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  1. Rencontre internationale Les acteurs de l’aviation se réunissent à Montréal Agence QMI Charles Lecavalier 24/05/2011 21h20 MONTRÉAL – Le premier rassemblement de tous les acteurs de l’aviation civile internationale a commencé mardi à Montréal avec pour objectif de réduire le nombre d’accidents aériens qui sont liés aux enjeux de sécurité sur les pistes. Près des deux tiers des accidents d’avion ont lieu à proximité d’un aéroport et le tiers d’entre eux ont lieu sur les pistes. «Globalement, il y a très peu d’accidents d’avion, à peu près quatre par millions de départs, mais on évalue que le trafic aérien va doubler en 20 ans. Il faut donc se préparer en conséquence», a affirmé Denis Chagnon, porte-parole francophone de l’Organisation de l’aviation civile internationale (OACI). La majorité de ces accidents de pistes sont causés par l’erreur humaine : une mauvaise signalisation, une erreur de pilotage ou une mauvaise communication d’un contrôleur aérien par exemple. «Ça peut paraître simpliste, mais dans une industrie aussi complexe, ce n’est pas simple de travailler ensemble», a ajouté M. Chagnon. L’enjeu de la formation est très important. Puisque l’augmentation du trafic aérien se situera principalement en Asie et au Moyen-Orient, l’OACI devra harmoniser la formation des pilotes et des contrôleurs. «Le système fonctionne partout de la même façon, il faut donc s’assurer que tout le monde a les bonnes pratiques», a souligné ce dernier. Apprendre d’Eyjafjallajökull Alors qu’un autre volcan islandais menace l’aviation civile, l’OACI se dit prête, en 2011, à affronter une nouvelle crise. «On a beaucoup appris de 2010, notamment à propos de la communication entre les pays, qui sont les seuls à pouvoir fermer leur espace aérien», a expliqué M. Chagnon. Le plan de contingence de l’OACI serait maintenant plus précis, notamment au niveau des seuils précis de la densité de poussière volcanique dans l’air qui sont acceptables. La réaction des pays serait donc plus rapide et efficace.
  2. Relance du Mont Orford: un hôtel et des lofts verts Publié le 09 mai 2011 à 05h00 | Mis à jour le 09 mai 2011 à 08h59 * Hélène Baril La Presse (Montréal) Des lofts aux murs de verre, complètement autonomes en énergie, équipés de lits et de baignoires sur rails qui peuvent sortir dehors par beau temps. De drôles d'habitations apparaîtront au pied du mont Orford. «Et il y aura des vélos qui produiront de l'électricité pour avoir accès à l'internet», ajoute Alain Chagnon, président du Vertendre, entreprise immobilière qui participe à une autre tentative de relance du mont Orford. Le Vertendre et Gestion Soroma, la société qui gère le centre de ski et le club de golf au nom du gouvernement québécois, sont devenus récemment propriétaires de 20% de ces deux actifs. L'autre actionnaire est la MRC de Memphrémagog, qui a acquis pour 1$ une part de 80% de la nouvelle société d'économie mixte créée pour tenter de donner un nouveau souffle à cette station touristique qui a connu plus que sa part de déboires depuis sa création, il y a 70 ans. C'est une occasion qu'attend depuis très longtemps Alain Chagnon, dont la famille a déjà réalisé plusieurs projets immobiliers dans la région immédiate du mont Orford. Depuis 2004, les Chagnon ont réuni 1000 acres de terrains au pied de la montagne, un secteur qu'ils ont commencé à aménager sous le nom de Vertendre. En s'associant avec la MRC de Memphrémagog, ils ont obtenu ce qui leur manquait pour continuer ce lotissement: un lien qui reliera leur secteur au domaine skiable, sur le versant ouest de la montagne. Ce lien fera débloquer des investissements d'une dizaine de millions de dollars dans de nouvelles activités de plein air, mais surtout dans l'immobilier, a fait savoir M. Chagnon lors d'un entretien avec La Presse Affaires. «On pense à 900 unités d'habitation au total», dit Alain Chagnon. En plus des 200 lofts accrochés à la montagne, il y aura des maisons individuelles et un hôtel de 200 chambres, le tout construit dans le respect de la nature et de l'environnement. Cet hôtel pourrait être géré par le Club Med. «Le Club Med a toujours un intérêt dans le projet», affirme le promoteur. L'autre intéressé par le projet d'hôtel est l'artiste Heinz Julen, qui a conçu l'hôtel Backstage de Zermatt, en Suisse. L'hôtelier qui s'associera au Vertendre ne misera ni sur les bars ni sur les discothèques pour attirer des clients, assure Alain Chagnon. «Plutôt sur les cerfs et les porcs-épics», dit-il. Qui paiera? La MRC de Memphrémagog a retenu une seule des trois propositions qui lui ont été faites pour relancer le mont Orford, celles du Vertendre et de Gestion Soroma. Les deux autres groupes intéressés ont été disqualifiés parce qu'ils n'ont pas réussi à réunir 1,5 million en garantie. Les deux offres rejetées sont celles de la Coopérative de solidarité du Mont-Orford, regroupement local, et de Camp Fortune, entreprise qui exploite une station de plein air dans l'Outaouais. Contre leur 1,5 million, Vertendre et Gestion Soroma ont obtenu 20% d'une entreprise dont les actifs sont estimés à 7,5 millions et dont la MRC est l'actionnaire majoritaire. C'est donc à la MRC que revient la responsabilité de préserver l'intégrité du territoire du parc national du Mont-Orford. Il n'y aura ni constructions, ni nouvelles pistes de ski, ni rien d'autre sur le territoire du parc, qui est protégé, affirme Guy Joron, directeur général de MRC. Rien, à part les «quelques pylônes» nécessaires au lien vers le Vertendre, précise-t-il. Le coût des projets d'aménagement de la station touristique sera assumé par la société d'économie mixte qui, en tant que propriétaire d'actifs estimés à 7,5 millions et sans aucune dette, pourra emprunter les fonds nécessaires. Alain Chagnon ajoute que la société pourra profiter des programmes gouvernementaux d'aide à l'investissement. Il ne prévoit pas de conflit entre les intérêts collectifs de la MRC et les intérêts privés du Vertendre et de Gestion Soroma. «Si on y trouve notre compte, tout le monde y trouvera son compte», espère-t-il. Parce qu'il vit et travaille dans la région et que ses enfants vont à l'école du coin, Alain Chagnon se dit prêt à prendre plus de risques qu'un promoteur de l'extérieur. «Si on perd de l'argent pendant deux ans, je ne vais pas m'en aller ailleurs», assure-t-il. Après la faillite et les disputes, les projets de vente et de privatisation qui n'ont pas abouti, le gouvernement du Québec a finalement réussi à se débarrasser du problème du mont Orford. Une ère nouvelle commencera le 1er juin, date à laquelle la société d'économie mixte commencera officiellement ses activités.
  3. «Ted Rogers fut un grand visionnaire des télécommunications, pour qui le mot risque n'existait pa»", s'est remémoré André Chagnon, ex-président fondateur de Vidéotron, huit ans après un projet avorté de fusion multimilliardaire. Pour en lire plus...
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