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  1. Des taxis roses pour Montréal? Publié dans la catégorie Général Nathalie Collard Mardi dernier, dans le cadre d’un évènement destiné à la relève en design, le maire de Montréal, Gérald Tremblay, a lancé cinq défis aux designers et architectes montréalais: cinq concours pour embellir la taxis_s.jpgville en améliorant les cinq points suivants: les abords du métro Champ-de-mars, le mur ouest du Palais de justice, les abri-bus, le mobilier de la future Place des spectacles et l’identification visuelle des taxis. Ce n’est pas la première fois qu’on veut “brander” les taxis montréalais. Il est vrai qu’une flotte de taxis avec une identité propre et rapidement reconnaissable donne une couleur à une ville: pensez aux taxis jaunes de New York, aux verts de Mexico ou aux belles grosses voitures noires de Londres. Or à chaque fois que l’idée est lancée, on assiste à une véritable levée de boucliers de la part de l’industrie du taxi. Les chauffeurs rappellent que contrairement à leurs homologues de New York, par exemple, ils sont travailleurs autonomes et donc, propriétaires de leur voiture. Ils n’ont pas envie d’aller faire leur épicerie la fin de semaine au volant d’une bagnole rose bonbon ou vert lime. Dans l’industrie du taxi, on préférerait que les gouvernements aident les chauffeurs à faire face à la hausse des prix de l’essence ou qu’ils les encouragent à prendre le virage vert en accordant une aide supplémentaire pour acheter un véhicule hybride. Or un n’empêche pas l’autre. L’idée de donner une identité visuelle aux taxis de Montréal est excellente et doit absolument être défendue jusqu’au bout. Ce pourrait être une couleur, un modèle de voiture ou même un logo, assez visible pour être vu à distance. Les règles du concours lancé par le maire seront dévoilées bientôt. En attendant, avez-vous des idées?
  2. http://www.infopresse.com/off/default.html Pour la première fois, Infopresse crée l’événement annuel de la créativité qui rassemblera les plus grands visionnaires du 21e siècle dans le domaine des affaires, de l’architecture, du design et des sciences humaines. Google, Amazon, Facebook, Twitter, Toms, Groupon, sont des exemples de réussites qui reposent sur une vision entrepreneuriale forte. + Quels sont les concepts d’affaires les plus créatifs qui ont marqué notre décennie? + Quels sont les piliers d’innovation qui influenceront les modèles de demain? + Comment trouver l’idée génératrice de changement? + Qu’ont apporté l’architecture, le design, les sciences humaines, à l’entreprise d’aujourd’hui? Ne manquez pas cet événement inédit qui rassemblera les personnes les plus influentes de différentes industries pour faire le plein d’idées et découvrir les modèles d’affaires de demain.
  3. Et si on devenait le Dubaï de l’Amérique du Nord ? René Vézina Les Affaires samedi 24 mai 2008 Le Québec aurait avantage à hausser les tarifs d’électricité, quitte à rembourser en partie ses citoyens, particulièrement ceux qui risquent d’être coincés par l’alourdissement de leur facture. Il gagnerait au change et pourrait ainsi se constituer une réserve financière pour mieux promouvoir ses intérêts. L’argument n’est pas neuf, c’est vrai, mais il mérite votre attention, ne serait-ce qu’à cause du messager qui le transmet : Rodrigue Tremblay, professeur émérite de sciences économiques de l’Université de Montréal et ancien ministre de l’Industrie et du Commerce sous le gouvernement de René Lévesque. Ce n’est pas la première fois que M. Tremblay plonge dans la mêlée. Dès 1970, il avait lancé l’idée d’un marché commun entre le Québec et les États-Unis... 10 ans avant qu’on commence à discuter de libre-échange. Voilà qu’il remet ça. M. Tremblay prononçait la conférence de clôture du dernier congrès de l’Association des économistes québécois, le 16 mai, à Gatineau. Il en a profité pour revenir sur cette question : Comment le Québec pourrait-il suivre l’exemple d’autres États, c’est-à-dire créer un fonds souverain, un fonds de placement détenu par le gouvernement ? Dubaï en a un. Les milliards de dollars que l’Émirat retire du pétrole sont mis à contribution pour acheter aussi bien des ports que des mines. La Norvège (cinq millions d’habitants) également. Le fonds norvégien dispose actuellement d’un capital de 322 milliards de dollars, qui provient en bonne partie des redevances pétrolières. Globalement, ces fonds souverains représentent une énorme force de frappe. La Deutsche Bank évalue leur valeur totale à 3 000 milliards de dollars, et prévoit que celle-ci pourrait tripler d’ici 10 ans. Le Québec ? Oui, nous avons la Caisse de dépôt et placement, mais ses milliards sont d’abord destinés à la retraite de ses déposants. Dieu merci, on a fini par le comprendre, et la Caisse évite maintenant d’intervenir maladroitement au nom de la cause du moment. Reste Hydro-Québec. Le Fonds des générations créé par l’ancien ministre des Finances Michel Audet, correspond davantage au modèle. Il est alimenté par des contributions d’Hydro-Québec et des droits perçus auprès des producteurs privés, à raison de quelques centaines de millions de dollars par année. Mais il est tout jeune et sert essentiellement à rembourser la dette publique québécoise. Rodrigue Tremblay suggère une approche plus dynamique. L’hydroélectricité, c’est notre pétrole. Elle sera de plus en plus convoitée à notre époque qui valorise les énergies propres et renouvelables. Mais encore faut-il en avoir à vendre à nos voisins, alors que les surplus sont appelés à fondre. Une façon de réduire la consommation au Québec est d’augmenter les prix. On le voit bien, ces jours-ci, avec l’essence. Les gens sont forcés de faire attention. Mais les finances des citoyens, justement, sont serrées. De là l’idée de leur redistribuer des dividendes après coup. Apparemment, c’est revenir au point de départ, sauf qu’entre les deux opérations, le Québec gagne de l’électricité qu’il peut exporter au prix fort. Il peut en récolter de jolis bénéfices. Les dividendes, eux, sont imposables. Les contribuables aux revenus élevés finissent par redonner de l’argent à l’État, tandis que les personnes peu fortunées conservent le remboursement qui leur permet entre autres d’amortir la facture d’électricité. On neutralise ainsi l’argument selon lequel plusieurs seraient pris à la gorge. Après cette présentation, ça jasait fort dans la salle. Le conférencier n’a probablement pas convaincu tout le monde. Les économistes sont rarement unanimes... Au moins, on saura mieux, dorénavant, où loge la majorité d’entre eux : l’Association a décidé de sonder régulièrement ses membres sur les grandes questions de l’heure. Pourquoi ne pas commencer avec la thèse de Rodrigue Tremblay ? http://www.lesaffaires.com/article/1/publication--lesaffaires/2008-05-24/478238/et-si-on-devenait-le-dubai-de-lamerique-du-nord-.fr.html
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