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  1. Consultation publique: Revitalisation du quartier Ste-Marie - PPU

     

    Présentation générale et période de questions

     

    Sujet de la présentation:

     

    ZONES D’INTERVENTION - Le pôle Frontenac, la rue Ontario, le secteur de la JTI-Macdonald et la gare de triage du CP

     

    Date: Mercredi, 11 mai 2011

    Heure: 19:00

    Lieu: Dom Polski - 1956 rue Frontenac

    Métro: Frontenac

     

    http://www.ocpm.qc.ca/ppu-ste-marie

  2. MONTRÉAL, le 6 mai 2011 /CNW Telbec/ - La ministre du Tourisme, madame Nicole Ménard, et la présidente du conseil d'administration de la Régie des installations olympiques (RIO), madame Maya Raic, ont annoncé aujourd'hui la formation d'un comité-conseil portant sur l'avenir des installations olympiques.

     

    Ce comité aura pour mandat de conseiller la RIO dans sa vision de développement du Parc olympique ainsi que dans l'établissement de ses orientations stratégiques et de son plan d'affaires. En plus, il conseillera la RIO dans le choix des priorités d'utilisations futures des équipements, dont le Stade lui-même, afin d'être en mesure de recommander au gouvernement les choix d'investissements appropriés, notamment en ce qui concerne le type de toiture à privilégier pour le Stade.

     

    « Je salue l'ouverture au dialogue, dont fait preuve la RIO dans le cadre de cette démarche, quant à l'avenir des installations olympiques. Notre gouvernement croit fermement au potentiel du Stade olympique et reconnaît l'importance du développement du quadrilatère du Parc olympique. C'est un important moteur de développement économique pour la région de Montréal », a ajouté la ministre Ménard.

     

    « Notre décision de constituer ce comité-conseil, afin de nous éclairer sur l'avenir des installations, illustre clairement que la RIO souhaite être à l'écoute des différents publics quant au développement de nos différents sites. Le comité-conseil alimentera notre réflexion dans l'élaboration d'une nouvelle vision d'avenir et des stratégies d'affaires les plus appropriées pour la Tour de Montréal, le Centre sportif, les espaces extérieurs ainsi que le Stade olympique », a indiqué Maya Raic, présidente du conseil d'administration de la RIO.

     

    Afin de mener à bien cet exercice, le conseil d'administration de la RIO a choisi de nommer madame Lise Bissonnette à la présidence de ce comité-conseil. Mme Bissonnette a toujours démontré un intérêt marqué pour Montréal et pour son développement, et fut nommée Grande Montréalaise, en 2009.

     

    « Le Parc olympique est plus qu'un équipement, que des installations. Il s'agit d'une institution nationale, qui appartient à tous les Québécois. Rien n'est simple, dans son histoire comme dans son devenir, mais nous avons l'obligation d'aider à le redéfinir comme bien collectif. Le comité-conseil s'y emploiera avec conviction et transparence », a déclaré Lise Bissonnette, présidente du comité-conseil.

     

    En plus de sa présidente, le comité est formé de neuf personnes dont les expertises variées sont complémentaires pour l'exécution de ce mandat. L'expertise pertinente de chacun d'eux se situe au chapitre des affaires, du tourisme, de l'urbanisme, du sport amateur et professionnel, du design urbain, de la gestion d'événements et de projets, du développement durable et de la connaissance de l'arrondissement Mercier-Hochelaga-Maisonneuve.

     

    « La carrière exceptionnelle de Mme Bissonnette, sa capacité d'analyse reconnue et ses réalisations, autant au Devoir qu'à Bibliothèque et Archives nationales du Québec, en font la personne idéale pour mener les consultations et pour assurer le leadership du comité », a ajouté la ministre Ménard.

     

    Le comité-conseil entreprendra ses travaux préparatoires incessamment. Au cours des prochains mois, Mme Bissonnette mènera des consultations dont les résultats seront présentés au comité-conseil, pour discussion. Le comité-conseil sera en mesure de déposer des orientations générales, à la RIO, en décembre 2011. Des travaux plus spécialisés se poursuivront en 2012.

     

    Les personnes et les groupes qui seront consultés par Mme Bissonnette seront bientôt identifiés. Ces consultations permettront d'analyser les besoins de la population et des clientèles actuelles et potentielles, en ce qui concerne l'exploitation de toutes les installations olympiques.

     

    « L'objectif final est de nous permettre de recommander, au gouvernement, les meilleurs choix d'orientations et d'investissements possibles pour nos installations patrimoniales », a conclu Mme Raic, présidente du conseil d'administration de la RIO.

     

     

    Fiche d'information

     

    Mandat du comité-conseil

    Conseiller la RIO dans sa vision de développement du Parc olympique ainsi que dans l'établissement de ses orientations stratégiques et de son plan d'affaires;

    Conseiller la RIO dans le choix des priorités d'utilisations futures des équipements, dont le Stade lui-même, afin d'être en mesure de recommander au gouvernement les choix d'investissements appropriés, notamment en ce qui concerne le type de toiture à privilégier pour le Stade.

     

    Les membres du comité-conseil

    Nom Fonction

    Mme Lise Bissonnette Présidente du comité-conseil

    M. Michel Archambault, Ph.D Professeur associé à l'École des sciences de la gestion de l'UQAM et

    titulaire de la Chaire de tourisme Transat

    M. Vincenzo Ciampi, MBA Cadre responsable des Relations nationales, Standard Life

    M. Michel Dallaire Président de Michel Dallaire Design Industriel inc.

    Mme Karine Lanoie-Brien Conceptrice, directrice de création et productrice

    M. Réal Ménard Maire de l'arrondissement Mercier-Hochalaga-Maisonneuve

    Mme Chantal Petitclerc Athlète paralympique

    M. Matthieu Proulx Avocat, chroniqueur sportif et ancien joueur des Alouettes de Montréal

    M. Paul Saint-Jacques Directeur à la coordination du Projet Turcot et ancien PDG du

    Palais des congrès de Montréal

    M. Walter Sieber Coordonnateur général pour la FIFA

     

    Renseignements:

    Sylvie Bastien

    Directrice des Communications

    Parc olympique

    514 252-4605 Gabriela Quiroz

    Attachée de presse

    Cabinet de la ministre du Tourisme

    418 528 8063

     

    http://communiques.gouv.qc.ca/gouvqc/communiques/ME/Mai2011/06/c2252.html

  3. KARIM BENESSAIEH

    La Presse

     

    Pour la première fois de son histoire, le Parc olympique sera au coeur d'une large consultation publique, dont le mandat se résume à une simple question: que fait-on avec ce site?

     

    «On veut que les gens se l'approprient, qu'il ait une âme, que ce ne soit pas seulement un ensemble de structures», a expliqué en point de presse cet après-midi Maya Raic, présidente du conseil d'administration de la Régie des installations olympiques. L'organisme a annoncé la mise sur pied d'un comité-conseil présidé par l'ex-journaliste Lise Bissonnette, qui sera entourée de neuf personnes «aux expériences aussi diverses que les vocations du site olympique», a-t-elle précisé. On y retrouve notamment le designer Michel Dallaire -BIXI, la torche olympique en 1976, notamment-, le maire de l'arrondissement Mercier-Hochelaga-Maisonneuve Réal Ménard, l'athlète paralympique Chantal Petitclerc et l'ex-joueur des Alouettes Mathieu Proulx.

     

    Le comité aura une première réunion «d'orientation» la semaine prochaine, et tiendra ensuite des consultations «intensives» dès l'automne prochain. Un rapport sur les orientations générales devrait être déposé à la fin de l'année au conseil d'administration. D'autres travaux plus spécialisés suivront en 2012.

     

    Accueillir les bonnes idées

     

    Des experts, des groupes et des citoyens auront d'ici là l'occasion de faire valoir leur vision du Parc olympique, «pour qu'il ne soit plus celui qu'on aime détester, mais qu'on aime aimer», dit Mme Raic.

     

    Tout est sur la table, a précisé Mme Bissonnette, qui assure que le comité n'entame pas ses travaux avec des idées préconçues -que ce soit sur le sempiternel débat du toit ou de la vocation même du Stade.

     

    Le but, c'est d'éclairer la RIO sur l'avenir de ces installations, alors que d'importants investissements sont annoncés dans les prochaines années pour l'entretien du site. On souhaite trouver des façons d'utiliser les installations de façon «optimale», dit Mme Raic.

     

    «Nous allons accueillir les bonnes idées, ajoute Lise Bissonnette. Nous mettons l'accent sur une consultation élargie, c'est la pièce de résistance. Il n'est pas question de seulement recevoir des mémoires que nous allons analyser dans notre coin. On veut que les participants soient actifs.»

     

    Le Parc olympique, insiste Mme Bissonnette, est «un magnifique espace, plus fréquenté que ce que l'on croit généralement». Elle y voit en outre un «projet inachevé» depuis 1976 que l'exercice de réflexion des prochains mois pourrait permettre de boucler.

     

    «C'est un défi ample que d'essayer de prévoir un avenir fructueux. Qu'est-ce qu'on fait? Est-ce qu'on laisse cette chose inachevée ou on continue? Je suis sûre qu'il y aura beaucoup de propositions, certaines farfelues, d'autres intéressantes.»

     

    Si l'exercice de réflexion sur le Parc olympique ne semble pas nouveau -de multiples comités se sont penchés sur son sort depuis trois décennies-, c'est la première fois que la population est invitée à y participer, a précisé Mme Bissonnette. «Aussi étonnant que cela puisse paraître, c'est la première fois que les citoyens seront consultés.»

     

    http://www.cyberpresse.ca/actualites/regional/montreal/201105/06/01-4396954-lavenir-du-parc-olympique-entre-les-mains-de-la-population.php?utm_categorieinterne=trafficdrivers&utm_contenuinterne=cyberpresse_B4_manchettes_231_accueil_POS1

  4. Following last year’s successful guided tours of the unique Pointe-du-Moulin and Silo #5, Heritage Montreal is proud to renew its partnership with the Canada Lands Company (CLC) in order to present a second edition of these hors-serie ArchitecTours. This encore presentation is a not-to-be-missed opportunity to discover one of Montreal’s most iconic industrial heritage landmarks.

     

    Silo no5

     

    Inaccessible and usually closed to the public, this site will be open for a special edition of our guided walking tours on the following Saturdays and Sundays. On each of these dates, the 10 AM, 11 AM and 1 PM visits will be in French and the 2:30 PM visits will be in English :

     

    Saturday and Sunday, June 4-5th

    Saturday and Sunday, June 11-12th

    Saturday and Sunday, June 18-19th

    Saturday and Sunday, July 9-10th

    Saturday and Sunday, July 16-17th.

     

    Visits will also be offered on the following Wednesday evenings (departure ar 5:30 pm): June 1st, 8th, 15th, and 22nd, as well as July 6th and 13th.

     

    Participants on the tour will explore one of the most imposing elements of Montreal’s industrial heritage, and will be guided by experienced volunteers who are passionate and knowledgeable about our city and its secrets. The tours will be held mainly outdoors but will also include access into the main floor of Grain Elevator B, where grains were at one time unloaded off trains and stored.

     

    To highlight Heritage Montreal’s exceptional work towards enhancing awareness of urban heritage, the CLC is collaborating with Heritage Montreal for this special ArchitecTour. For more information on CLC and on the Pointe-du-Moulin property, visit http://www.clc.ca and http://www.port-montreal.com.

     

    Conditions

     

    Rain or shine

    Tours are 90 minutes long

    Reservations are required, please contact us at 514-286-2662, ext. 22

    For safety reasons, participants must wear closed footwear; safety helmets will be distributed to participants on site.

    Children must be 12 years or older

     

    Rates

    Heritage Montreal Members $10

    Students/Seniors (65+) $12

    Adults $14

     

    For more details and for reservations, please contact us at (514) 286-2662, or architectours@heritagemontreal.org

  5. Accueil

    Dossier Urbain

    Scénarios d’aménagement

    Développement

     

    Situation Actuelle

    Analyse

    Diagnostic

     

    Dossier Urbain

     

    Cette première étape est très importante dans l’élaboration d’un projet urbain. Le Dossier Urbain est dressé de manière à mieux saisir les réalités touchant le site d’intervention. Ce dossier constitue une sorte de base de données qui servira de référence tout au long de l’élaboration du projet. Il est composé d’une série de mini-études concernant l’histoire du Quai de la Pointe-du-Moulin, les infrastructures patrimoniales, les perceptions à partir du site et sur le site, le traffic autoroutier et de transports en commun, les terrains contaminés et ainsi de suite.

     

    Situé tout près du centre des affaires de la Ville de Montréal le site présente pourtant des caractéristiques bien particulières! Allez les découvrir à travers les liens ci-haut!

     

    Firme Urbaine Z.

    WordPress.

    modifié pour le plaisir par Phil René

     

    http://firmez.ca/dossierurbain

     

    Vidéo sur youtube:

    http://www.youtube.com/watch?v=QTcrZkXisKg&feature=youtu.be&hd=1

     

    Site:

    http://firmez.ca/dossierurbain

  6. JENNIFER GUTHRIE

    MÉTRO

    Publié: 05 mai 2011 22:47

     

     

    Le nouveau Planétarium de Montréal, dont la construction doit débuter cet été, s’est allié aux artistes Michel Lemieux et Victor Pilon pour la conception et la réalisation de son premier spectacle immersif, qui doit être présenté au public à compter du début de 2013.

     

    Les deux complices, qui travaillent ensemble depuis 25 ans, ont promis, hier, une expérience hors du commun aux visiteurs du nouveau musée, qui doit ouvrir ses portes à la fin de l’année 2012 dans le Parc olympique.

     

    «Les planétariums manquent généralement de poésie, estime Michel Lemieux. Les gens qui créent les spectacles ont peur de se laisser aller. Ils nous offrent 30 se*condes de magie, puis tombent dans les explications.»

     

    MM. Lemieux et Pilon, qui ont précédemment conçu Delirium, du Cirque du Soleil, créé le spectacle La Route des étoiles pour le Cosmodôme, et mis en scène la version opéra de Starmania, ont promis d’éviter le piège du spectacle didactique.

     

    C’est donc assis sur des beanbags que les spectateurs plongeront dans l’immensité de l’univers, dans le premier des deux dômes que comptera le nouveau Planétarium. Le spectacle, d’une durée de 20 minutes, promet de les transporter vers les étoiles, le soleil et d’autres galaxies.

     

    «Les gens seront, au dé*part, sur un lac de la forêt laurentienne, la nuit, a expliqué Michel Lemieux. Ce qui sera projeté sur le dôme – qui aura 18 m de largeur et 12 m de hauteur – sera réfléchi sur le sol, ce qui créera un effet englobant, voire vertigineux. Au bout de quelques minutes, les gens s’envoleront dans les nuages, vers l’espace, au seul son de la musique.»

     

    Cette musique sera créée spécialement pour le Planétarium par l’un des collaborateurs de Lemieux Pilon 4D Art, dont le nom n’a pas été dévoilé.

     

    Les deux créateurs ont pu se permettre de créer ce «rêve d’enfance» grâce à la présence d’un second dôme qui, lui, sera consacré à un spectacle de 40 minutes con*sacré à la connaissance.

     

    «Nous allons commencer par émouvoir les spectateurs avant de leur expliquer, à l’aide d’un projecteur d’étoi*les et d’un animateur scientifique, le ciel d’aujourd’hui», a résumé Victor Pilon.

     

    Une exposition viendra compléter l’expérience des visiteurs, dont le nombre devrait tripler pour atteindre 300 000, selon les prévisions de Charles-Matieu Brunelle, directeur général de l’Espace pour la vie.

     

    «Michel Lemieux et Victor Pilon vont réécrire les standards des planétariums, a-t-il soutenu. Ils vont nous ouvrir un nouveau public, un public adulte.»

    Le nouveau Planétarium de Montréal, dont la construction doit débuter cet été, s’est allié aux artistes Michel Lemieux et Victor Pilon pour la conception et la réalisation de son premier spectacle immersif, qui doit être présenté au public à compter du début de 2013.

     

    Les deux complices, qui travaillent ensemble depuis 25 ans, ont promis, hier, une expérience hors du commun aux visiteurs du nouveau musée, qui doit ouvrir ses portes à la fin de l’année 2012 dans le Parc olympique.

     

    «Les planétariums manquent généralement de poésie, estime Michel Lemieux. Les gens qui créent les spectacles ont peur de se laisser aller. Ils nous offrent 30 se*condes de magie, puis tombent dans les explications.»

     

    MM. Lemieux et Pilon, qui ont précédemment conçu Delirium, du Cirque du Soleil, créé le spectacle La Route des étoiles pour le Cosmodôme, et mis en scène la version opéra de Starmania, ont promis d’éviter le piège du spectacle didactique.

     

    C’est donc assis sur des beanbags que les spectateurs plongeront dans l’immensité de l’univers, dans le premier des deux dômes que comptera le nouveau Planétarium. Le spectacle, d’une durée de 20 minutes, promet de les transporter vers les étoiles, le soleil et d’autres galaxies.

     

    «Les gens seront, au dé*part, sur un lac de la forêt laurentienne, la nuit, a expliqué Michel Lemieux. Ce qui sera projeté sur le dôme – qui aura 18 m de largeur et 12 m de hauteur – sera réfléchi sur le sol, ce qui créera un effet englobant, voire vertigineux. Au bout de quelques minutes, les gens s’envoleront dans les nuages, vers l’espace, au seul son de la musique.»

     

    Cette musique sera créée spécialement pour le Planétarium par l’un des collaborateurs de Lemieux Pilon 4D Art, dont le nom n’a pas été dévoilé.

     

    Les deux créateurs ont pu se permettre de créer ce «rêve d’enfance» grâce à la présence d’un second dôme qui, lui, sera consacré à un spectacle de 40 minutes con*sacré à la connaissance.

     

    «Nous allons commencer par émouvoir les spectateurs avant de leur expliquer, à l’aide d’un projecteur d’étoi*les et d’un animateur scientifique, le ciel d’aujourd’hui», a résumé Victor Pilon.

     

    Une exposition viendra compléter l’expérience des visiteurs, dont le nombre devrait tripler pour atteindre 300 000, selon les prévisions de Charles-Matieu Brunelle, directeur général de l’Espace pour la vie.

     

    «Michel Lemieux et Victor Pilon vont réécrire les standards des planétariums, a-t-il soutenu. Ils vont nous ouvrir un nouveau public, un public adulte.»

     

    http://www.journalmetro.com/linfo/article/852627--planetarium-de-montreal-voyager-la-tete-dans-les-etoiles

  7. Publié le 06 mai 2011 à 06h33 |

    Martin Croteau

    La Presse

     

     

    (Montréal) L'arrondissement de Ville-Marie veut revitaliser de fond en comble le secteur moribond de Sainte-Marie, situé à l'est du pont Jacques-Cartier. Et il mise sur une industrie qui connaît une effervescence insoupçonnée pour y parvenir: la culture.

     

    L'ancien quartier ouvrier, qui s'étend de part et d'autre de la rue Ontario, entre les rues Champlain et Lespérance, est moribond depuis des décennies. Locaux déserts, terrains vagues, commerces douteux, rien d'invitant pour les promoteurs immobiliers, les entreprises ou même les simples promeneurs.

     

    Le commerce sur rue vivote. Le quartier est l'un des moins densément peuplés du centre de Montréal. Pour survivre, les restaurants et les boutiques dépendent des travailleurs qui viennent le jour, une clientèle qui s'est érodée à mesure que les nombreuses usines fermaient, ces dernières années.

     

    «C'est un quartier qui a eu sa part de problèmes sociaux et d'abandon au fil des années, reconnaît Jean Perron, directeur de la Société d'investissement de Sainte-Marie, organisme à but non lucratif voué au développement économique. On n'a pas vu à ce quartier depuis des années et c'est en train de changer.»

     

     

    Un promoteur immobilier est en voie d'acquérir le centre commercial délabré qui se trouve à l'est du métro Frontenac pour y ériger un vaste immeuble commercial et résidentiel. Des dizaines d'entrepreneurs érigent des immeubles à condos. La Société d'habitation et de développement de Montréal (SHDM) planche sur un important projet sur un terrain industriel désaffecté de la rue Ontario.

     

    Sans tambour ni trompette, Sainte-Marie grouille d'activité commerciale. Le quartier est devenu un véritable pôle pour l'industrie culturelle.

     

    Des entreprises y ont afflué par dizaines au cours des dernières années, attirées par les loyers abordables, la proximité du centre-ville et de deux stations de métro, Frontenac et Papineau. D'anciens immeubles industriels ont été convertis pour aménager des studios, notamment l'immeuble Grover et celui qui abrite le Chat des artistes, rue Parthenais. La Ligue nationale d'improvisation (LNI) et l'École nationale de l'humour y ont établi leur siège social. On trouve aussi des théâtres comme le Lion d'Or et L'Espace Libre.

     

    Le Groupe MHM, qui comprend notamment les Éditions Hurtubise, s'est établi rue de Lorimier en 1997. À l'époque, les piqueries étaient légion et le bunker abandonné des Rock Machine se trouvait à quelques mètres de son siège social. Il y a deux ans, l'entreprise a jonglé avec l'idée de déménager, mais s'est ravisée.

     

    «Les employés aiment beaucoup l'endroit où l'on est, indique le directeur général, Arnaud Foulon. Et la proximité du centre-ville et du métro reste très attrayante pour une entreprise comme la nôtre. Il y a peu d'entreprises qui ont un entrepôt de plusieurs milliers de pieds carrés qui se situe tout près d'un métro.»

     

    Pas moins de 250 télédiffuseurs, stations de radio, éditeurs, artistes et autres studios d'enregistrement ont pignon sur rue à Sainte-Marie, pour un total 7500 employés. L'ébullition de l'industrie culturelle est devenue telle que l'arrondissement souhaite qu'elle serve de tremplin aux projets commerciaux et immobiliers.

     

    «Lorsqu'on parle de culture à Montréal, on pense souvent au Quartier des spectacles, dit Sylvain Villeneuve, responsable de l'aménagement urbain et des services aux entreprises à Ville-Marie. Mais ici, on parle d'un axe de culture émergente qui est avancé pour ce secteur.»

     

    L'arrondissement a récemment publié l'ébauche d'un Programme particulier d'urbanisme (PPU) qui dictera les grandes orientations du développement de Sainte-Marie dans les prochaines années. Il prévoit en outre investir 11 millions de dollars pour élargir les trottoirs, moderniser le mobilier urbain et aménager une place publique dans le stationnement à ciel ouvert situé en face de l'usine JTI MacDonald. On forcera aussi les propriétaires de la rue Ontario à tenir des commerces au rez-de-chaussée.

     

    Ville-Marie veut aussi attirer de nouvelles entreprises à vocation culturelle. Aucune mesure d'encouragement n'est prévue, mais l'arrondissement pourrait assouplir certaines exigences réglementaires pour les projets qui s'insèrent dans sa vision de développement.

     

    Attirer des résidants

     

    Et surtout, il mise sur la construction de 2000 nouveaux logements afin d'amener de nouveaux résidants dans le quartier.

     

    «La clé de la revitalisation, c'est qu'on peut faire des investissements dans le domaine public, souligne M. Villeneuve. Mais si l'on veut avoir une structure commerciale ou un développement culturel intéressant, il faut qu'il y ait des résidants qui s'établissent dans le secteur. L'accroissement de la population va faire en sorte qu'on va arriver à un achalandage plus grand au niveau des commerces.»

     

    Le Regroupement des commerçants de la rue Ontario a recensé 17 terrains et locaux commerciaux vacants ou abandonnés entre l'avenue Papineau et la rue Lespérance. Le directeur de l'organisme, Yves Bolduc, a bon espoir que l'adoption du PPU entraînera un essor commercial dans le quartier,

     

    «Il y a des investisseurs qui n'attendent que l'adoption du PPU pour venir s'établir dans le quartier, affirme M. Bolduc. En ce qui concerne la spéculation immobilière, c'est tombé mort au cours des deux dernières années, mais ça change.»

     

     

    http://lapresseaffaires.cyberpresse.ca/economie/immobilier/201105/06/01-4396710-secteur-sainte-marie-la-culture-au-coeur-du-renouveau-immobilier.php

  8. Published On Thu May 5 2011

    Jeanne Beker

    Contributing Editor

     

    MONTREAL

     

    The atmosphere was electric when elegant, beleaguered actor Michael Douglas appeared at New York Fashion Week with his beautiful wife, Catherine Zeta-Jones.

     

    The glamourous couple had come out to support their designer pal Michael Kors, whose 30th anniversary show was part of the February shows at Lincoln Center. Like many fans, I breathed a sigh of relief when I saw the 66-year-old actor, looking chic in his tailored cashmere. Last summer, Douglas had been diagnosed with Stage 4 throat cancer. We had all said our prayers.

     

    This week, in gratitude to the doctor and hospital that helped save his life, Douglas appeared at a gala benefit in Montreal for the McGill Head and Neck Cancer Fund. But he was flying solo: Zeta-Jones, who was recently diagnosed and treated for bipolar II disorder, was at work on a film in the United States. Their family has gone through some unspeakably tough trials, but it appears things are happily back on track. At the gala, the dapper Douglas posed for countless pictures and chatted with guests, adamant about spreading the word that cancer can be beaten and a positive attitude is key.

     

    Free of the disease for three months now, Douglas told the crowd that his cancer had gone undiagnosed by doctors in the U.S. While on vacation at his farm outside Mont Tremblant in 2010, Douglas sought a second opinion from Dr. Saul Frenkiel, a head and neck surgeon at Montreal’s Jewish General Hospital. The chilling news: Douglas had a walnut-sized tumour on the back of his tongue. It was malignant.

     

    Cancer is a frightening proposition for anyone, but imagine being an actor facing oral cancer. About 54 per cent of patients survive longer than five years, but there was a very real possibility that Douglas could lose his ability to speak properly, putting an end to his career.

     

    This dark dilemma hit especially close to home for me: In 2005, my talented guy, Toronto actor Barry Flatman, was also diagnosed with tongue cancer. Unlike Douglas, who took the radiation-and-chemotherapy route, Barry opted for surgery. He lost 20 per cent of his tongue, but miraculously, and with a couple of years of intense therapy, Barry’s speech is back to normal and he’s back to work. Last year, while shooting The Kennedys miniseries, he celebrated his fifth anniversary of being cancer-free. “After years of holding my breath in anticipation of the cancer returning, it’s really nice to be able to exhale,” says Flatman.

     

    At last night’s event, Douglas echoed the sentiment: “Cancer may leave your body, but it never leaves your mind.”

     

    The $375-a-ticket gala raised close to $1.7 million for head and neck cancer research. In a live auction, a golf date with Douglas and Zeta-Jones auctioned for a whopping $180,000. I chatted with the Academy Award-winner about the focus, courage and new-found priorities that have helped see him through this trying time.

     

    It’s something that resonates with me because my boyfriend, Barry Flatman, is an actor and he had oral cancer just over five years ago.

     

    Yeah, I mean, actors don’t really hear about tongue cancer.

     

    You had an incredible doctor taking care of you, who obviously spelled things out for you in a poignant way.

     

    That’s one of the biggest things that I think people are up against, knowing how to treat and being presented with choices when they are diagnosed with something of this nature.

     

    Was that even an easy decision to make?

     

    Unfortunately, because mine went so long before it was detected, I had what’s called Stage 4 cancer, which is the worst situation . . . Stage 4 below the neck is, like, not good, is usually life-threatening, so I didn’t have a lot of choices. Basically, it was a maximum amount of radiation — seven weeks — and chemo. And I said, “Let’s go.”

     

    Michael, how do you walk that fine line between fear and hope?

     

    One of the benefits of having a dive into it is that you don’t have a lot of time to think about it. You just keep your mind focused on your treatment and what you’re doing rather than letting it wander . . . My odds were pretty good, so I didn’t really get into a mortality issue (rather) than just taking care of this and this and getting this solved.

     

    I’m three months cancer-free now, as far as going in each month and checking it out, but I’m still reticent and reluctant and worried.

     

    Priorities have obviously changed phenomenally. I don’t know if that happens in an instant when you get the diagnosis, or you know, if it’s something that you sit with for a while and start reflecting on. How did it happen for you?

     

    Because I’m an actor (you know) you get fan mail your entire life. But all of a sudden, you get this mail from strangers who feel like they know you ’cause they’ve seen you for all these years in films, and they share their personal stories, some of them pretty tough stories, some of them positive and a lot of them with not happy endings. But there was a deep bond with family and as someone not having formal religious training, the amount of prayers and hope and support I got, brought me to a spiritual level that I’ve never had really experienced before.

     

    And family, I guess, helps to put it all together?

     

    Family helps but I’m the kind of. . . the frustrating part is that there’s nothing that they can really do, so I encourage everybody to get on with their lives and take care of business, and it worked out well. But the bond, the deepness of your love for your family and your friends really increased dramatically and I treat each moment I had with them much more than I did before.

     

    You are an incredible inspiration, always have been, and certainly continue to be. And we’re rooting for you.

     

    Thank you Jeanne, appreciate it.

     

    Jeanne Beker is a contributing editor to the Star and host of Fashion Television. Email jeanne@ctv.ca, follow her on Twitter (@jeanne_beker) and watch her on CTV and FashionTelevisionChannel.

     

    The good doctor

     

    Dr. Saul Frenkiel, a head and neck surgeon at Montreal’s Jewish General Hospital diagnosed actor Michael Douglas with Stage 4 throat cancer in 2010. Jeanne Beker spoke with Frenkiel Tuesday at a gala fundraiser for the McGill Head and Neck Cancer Fund. This is an edited version of that interview.

     

    What does it take to be a survivor in your book? I mean to really beat something like this?

     

    Really it takes courage, it takes perseverance, it takes a determination and it takes a real positive attitude, and I think for people with cancer this is a most important trait that needs to be achieved because you know, half the battle is in your mind and to stay positive is extremely important.

     

    Do you find that’s the case right off the bat or does it take a while to nurture that positivity and try to get over it?

     

    Yes, I think this is one of our jobs — as health professionals, as health providers, as people who treat cancer, that nurture people that have cancer — to instill that positive attitude, to never give up. Very important.

     

    So when Michael came to you, I mean, you really saved his life obviously, you were the one who knew right away what was going on.

     

    I’m not sure if I saved his life but certainly I helped him, moved him along the recovery path, the treatment path and that’s very important. Timely treatment is always important with cancer.

     

    But you were able diagnose something that the others seem to miss, that they couldn’t detect. How could you explain that? Was it just your experience?

     

    I don’t know. The presentation (of the tumour), I must admit, was subtle, it wasn’t obvious. It does take a bit of experience and know-how and being tuned in and aware of symptoms and possibly what to look for.

     

    Any cancer is a tough cancer I’m sure, but an actor depends on his voice for his speech. How did Michael take the news initially?

     

    Well, surprisingly accepting. I think he is a strong individual deep inside and this was important for his ongoing treatment and his recovery.

     

    What about families who pitch in and the kinds of bonds that become more enforced as treatment goes along? You must have seen some pretty incredible stuff unfold.

     

    You know, families do get together and support each other and certainly a support system for anyone with cancer is ruggedly important. And unfortunately, some people don’t have that support system and go on it alone, and they need us and paraprofessionals and allied professionals to help them on their pathway to recovery.

     

    Tonight’s event, obviously, is a wonderful way to bring people together, raise awareness, raise funds. Ultimately, is it one particular division of your work that you’re trying to raise funds and awareness for?

     

    Primarily, we’re raising funds for cancer research, Head and neck cancer research. I consider it an investment in the future for our generation, for future generations. It’s the only way that we’re going to find a cure. Doing research is tough. There are no eureka moments. It just doesn’t happen right away. It’s hard work; the discoveries are out there; and new treatments, protocols are out there and they’ve got to be worked on and this is why we raise funds that aren’t readily available in our health-care system.

     

    Well things are looking up. Nobody know what will happen to us at any time. But you’re pleased with Michael’s progress and what’s going on?

     

    Well, so far so good, and we’re so pleased for him and absolutely delighted that he’s doing so well.

     

    Jeanne Beker

     

    http://www.thestar.com/article/985888--beker-michael-douglas-turns-scary-diagnosis-into-cash-for-montreal-hospital

  9. Publié le 4 Mai 2011

    Philippe Boisvert

     

    Les résidents de l’est de Ville-Marie ont eu droit à une présentation préliminaire du plan particulier d’urbanisme (PPU) du Quartier Sainte-Marie, le mardi 3 mai.

     

    Près de 90 citoyens ont pris la peine de se déplacer à la salle Dom Polski afin d’assister à la séance, tenue par l’Office de consultation publique de Montréal (OCPM).

     

    Louis-Henri Bourque, conseiller en aménagement à la Ville de Montréal, a effectué une présentation d’une trentaine de minutes du PPU et des enjeux du secteur.

     

    Méconnu

    Le quartier Sainte-Marie est un secteur méconnu de Montréal. Environ 22 000 personnes y résident Ils sont répartis sur environ 12 000 logements.

     

    Pas moins de 82 % de ces résidents sont francophones et 84 % d’entre eux sont locataires. Le coût du loyer et le revenu moyen des familles y est moins élevé qu’ailleurs à Montréal.

     

    Le quartier possède plusieurs avantages, il est situé à courte distance du centre-ville, il est bien desservi par le transport en commun (stations de métro Papineau et Frontenac), on y compte des écoles et de nombreux parcs.

     

    On constate cependant que de nombreux terrains sont sous-utilisés. Plusieurs espaces de stationnement en surface auraient intérêt à être mis en valeur. D’anciens bâtiments abandonnés, comme la gare de triage du CP par exemple, devraient également être réutilisés à de nouvelles fins.

     

    En 1930, l’ouverture du pont Jacques-Cartier a permis au quartier Sainte-Marie de devenir l’une des portes d’entrée de Montréal. Le pont a permis aux gens de transiter par le secteur, mais a également enclavé et scindé le quartier.

     

    Aujourd’hui, on constate que la circulation y est difficile. Sur les rues, les automobiles, les autobus et les camions s’entremêlent. À cela s’ajoutent les cyclistes et les piétons, dont les espaces réservés sont insuffisants. Grosso modo, le partage de la route y est difficile. La priorité est actuellement accordée aux automobiles, au détriment des autres utilisateurs.

     

    Du côté de la rue Ontario, il y a un manque de verdure. Les trop nombreux terrains vagues cassent le potentiel commercial et piétonnier de l’artère.

     

    À terme, la Ville de Montréal croit que plus de 2000 nouveaux logements pourraient être construits dans le quartier, avec une meilleure utilisation des terrains et une densification accrue.

     

    Calendrier

    Voici le calendrier des audiences publiques du PPU du Quartier Sainte-Marie. Les citoyens peuvent assister à chacune de ces séances, présentées à la salle Dom Polski (en face du métro Frontenac).

     

    -3 mai, 19h : Présentation générale, questions des participants.

     

    -11 mai, 19h : Zones d’interventions : pôle Frontenac, la rue Ontario, secteur de la JTI-Macdonald et la gare du triage CP.

     

    -12 mai, 19h : Zones d’interventions : secteur Parthenais, les abords de la rue Notre-Dame, le métro Papineau, déplacements piétons et cyclistes sous le pont Jacques-Cartier et la notion d’entrée de ville, le secteur d’emploi.

     

    -26 mai : Date limite pour présentation orale ou dépôt de mémoire. Une inscription est nécessaire : ocpm.qc.ca/inscription

     

    -1er juin 19h : Séances d’audition des opinions.

     

    http://www.faubourgvillemarie.ca/Actualites/Vos-Nouvelles/2011-05-04/article-2477458/Le-potentiel-de-Sainte-Marie/1

  10. Écrit par Pascale Lévesque

    Mercredi, 04 mai 2011 18:37

     

    Pour ses 10 ans, ARTV se paie un studio en plein cœur de la Place-des-Arts et renforce ses échanges avec ARTE en Europe. Luc Langevin, qui ira tourner des épisodes de Comme par magie à Cannes durant le Festival de films, pourrait éventuellement voir son émission diffusée sur la chaine française.

     

    « On veut resserrer le lien avec ARTE », déclare d’emblée Sylvain Lafrance, grand patron de la SRC et aussi de ARTV par ricochet. Le passage en France de Luc Langevin pour l’enregistrement de Comme par magie est un premier pas concret. Grâce à ARTE, le magicien profitera de son passage à Cannes pour piéger des passants, mais aussi quelques vedettes.

     

    « Il ne sera pas sur le tapis rouge, indique toutefois Marie Côté la directrice générale d’ARTV. Il sera par contre présent dans des événements mondains. Des artistes vedettes européens ont été approchés pour participer », a-t-elle assuré lors de la conférence de presse sur les 10 ans de la chaine à la PDA.

     

    Trois émissions spéciales seront diffusées cet automne à ARTV, aussi sans doute en deuxième fenêtre à Radio-Canada et, souhaite Marie Côté, sur ARTE en France. Comme pourraient aussi être diffusés des concerts tournés ici, par exemple. L’avantage d’ARTE, tel que le fait voir Sylvain Lafrance, ce sont toutes ses plateformes, télé, radio et internet. « Notre entente pourrait être beaucoup plus large que les seules chaines télé. Imaginez une plateforme commune… », dit-il.

     

    Du même coup, ici, ARTV promet d’être encore plus présent sur le terrain avec son nouveau studio de télé. La chaine spécialisée à la mission culturelle « la seule au pays entièrement dédiée aux arts et à la culture », insiste Marie Côté, pourra dès septembre profiter d’un espace au cœur du Quartier des spectacles pour produire certaines émissions, organiser des expositions et autres événement en lien avec sa programmation. Tout comme celle de la PDA.

     

    On pourra y exposer des photos en lien avec des séries de la chaine, comme Viens voir les comédiens, ou des soirées thématiques de danse en lien avec Voulez-vous danser ?, format animé par Geneviève Guérard. Mettez-vous dans le « mood » chorégraphie Capoeira pour le 22 septembre et Bollywood pour le 20 octobre, afin de célébrer encore mieux le passage de la comédie musicale Bharati, il était une fois l’Inde, en spectacle à Wilfrid Peletier au même moment.

     

    L’utilité de l’ARTVstudio situé entre la salle Wilfrid Pelletier et la nouvelle salle de concert de l’OSM dans la PDA (ARTV a un bail de 5 ans avec la PDA), sera surtout télé. On l’utilisera, entre autres, pour le tournage des Rendez-vous ARTV, animé par Émilie Perreault et Pierre Landry, laquelle pourrait dans l’avenir se déployer au-delà des capsules et prendre encore plus de place à l’antenne grâce à ces nouvelles dispositions. Les deux journalistes culturels ne pourraient pas rêver de meilleur « spot » pour être en plein dans l’action de la culture à Montréal. Le studio servira aussi aux émissions spéciales d’avant et après gala des Gémeaux. C’est d’ailleurs le soir de la fête de la télé, le 18 septembre, qu’il sera inauguré.

     

    http://www.ruefrontenac.com/spectacles/tv/37159-artv-10-ans-place-des-arts-studio

  11. Montréal, le 3 mai 2011 – La Place des Arts est heureuse d’accueillir ARTV dans l’Espace culturel Georges-Émile-Lapalme qui installera, dès septembre, un studio dans lequel la chaîne spécialisée offrira des prestations artistiques en direct, des expositions, ateliers, entrevues, conférences et autres activités. L’ARTVstudio sera inauguré le 18 septembre prochain et il sera situé entre la Salle Wilfrid-Pelletier et la nouvelle salle de concert.

     

    « La présence de la chaîne de télévision dans nos espaces intérieurs s’inscrit dans la volonté de la Place des Arts de faire de l’Espace culturel Georges-Émile-Lapalme une plateforme dynamique, moderne et accueillante qui offre une façon différente de vivre la culture », a déclaré la présidente-directrice générale de la Place des Arts, Marie Lavigne, lors de la conférence de presse pendant laquelle ARTV a dévoilé les activités entourant son dixième anniversaire.

     

    Cette nouvelle association est le fruit d’un partenariat de longue date développé entre les deux organismes. Pour la Place des Arts, il était donc naturel qu’ARTV trouve, dans son tout nouvel Espace culturel, un espace propice pour ajouter — à sa présence en ondes auprès de la grande francophonie — un tel lieu de rassemblement artistique accessible à tous par son emplacement, où le public d’ici pourra participer en très grand nombre.

     

    Par une présence permanente à la Place des Arts, ARTV y trouvera une proximité de tous les jours avec ses téléspectateurs, mais aussi, avec les nombreux créateurs qui gravitent autant à la Place des Arts que dans les salles de spectacles et institutions culturelles du Quartier des spectacles. C’est donc avec un réel enthousiasme que la Place des Arts accueille la venue de l’ARTVstudio qui démontre la volonté de la chaîne de télévision d’être encore plus présente et plus active dans l’animation culturelle à Montréal.

     

    Véritable carrefour au cœur de Montréal, la Place des Arts est le plus grand complexe culturel au pays. Elle offre, chaque année, environ 1000 spectacles en salle, en plus d’accueillir tous les grands festivals et événements culturels et d’être le lieu de résidence de grandes institutions culturelles en musique, danse, opéra et théâtre.

     

    Source :

    Denise Melillo, directrice

    Direction des relations publiques et du développement

    Société de la Place des Arts de Montréal

    T : 514 285.4535

    dmelillo@pda.qc.ca

    laplacedesarts.com

    http://www.pda.qc.ca/medias/communique/artv.fr.html

     

     

    IMAGES: Voir ARTVstudio dans les Albums

  12. By HENRY AUBIN, The Gazette May 3, 2011 It hasn't generated many headlines, but arguably the most important news so far this spring for the Montreal metropolitan area is a proposal to limit sprawl. Finally.

     

    The Communauté métropolitaine de Montréal, the umbrella planning organization for Montreal Island and its suburbs, presented the proposal last week - six years after Quebec law had originally required it to do so. It represents a good step forward - at least on paper.

     

    The proposed plan has the potential for slowing the march of housing subdivisions ever farther from the island. That march, dependent on cars, helps explain why greenhouse-gas emissions from vehicles in the metropolitan area have rocketed by about 30 per cent since 1990, the CMM calculates. The trend has also weakened the island's tax base and gobbled much of Quebec's best farmland.

     

    The proposal assumes that over the next 20 years the metropolitan area will grow by 530,000 people - and that they will require 320,000 new dwellings and innumerable new workplaces. Where to build all this? The CMM offers attractive ideas.

     

    - First, the proposal says where not to build. It notes that the amount of land under cultivation in the metropolitan area declined by six per cent between 2000 and 2006, partly because of changing the zoning of land from agricultural to residential or commercial. The CMM wants the pendulum to swing the other way: It seeks a six-per-cent increase in cultivated land by 2021. Impressive.

     

    - The CMM wants develop-ment limited to areas that are already developed (the socalled "zone blanche"). These areas contain pockets of empty land, on which there could be infill construction, as well as built-up land, which could be redeveloped. Exceptions could be made in some cases, but this general rule would be in place for five years.

     

    - The proposal calls for un-precedented rules for "densifying" neighbourhoods. New construction on the West Island and in Laval would have to contain at least 30 dwellings per hectare; on the North Shore and South Shore the minimum would vary between 16 and 27, depending on the locality. Such "intensification targets" are becoming common across in North America. They enable public transit to serve more neighbourhoods.

     

    - Nowhere would these targets be more important than near train stations, bus routes and future métro stations (Longueuil is seeking seven new stations on the yellow line). Forty per cent of all new housing would be within walking distance of such transit spots.

     

    All this is progress. Still, if the Quebec government is truly serious about reaching its laudable goal of cutting the province's greenhousegas emissions by 20 per cent from 1990 levels by 2020, the plan needs to go farther. One wonders why, for example, only 40 per cent of new development needs to be handy to transit.

     

    As well, it's fine to insist on denser development among the CMM's 82 member municipalities. But that leaves many fast-growing communities just outside the CMM's borders in a state of laissez-faire. Developers would be able to hurdle over protected farmland and build outside the CMM's borders - leapfrog sprawl. Quebec needs to set tougher rules on such places as St. Jérôme, St. Hyacinthe, St. Jean-sur-Richelieu, Joliette, Tracy and Rigaud.

     

    But the immediate challenge is to get the CMM to adopt this proposal. The sprawl-addicted off-island suburbs have enough votes at the CMM to block passage. South Shore mayors want unspecified adjustments. Their North Shore counterparts are more vociferous. They walked out of the CMM meeting at which the plan was presented.

     

    The initiative for this plan comes from the Quebec government, which demands that the CMM enact a sprawlcurbing policy by Dec. 31. If it wants a policy that is meaningful, the Charest government might have to go where politicians have long feared to tread - and knock heads among mayors on the politically powerful off-island.

     

    Addictions can be hard to break.

     

    haubin@montrealgazette.com

     

    Read more: http://www.montrealgazette.com/news/Finally+serious+proposal+limit+sprawl+around+Montreal/4715081/story.html#ixzz1LIinF6ix'>http://www.montrealgazette.com/news/Finally+serious+proposal+limit+sprawl+around+Montreal/4715081/story.html#ixzz1LIinF6ix

     

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  13. Appels d’offres

    VILLE DE MONTRÉAL

     

    Service du développement et des opérations

    Des soumissions sont demandées et devront être reçues, avant 14 h à la date ci-dessous, à la Direction du greffe de la Ville de Montréal à l'attention du greffier, 275 rue Notre-Dame Est, bureau R-134, Montréal H2Y 1C6, pour:

     

    Catégorie : Travaux

    Appel d’offres: 1148

    Descriptif: Construction de chaussée d'asphalte rigide, de trottoirs architecturaux finis au jet de sable ou d’eau, mise en place de bordures, de marches, de dalles de granite et de blocs de calcaire pour le réaménagement géométrique de la rue Sherbrooke et de l'avenue du Musée. ─ Arrondissement : Ville-Marie.

    Date d’ouverture: 18 mai 2011

    Dépôt de garantie : 10 % du montant soumissionné (cautionnement)

    Renseignements : Pour de plus amples renseignements, veuillez nous envoyer un courriel à l’adresse suivante : appelsdoffres.infos.dtp@ville.montreal.qc.ca

     

    Documents :

    Les documents relatifs à cet appel d’offres seront disponibles à compter du 2 mai 2011.

    Les personnes et les entreprises intéressées par ce contrat peuvent se procurer les documents de soumission en s’adressant au Service électronique d’appels d’offres (SEAO) en communiquant avec un des représentants par téléphone au 1 866 669-7326 ou au 514 856-6600, ou en consultant le site Web http://www.seao.ca. Les documents peuvent être obtenus au coût établi par le SEAO.

    Chaque soumission doit être placée dans une enveloppe cachetée et portant l’identification fournie en annexe du document d’appel d’offres.

    Pour être considérée, toute soumission doit être présentée sur les formulaires spécialement préparés à cette fin.

    Les soumissions reçues seront ouvertes publiquement dans les locaux de la Direction du Greffe à l'hôtel de ville, immédiatement après l'expiration du délai fixé pour leur réception.

    La Ville de Montréal ne s'engage à accepter ni la plus basse ni aucune des soumissions reçues et n'assume aucune obligation de quelque nature que ce soit envers le ou les soumissionnaires.

    Montréal, le 2 mai 2011.

    Le greffier de la Ville

    Me Yves Saindon

    Journaux de publication: X Le Devoir; __ La Presse; __ Le Journal de Montréal; __ The Gazette

    __ autre: (spécifiez)

     

    http://applicatif.ville.montreal.qc.ca/som-fr/pdf_offres/pdfof4324.pdf

  14. Quand j’ai visité le bureau des ventes hier, ils étaient en train de vendre leur 12e unité pour la phase 1. Ça me semble bien pour la première journée...Il y a 78 unités par phase, alors plus de 15% vendus.

     

    La Phase 1 est sur la rue Parthenais, directement en face de Square Cartier (nord-sud) alors beaucoup de lumière pour ceux qui choisissent des unités en arrière qui donnent sur la rue Laforce (avec vue du Pont).

  15. Éric Forest et la présidence de l'UMQ - Le monde municipal est appelé à devenir un moteur du développement «Québec doit nous considérer comme un partenaire et non pas démontrer une attitude féodale à notre endroit»

    Réginald Harvey 30 avril 2011

    http://www.ledevoir.com/politique/villes-et-regions/322213/eric-forest-et-la-presidence-de-l-umq-le-monde-municipal-est-appele-a-devenir-un-moteur-du-developpement

     

    À la source de la qualité de vie - «Les municipalités se doivent d'être un peu plus interventionnistes»

    Pierre Vallée 30 avril 2011

    http://www.ledevoir.com/politique/villes-et-regions/322212/a-la-source-de-la-qualite-de-vie-les-municipalites-se-doivent-d-etre-un-peu-plus-interventionnistes

    Les jeunes et la politique municipale - «La ville de demain et de l'avenir appartient aux jeunes»

    Pierre Vallée 30 avril 2011

    http://www.ledevoir.com/politique/villes-et-regions/322211/les-jeunes-et-la-politique-municipale-la-ville-de-demain-et-de-l-avenir-appartient-aux-jeunes

     

    Urbanisme - «Le gouvernement doit nous voir davantage comme un partenaire»

    Réginald Harvey 30 avril 2011

    http://www.ledevoir.com/politique/villes-et-regions/322210/urbanisme-le-gouvernement-doit-nous-voir-davantage-comme-un-partenaire

     

    Sommet sur le milieu municipal - «Les municipalités ont maintenant un rôle économique à jouer»

    Pierre Vallée 30 avril 2011

    http://www.ledevoir.com/politique/villes-et-regions/322209/sommet-sur-le-milieu-municipal-les-municipalites-ont-maintenant-un-role-economique-a-jouer

     

    Municipalité citoyenne - Ils étaient quatorze...

    «On a tous les mêmes préoccupations»

    Réginald Harvey 30 avril 2011

    http://www.ledevoir.com/politique/villes-et-regions/322206/municipalite-citoyenne-ils-etaient-quatorze

     

    La ville de demain sera verte, rassembleuse et accessible

    Réginald Harvey 30 avril 2011

    http://www.ledevoir.com/politique/villes-et-regions/322207/la-ville-de-demain-sera-verte-rassembleuse-et-accessible

     

    La ville de demain - Les citoyens sont des «partenaires» des villes

    Il y a «changement des attentes des gens envers leurs élus locaux»

    Réginald Harvey 30 avril 2011

    http://www.ledevoir.com/politique/villes-et-regions/322205/la-ville-de-demain-les-citoyens-sont-des-partenaires-des-villes

     

    Le Chambéry - La Ville de Blainville dépose son approche du développement résidentiel

    «Le consommateur saura d'emblée dans quel cadre de vie il se retrouvera»

    Pierre Vallée 30 avril 2011

    http://www.ledevoir.com/politique/villes-et-regions/322204/le-chambery-la-ville-de-blainville-depose-son-approche-du-developpement-residentiel

  16. Le Devoir

    Normand Thériault

    30 avril 2011

     

    Un projet de loi redéfinirait le rôle des villes Les élus municipaux agissent. À un sommet comme à des assises, ils se rencontrent, comme s'il y avait aussi temps libre hors des soirées des assemblées de conseil. Et pendant ce temps, leurs concitoyens s'occupent, leur laissant la responsabilité entière de cette «chose» aux appellations multiples que le mot municipalité recouvre. Connaissons-nous la vie municipale?

     

    Votre ville, vous connaissez? Vérifions. Et pour ce faire, quelques questions. Et pour une première: comment s'appelle dans le langage municipal le lieu où vous vivez? Un quartier, un arrondissement, une agglomération, une circonscription ou autre chose? Et la personne qui vous représente siège-t-elle à un conseil, à une assemblée ou à un autre organisme au nom moins usuel? Et qui est-elle au fait, cette personne qui vous représente? Un ou une édile, un échevin ou un conseiller? Et ainsi de suite.

     

    Répondre à de telles questions ne sera pas facile pour plusieurs, d'autant plus que certains d'entre eux sont aussi propriétaires d'une résidence secondaire où, là encore, ils ont droit de vote. Savent-ils s'il y a plus d'un parti présent sur leur scène municipale (ou paroissiale, car certaines villes ont gardé l'appellation de leur charte, à savoir une paroisse) et s'il y a division au conseil? Et même, sauraient-ils toujours appeler leur maire par son nom de famille?

     

    Et une fois franchi le portail démocratique d'entrée, on peut poursuivre l'enquête et discourir sur le pouvoir accordé aux villes. On sait qu'elles taxent, qu'elles ont la possibilité d'imposer des amendes de toutes sortes (le stationnement étant souvent le plus connu de ces fléaux), mais pour le reste, pour la majorité d'entre nous, une fois les vidanges ramassées, l'hiver les rues déblayées, on se demande bien ce que ces élus municipaux trouvent pour avoir matière à délibération lors de leurs rencontres (mensuelles? hebdomadaires? trimestrielles? ou...?).

     

    Sommet

    En ces temps d'enquête, quand toute la classe politique vit une période troublée, et que plus d'un citoyen affirme sa désaffection face à la chose politique, indépendamment du palier de pouvoir, et cela de la commission scolaire au sénat, s'il y avait une réflexion à faire, elle porterait presque sur la santé mentale de ceux et celles qui s'embarquent dans une telle galère. Et ce d'autant plus que les revenus que l'on peut tirer d'une telle activité sont souvent bas, et sans espérance d'une bonification à la retraite ou d'une compensation pour ce temps donné à qui les interroge ou les questionne sur la pratique municipale.

     

    Et comme si l'activité dans l'arène municipale ne suffisait pas à l'échelle locale, voilà que plus d'un et d'une de ces élus ont trouvé moyen de «sacrifier» un samedi pour se rendre à Boucherville afin de répondre à une demande de l'«union» qui les regroupe, celle des municipalités.

     

    Car il y avait sommet, une première dans le monde municipal, ce 19 mars dernier, et son thème avait une allure de slogan: s'investir, innover, agir. Et dans la salle se trouvaient élus et gestionnaires municipaux, agents socioéconomiques, représentants syndicaux, membres et personnel de commissions scolaires ou d'autres organismes et, comme à une assemblée du conseil, des citoyens. Et le ministre des Affaires municipales avait trouvé la chose suffisamment importante pour trouver moyen lui aussi de se rendre sur cette rive sud de l'agglomération montréalaise.

     

    Pouvoir

    Les villes se questionnent. D'une part, elles ont à réagir face à la vague de «scandales» qui les touche, au point que le président de l'UMQ a déjà fait une sortie publique pour rappeler qu'il ne faut pas étendre à toute une classe politique un jugement qui ne vaut, quand il y aura preuve, que pour qui s'avérera s'être mal conduit. Mais il y a aussi urgence car un projet de loi est déposé là où, si l'objectif déclaré concerne l'aménagement du territoire québécois, il aura, au moment de son application, plus d'une répercussion dans la gestion.

     

    Et là, on parlera du pouvoir très limité des villes pour assurer une augmentation de leurs ressources financières (et le citoyen en vous trouvera bien où appeler si le compte de taxes fait un bond trop brutal).

     

    Au quotidien, la municipalité, indépendamment de l'appellation qui la désigne, est le premier lieu de vie. Elle est refuge, lieu qui console ou désespère, et souvent l'endroit de tous les services qui ne sont pas liés au lieu de travail (et là, encore...). Aussi, du nid-de-poule à la bibliothèque, elle nous fait vivre des hauts et des bas.

     

    Malgré tout cela, combien d'entre nous considèrent toujours l'élu municipal comme un gestionnaire mineur, qui souvent est anonyme, comme le sont aussi les élus du monde scolaire ou de la santé? Et qui, en fait, une fois au moins dans sa vie, a eu le courage de se déplacer pour voir comment fonctionne l'appareil municipal?

     

    Pour plusieurs, être un bon citoyen se limite souvent à savoir à quel moment on doit mettre à la rue les résidus de toute nature. Pour le reste, récriminations et complaintes feraient bon ménage. Et si l'on vote à des élections concernant les paliers «supérieurs», qui le fait aux quatre ans, quand novembre revient?

     

    http://www.ledevoir.com/politique/villes-et-regions/322214/citoyens-municipaux-a-vos-devoirs

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