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  1. http://journalmetro.com/local/lasalle/actualites/698614/une-ecole-de-sirenes-voit-le-jour-a-lasalle/ Marielle Chartier Hénault TC Media - Hugo Lorini Previous photo Next photo Alors que Montréal est plongée dans une vague de froid, la fondatrice de l’école AquaSirène, Marielle Chartier-Hénault, est assise en bikini sur le bord de la piscine à l’Aquadôme de LaSalle. C’est là qu’elle a décidé d’établir son école. L’«aquasirène» est un type de natation pratiqué à l’aide d’une monopalme en forme de queue de sirène, qui joint les deux jambes ensemble. La pratique de ce sport offre de nombreux avantages. «[Pour se déplacer dans l’eau avec ce costume], il faut effectuer une ondulation du corps qui fait travailler les muscles abdominaux. On pousse beaucoup d’eau, et ça devient cardio. Après une heure, on est épuisé», précise-t-elle. Les cours progressent par étape. «On commence par des mouvements sans la queue pour que les gens s’habituent à nager de cette façon et puissent traverser la piscine sans toucher le fond. Après, si ça va bien, on enfile le costume», indique la jeune femme. La queue de sirène remonte jusqu’à la taille et est recouverte d’un tissu extensible qui ressemble à s’y méprendre à des écailles de poisson. Il en existe de toutes les tailles et de toutes les couleurs de l’arc-en-ciel. Le produit est aussi disponible pour les garçons, même si «la demande de leur part n’est pas très forte en ce moment», explique Mme Chartier-Hénault. Depuis le lancement du site web de l’école qu’elle a fondée, l’engouement se répand à la vitesse de l’éclair. «Plus de 2000 personnes m’ont contactée en trois jours, dont plusieurs mamans pour leurs filles de 7 à 13 ans, rapporte Marielle. Les plus âgées s’y intéressent pour l’aspect mise en forme.» Elle assure les parents que leurs petites sirènes seront sous la supervision d’instructeurs compétents. «C’est une créature que tu forges à ton image. Je suis une sirène bonne humeur mais il y a celles qui chantent et qui envoûtent les marins.» – Marielle Chartier-Hénault, fondatrice d’AquaSirène Il s’agit d’un rêve de jeunesse pour Marielle, qui, en ouvrant cette école, lance sa propre entreprise. «Quand j’étais toute petite, la phobie de ma mère était que je me noie, relate-t-elle. J’ai donc suivi des cours de natation dès l’âge de six mois. Enfant, dans ma tête, j’étais une sirène. Mais quand j’ai dit à mes parents que je lançais une école de sirène, ils n’ont pas vraiment compris…» dit-elle en riant. Marielle Chartier-Hénault voit grand. «Je commence à Montréal, mais à long terme, j’aimerais avoir des franchises ailleurs au Canada, dit-elle. L’été sera la grosse saison.» Elle rêve d’avoir sa propre piscine. «Louer des piscines est difficile, et mon rêve serait de bâtir ma piscine à Montréal pour y tenir mes événements», souligne-t-elle. À l’Aquadôme, les cours commenceront dès février. «J’offre des cours d’essai d’une heure pour 50$, indique Marielle. Pour une session de 10 cours, c’est 300$.» sent via Tapatalk
  2. Publié le 17 février 2009 à 05h00 | Mis à jour le 17 février 2009 à 06h30 «Montréal est complètement désorganisé», affirme Louise Harel Éric Clément La Presse Pour Louise Harel, pas question de regretter les fusions municipales que le gouvernement péquiste a mises en oeuvre en 2001. «Sur 61 fusions, 57 se sont bien déroulées, alors ça demeure un succès», dit-elle. Selon l'ex-députée d'Hochelaga-Maisonneuve, l'échec du processus municipal dans l'île de Montréal n'a pas commencé avec les défusions à la fin de 2005, mais à l'automne de 2003 quand, au cours d'une fin de session parlementaire où l'esprit était « plus aux tourtières qu'à autre chose», le gouvernement de Jean Charest a utilisé le bâillon pour faire passer plusieurs lois, dont une qui a transformé la Charte de la Ville de Montréal. «C'est là qu'a commencé la Grande Désorganisation avec un G et un D majuscules, dit-elle. Personne ne l'a vue venir. La modification de la charte a transformé la ville en une fédération de quasi-villes. Et cette modification s'est faite avec la résignation de Gérald Tremblay.» Le casse-tête des parcomètres Selon Mme Harel, les incohérences que constatent les Montréalais dans la métropole, lors du déneigement, sur la propreté, avec les différentes tarifications de parcomètres, viennent du fait que les arrondissements ont trop de pouvoirs. Et ces pouvoirs ont déstabilisé la Ville qui compte aujourd'hui 20 maires. «Les arrondissements ont été créés sur le modèle des villes de banlieue, dit-elle. On est passé de présidents d'arrondissement à des maires d'arrondissement élus au suffrage universel. Ces maires ont des pouvoirs étendus. Ils ont tous des cabinets, des budgets de relations publiques et font même des relations internationales. Ils ont le pouvoir d'embaucher. Même le directeur général de l'arrondissement n'est plus choisi par la ville centre.» Mme Harel dit voir «tous les jours cette désorganisation». «Au coin de la rue Ontario et du boulevard Pie-IX, je vais dans un café. Si je me gare sur Ontario, le tarif du parcomètre est différent de celui sur Pie-IX. Car sur Ontario, l'arrondissement a juridiction alors que sur Pie-IX, c'est la ville centre. C'est incohérent. Pour le déneigement, la ville centre n'a plus le dispositif qui, avant 2003, permettait de centraliser les actions en cas de besoin.» Louise Harel ne comprend pas que le plan d'urbanisme soit confié aux arrondissements. «Vous vous rendez compte? C'est la porte ouverte à toutes les incohérences, dit-elle. Avant, tout grand projet devait passer nécessairement devant l'Office de consultation publique de Montréal. Comme ministre des Affaires municipales, je l'avais imposé à Pierre Bourque. Et c'était même dans le rapport que Gérald Tremblay avait préparé avec un comité à la demande de M. Bourque. Ça a bien changé par la suite...» Mme Harel dit qu'elle «a rêvé cette ville avec moins d'inégalités et moins d'iniquités entre les arrondissements». Avant 2003, un dispositif, dit-elle, réduisait les écarts financiers entre arrondissements. «Ce n'est plus obligatoire aujourd'hui. Mais la goutte d'eau qui a fait déborder le vase, c'est la loi 22.» Selon la loi 22, adoptée en juin dernier, les 15 villes reconstituées de l'île n'ont plus à débourser 30 millions par année pour les infrastructures et les équipements de Montréal. La somme est assumée par Montréal, en fait avec l'argent que Québec a donné à Montréal dans le cadre de son nouveau statut juridique de métropole. «Ces 30 millions qui proviennent de tous les Québécois, et notamment de 130 villes dévitalisées, permettent aux villes de banlieue de baisser leurs taxes, dit-elle. Charest a acheté la paix avec les villes défusionnées avec ça. Ces 30 millions auraient mieux servi pour la décontamination des sols des quartiers ouvriers ou pour revitaliser Montréal-Nord et d'autres quartiers.» Un appui nécessaire Toutefois, Mme Harel espère que Québec et Ottawa continueront d'appuyer financièrement la métropole. «Comme on l'a vu à Québec de façon très concluante, l'apport d'investissements publics est nécessaire pour obtenir des investissements privés. Par ailleurs, il faut investir dans les transports en commun. Même sous Bush, les investissements américains en transports en commun étaient supérieurs à ceux du Canada. À Montréal, il faut plus de voies réservées pour les autobus et les taxis.» Elle pense que le plan de transport de Montréal est intéressant, mais constate que les infrastructures routières vont chercher la plus grande partie des investissements publics québécois. D'ailleurs, elle est en faveur du retour des péages sur les autoroutes pour financer les transports en commun. Et elle pense que leur disparition, une décision du Parti québécois, était «une erreur».
  3. Kyra Coleman gare sa voiture en face d'une maison abandonnée du quartier Osborn, à Detroit. «C'est celle-là, dit-elle. Celle-là que je veux acheter.» Pour en lire plus...
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