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  1. Photographie de Normand Rajotte réalisée pour l'ouvrage L'histoire du Vieux-Montréal à travers son patrimoine, 2004.

    ©Normand Rajotte

     

    La gare-hôtel Viger vers 1900 avec sa terrasse.

    ©Bibliothèque et Archives nationales du Québec, Albums de rues Édouard-Zotique Massicotte. 1-190-d.

    photographie Denis Tremblay, 1998

     

    Les termes précédés d'un sont définis au glossaire.

    Nom du bâtiment : Gare-hôtel Viger

     

    Autre appellation : Gare-hôtel Place Viger

    Édifice Jacques-Viger

     

    Adresses civiques :

    700, rue Saint-Antoine Est

    815, rue Berri (façade latérale)

     

    Construction et modifications majeures : 1896-1898/ 1912-1913/ 1954-1955

     

    Ce bâtiment fait partie de l'ensemble suivant : Édifice Jacques-Viger

     

    Histoire de l'ensemble

    Ensemble comprenant une gare-hôtel construite en 1896-1898 et une aile attenante dans laquelle sera transférée la gare en 1912.

     

    Plans de localisation : Afficher sur Google maps Retour au plan de localisation Imagery ©2011 DigitalGlobe, GeoEye - Terms of UseMapSatelliteHybrid200 ft100 m

     

    Caractères physiques :

    Nombre d'étages : 6

    Matériau dominant : pierre

    Type de toit principal : à croupe

    Pour plus d'information sur les caractères physiques du bâtiment, veuillez consulter le relevé des caractères physiques.

     

    Pierre : Premier niveau et éléments décoratifs : pierre grise de Montréal [calcaire], confirmé.

    En l'absence d'une mention de confirmation, l’identification « pierre grise de Montréal [calcaire] » est présumée d’après l’apparence et l’époque d’utilisation.

     

    Histoire du bâtiment

    La gare-hôtel Viger est construite entre 1896 et 1898 par le Canadien Pacifique d’après les plans de Bruce Price, l’architecte du château Frontenac à Québec (1892-1893). Pour construire cet imposant édifice, la Ville de Montréal et le Canadien Pacifique signent une entente. Le Canadien Pacifique cède ainsi trois importantes propriétés à la Ville de Montréal, tandis que celle-ci exproprie 35 lots entre 1893 et 1895 pour la construction de la gare-hôtel. Des dizaines de bâtiments sont détruits pour le projet, dont de nombreuses maisons. Le square Dalhousie est également rasé. Le nom de l’édifice fait d’abord référence à Denis-Benjamin Viger, un célèbre politicien du XIXe siècle. Il est renommé édifice Jacques-Viger en 1957 en l’honneur de l’ancien maire de Montréal.

     

    L’édifice accueille ses premiers voyageurs en août 1898. La gare et de nombreux services pour les passagers occupent le rez-de-chaussée. Au premier étage est aménagé un restaurant spacieux qui offre à ses clients l’accès à une large terrasse donnant sur la rue Craig. Les 88 chambres de l’hôtel sont réparties sur les étages supérieurs.

     

    Une dizaine d’années après son ouverture, la gare-hôtel Viger ne suffit déjà plus aux besoins. En 1911-1912, le Canadien Pacifique déménage la gare dans une aile attenante de deux étages qu’il a fait construire le long de la rue Berri. À partir de ce moment, l’édifice sert uniquement d’hôtel.

     

    En 1935, l’édifice – alors l’hôtel Place Viger – ferme ses portes malgré la vive opposition de politiciens et de gens d’affaires de l’est de Montréal. De 1939 à 1950, l’ancienne gare-hôtel Viger est occupé par le gouvernement canadien qui l’utilise pour différents services militaires, puis pour y loger d’anciens combattants. La gare cesse ses activités en 1951, une année après que la Ville de Montréal eût acheté le complexe ferroviaire Viger. À la suite d’importants travaux de rénovation effectués en 1954-1955, la Ville de Montréal y installe certaines divisions administratives qui occupent l’immeuble jusqu'en 2006.

     

    Voir aussi les informations sur le ou les ensembles dont ce bâtiment fait partie.

     

    Construction initiale

    Date de construction : 1896-1898

     

    Concepteur de la construction : Bruce Price

    (architecte)

    Informations concernant la carrière du concepteur

     

    Propriétaire constructeur : Canadien Pacifique (compagnie ferroviaire)

    (propriétaire du 1896-05-28 au 1950-10-17)

    Informations disponibles pour l'année 1915

    Propriétaire-occupant.

     

    Fonction(s) d'origine

    Fonction(s) spécifique(s) : gare, hôtel

     

    Fonction(s) générale(s) : transport et communication, commerce, habitation

     

    Autres travaux – Modifications

     

    Travaux 1 : Date des travaux : 1912-1913

    La portion de l'édifice qui servait de gare est rénovée et intégrée à la partie servant d'hôtel. Aussi, la terrasse du premier étage est fermée afin d'agrandir le restaurant. Ces travaux surviennent au moment où le Canadien Pacifique transfère sa gare dans une aile attenante sur la rue Berri (Gare Berri).

     

    Travaux 2 : Date des travaux : 1954-1955

    Restauration ou recyclage du bâtiment.

    Transformation de l'édifice en immeuble de bureaux. La structure même de l'édifice est remplacée, des poutres d'acier étant substituées aux murs porteurs, et toutes les arcades du rez-de-chaussée sont murées. Concepteur : Donat Beaupré (architecte)

     

    Autres propriétaires ou locataires (sélectif)

     

    Propriétaires : Ville de Montréal

    (propriétaire de 1950 à 2006)

    Propriétaire-occupant. La Ville de Montréal occupe l'édifice jusqu'en 2006.

     

    Locataires : Gouvernement du Canada

    (locataire de 1939 à 1950)

    De 1939 à 1941, le ministère de la Défense nationale installe un centre d'inspection médicale pour les militaires. De 1941 à 1946, on transforme l'édifice en entrepôt pour la marine marchande britannique. Enfin, de 1946 à 1950, l'édifice abrite 47 familles d'anciens combattants.

     

     

    Protections patrimoniales du bâtiment

    Le bâtiment est spécifiquement protégé par le statut suivant :

    Immeuble de valeur patrimoniale exceptionnelle (juridiction municipale)

    Le bâtiment est situé dans les secteurs protégés suivants :

    Arrondissement historique de Montréal (Vieux-Montréal) (1995-04-26) (juridiction provinciale)

    Secteur de valeur patrimoniale exceptionnelle Vieux-Montréal (juridiction municipale)

    Secteur de valeur patrimoniale exceptionnelle Square Viger (juridiction municipale)

     

    Numéros de référence

    Bâtiment : 0041-61-1570-01

     

    Propriété : 0041-61-1570

    Fiche 1 de 3 sur cette propriété

     

    Pour plus d'information sur l'histoire ou l'architecture du bâtiment,

    veuillez consulter les sources suivantes :

    AVM, Dossiers de presse

    Canadian Architect and Builder, 9, 7 (1896): 93; 10, 2 (1897): 36

    CUM, Édifices publics, 128-131

    Duchesne, Gare-hôtel Viger

    Hallé, Gare Dalhousie

    Inventaire (1980-...) - Dossiers, 14330-0318 740-780, rue Saint-Antoine Est

    Lambert, Inventaire 1880-1915, 26

    Lauzon, Forget, Histoire du Vieux-Montréal, 231

    Michaud, Oeuvres du temps, 72-73

    Pinard, Montréal, histoire architecture, II, 73-78

     

    http://www.vieux.montreal.qc.ca/inventaire/fiches/fiche_bat.php?num=4&sec=c

  2. Québec — Bien que fissuré de manière importante à certains endroits, l'édifice inachevé de l'îlot Voyageur est sécuritaire, a assuré Michelle Courchesne hier. «Ça ne tombera pas: et fiez-vous sur moi [...] moi qui ai passé 17 heures devant le viaduc de la Concorde [qui s'est effondré en 2006], c'est évident que je ne veux pas que ça s'effondre! Et il n'en est pas du tout question», a insisté hier la présidente du Conseil du trésor, lors de l'étude des crédits.

     

    Même si elle est largement exposée aux éléments, la structure de béton est en bon état, a soutenu la ministre. Une fois terminé, l'édifice devait accueillir des résidences étudiantes et des bureaux. La construction, lancée par l'UQAM et financée par une émission d'obligations douteuse, a été abandonnée depuis 2007.

     

    Concernant l'état du bâtiment, Mme Courchesne s'est appuyée sur un rapport de la firme Cima+ datant du 11 mai 2009, lequel a été révisé en septembre 2010, bref avant l'hiver qui vient de se terminer. Ce rapport, dont Le Devoir a obtenu copie, fait état de quelques endroits problématiques, dont un «au pied de la rampe d'accès du stationnement au niveau S où le béton du trottoir d'accès au puits d'escalier et d'ascenseur était fissuré». On peut lire aussi que la «chape de béton qui recouvre la membrane de la dalle du niveau R est fissurée sur toute sa surface. Cette fissuration est apparue suite au passage des autobus après la première inspection de mai 2009». Depuis près de deux ans, les entreprises de transport d'autobus utilisent une partie du garage comme stationnement.

     

    Dégradation

     

    Mme Courchesne était questionnée par le critique péquiste Sylvain Simard, qui a décrit l'ouvrage comme un «grand monument à l'incompétence libérale». M. Simard a soutenu qu'à l'oeil, la dégradation de cette construction avortée n'avait rien de rassurant, soulignant que les «pierres de parement» suintaient et se décollaient. M. Simard s'est indigné du fait que même si le gouvernement a racheté à l'entreprise Busac l'an dernier les édifices abandonnés ainsi que la vieille gare d'autobus au sud (toujours utilisée), il n'a toujours pas pris de décision quant à la vocation qu'il veut donner à l'ensemble. Depuis 2008, Québec a injecté près de 300 millions pour éponger la dette que l'UQAM avait contractée pour la construction. Et en 2010, il a racheté pour 20 millions les terrains et bâtiments inachevés et pour 25,5 millions la «Station Centrale» et Expedibus.

     

    Fin juin

     

    En début de soirée hier, le bureau de Mme Courchesne a précisé que le gouvernement se donnait jusqu'à la fin juin pour déterminer la vocation de la propriété encombrante. La ministre a promis alors «une étude de marché très précise» et un «montage financier très précis aussi». À court terme, Québec lancera l'appel d'offres de 8 millions de dollars pour terminer les travaux de liaisons entre le métro et le nouveau terminus, situé dans la partie nord de l'îlot Voyageur. D'ici juin, Québec entend consulter la Ville de Montréal, l'UQAM, la Grande Bibliothèque, entre autres, pour déterminer la vocation à donner au lieu. Le gouvernement veut mettre la nouvelle gare en vente dans les prochains mois. Quant à l'ancienne, elle sera démolie. Ce terrain ainsi que les étages supérieurs des édifices inachevés pourraient faire place à des résidences pour étudiants ou des bureaux, ou encore des condominiums. Mme Courchesne estime que le scénario d'une tour à bureaux qui accueillerait des fonctionnaires du gouvernement du Québec est peu probable. Pressée de question par M. Simard, elle a admis qu'il serait impossible pendant dix ans de déménager les fonctionnaires du ministère de l'Immigration, qui logent tout prêt, à la Place Dupuis, en raison d'une «clause de non-concurrence» obtenue par Busac. Mme Courchesne a dit avoir de grandes réserves au sujet du scénario d'une tour de bureaux. Il faut d'abord «optimiser l'utilisation» des mètres carrés utilisés par le gouvernement à Montréal, a-t-elle dit.

     

    http://www.ledevoir.com/politique/quebec/320927/ilot-voyageur-fissure-mais-securitaire

  3. J'avais envoyé un courriel aux Amis de la montagne il y a quelques années à ce sujet. Leur réponse disait qu'ils n'étaient pas contre mais qu'il faudrait étudier sérieusement la question. Ils ont aussi ajouté que le parc a été dessiné pour que les passants découvrent la montagne tout en montant et qu'un funiculaire les priverait de cette expérience.

     

    En pratique, il y a beaucour de gens qui preferent se rendre en haut en taxi plutôt que de monter à pied...

     

    C'est vrai, les choses ont changé beaucoup en 135 ans...le monde était probablement plus en forme en 1874 et les besoins des gens à mobilité réduite étaient moins pris en considération. Les plaisirs offerts par la montagne sont variés et il ne faut pas exclure personne. Il faudra au moins fournir un accès facile et peu dispendieux pour aller apprécier le Belvedere (comme acpn a mentionné). Je ne suis pas certain que ça existe en ce moment.

  4. La patinoire extérieure semble donc avoir été abandonnée pour le projet de l'Esplanade Clark.

     

    Aucune mention sur le site de la ville. On peut voir une image de quoi aura l'air cette esplanade

     

    Dans La Presse le 22 janvier 2011

     

    "L'espoir est ailleurs, et pas loin. Il se pourrait que, dans un avenir moyennement rapproché, Montréalais et Montréalaises puissent s'ébattre - prudence avec les lames, quand même! - sur une grande patinoire à glace artificielle sur la future esplanade Clark. Donnant sur la rue Sainte-Catherine, en plein milieu du Quartier des spectacles. Qui, par la voix de son vice-président Jacques Primeau, en a lancé l'idée, il y a deux ans.

     

    Et Gérald Tremblay a dit: «Ça va se faire.» Jusqu'à maintenant, dans ce sur quoi il a autorité dans le Quartier des spectacles, le maire a «livré». Le partenariat du Quartier des spectacles et la Ville travaillent actuellement à un plan pour intégrer une grande patinoire dans ledit quartier, en face de la Maison du développement durable. Plan qui pourrait être présenté au comité exécutif au cours de la prochaine année."

     

     

    http://www.cyberpresse.ca/actualites/regional/montreal/201101/22/01-4362755-dans-les-plans-une-grande-patinoire-rue-clark.php

  5. La patinoire extérieure semble donc avoir été abandonnée pour le projet de l'Esplanade Clark.

     

    Aucune mention sur le site de la ville. On peut voir une image de quoi aura l'air cette esplanade

     

    Je ne crois pas que l'idée de la patinoire a été abandonnée. Ce n'est juste pas officiel encore, alors la Ville ne pourra pas l'insérer sur leur site.

  6. Ça prendrait un funiculaire.

     

    J'avais pensé à ça aussi. C'est une excellente solution pour accéder ce sommet à partir du centre-ville, mais je ne crois pas qu'aujourd'hui, les Amis de la montagne accepteront qu'on enlève les arbres pour faire un chemin .

    Voici des photos de qu’est-ce qu'il a déjà existé:

    http://ville.montreal.qc.ca/pls/portal/docs/PAGE/BUREAU_MTROYAL_FR/MEDIA/DOCUMENTS/INSTALLATIONS.PDF

     

     

    Est-ce que le funiculaire pourra être complètement caché dans un tunnel dans la montagne?

    Idéalement le poste de départ pourra être dans le coin de la rue Peel, dans une des maisons sur l'avenue des Pins. Nous n'aurons pas besoin de détruire un paquet d'arbres en surface pour faire un chemin. Si le privé le fait (pour notre 375e), ils auront ensuite le droit de le nommer (comme les lignes de Métro). Le Bombardier-Otis?

    Serait-il faisable?

     

    Voici le lien du funiculaire à Québec:

    http://www.funiculaire-quebec.com/fr/Accueil.htm

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  7. :highfive: Je te seconde dans cette idée, le chalet du Mont-Royal est un endroit magistral qui pourrait là aussi rapporter de précieux "deniers" à la ville en utilisant une partie de sa surface pour un restaurant digne de ce nom, avec terrasse extérieure, etc. Cependant étant donné son accès plus limité, il faudrait aménager un service de taxi léger, (hybride entre une bicyclette et une calèche peut-être ou minibus l'hiver?), afin d'y amener une clientèle à mobilité plus réduite.

     

    Bien sûr l'aspect saisonnier de son achalandage pose problème mais on pourrait l'offrir en concession comme on fait sur les iles et La Ronde? En fait tout est une question d'imagination créative, on pourrait d'ailleurs lancer le défi à l'école d'hôtellerie qui pourrait en faire un concours annuel.

     

    Bon je n'ai pas le monopole des idées, mais il me semble qu'on laisse dormir trop d'opportunités, en négligeant les possibilités de certains sites montréalais qui sont nettement sous-utilisés ou pas du tout mis à leur avantage. Il y a plein de gens dynamiques dans cette ville, il faut les mettre à contribution et solliciter leurs idées, pour que chaque lieux d'intérêt soit animé et exploité à son plein potentiel.

     

    C'est ça une ville qui bouge, et les touristes tout comme les résidents en redemandent.

     

    C'est vraiment déplorable que la Ville "doesn't get their act together" avec le Chalet.

    C'est un des sites touristiques principaux de notre Ville (notre Tour CN naturel, notre Piazza d'Espana...). Chaque fois que j'y vais, je suis presque honte. Un endroit superbe, plein de touristes et Montréalais en train d'apprécier les vues de ce site privilégié, mais avec presque pas de service. Beaucoup de villes auront envie d'avoir un emplacement superbe comme ça (tant intérieur du chalet comme l'extérieur). Il faut l'exploiter dans le bon sens avec des services et activités d'intérêt public. J'espère que les actions de l'administration de Fernandez vont réveiller la Ville pour qu'ils prennent des actions plus tôt que tard.

     

    Pour ce qu'il a trait à l'accès. Des fois il faut monter des marches pour apprécier un sommet comme ça. La Ville a investi des millions pour refaire les marches de la rue Peel. Pour les gens moins en forme ou pas capables, y a-t-il une navette disponible à partir du stationnement près de Lac des castors pour les gens à mobilité réduite?

  8. "Dans le secteur Places des Arts du Quartier des spectacles, on estime la production de matières résiduelles à plus de 300 tonnes / année et ce, uniquement sur le domaine public. Bien que la majorité de ces matières soient recyclables ou putrescibles, le fait de se retrouver dans une poubelle sur le domaine public les destine à l’enfouissement.

     

    Le système de collecte pneumatique installé dans le Quartier des spectacles permet de réduire sensiblement l’enfouissement des matières résiduelles, car une collecte sélective des déchets, des matières recyclables et des matières compostables est faite directement à la source, une première dans la ville de Montréal.

     

    Jalonnement dynamique

    Bien que le Quartier des spectacles soit desservi par les réseaux d’autobus et le métro, l’utilisation de l’automobile y est très présente. Les besoins en stationnement sont donc importants d’autant plus que plusieurs places sur rue ainsi que les terrains de stationnement de surface ont été éliminés.

     

    Le secteur compte plusieurs aires de stationnement souterrain qui peuvent être optimisées par le déploiement d’un système de jalonnement dynamique. Un tel dispositif permet d’indiquer en temps réel, sur des panneaux lumineux, le nombre de places disponibles sur chacun des sites offerts et la distance en mètres jusqu’à ceux-ci. L’efficacité d’un tel système a été démontrée dans plusieurs villes à travers le monde ainsi que récemment dans le Vieux-Montréal.

     

    L’entrée en service du jalonnement dynamique dans le Quartier des spectacles est prévue pour 2012."

     

    http://ville.montreal.qc.ca/portal/page?_pageid=7557,81797570&_dad=portal&_schema=PORTAL

  9. This is long overdue!

     

    If done properly, this spot could become a year-round success for Cité Historia. Then maybe the City will take notice and finally do something more classy than just having vending machines at the Belvedere on the Mount-Royal lookout...

  10. Publié le 01 mai 2010 à 08h14 |

    Un nouveau resto au parc La Fontaine

     

    Marie-Claude Lortie

    La Presse

     

    Le parc La Fontaine aura bientôt un restaurant. Dès la fin du mois de juin, si tout va bien, affirme le maire de l'arrondissement du Plateau, Luc Ferrandez. Suivra ensuite le parc Laurier.

     

    L'appel d'offres a été lancé hier. En gros, le maire veut quelque chose de totalement différent de ce qui a été fait dans le passé. Il cherche un organisme sans but lucratif qui soit prêt à faire fonctionner un bistro dans le pavillon existant - qui sera aménagé aux frais de l'arrondissement - et qui accepte de réinvestir les profits dans un projet lié au pavillon (galerie d'art, expositions historiques, etc.).

     

    L'équipe du maire s'est inspirée de concepts semblables dans le monde entier. «On a des photos de New York, de Milan», a indiqué hier M. Ferrandez, qui veut que la terrasse du pavillon reste ouverte au public mais permette aussi aux clients du nouveau café de manger à l'extérieur. Le mandat fondamental du parc est d'encourager la détente. L'idée du café, c'est d'ajouter une autre bonne raison d'aller flâner sous les arbres centenaires.

     

    Si l'appel d'offres a été lancé, le pavillon n'est pas encore parfaitement prêt, a souligné M. Ferrandez. Il tient à ce que les soumissionnaires soient au courant de cette réalité. Sauf qu'attendre que tout soit clés en main aurait probablement retardé tout ce projet d'une année. Et l'administration du Plateau tenait à le faire avancer dès l'été.

     

    Analyse des dossiers

     

    Les organismes intéressés ont trois semaines pour présenter une proposition. La mairie mettra ensuite une semaine pour analyser les dossiers. Puis, il faut prévoir la mise en place et espérer que les problèmes techniques seront réglés. Il y aurait, par exemple, des anomalies électriques à réparer.

     

    M. Ferrandez espère que cette initiative sera la première de toute une série et pas seulement sur le Plateau. Une fois le parc La Fontaine en piste, le pavillon du parc Laurier suivra. Il n'y a pas de projet pour le parc Jeanne-Mance. Mais interrogé sur la possibilité de faire des «cafés de plage» - avec chaises longues et parasols comme ceux qui sont très populaires à Berlin - dans la partie sud du parc où il y a du volleyball de plage, le maire a répondu d'entrée de jeu que ce n'était pas une mauvaise idée du tout.

     

    La possibilité d'ouvrir des kiosques à café saisonniers est aussi considérée.

     

    http://www.cyberpresse.ca/actualites/regional/montreal/201005/01/01-4276145-un-nouveau-resto-au-parc-la-fontaine.php

  11. EXCLUSIF : Un chalet-restaurant pour le parc La Fontaine

     

     

    Écrit par Louis M. Gagné

    Vendredi, 30 avril 2010 16:18

    Mise à jour le Vendredi, 30 avril 2010 16:57

     

    Après avoir passé des années dans un état de quasi-abandon, le chalet du parc La Fontaine connaîtra cet été une nouvelle vie en devenant un chalet-restaurant.

     

    L’arrondissement Plateau-Mont-Royal a lancé vendredi un appel de projet pour l’animation et l’exploitation d’une aire de restauration dans ce bâtiment qui n’a jamais trouvé sa véritable vocation depuis sa construction dans les années 1950. L’annonce en sera faite en conférence de presse lundi.

     

    Contrairement au chalet-restaurant du lac aux Castors, qui est géré par une entreprise privée, celui du parc La Fontaine sera exploité par un organisme à but non lucratif (OBNL), «dont la mission est de promouvoir, de populariser ou de sauvegarder une ou plusieurs dimensions de la culture, des arts, de l’histoire, du patrimoine ou de la réalité humaine et sociale des quartiers environnants», peut-on lire dans l’appel de projet consulté par RueFrontenac.com.

     

    «Le bâtiment est un magnifique ouvrage qui n’a malheureusement jamais été vraiment exploité. On veut ainsi exploiter le site [le parc] au profit des citoyens et non pas un commerce pour des fins de rentabilité», explique le maire de l’arrondissement, Luc Ferrandez.

     

    Les Amis du parc La Fontaine espèrent voir le bâtiment restauré en fonction des besoins d’aujourd’hui, mais en s’assurant d’en garder l’aspect patrimonial et architectural typique des années 1950. Photo Chantal Poirier

     

    L’arrondissement souhaite ouvrir le chalet-restaurant dès la fin du mois de juin. Mais cela pourrait aller à la fin de l’été, voire au mois de septembre, selon l’ampleur des travaux qui doivent y être faits pour rendre les lieux fonctionnels.

     

    «Le but est d’ouvrir l’endroit cet été à tout prix. Au pire, le minimum sera fait et on profitera de la saison morte pour compléter le tout», dit le politicien élu pour une première fois le 1er novembre dernier sous la bannière de Projet Montréal.

     

    Problèmes physiques et juridiques

     

    D’ici la réouverture tant attendue du chalet, des travaux devront être réalisés pour colmater de possibles problèmes principalement liés à l’eau et l’électricité.

     

    Les toilettes, la cuisine et ses équipements devront être rénovés. On souhaite aussi aménager la terrasse et la munir de mobilité pour les usagers du parc.

     

    Des problèmes juridiques devront aussi être abordés puisque l’entretien des lieux relève des cols bleus, ce qui entre en conflit avec le souhait de voir un OBNL gérer l’endroit.

     

    L’OBNL choisi aura un mandat d’animation, de divertissement, d’information et de sensibilisation du public en accord avec sa propre vocation. Il devra créer cette animation dans le respect de la qualité du milieu de vie du quartier environnant et occuper de manière significative le site, c’est-à-dire le bâtiment et ses alentours.

     

    Des Amis bien contents

     

    Cette annonce réjouit Les Amis du parc La Fontaine, qui militent depuis quelques années déjà pour la création d’un café culturel dans ce parc situé au cœur du Plateau. L’association avait d’ailleurs interpellé à ce sujet les candidats des élections municipales de l’automne dernier, les priant de confier la gestion de ce café à un OBNL plutôt qu’à une entreprise privée si le projet devait voir le jour.

     

    «Ça correspond exactement à ce que l’on souhaitait. C’était incroyablement indécent que ce bâtiment n’ait pas été mieux exploité et qu’il soit pratiquement fermé depuis deux ans », affirme le président de l’association, Claude Gagnon.

     

    «Il est grand temps de favoriser le mise en valeur des lieux, tant au niveau culturel et social qu’historique et patrimonial», ajoute-t-il.

     

    Afin de financer ses activités et d’en accroître l’offre et la portée, l’organisme choisi devra par lui-même, ou en partenariat avec un autre OBNL, exploiter un service de restauration – avec permis d’alcool – dans le respect de la vocation première du chalet-restaurant.

     

    Cela pourrait occasionner des investissement de 500 000$ à 600 000$, selon le maire Ferrandez. Il souhaite voir les profits être investis dans l’aménagement intérieur et extérieur du chalet et dans des activités gratuites telles que des conférences, des spectacles et des expositions.

     

    Claude Gagnon espère voir le bâtiment restauré en fonction des besoins d’aujourd’hui, mais en s’assurant d’en garder l’aspect patrimonial et architectural typique des années 1950.

     

    «Le chalet doit devenir un lieu communautaire, convivial et rassembleur. Si sa réussite est grande, ça pourrait devenir un exemple pour les autres parcs, car il y en a beaucoup à Montréal qui sont sous-utilisés», conclut M. Gagnon.

     

     

    http://www.ruefrontenac.com/nouvelles-generales/societe/21855-parc-la-fontaine-restaurant

  12. Travaux additionnels au chalet du parc La Fontaine

     

    JENNIFER GUTHRIE

    MÉTRO

    Publié: 07 avril 2011 21:45

     

    Les travaux d’aménagement du chalet-resto du parc La Fontaine nécessiteront une dépense additionnelle de près de 91 000 $. L’état de dégradation avancé de la plomberie explique en grande partie cette hausse de coûts.

     

    Un montant de 49 000 $ avait été prévu pour des travaux contingents. Une directive émise par l’arrondissement pour le remplacement systématique de la tuyauterie du chalet, alliée à la nécessité de mettre en place de nouveaux raccordements électriques et mécaniques pour les équipements de la cuisine et le nouveau matériel audio-visuel, auront eu tôt fait de faire grimper la facture à quelque 139 800 $.

     

    L’ajout de près de 91 000 $ au contrat de l’entrepreneur devrait «permettre de finaliser partiellement une bonne partie des travaux d’aménagement du restaurant au chalet du parc La Fontaine dans l’attente de la présentation d’une seconde demande prévue au conseil d’arrondissement de mai prochain», peut-on lire dans les documents remis aux élus.

     

    Il n’a pas été possible de connaître la teneur de cette nouvelle demande, jeudi. Il semble toutefois qu’elle n’aura pas d’impact sur la date d’ouverture du chalet et de son restaurant. «Les travaux ont commencé en janvier et sont présentement complétés à 75 %, a indiqué Michel Tanguay, porte-parole de l’arrondissement du Plateau-Mont-Royal. Il reste notamment à compléter des travaux de plomberie et la conception du mobilier. L’ouverture devrait avoir lieu au début du mois de juin

     

    L’organisme Cité Historia, qui exploite depuis une vingtaine d’années le Bistro des Moulins et anime le site historique de Sault-au-Récollet, au parc de l’Île-de-la-Visitation, se chargera d’exploiter et d’animer le chalet. Un nouvel organisme, baptisé L’Espace La Fontaine, a été créé à cet effet.

     

    http://www.journalmetro.com/linfo/article/826795--travaux-additionnels-au-chalet-du-parc-la-fontaine

  13. MONTREAL – With its 2012 Major League Soccer (MLS) debut quickly approaching, the Montreal Impact have teamed up with Sid Lee to draw up a game plan that will hit home with Quebecers and highlight the importance of this new chapter for the club. Sid Lee will provide the Impact with marketing/communication services and will develop its brand strategy.

     

    “We’re very happy about this new partnership with Sid Lee,” explains Claude Pinard, Montreal Impact Chief Business Officer. “The Montreal Impact will be experiencing something truly extraordinary in the coming months and we’re sure Sid Lee’s creative and strategic prowess will greatly benefit us.”

     

    A 360-degree communication strategy—using traditional and interactive media, mobile applications and presence on social networks—will enable the Impact to shine on the local and international stage.

     

    “It’s with great joy and pride that Sid Lee joins the Impact on its quest to the majors!” says Martin Gauthier, Executive VP and Senior Partner. “It’s a historic moment that requires all of Sid Lee’s creativity. We want people to come out to the new Saputo Stadium in droves, and live and breathe the Impact like never before.”

     

    The Impact are gearing up to take Montreal summers by storm. The team wants to attract more fans than ever to the Saputo Stadium, which will boast 20,341 seats in 2012. Companies, families, youth and sports fans will be in for competitive, high-caliber international soccer à la Montreal.

     

    The Impact have been making a splash in the city for over 18 years now, backed by a winning tradition, strong leadership and partners, and that special Montreal touch. Sid Lee will work to boost the visibility of the Impact, the MLS and its players (such as Landon Donovan, David Beckham and Thierry Henry) all the while keeping the traditional aspect of the club intact.

     

    ABOUT SID LEE – http://WWW.SIDLEE.COM

    We are a multidisciplinary creative team of 450 artisans of many persuasions. We work globally for top-tier clients from our Montreal, Amsterdam, Paris and Toronto ateliers. We are people passionate about embedding brands, products, spaces and services with meaning and resonance.

     

    http://boxscorenews.com/montreal-impact-teams-up-with-sid-lee-en-route-to-mls-p17838-68.htm

  14. Chronique dans La Presse ce matin...

     

    "Moi, il m'est difficile d'être optimiste en ce mois frisquet qui refuse de jouer franchement au printemps. Et il m'est difficile de croire que les élus et les responsables de Beaconsfield auront l'audace de trouver une porte de sortie respectueuse du patrimoine et honorable pour tout le monde dans cette histoire. Tout comme j'ai de la difficulté à m'enthousiasmer autant que les gens de la station CJAD pour un autre dossier municipal: ce projet-pilote de vente de légumes dans l'arrondissement de Ville-Marie.

     

    Interrogé par la station de radio au sujet de l'interdiction de la cuisine de rue à Montréal, le porte-parole de l'arrondissement a en effet confié qu'un projet-pilote de kiosques de rue pour la vente de nourriture était en marche. Mais en fait, m'a-t-on précisé, on parle de comptoirs de produits frais, surtout des légumes. En gros, m'a expliqué Jacques-Alain Lavallée, porte-parole de l'arrondissement, on veut multiplier les comptoirs de vente comme ce petit marché installé aux Habitations Jeanne-Mance, boulevard De Maisonneuve, à la fin de l'été dernier. «Les sites sont à identifier», a-t-il ajouté.

     

    Parle-t-on de prêt-à-manger comme à Portland ou San Francisco, où on peut acheter un bol de soupe thaï, des dumplings coréens, de la salade d'algues ou des crêpes Suzette en plein air, au coin de la rue? Pas du tout.

     

    Le projet, totalement différent, vise plutôt à rapprocher les légumes des citoyens dans des quartiers où les vendeurs de primeurs se font rares.

     

    L'idée est excellente.

     

    Mais on est loin des schnitzels ambulants ou du laksa à la sortie du métro.

     

    Cela va sûrement décevoir plus de 900 fans (la dernière fois que j'ai regardé) de la nouvelle page Facebook demandant la légalisation de la «bouffe de rue à Montréal», qui espèrent voir un jour notre métropole accueillir une culture de l'alimentation en plein air aussi dynamique qu'elle l'est actuellement dans tant de grandes villes partout au monde."

     

    http://www.cyberpresse.ca/chroniqueurs/marie-claude-lortie/201104/07/01-4387363-des-nouvelles-de-votre-vie-de-quartier.php

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