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  1. Read more: http://www.montrealgazette.com/Quebec+highest+acquittal+rate+Country/3338332/story.html#ixzz0v6w8XDYg Wow, this is not good.
  2. Foreclosures, immigration linked in report Areas hit hardest have high percentage of foreign-born heads of household By Timothy Pratt (contact) Wed, May 13, 2009 (2 a.m.) Las vegas Sun Counties with high foreclosure rates also tend to have large immigrant populations, according to a Pew Hispanic Center report released Tuesday. The study ranked Clark County sixth nationwide in foreclosure rates last year with 8.9 percent of the valley’s houses in the courts. Nearly 1 in 4 heads of household locally were foreign-born, much higher than the national rate of 4.7 percent. Half of those immigrants were Hispanic. But the study’s main author, Rakesh Kochhar, cautioned that focusing on those factors can lead to a “chicken and egg situation.” “The two things appear together, but is there a causal relationship? Not necessarily,” he said. Kochhar noted that jobs building houses drew many immigrants to the Las Vegas Valley in the past two decades. An unknown number of those workers bought homes. The report also shows that Hispanics, blacks and minorities in general entered subprime mortgages at higher rates than the rest of the population. Nationwide, for example, 27.6 percent of home loans to Hispanics in 2007 were high-priced and a third of loans to blacks were in the same category. Only 1 in 10 loans to whites were high-priced. So areas with higher shares of minorities tend to have higher numbers of homeowners with loans at risk of entering foreclosure. Kochhar’s report, titled “Through Boom and Bust: Minorities, Immigrants and Homeownership,” shows that counties with high foreclosure rates exhibit other factors, including rising unemployment rates and sinking home values. Clark County’s unemployment rate for March was 10.4 percent, tenth-highest among major metropolitan areas nationwide. The Pew report looks at unemployment rates only for 2008 as a whole, which in Clark County was 6.5 percent. The construction sector is among the hardest-hit in terms of job loss. And home values in Las Vegas dropped 31.7 percent in 2008, second most in the nation behind Phoenix, according to a recent Standard & Poor’s report. So there are several factors related to high concentrations of immigrants, each somehow related to another. As Kochhar wrote, “the presence of immigrants in a county may simply signal the effects of a boom-and-bust cycle that has raised foreclosure rates for all residents in that county.” Ian Hirsch, who manages Fortress Credit Services and has taken on hundreds of clients seeking to adjust their mortgages to avoid or get out of foreclosure, said the report’s conclusions match his on-the-ground experience. “It doesn’t surprise me,” Hirsch said. He pointed to the dozens of minority and immigrant clients he has seen who say, “This is not what I was told I was getting into” when they come to his office for help. The adjustable rates in their mortgages and the lack of financial assets they brought to the table lead many of those clients to foreclosure, he added. Some of those clients worked in the construction industry, building the homes that came with the boom. Now, Hirsch noted, with the construction of CityCenter and other large commercial projects nearing an end, unemployment may continue to rise in the coming months. This could bring more foreclosures and failed businesses. “Unfortunately,” Hirsch said, “I think it’s going to get worse before it gets better.”
  3. Montréal lorgne la série Sprint Pierre-Marc Durivage - La Presse 30 juillet 2008 | 07 h 12 Le vice-président opérations de Stock-Car Montréal, François Dumontier, souhaite attirer les bolides de la série Sprint dans la métropole. François Dumontier ne s'en cache pas: il souhaite attirer la série Sprint à Montréal. «On veut être les premiers à organiser une course de série Sprint en dehors des États-Unis, a affirmé hier à La Presse le vice-président opérations de Stock-Car Montréal. L'épreuve Nationwide revient au programme en 2009, mais on ne sait pas ce que nous réservent 2010 et 2011.» Mais avant d'arriver à inscrire une date montréalaise au programme de la série reine du stock-car, Dumontier serait sur le point d'obtenir l'assurance que son épreuve n'entrerait plus en conflit avec une course de série Sprint, comme c'est le cas encore une fois cette année avec la course de Pocono. Cela laisse donc présager que la course montréalaise changerait de date en 2009 et pourrait, par le fait même, être plus attirante pour les gros noms du NASCAR, qui n'auraient plus à faire la navette entre le Québec et la Pennsylvanie. Pour Dumontier, ce scénario se veut une première étape vers l'obtention d'une course de série Sprint. Mais cela pourrait toutefois être plus complexe que prévu, de l'aveu même du copromoteur de l'épreuve montréalaise, la société International Speedway Corporation. «Montréal a un riche héritage en course automobile, mais le problème avec la venue d'une course de série Sprint est que la saison est déjà très longue, a expliqué Lenny Santiago, directeur du marketing de ISC. C'est donc très difficile de réarranger le calendrier.» D'autant plus que faire une place pour Montréal voudrait dire retirer celle d'une autre épreuve déjà sous la houlette de ISC. «On a déjà choisi d'éliminer certaines courses se déroulant dans des marchés saturés au profit d'événements au meilleur potentiel, a soutenu Santiago. NASCAR est donc ouverte à ce genre de changement. Elle permet aux promoteurs de jongler avec les événements qu'ils organisent déjà.» Savoir-faire montréalais Le hic, c'est que ISC convoite aussi les marchés de Denver, Seattle et New York, où elle envisage construire de nouveaux circuits. Il est donc clair que Montréal devra jouer du coude pour trouver sa place dans le calendrier de la série Sprint. Dumontier compte sur le savoir-faire montréalais pour obtenir sa place au soleil. «Avec la série Nationwide, on a déjà prouvé ce qu'on peut faire auprès de NASCAR, a-t-il plaidé. Notre relation avec NASCAR est déjà très différente cette année. L'an passé, ils étaient inquiets en raison de problèmes douaniers et linguistiques expérimentés au Mexique - qui a d'ailleurs perdu sa course pour 2009. Cette année, tout va comme sur des roulettes.» Ambiance confirmée par le directeur de la série Nationwide, Joe Balash, lors du passage de La Presse au New Hampshire, le mois dernier. «On se sent très à l'aises avec le promoteur de la course montréalaise, nos relations de travail sont excellentes, a-t-il affirmé. L'endroit a quelque chose d'unique qui fait que c'est différent de partout ailleurs.» Ce qui ne veut toutefois pas dire que ce soit suffisant pour que Montréal fasse le saut en série Sprint. «Je ne crois pas que NASCAR ait sérieusement considéré un tel changement, a ajouté Lenny Santiago. Leur priorité est de faire de l'épreuve Nationwide un succès, ce qui est déjà le cas car elle attire autant d'amateurs que certaines courses de série Sprint. «On est jusqu'à maintenant très satisfaits avec la course Nationwide et la série affiche une belle croissance, a enchaîné le directeur du marketing de ISC. Je ne peux pas dire ce que l'avenir nous réserve, car le sport a beaucoup changé au cours des dernières années, mais à l'heure actuelle, il est assez prudent de dire que les voitures de série Sprint ne viendront pas à Montréal à court terme.» Mais d'ici là, François Dumontier ne veut surtout que le public considère la course de Nationwide comme un pis-aller. «Je ne vois pas le Nationwide comme une sous-catégorie, a-t-il affirmé. C'est la plus grosse série de stock-car à rouler au Canada et plusieurs bons pilotes sont parmi nous. C'est comme si Sidney Crosby venait jouer le vendredi soir dans une autre ligue. Ça reste que c'est Sidney Crosby. Cela dit, c'est sûr que j'aimerais voir Jeff Gordon et Tony Stewart à Montréal. Bref, on va continuer avec la série Nationwide, mais on veut toujours atteindre le plus haut échelon.»
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