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  1. Pratt & Whitney ouvre une chaîne de montage à St-Hubert 6 décembre 2007 - 11h43 Presse Canadienne [/url] Pratt & Whitney Canada ouvre une nouvelle chaîne de montage pour les moteurs d'hélicoptères à ses installations de Saint-Hubert. Le fabicant de moteurs d'avions envisage une nouvelle augmentation de ses effectifs. L'entreprise produira notamment des moteurs pour les hélicoptères PT6T Twin-Pac. L'installation de Saint-Hubert demeurera également un important centre de révision et de réparation. Pratt & Whitney Canada, dont le siège social est à Longueuil, entend ainsi continuer d'accroître sa production notamment dans les secteurs de l'aviation d'affaires, de l'aviation régionale et des hélicoptères. Depuis juin dernier, le motoriste a embauché environ 200 employés à la production pour augmenter sa capacité de fabrication. Il a ainsi comblé des postes de machinistes, de mécaniciens au banc, de monteurs de moteurs, de tôliers et d'inspecteurs des opérations. L'entreprise pourrait pourvoir de 30 à 50 postes additionnels dans un avenir rapproché. Pratt & Whitney Canada compte actuellement environ 5800 employés dans ses installations au Québec, et plus de 7300 au Canada.
  2. Industrie automobile Mises à pied chez Paccar Photo: Paccar.com Malgré les subsides versés par Québec à Paccar, l'entreprise de Sainte-Thérèse, en banlieue nord de Montréal, mettra prochainement à pied quelque 250 employés. Selon ce que rapporte The Gazette, mercredi, le fabricant des camions Peterbilt et Kenworth a décidé de réduire de moitié le nombre de travailleurs de son quart d'après-midi. Les 250 employés restants seront quant à eux transférés dès le 12 octobre prochain au quart du matin. L'entreprise justifierait cette décision par un carnet de commandes 2007 en nette baisse par rapport à celui de 2006. Paccar avait reçu ces derniers mois 415 000 $ pour la création de 200 emplois. Le gouvernement québécois s'était d'ailleurs engagé, en mars 2006, à verser à Paccar 1,1 million de dollars sur trois ans contre la création de 600 emplois et des programmes de formation de la main-d'oeuvre. Il semblerait, selon The Gazette, que Paccar pourra garder les 415 000 $ déjà reçus, même si la compagnie a procédé à 500 mises à pied depuis le printemps 2006.
  3. Une compagnie américaine débauche des infirmières québécoises Les infirmières Mélanie, Marie et Lyhn devant l'hôtel Ritz-Carlton, où des représentans américains leur ont vanté les avantages de travailler aux États-Unis. Photo André Tremblay, La Presse Catherine Handfield La Presse Alors que la pénurie d'infirmières est criante au Québec, une entreprise américaine recrute des diplômées québécoises depuis plusieurs mois en leur promettant de meilleures conditions de travail et un milieu où il fait bon vivre. Une cinquantaine d'infirmières décideraient de partir chaque année, a appris La Presse. Hier après-midi, des infirmières assistaient au quatrième séminaire d'information organisé par AmeriCANÀ Healthcare Solutions. L'entreprise du New Jersey recrute ici depuis mars 2006 pour combler le manque de personnel dans les hôpitaux des États-Unis. Plus d'une trentaines d'intéressées, ainsi que quelques hommes, ont écouté les conseils dans une salle de réception du chic hôtel Ritz-Carlton, rue Sherbrooke Ouest, à Montréal. Pat Chibbaro, infirmière new-yorkaise et consultante pour l'entreprise, y vantait les mérites de l'immigration chez nos voisins du Sud. «Il y a tellement de bonnes raisons d'aller travailler aux États-Unis», a-t-elle indiqué à plusieurs reprises. Elle a insisté surtout sur la possibilité de se spécialiser, sur la flexibilité des horaires, le respect de la profession et, bien sûr, le salaire avantageux. À leur arrivée, les candidates recevaient un porte-monnaie en cuir et une pochette d'information sur les avantages financiers de l'immigration aux États-Unis. Alors que le salaire annuel d'une infirmière varie entre 37 600$ et 56 000$ au Québec, il oscille entre 62 000$US et 74 000$US en Californie, par exemple. «Au Québec, c'est le syndrome du burnout, a dit à l'assistance le président d'AmeriCANÀ Healthcare Solutions, Jacob Safran. Les infirmières travaillent trop et sont sous-payées.» Mélanie Tremblay, qui vient tout juste d'être embauchée à l'Hôpital juif de Montréal, souriait pendant la présentation. Elle rêve depuis longtemps de travailler à New York, et la rémunération pèse aussi dans la balance. «Je me suis endettée pour faire mes études et, au Québec, le salaire n'est pas très bon pour la charge de travail.» «C'est difficile pour moi de trouver un emploi parce que je ne maîtrise pas le français», a dit pour sa part Marie Tess, qui ne parle qu'anglais. Un bureau à Montréal AmeriCANA Healthcare Solutions, qui possède un bureau à Montréal, convainc une cinquantaine d'infirmières par année d'émigrer aux États-Unis. «Nous sommes en contact régulier avec 170 personnes, et nous avons établi une liste de 600 candidates potentielles», explique Jacob Safran. L'entreprise n'est pas la première à convoiter les diplômées canadiennes, mais elle demeure la seule à cibler le Québec, selon M. Safran. «Le sentiment de fatigue est plus prononcé ici que dans les autres provinces», estime l'expert en recrutement. Le salaire au Québec est en effet le plus bas au Canada. Les recruteurs utilisent surtout le bouche à oreille pour se faire connaître puisque les cégeps de la province ont refusé qu'ils rencontrent les étudiantes. Ils font aussi paraître une publicité... dans la revue officielle de l'Ordre des infirmières et infirmiers du Québec. «Le problème n'est pas la publicité, mais le manque de compétitivité des conditions de travail», se défend la présidente de l'Ordre, Gyslaine Desrosiers. Selon l'Association des infirmières et infirmiers du Canada, quelque 8000 nouvelles diplômées canadiennes de 2007 partiront travailler aux États-Unis. Le ministère de la Santé estime qu'il manque 1500 infirmières actuellement, un nombre qui pourrait grimper à 5000 dans les prochaines années et à 17 000 en 2019. Le Bureau international du travail prévoit pour sa part une pénurie d'un million d'infirmières aux États-Unis en 2010.
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