier de trois volets sur «Montréal la chic».

     

    Julie Bourque a 32 ans et trois enfants. Elle travaille dans le domaine de la santé. Son mari aussi. À la fin de sa vingtaine, le jeune père de famille a acheté une entreprise. Depuis, les affaires vont bien. Très bien.

     

    Aujourd'hui, le couple fait partie des nouveaux riches, une catégorie qu'on retrouve de plus en plus au Québec, comme à Montréal. Deux voitures luxueuses sont garées devant sa maison de six chambres à coucher. «Elle est tellement grande qu'on s'y perd», blague Mme Bourque.

     

     

    >> Notre photographe Martin Chamberland a pénétré dans l'univers des riches. Voyez ses photos.

     

    >> Lisez la chronique de Patrick Lagacé: On est toujours le pauvre de quelqu'un

     

    La mère professionnelle ne s'en cache pas. Son mari et elle ont vu leur vie changer rapidement. Ils sont passés d'une «petite maison louée» à un grand train de vie. Mme Bourque ne veut pas s'exhiber en arborant de grandes marques, mais elle se paie de «petits luxes» qui viennent compenser les longues heures passées au travail. Un styliste personnel, par exemple, s'occupe de lui dénicher des vêtements. Elle a une femme de ménage et quelqu'un qui s'occupe d'entretenir son terrain. «C'est pour avoir plus de temps et une meilleure qualité de vie», explique-t-elle.

     

    Julie Bourque vient d'une famille de la classe moyenne. Son père travaillait dans la fonction publique et sa mère était à la maison. «Je n'ai manqué de rien. J'étais enfant unique et mon père m'a toujours dit: ton héritage, ce sera tes études.»

     

    Son mari et elle ont travaillé fort pour arriver là où ils sont. «Nous avons fait notre chance en poursuivant nos études et en prenant le risque d'acheter une entreprise», dit-elle.

     

    Si le couple est bien nanti, il est aussi souvent stressé. «Avoir une entreprise apporte beaucoup de nuits blanches», souligne Mme Bourque.

     

    Et si le couple a travaillé fort pour réussir, il se sent parfois coupable d'y être parvenu aussi rapidement. «Nous sommes mal à l'aise, dit Mme Bourque. Nous suscitons de l'envie dans notre propre famille.»

     

     

     

    La montée des «nouveaux riches»

     

     

     

    Comme les Bourque, de plus en plus de Québécois accèdent à un train de vie de loin supérieur à celui de leurs parents. De 1999 à 2005, 461 000 familles canadiennes se sont ajoutées au cercle des millionnaires. Au total, il y avait 1,1 million de familles dont l'avoir net se chiffrait à plus d'un million en 2005.

     

    «Des nouveaux riches, il y en beaucoup au Québec», lance Pierre Fortin, professeur au département de sciences économiques de l'UQAM.

     

    À l'exception de l'Alberta, le phénomène est plus marqué au Québec que dans les autres provinces, souligne l'économiste. «La scolarité moyenne a augmenté beaucoup plus qu'ailleurs au Canada et c'est directement lié, explique-t-il. Il y a 40 ans, la moyenne de scolarité des 25-29 ans était de neuf ans au Québec et de 11 ans en Ontario; il est aujourd'hui de 15 ans dans les deux provinces.»

     

    M. Fortin rappelle que les francophones gagnaient en moyenne les deux tiers du salaire des non-francophones dans les années 60. Mais depuis la Révolution tranquille, les Québécois rattrapent l'écart de richesse qu'ils avaient par rapport aux autres Canadiens. «Ça vient de notre évolution très rapide, de l'accès à l'éducation et de la croissance de l'entrepreneuriat québécois, explique M. Fortin. Avec l'avènement du Québec inc., de plus en plus de Québécois sont devenus propriétaires d'une entreprise.»

     

     

     

    De l'argent gagné et non un héritage

     

     

     

    «Les Canadiens à revenu élevé tirent de plus en plus leur revenu d'un emploi que d'autres sources», souligne une étude de Statistique Canada sur l'évolution de la richesse des familles, publiée en juin dernier.

     

    En d'autres mots, la plupart des «nouveaux riches» ne sont pas issus de familles fortunées de génération en génération. Comme Mme Bourque, ils viennent de la classe moyenne. Ils ont obtenu un diplôme universitaire, ce qui les a menés à décrocher un emploi payant ou à réussir en affaires.

     

    Dans un rapport paru en mai 2007, les services immobiliers Royal LePage concluent par ailleurs que ce sont «les nouveaux riches et non les anciennes fortunes qui propulsent la vente de maisons haut de gamme».

     

    «Le travail assidu, et non le fait d'être bien né, voilà la clé de la fortune d'une maison luxueuse», peut-on lire dans ce rapport.

     

    Cette conclusion vient d'un sondage Ipsos Reid mené auprès de Canadiens bien nantis. Près de la moitié des répondants ont cité le travail assidu comme principale raison de leur accession à la richesse, alors que seulement 4% d'entre eux ont indiqué le facteur familial.

     

    «Il y a beaucoup de nouvel argent», confirme Jill Prévost, agente immobilière pour Royal LePage dans le secteur de Westmount. «Je vois des gens qui ont fait de l'argent dans le domaine de l'informatique. Aussi des financiers et des promoteurs immobiliers.»

     

    Mme Prévost ne s'en cache pas. Son père et sa mère sont des nouveaux riches. Sa mère - et associée -, Joan Prévost, est devenue l'une des meilleures agentes de Royal LePage du pays. Quant à son père, Jean Prévost, il est l'homme derrière la compagnie FieldTurf, le numéro 1 mondial du terrain de sport synthétique. Aujourd'hui, FieldTurf est le fournisseur officiel de plusieurs équipes de football de la NFL et de la Ligue majeure de baseball.

     

    «Mon père a démarré sa compagnie dans une petite chambre de notre maison», souligne sa fille.

     

    À l'époque, les Prévost habitaient à Côte-Saint-Luc, mais ils tenaient à ce que leur fille fasse ses études à Westmount.

     

    Est-ce que Jill Prévost est l'une des premières de la génération d'enfants des «nouveaux riches»?

     

    Quoi qu'il en soit, elle discute ouvertement du succès financier de sa famille, alors que Julie Bourque (un nom fictif) est très mal à l'aise avec la réussite financière de son couple.

    Mais Mme Bourque admet tout de même que, «si l'argent ne fait pas le bonheur, ça ne nuit pas».

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