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  1. http://montrealgazette.com/news/local-news/west-island-gazette/victor-schukov-pierrefonds-library-extension-an-investment-in-citizen-happiness Victor Schukov: Pierrefonds library extension an investment in citizen happiness VICTOR SCHUKOV, SPECIAL TO THE MONTREAL GAZETTE Published on: May 23, 2016 I have a confession. A few years back, I used to practically live in the Chapters store in Pointe-Claire, speed-reading all of the latest books and magazines, and then walk out without buying anything. I looked upon the bright and airy bookstore as a library with mostly new goodies. My kind of clientele, of course, does not pay their utility bills. And apparently, I was not the only opportunist: Like a Tai Chi snail-paced version of musical chairs, they very gradually removed more and more seating. At one point, I considered bringing my own folding lawn chair but figured that I might be thrown out as a squatter. Then, I had a brainstorm: I thought, if I loved library-like reading so much, maybe I should go to a library. So, I switched to the Pointe-Claire Library, or as I like to call it today, The Greatest Library in the World, which tells you something about my unworldliness. I was hooked all over again. The books don’t all have that new-car smell, but the seating is abundant and there is no cloying satellite music to distract me from my reading. (I am incapable of multitasking and my lips move when I read so I catch myself lip-synching any lingering song.) And you can rent DVDs. All of this is Nirvana to someone like me who doesn’t own a cellphone nor an iPad. I prefer topping off my kettle of scuttlebutt in the analog way. And how much more of a pleasurable and convenient transformation can we make to West Island public libraries? Well, Pierrefonds is taking the high road with its $20-million extension to the Pierrefonds-Roxboro library, adding 2,300 square metres of space to the main floor as well as a basement and a terrace with a café. Wow. It’s like deja-vu at Chapters all over again. But wait, it’s going to become ground zero for all ages, co-mingling in a recreational setting that transcends the old idea of a library being just dull channels of aging books like in the opening scene of Ghostbusters. With the addition of a media centre, a 3D printing suite and a children’s learning lab, it is a design concept on the cusp of a new age. With that alone, it leads the West Island into the 21st Century. According to Mayor Jim Beis, more employees will be added proportionally. But, for me, the beauty of it all is that libraries are practically self-serve centres anyway. One doesn’t really need much help; it’s not like you are in Réno-Dépôt looking for a drill chuck key. In the future, the sky is literally the limit as we should see our libraries retrofitted with more natural lighting through skylights, and glass displacing brick. And maybe lots more internal greenery till you have that feeling of peace in the park. The grey days of single-purpose funereal public libraries will one day be a thing of the past. The City of Pierrefonds has it right. A modern designed library is an investment in its citizens’ wholesome recreation and education, and most importantly, happiness. With chairs that don’t conspicuously disappear into the Twilight Zone.
  2. http://www.ledevoir.com/societe/actualites-en-societe/410545/des-pics-anti-itinerants-a-montreal Des « pics » anti-itinérants à Montréal Bien que marginal, le phénomène inquiète les groupes communautaires 10 juin 2014 |Mélanie Loisel | Actualités en société Le magasin Archambault situé au coin des rues Sainte-Catherine et Berri a installé un dispositif de deux rangées de pics le long de la vitrine de sa librairie montréalaise. Photo : Pedro Ruiz - Le Devoir Le magasin Archambault situé au coin des rues Sainte-Catherine et Berri a installé un dispositif de deux rangées de pics le long de la vitrine de sa librairie montréalaise. Des photos de « pointes anti-itinérants » soulèvent tout un tollé depuis quelques jours à Londres, mais Montréal n’est pas en reste. Bien que le phénomène soit encore marginal, des groupes communautaires oeuvrant au centre-ville ont confirmé au Devoir qu’au moins un commerce et quelques propriétaires d’immeubles résidentiels ont installé des « pics » sur le bord de leur vitrine ou de leur terrain pour empêcher les sans-abri ou tout autre flâneur indésirable de s’y installer. Depuis quelque temps déjà, et ce, dans la plus grande discrétion, le magasin Archambault situé au coin des rues Sainte-Catherine et Berri a installé un dispositif de « pics » de deux rangéesle long de la vitrine de sa librairie. Il est impossible non seulement pour un sans-abri de s’y allonger, mais aussi pour quiconque de s’y asseoir quelques minutes. Malgré les tentatives du Devoir d’obtenir plus de renseignements, aucun représentant officiel chez Archambault n’a voulu faire de commentaires. À l’intérieur du magasin, lundi après-midi, une employée a par contre laissé tomber : « On s’en doute [du motif de ces installations]. » À quelques pas du parc Émilie-Gamelin, près du métro Berri-UQAM, de nombreux sans-abri et marginaux traînent dans les environs. Une travailleuse de rue, qui a accepté d’accompagner Le Devoir mais qui ne peut être nommée, a été outrée de voir ce dispositif. « C’est le genre de mesure qu’on prend pour éviter que les pigeons s’installent sur les édifices et, là, on fait la même chose pour éviter d’avoir des êtres humains », a-t-elle déploré. Le directeur général du groupe L’Itinéraire, Serge Lareault, est conscient que la présence de sans-abri peut être problématique dans ce coin, mais il prend bien soin de ne pas jeter trop rapidement la pierre aux commerçants. « Depuis cinq ans, on voit toutes sortes de petites mesures qui sont prises pour éviter que les sans-abri puissent dormir devant les commerces ou sur le bord des vitrines. On ne peut pas blâmer les commerçants de vouloir protéger leurs biens, mais en même temps, il faut bien que les gens de la rue puissent dormir quelque part », dit-il. Après avoir vu les photos des pointes installées devant un immeuble luxueux et sous un viaduc à Londres, M. Lareault espère que ce type de mesures, qualifiées « d’indécentes », ne prendra pas d’ampleur à Montréal. Avec la construction d’immeubles résidentiels dans le centre-ville, il craint que des mesures dissuasives soient prises pour faire fuir les sans-abri au lieu de trouver des solutions pour freiner la hausse de l’itinérance. Inadmissible, dit Projet Montréal La conseillère de l’arrondissement Ville-Marie pour Projet Montréal, Valérie Plante, affirme que des questions seront posées pour éviter que ces dispositifs ne « prennent pas d’expansion » dans la métropole. « On va en discuter parce qu’on juge que c’est inadmissible d’utiliser de telles techniques, qui sont dégradantes », indique-t-elle. Lundi à Londres, le maire de la ville, Boris Johnson, a d’ailleurs exigé que les pointes qui ont tant suscité de réactions sur les réseaux sociaux soient immédiatement retirées. Il a écrit sur Twitter qu’elles étaient « laides, contre-productives et stupides ».
  3. Pour ceux qui croient encore que Toronto offre une belle vitalité en français. Alors peut-etre que ce n'est qu'une librairie mais c'est très symbolique. Il faut aussi se souvenir que Renaud-Bray avait tenté sa chance à Toronto il y a quelques années mais ils se sont aperçu rapidement qu'il n'y avait pas de marché francophone assez grand pour deux librairies en français et voilà donc que la dernière ferme ses portes ! Triste. ''Après 49 ans d'existence, la librairie francophone Champlain de Toronto doit fermer ses portes dès le 30 avril. La chute des ventes au cours des dernières années a conduit à une absence de rentabilité. L'Association des auteures et auteurs de l'Ontario français et la Table de concertation du livre ontarien ont déploré qu'il n'y ait aucune loi en Ontario obligeant les institutions publiques (bibliothèques et écoles, par exemple), à faire leurs achats de livres dans des librairies agréées de leur région, favorisant ainsi leur épanouissement. La librairie Champlain est l'une des huit librairies francophones de l'Ontario, quatre autres étant à Ottawa, deux à Sudbury et une à Hearst.''
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