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swansongtoo

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  1. If this is a right of center government’s idea of how to manage public finances Lord help us if any of the other guys get elected.
  2. Interessant de noter que Porto aura sa ligne Rose un prolongement de quatre stations du métro pour €181m. Travaux entre 2019 et 2025. Loin de moi d’être expert mais c’est pas mal moins dispendieux que le prolongement de la ligne Bleue. Sûrement ça s’explique. https://pt.m.wikipedia.org/wiki/Linha_G_(Metro_do_Porto)
  3. Yes t’as raison mais mon point était surtout qu’il y a pas mal de terrains à développer et un gros potentiel d’augmenter la population du CV.
  4. Et ça c’est sans compter la demi douzaine (plus ou moins) de terrains entre Guy et Peel qui peuvent être développer, le terrain CF sur Peel à côté de l’ETS, quelques terrains à l’est de ça sur St. Jacques et l’énorme stationnement entre St. Maurice et St. Paul en face du 21e Arrondissement. C’est non négligeable le nombre de nouveaux résidents potentiels pour le CV.
  5. Quel contraste sur le ton comparer à Valérie et PM. https://www.lapresse.ca/actualites/politique/2024-02-07/crise-du-logement/la-mairesse-fournier-voit-haut-quebec-dit-oui.php Crise du logementLa mairesse Fournier voit haut, Québec dit oui PHOTO EDOUARD PLANTE-FRÉCHETTE, LA PRESSE Catherine Fournier, mairesse de Longueuil En retour d’un zonage plus flexible, Longueuil exigerait des promoteurs une contribution au logement à but non lucratif Publié à 0h50 Mis à jour à 5h00 CHARLES LECAVALIERLa Presse (Québec) Le gouvernement Legault veut permettre aux maires de vendre aux promoteurs le droit de bâtir plus haut que le zonage permis en échange d’une compensation destinée au logement à but non lucratif, une idée proposée par la mairesse de Longueuil, Catherine Fournier. CE QU’IL FAUT SAVOIR La mairesse Catherine Fournier veut avoir le droit de « vendre » aux promoteurs le droit de bâtir plus haut que ce que le zonage permet. Cette contribution serait dédiée à l’achat de logements privés au profit d’OBNL qui offrent des logements abordables. L’élue croit que cette mesure pourrait relancer la construction de logements privés à Longueuil, puisque les bâtiments qui ont plus d’étages sont plus rentables. « J’accueille favorablement la proposition de la mairesse de Longueuil d’accorder une option supplémentaire de compensation en échange de l’utilisation du zonage incitatif », a affirmé la ministre des Affaires municipales Andrée Laforest dans un échange avec La Presse. Cette idée inédite lui a été proposée par Mme Fournier, qui cherche un moyen de financer sa stratégie d’habitation. « On veut pouvoir permettre que le promoteur puisse verser une contribution financière à la Ville en échange d’un bonus de zonage, et que cette contribution financière soit spécifiquement dédiée à un fonds pour le logement à but non lucratif », explique la mairesse de Longueuil, Catherine Fournier. Elle souhaite « partager les profits » que les promoteurs pourraient engendrer en bâtissant plus haut, ce qui entraîne des économies d’échelle et davantage de profitabilité. Crise du logement Longueuil, comme bien des villes de la région métropolitaine de Montréal, fait face à la crise du logement. Et uniquement construire plus de logements sociaux n’est pas la solution, indique la mairesse Fournier, qui cite le chercheur Steve Pomeroy de l’Université Carleton. Pendant qu’on construit une unité de logement social ou abordable, on va en perdre 17 sur le marché privé dans la région métropolitaine de Montréal. Catherine Fournier, mairesse de Longueuil La mairesse a présenté sa solution en décembre : épauler des OBNL pour acheter des logements privés « à risque » de spéculation. Elle veut éviter ce qui arrive en ce moment : dans les quartiers pauvres de sa ville, des immeubles d’habitation « très abordables avec des locataires sur l’aide sociale » se font rénover, et les loyers peuvent augmenter à 1600 $ par mois, donne-t-elle en exemple. La Ville veut donc utiliser son droit de préemption pour mettre la main sur ces édifices, pour ensuite les revendre aux OBNL au prix coûtant. Ceux-ci pourraient les rénover tout en conservant un loyer à moindre coût. Pas d’argent Le problème : ces organismes ne réussissent pas à boucler leur montage financier et auraient besoin d’aide financière. Ils se tournent donc vers la Ville. « Mais on n’en a pas, d’argent ! », s’exclame Mme Fournier. Et contrairement à ce qu’ont fait d’autres municipalités, elle ne « veut pas imposer de redevances aux promoteurs, parce qu’on ne veut pas nuire au marché de la construction ». Son administration vise la construction d’un minimum de 30 000 unités d’habitation de tous types d’ici 2041 « afin de répondre aux besoins démographiques en croissance, tout en visant le retour à un seuil d’inoccupation à l’équilibre ». Elle veut donc encourager l’érection de logements privés. Et c’est ici que Mme Fournier croit faire d’une pierre deux coups. Elle affirme que les promoteurs qu’elle a rencontrés sont intéressés par son idée, tout comme les groupes communautaires. La Ville pourrait à la fois épauler le logement à but non lucratif, permettre la construction de logements privés et encourager la densification. Mesure incitative à la construction « Ça devient un incitatif à la construction. Les promoteurs calculent leur profit par porte. Avec tous les coûts fixes, dès que tu ajoutes des étages, c’est du profit beaucoup plus important. Ta rentabilité par porte est plus grande. Même si tu dois partager une portion du profit supplémentaire avec la Ville, ça demeure intéressant », dit-elle. PHOTO BERNARD BRAULT, ARCHIVES LA PRESSE Le secteur du métro Longueuil a un zonage qui permet la construction d’immeubles de 24 étages. La mairesse n’aurait aucun « malaise » à autoriser, par exemple, une tour de 35 étages dans le secteur du métro Longueuil, qui a un zonage de 24 étages. Et à plus petite échelle, elle ne voit pas de problèmes à autoriser des bâtiments de cinq ou six étages à des endroits où on n’autorise que des trois ou quatre étages. Pour l’instant, les villes peuvent autoriser des étages supplémentaires grâce à un « zonage incitatif », mais il est circonscrit, notamment lorsqu’on inclut du logement social dans l’immeuble. Elle souhaite le rendre plus souple en l’autorisant lorsqu’une « contribution financière destinée à un fonds pour le logement à but non lucratif » est versée par le promoteur. Catherine Fournier espère que Québec pourra rapidement accéder à sa demande novatrice dans un projet de loi municipal. Elle a rencontré la ministre des Affaires municipales, Andrée Laforest, à ce sujet il y a moins d’un mois. Et la ministre lui ouvre la porte toute grande. « Je suis heureuse de l’intérêt généré par ce nouveau pouvoir auprès des municipalités. D’ailleurs, on invite l’ensemble des villes à se doter de cette règlementation », explique Mme Laforest. Mme Fournier mise gros sur ce pouvoir. Elle veut 20 % de logements locatifs à but non lucratif sur son territoire. Actuellement, il y a 4666 logements hors marché à Longueuil, soit 4,2 % du parc immobilier. Pour atteindre la cible de 20 %, il faudrait ajouter près de 17 500 logements.
  6. https://www.theglobeandmail.com/business/article-home-sales-prices-rise-in-montreal-area-in-january-amid-optimism/ Home sales, prices rise in Montreal-area in January amid optimism around interest rates MONTREAL THE CANADIAN PRESS PUBLISHED 45 MINUTES AGO The Quebec Professional Association of Real Estate Brokers says Montreal-area home sales jumped 18 per cent in January compared with the same month a year earlier. The association says home sales in the region totalled 2,077 for the month, up from 1,766 in January 2023. The median price of a single-family home in January was $535,000, up seven per cent from $500,000 a year earlier, while the median price for a condominium was $390,000, up five per cent. The median price for a plex was $722,500, up seven per cent. Active listings for January jumped 16 per cent compared with a year earlier to 16,838, while new listings rose 22 per cent to 5,410. QPAREB market analysis director Charles Brant says sales were up thanks to better prospects regarding interest rates, which are expected to fall this year as inflation cools. But he says there are still “several headwinds” including a sharp slowdown in economic activity, which has raised uncertainties for prospective homebuyers.
  7. https://www.lapresse.ca/actualites/grand-montreal/2024-01-23/mises-en-chantier/c-est-en-train-de-remonter-tranquillement-assure-valerie-plante.php Je n’arrive pas à coller le contenu de l’article. On peut ajouter l’arrogance aux grandes qualités de VP. Pas d’allure son approche.
  8. Photo prise du 35e Complexe à l’instant.
  9. https://www.theglobeandmail.com/business/commentary/article-within-the-contradictory-december-jobs-report-the-downward-trends-in/ OPINION Within the contradictory December jobs report, the downward trends in labour pressures remain DAVID PARKINSON PUBLISHED 3 HOURS AGO FOR SUBSCRIBERS Open this photo in gallery: Construction workers toil inside the Barron Building as crews convert it from office space to residential apartments in Calgary on Dec. 12, 2023.JEFF MCINTOSH/THE CANADIAN PRESS Friday’s Canadian employment report – the last for 2023 – wasn’t great. It also wasn’t awful. Mostly, it wasn’t particularly clear. The report showed no job growth for December. Yet it also showed no increase in the unemployment rate. Full-time work declined by 24,000 positions, which was made up for by a near-identical increase in part-time work. Yet the total number of hours worked rose by a healthy 0.4 per cent from November, despite a strike of Quebec public-service employees in December. STORY CONTINUES BELOW ADVERTISEMENT Critically, average hourly wage growth surged to 5.4 per cent year over year, from 4.8 per cent in November. That’s a big step in the wrong direction for anyone connecting the dots between the labour market and inflation (I’m looking at you, Bank of Canada). Still, make no mistake, this most certainly is a softening job market. Don’t let the contradictions in the December data throw you off course. It’s the broader trend that matters – and that trend is toward a loosening of labour conditions. With the book now closed for 2023, the totals would, at a glance, suggest that the labour market had a pretty good year. Total employment rose by 430,000; that’s a total that, prior to the COVID-19 pandemic, had been topped only twice in two decades. Wage growth was the strongest since 2006. But a closer look at how things have evolved over the past 12 months tells a very different story. The employment rate (the percentage of Canadians aged 15 and older who have a job) has been in decline since last spring, and it continued that decline in December; it’s now the lowest it has been in nearly two years. In the past six months, the working-age population has increased by a half-million, yet the national job count has risen by just 140,000. For many economists, the employment rate is a much more valuable indicator of labour market strength than the more familiar unemployment rate; it points to the share of the entire pool of labour that is being used. A shrinking employment rate is a vital indicator both of growing slack in the labour market, and a sluggish economy more generally. Meanwhile, the rise in the unemployment rate since spring has been widely noted. Unemployment was unchanged in December, at 5.8 per cent; but it has been rising steadily since last spring, when the rate was just 5 per cent. The December lull looks likely to be a brief statistical pause in a continuation of that rising unemployment trend in 2024. Economists at the country’s six big banks forecast that the unemployment rate will rise, on average, to 6.6 per cent by the end of this year. STORY CONTINUES BELOW ADVERTISEMENT So, what should we make of the inconsistencies within Statistics Canada’s December report? Every once in a while, we get a head-scratching monthly release that reminds us that these data are derived from a survey of Canadian households. Like any survey, there are meaningful margins of error that can, sometimes, spit out inaccurate and misleading results. As Statscan explains, its labour force survey covers a single week within each month – in this case, Dec. 3 through Dec. 9 – for which about 48,000 people were asked about their employment status. That’s 0.15 per cent of the working-age population, whose answers are relied on to represent the whole. Statscan states that, statistically speaking, December’s estimated monthly employment total is considered accurate to within plus or minus 30,700 jobs, 68 per cent of the time. If you want to increase that to a 95-per-cent confidence level, then the range is plus or minus 61,400 jobs. STORY CONTINUES BELOW ADVERTISEMENT The unemployment rate itself has an accuracy of plus or minus 0.1 percentage point at the 68-per-cent confidence level, and 0.2 percentage point with 95-per-cent confidence. Easy to see, then, how a single survey could produce a substantial statistical head fake. As Statscan cautions in the report itself, “monthly estimates will show more variability than trends observed over longer time periods.” Still, the increase in the annual wage-growth rate was large enough to raise eyebrows. As the Bank of Canada considers interest-rate cuts in 2024, it has been adamant that it needs to see downward momentum in wage growth (among other things) to be convinced that inflation is headed sustainably toward the bank’s 2-per-cent target. The December jump may be a one-off, but the bank won’t breathe easier until it sees that upward blip reversed. Yet it’s notable that average wages actually declined in December, 2022, the month against which the December wages were compared to calculate the rate of increase. That certainly exaggerated the size of the increase. Within the December data, there may be some signs of easing wage pressures to come. For example, the goods-producing industries – which led the way in wage gains in 2023, with an average of 6.2 per cent – are also the sectors showing the sharpest slowdown in employment. Goods employment actually fell by more than 200,000 jobs over the second half of 2023. The implication is that, for these workers, the labour supply-and-demand dynamics, and hence bargaining power, have deteriorated rapidly. STORY CONTINUES BELOW ADVERTISEMENT It’s another reason to believe that the path still leads to lower interest rates. Don’t let one hazy employment report distract you from the trend.
  10. Well this is not welcome news. https://www.lapresse.ca/affaires/entreprises/2024-01-03/la-brasserie-t-annonce-sa-fermeture-immediate-entrainant-130-mises-a-pied.php La Brasserie T! annonce sa fermeture immédiate, entraînant 130 mises à pied PHOTO MARTIN CHAMBERLAND, ARCHIVES LA PRESSE La Brasserie T! du Quartier Dix30 La Brasserie T! annonce sa fermeture immédiate, entraînant la mise à pied de 130 personnes. Publié à 17h22 LA PRESSE CANADIENNE Les copropriétaires, le chef Normand Laprise et Christine Lamarche, en ont fait l’annonce mercredi, évoquant les frais d’exploitation, l’effet négatif de l’inflation et le roulement de personnel. La Brasserie T! comptait plusieurs adresses, au quartier montréalais Mile End/Parc-Extension, à Sainte-Thérèse et à Brossard, au Comptoir-Épicerie de l’avenue Beaumont à Montréal, et au Burger T! du Time Out Market de Montréal. Les actionnaires recherchent déjà des professionnels dans ce domaine désireux d’acquérir les établissements concernés et d’engager les employés actuels, peut-on lire dans un communiqué. Les travailleurs ont été avisés de la nouvelle en matinée mercredi, indique-t-on, et le groupe dit vouloir les aider dans la recherche de postes en restauration. Le restaurant Toqué!, le vaisseau amiral du groupe mené par Normand Laprise, demeure en fonction et ouvrira le 10 janvier après la pause des Fêtes. Selon M. Laprise, chef et cofondateur du groupe, la Brasserie T! « fonctionnait bien » et son achalandage était « bon », mais la pandémie s’est produite au pire moment du développement du réseau. Le plan d’expansion lancé en 2019 comprenait une cuisine de production et l’ouverture de cinq restos Brasserie T !, souligne-t-il dans le communiqué, disant prendre la décision de fermer « à regret et en tout dernier recours ». « Les frais d’exploitation de notre cuisine de production, située sur Beaumont, étaient trop élevés pour fournir seulement trois succursales. Donc, nos opérations étaient déficitaires. Sans pandémie, le développement serait déjà terminé », soutient-il. Concernant l’inflation, il cite l’augmentation du coût des matières premières, de la construction et des salaires. M. Laprise et Mme Lamarche disent vouloir assurer la pérennité de Toqué!, « lequel a célébré en 2023 ses 30 ans ». « Même si la situation de la Brasserie T! a fragilisé financièrement leur groupe, le duo a espoir de vite en stabiliser l’état au cours des prochains mois », peut-on lire dans le communiqué.
  11. Liberal government policies are typically presented with firm commitment to action but in the end c’est de la poudre aux yeux. Plus I truly believe they’re not that smart and definitely not competent. Trudeau and his clown show government will become legendary for it.
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