Aller au contenu
publicité

IluvMTL

Membre
  • Compteur de contenus

    13 160
  • Inscription

  • Dernière visite

  • Jours gagnés

    21

Messages posté(e)s par IluvMTL

  1. 14 juin 2011 - Oeuvres d'art public pour la nouvelle salle de concert

     

     

    Future salle de concert de Montréal

     

    La ministre Christine St-Pierre dévoile le nom des artistes retenus pour la conception des deux œuvres d’art public

     

    Montréal, le 14 juin 2011– La ministre de la Culture, des Communications et de la Condition féminine, Mme Christine St-Pierre, est heureuse de dévoiler le nom des artistes retenus pour la conception des deux œuvres d’art public pour la future salle de concert de Montréal. Il s’agit de Dominique Blain et du groupe BGL art contemporain de Québec.

     

    « Témoins durables de la vitalité culturelle d’une ville et de la créativité des artistes québécois, les œuvres d’art public améliorent le cadre de vie des citoyennes et des citoyens en leur facilitant l’accès aux arts. Les mélomanes en visite à la future salle de concert sauront, sans aucun doute, apprécier ces œuvres uniques qui enrichiront avec perfection le lieu », a déclaré la ministre St-Pierre.

     

    Dominique Blain créera Mouvements, une œuvre qui souhaite marquer la présence émotionnelle de la musique. Installée dans la fenêtre en saillie sur la rue Saint-Urbain, elle pourra être vue de l’intérieur et de l’extérieur. Des goujons de bois et de métal suspendus prendront la forme d’instruments de musique et des sources lumineuses émaneront de l’installation. Ainsi, cette œuvre immense et lumineuse changera selon les points de vue, l’heure du jour et les saisons.

     

    Pour sa part, le groupe BGL art contemporain de Québec signera une œuvre intitulée C’est sûrement des Québécois qui ont fait ça. Les artistes Jasmin Bilodeau, Sébastien Giguère et Nicolas Laverdière, qui forment le groupe BGL depuis 1996, réaliseront un hybride entre la sculpture et l’art luminaire. Leur installation composée de matériaux étincelants a comme objectif de reproduire les ondes sonores.

     

    Ces œuvres sont réalisées dans le contexte de la Politique d’intégration des arts à l’architecture et à l’environnement des bâtiments et des sites gouvernementaux et publics qui réserve un pourcentage du budget de construction ou d’agrandissement d’un bâtiment ou d’un site public à la réalisation d’œuvres d’art conçues spécifiquement pour ce lieu. Le choix des œuvres a été fait par un comité composé notamment de représentants du Ministère, du partenaire privé GIO (Groupe immobilier Ovation), de la Place des Arts, de l'OSM, de la firme d’architectes, ainsi que d’experts en arts visuels, et ce, conformément à la procédure en vigueur.

     

    Rappelons que le ministère de la Culture, des Communications et de la Condition féminine célèbre son 50e anniversaire cette année. Plusieurs activités sont prévues en collaboration avec les sociétés d’État sous sa responsabilité. L’inauguration de la salle de concert de Montréal sera d’ailleurs un moment fort de ces célébrations. La programmation complète est présentée au http://www.revolutiontranquille.gouv.qc.ca.

     

     

    Source : Valérie Rodrigue

    Attachée de presse

    Cabinet de la ministre de la Culture,

    des Communications et de la Condition féminine

    418 380-2310

    Information : Annie LeGruiec

    Responsable des relations avec les médias

    Ministère de la Culture, des Communications et de la Condition féminine

    418 380-2363, poste 7371

     

     

     

    ŒUVRE DE BGL :

     

    C'est sûrement des Québécois qui ont fait ça

     

    Vortex006.jpg

     

    Œuvre pour le piano nobile de l’Adresse symphonique

     

    La vastitude de l’espace disponible dans le piano nobile nous offre l’occasion de « flirter » avec le monumental et d’occuper l’espace à l’aide de sculptures suspendues. Nous proposons trois créations inédites pour offrir une expérience immersive, un moment privilégié, où, à l’instar de la musique, on peut être happé par une émotion agréable et intense.

     

    Notre œuvre, issue d’une série d’intuitions, est une sorte d’hybride entre la sculpture et le luminaire, qui s’inspire des vortex. Elle tente de rendre visible le son en superposant une série d’anneaux concentriques qui dessinent dans l’espace le mouvement oscillatoire des ondes sonores. Ce travail de décomposition de la forme confère à l’œuvre une silhouette légère et un caractère aérien qui sied parfaitement à l’architecture.

     

    Ces objets dynamiques offrent deux lectures distinctes, celles des formes intérieures et extérieures de l’œuvre. La vue intérieure offre une expérience visuelle vertigineuse puisqu’en se déplaçant sous elle ou devant, les anneaux s’alignent progressivement jusqu’à l’apparition surprenante d’un grand vortex. Pour l’extérieur de l’œuvre, que l’on observe en montant les escaliers ou en se déplaçant sur la mezzanine, la juxtaposition des plans provoque un effet visuel stroboscopique qui accentue l’aspect vibratoire de ces constructions. C’est à ce moment que l’on découvre un détail technique important : le système de suspension. Alors qu’il est normalement caché ou purement utilitaire, il génère ici du sens et de la poésie en s’inspirant des pièces mécaniques de divers instruments à cordes, à vent et à percussion. L’œuvre passe ainsi du sculptural au musical, ces objets vibrants deviennent vivants.

     

    Nous croyons que le défi d’intégrer une œuvre à son environnement génère souvent des stratégies techniques et plastiques innovatrices qui enrichissent l’art et contribuent à la vitalité de la société.

     

     

    ŒUVRE DE DOMINIQUE BLAIN :

     

    Mouvements

     

     

    Blain-maquette.jpg

     

    L’œuvre proposée se situe dans l’espace interstitiel et se dessine dans les neuf baies de l’oriel. Dans cet espace de verre, des goujons de bois et de métal sont suspendus horizontalement à hauteur variée. Ces goujons, aux couleurs de bois, de laiton, d’acier et de chrome, symbolisent différents instruments de l’orchestre : pianos, violons, bois, cuivres, percussions.

     

    Cachée à l’intérieur des goujons de bois, des sources lumineuses composées de lampes (DELéclairent les goujons situés à proximité. Ces goujons métalliques sont des tubes dans lesquels sont insérées des tiges d’acrylique satiné. Ces tiges d’acrylique translucide servent à transporter la lumière des lampes insérées dans les tubes. L’effet lumineux apporte une brillance à la matière et ponctue la composition.

     

    Le système d’accrochage est une trame verticale qui se déploie sur toute la largeur de l’oriel. Des fils, attachés au support prévu (rail Unistrut), sont à la fois des câbles de suspension et des fils électriques. Faits de cuivre étamé, les fils sont placés à équidistance pour former une grille où les goujons sont ancrés.La disposition des goujons lumineux crée un mouvement qui s’harmonise avec la volumétrie de l’oriel.

     

    C’est à partir de ces « instruments » de bois, de laiton et d’acier qu’émane la lumière, soit par projection ou par réflexion. Cette lumière joue sur la matière et compose dans l’espace, telle une partition, une œuvre qui change selon les points de vue, l’heure du jour et les saisons.

     

    http://www.laplacedesarts.com/medias/communique/art-public.fr.html

  2. Intéressant, un sorte de carillon éolien (ou l'idée de...).

     

    Voivi une photo de 24 heures:

     

    20110614-163957-g.jpg

     

    Mouvement, de Dominique Blain, est une œuvre faite de goujons de bois et de métal suspendus qui prendront la forme d’instruments de musique. Elle sera visible de la rue Saint-Urbain et changera selon les points de vue, l’heure du jour et les saisons.

     

    Du côté de BGL, composé de Jasmin Bilodeau, Sébastien Giguère et Nicolas Laverdière, l’œuvre C’est sûrement des Québécois qui ont fait ça a pour objectif de reproduire les ondes sonores grâce à des sculptures suspendus de couleur chrome, cuivre et doré.

  3. I think the city expects the businesses along Clark (St-Laurent) to renovate & open up onto Esplanade Clark (à la Maison du Jazz).

     

    As you saw from the picture, there is quite a lot of work for them to do and will require quite an investment, but the rewards could make it worth it. If cafés, bars, clubs and restaurants open, they stand to gain, but this phase of the QDS project (along with the skating rink) is only supposed to be completed in 2012, so I don't expect these private owners to invest any money untill they can be sure of the rewards. Maybe they will wait to see if the city will offer grants to pay for part of the work.

     

    I suppose a brand new project encompassing the whole block is another option, but I can already hear the protests about saving the Main...

  4. Architect predicts ‘calm and enclosing’ space during tour of unfinished interior

    BY ARTHUR KAPTAINIS, GAZETTE MUSIC CRITIC JUNE 14, 2011 11:02 PM

     

    4946993.bin?size=620x400

     

    Acoustic designer Tateo Nakajima of Artec surveys the concert hall Tuesday.

     

    Visit montrealgazette.com/photos for more scenes from the venue-in-progress.

    Photograph by: John Mahoney, THE GAZETTE

     

    MONTREAL - The province opened the doors of Montreal’s long-awaited concert hall on Tuesday and the sound was horrendous. Buzz saws, sanders and the incessant hammering of hard-hat workers created a din above which chief architect Jack Diamond could scarcely be heard.

     

    “We’ll work like hell to get that done,” Diamond said of the mock organ piping that will function as a vivid sculpture above the stage. (The Casavant instrument will not be installed before 2013.)

     

    Everyone appeared to be working like heck to ready Quebec’s poshest public-private partnership for its opening on Sept. 7 by the MSO under Kent Nagano.

     

    According to Étienne Lavoie-Gagnon of SNC-Lavalin, the maze of cables that will support acoustic reflectors above the stage – used to adapt this fundamentally symphonic hall for chamber and pop performances – constituted the biggest engineering challenge.

     

    “You don’t see all that,” he said of the mechanism above the ceiling, “but it was very complicated.”

     

    From the perspective of the concrete and still-seatless floor, the interior looks larger than its maximum capacity of 2,100 listeners would suggest. Nearby Salle Wilfrid Pelletier of Place des Arts accommodates a shade under 3,000.

     

    There are three balconies, each with relatively minimal overhang – one of many acoustic considerations. The top gallery looks steep, but Diamond says that even high-altitude customers will enjoy excellent sightlines.

     

    “It’s a democratic hall,” the Torontonian said. “There are no good or bad seats.”

     

    Tateo Nakajima, managing partner of Artec, the New York firm hired by Quebec as an acoustical overlord of the project, predicts differences in audio perception between sections but cautions that precise forecasts are impossible.

     

    “I suppose I should say that I know exactly what it will sound like, but I don’t,” he said.

     

    Still, every measure – starting from the modified shoebox design – has been taken to optimize the sonic environment. The stage width of 18 metres has been chosen with musicians in mind. The interior rests on rubber insulation. Fear no rumble from the nearby métro.

     

    Like all modern concert halls, this one lacks the angels, cherubs and other ornaments that disperse sound in the classic rooms of Europe. That is why the planks of Quebec beech that panel the walls are alternately rough and polished. A few white strips of scalloped plaster stand out in subtle relief.

     

    “The physics of sound doesn’t change,” Diamond explained. “So you need to reflect sound in different ways.”

     

    One revelation of the visit is that there will be a pit that can accommodate a mid-size orchestra. Semi-staged opera might be an option.

     

    Construction has gone better than expected, Diamond said. The architect was particularly proud of the dramatic glass wall along the east side of the structure, a departure from the masonry stipulated by the province.

     

    Before the visit, Quebec Culture Minister Christine St-Pierre announced that two abstract hanging sculptures, an array of horizontal tubes and a vortex of circles, would adorn the lobby areas. Their combined cost is $350,000.

     

    St-Pierre said the name of the hall is still under consideration. A corporate donation in exchange for naming rights is out of the question.

     

    While it was hard for visitors to have an opinion of the unfinished interior, Diamond predicts a “calm and enclosing” space.

     

    “You should come into the room and feel comfortable, not distracted by crazy moves of the architecture.”

     

    Where will he sit on opening night?

     

    “Anywhere they put me,” he said. “If I can get a seat.”

     

    akaptainis@sympatico.ca

     

    © Copyright © The Montreal Gazette

     

     

    Read more: http://www.montrealgazette.com/Work+concert+hall+reaches+swift+tempo/4946988/story.html#ixzz1PJOiAG81

  5. Merci pour cette nouvelle, Gregbx!

     

    Ils disent que certains travaux (surtout l’extérieur) sont en retard et seront complétés vers la fin de l'automne.

     

    Tu as raison pour l'orgue. J'ai jamais vu un comme cela.

     

    http://www.globalmontreal.com/video/index.html?releasePID=PUPEggilhA69orofNOw50hiRiChQ QeN2

     

    Bonjour,

     

    Un reportage sur global. On y voit notamment une image du design de l'orgue casavant qui y sera installé plus tard. Je vous posterai demain une photo de bonne qualité de l'orgue, le design est assez ''flyé''!

     

    http://www.globalmontreal.com/Concert+hall+construction+hits+speedy+tempo/4944322/story.html

  6. Jeudi, 9 juin 2011

    LE QUARTIER SAINTE-MARIE

     

    La politique québécoise

    par Martin Lemay, député Sainte-Marie-Saint-Jacques

    Photo : Ville de Montréal

     

    b56d1f973379ed4_file.jpg

     

     

    En parlant de la Russie, Churchill affirmait qu’elle était « un rébus enveloppé de mystère à l’intérieur d’une énigme ». Je pourrais dire la même chose du quartier Sainte-Marie, situé à l’est de l’arrondissement.

     

    En effet, malgré ses qualités et son potentiel indéniable ; malgré un marché immobilier vigoureux depuis la fin des années 1990, ce quartier n’arrive tout simplement pas à prendre son envol. En un mot, il a très mal vieilli. Pourtant, je ne le dirai jamais assez, ce quartier possède tous les atouts et, de ce fait, il devrait être en mesure d’attirer autant les investisseurs que les familles. Or, ce n’est pas le cas. D’abord, Sainte-Marie est un endroit où il fait bon vivre, un quartier calme et paisible et ce, contrairement à son image d’un secteur suspect, que l’on préfère éviter sinon pour se diriger vers le pont Jacques-Cartier aussi vite que possible.

     

    C’est un quartier stratégique parce qu’il est situé au cœur de la ville, à proximité de tout ce qui bouge; parce que, grâce à la présence d’un réseau complexe de grands axes routiers, les déplacements y sont facilités; parce que nous avons à quelques mètres de notre porte une offre de transport en commun unique; parce que les familles ont accès à tout un réseau scolaire, du primaire à l’université; parce que notre territoire est parsemé de nombreux terrains susceptibles d’être mis en valeur; parce que la vie de quartier y est très riche grâce aux nombreuses associations communautaires; parce que le moindre déplacement nous rappelle que nous avons la chance de posséder une longue et grandiose histoire; parce que, enfin, il n’y a pas de secteur comme celui de Sainte-Marie qui ne puisse compter sur la présence d’une institution culturelle de grande qualité.

     

    Or, malgré ces atouts indéniables, notre quartier tarde à remonter la pente. Pourquoi? C’est la réponse à la fameuse énigme. Je salue donc l’initiative de l’arrondissement Ville-Marie qui a déposé un Programme Particulier d’Urbanisme, communément appelé un PPU – Quartier Sainte-Marie, qui propose des solutions pour affronter les différents problèmes de ce quartier. Fruit d’une collaboration entre plusieurs intervenants, ce document, bien qu’intéressant sous certains aspects, est toutefois décevant, car il peine à déterminer des priorités claires. D’une part, il est muet concernant les raisons des difficultés de développement du quartier comme son enclavement ou la très lourde contamination des sols et, d’autre part, il insiste très peu sur le potentiel de développement proprement unique, un potentiel de 2000 logements, d’un territoire situé à quelques pas du centre-ville.

     

    L’Office de consultation publique de Montréal a procédé à des consultations publiques concernant ce PPU de l’arrondissement. J’ai soumis une analyse et le lecteur intéressé pourra en prendre connaissance en cliquant sur le lien http://www.ocpm.qc.ca/ppu-ste-marie

     

    MARTIN LEMAY

     

    http://www.lametropole.com/blog/martin-lemay/le-quartier-sainte-marie

  7. logo_fr.png

     

    CADRE STRATÉGIQUE

    Présentation

    Vision et valeurs

    Contexte économique

    Défis

    Objectifs

    Piliers

    Leviers et outils

    Partenaires

     

    ESPACES DE COLLABORATION

    Présentation

    Créativité et innovation

    Grappes

    Culture

    Design

    Mode

    Talent

     

    AFFAIRES

    Présentation

    Soutien à l'investissement

    Entrepreneuriat

    Économie sociale

    Zones d'emplois

    Commerce

    Mobilité

    Rayonnement

     

    INNOVATION URBAINE

    Présentation

    Grands projets

    Montréal Technopole

    Quartier des spectacles

    Havre de Montréal

    Espace pour la vie

     

    THÈMES

    • Centre-ville
    • Créativité
    • Culture
    • Design
    • Développement durable
    • Entrepreneuriat
    • Grands projets
    • Grappes
    • Innovation
    • International
    • Milieux de vie
    • SavoirTourismeTransport

     

    CENTRE-VILLE

    Pour compléter la Stratégie de développement économique, un plan d’action spécifique sera déployé pour le Centre de Montréal. Il est présentement en élaboration et sera dévoilé ultérieurement.

     

    EST DE MONTRÉAL

    Pour compléter la Stratégie de développement économique, un plan d’action spécifique sera déployé pour l'Est de Montréal. Il est présentement en élaboration et sera dévoilé ultérieurement

     

    http://www.sdemontreal.com/fr

  8. HQ Shuts Down Homefront Studio

    By Toby McCasker - Tue Jun 14, 2011 9:27am -

     

    It’s official: troubled publisher THQ have closed down New York-based Homefront developer Kaos Studios as well as its UK arm, Digital Warrington (formerly known as Juice Games). Although THQ have not released any figures indicating how many studio employees are now former employees, this move doesn’t come as a massive surprise. Despite shipping in excess of 2.6 million units, Homefront tanked with mixed reviews and investors subsequently jumping ship over said mixed reviews.

     

    "THQ confirmed today that it has made a strategic realignment within its internal studio structure and is in the process of closing two locations: the company’s UK studio and Kaos studio in New York," reads publisher's statement.

     

    THQ aren’t ready to give up entirely on the Homefront IP, however. They are now moving it to their own Montreal studio which they founded last year with Assassin’s Creed creative director Patrice Desilets at the head. Presumably THQ Montreal now be charged with producing a blistering follow-up to justify the amount of Homefront pre-franchising already in place, in addition to creating even more new intellectual property for the publisher. Wonder if they get overtime.

  9. Écrit par Jean-François Codère

    Lundi, 13 juin 2011 19:06

    Mise à jour le Lundi, 13 juin 2011 19:09

     

    Le centre-ville de Montréal pourrait être équipé, d'ici un an, d'un réseau sans fil gratuit, ont laissé entendre lundi matin des dirigeants de la Ville de Montréal.

    La coordination de ce projet a été confiée à TechnoMontréal, a-t-on laissé filtrer dans le cadre du dévoilement de la stratégie de développement économique de Montréal 2012-2017.

    Chez TechnoMontréal, une porte-parole a confirmé que le projet était en branle et qu'un appel d'offres était actuellement en cours.

    Le plan d'affaires précis du projet n'a pas encore été déterminé. L'objectif serait d'offrir un accès Internet gratuit dans une zone couvrant le centre-ville « classique », soit environ un quadrilatère formé des rues Sherbrooke, Amherst, St-Antoine et Atwater.

     

    http://www.ruefrontenac.com/affaires/180-techno/38417-reaseau-sans-fil-montreal

  10. «La compétition entre les villes n’est plus basée sur les infrastructures, elle s’appuie maintenant sur les créateurs, a expliqué lundi le maire de Montréal, Gérald Tremblay, lors du dévoilement de la Stratégie de développement économique 2011-2017 de la métropole.

     

    EN CHIFFRES

    30G$

    La Ville de Montréal estime qu’environ 30G$ seront investis dans la métropole au cours des six prochaines années. Ils proviendront autant d’investisseurs publics et privés, selon elle.

     

    MARIE-EVE SHAFFER

    MÉTRO

    Publié: 13 juin 2011 16:38

     

    L’administration de Gérald Tremblay injectera 3,5 G$ dans l’économie montréalaise d’ici 2017. Elle veut ainsi que la métropole rivalise davantage avec les grandes villes du monde qui attirent les investisseurs et la main d’œuvre de talent.

     

    «La compétition entre les villes n’est plus basée sur les infrastructures, elle s’appuie maintenant sur les créateurs, a expliqué lundi le maire de Montréal, Gérald Tremblay, lors du dévoilement de la Stratégie de développement économique 2011-2017 de la métropole.

     

    L’argent dégagé par la Ville servira entre autres à venir en aide aux entrepreneurs qui ont un projet précis pour la métropole et qui pourraient être réalisé en marge des grandes initiatives économiques qui sont déjà connus (Montréal Technopole, le Quartier des spectacles, le Havre de Montréal et l’Espace pour la ville).

     

    «Cette stratégie s’inscrit dans la continuité de ce qui a déjà été annoncé, a expliqué le responsable du développement économique à la Ville de Montréal, Richard Deschamps. On a tendance à penser que les projets naissent et n’ont besoin d’aucun accompagnement. En matière de développement économique, c’est faux.»

     

    Pour favoriser la réalisation de projets originaux, la Ville veut aussi soutenir davantage le milieu des affaires et encourager les échanges entre tous les intervenants de la métropole. «Montréal doit devenir un laboratoire d’innovation», a dit M. Deschamps.

     

    La stratégie de développement économique comprendra deux plans d’action qui seront dévoilés sous peu. L’un visera le centre-ville et l’autre, l’Est de Montréal.

     

    Un centre-ville branché sur le Wi-Fi

    Montréal veut que son centre-ville, entre la rue Amherst et l’avenue Atwater, soit branché à un réseau Wi-Fi de quatrième génération.

     

    Un plan d’affaire, qui devrait être déposé cet automne, est en cours d’élaboration, a indiqué la Ville lundi.

     

    En octobre 2012, une importante conférence internationale des télécommunications aura lieu dans la métropole. La Ville souhaite que le Quartier des spectacles et le Palais des Congrès soient branchés au moment de la conférence.

    Réduire la circulation sur la rue Notre-Dame

    La Ville de Montréal et le ministère des Transports évaluent présentement une proposition qu’a formulé le Port de Montréal afin que les camions des marchandises aient un accès direct à ses installations, a rapporté le maire de Montréal.

     

    Le projet serait de relier l’avenue Souligny et le boulevard L’Assomption au port, ce qui éviterait à 2000 camions de marchandises d’emprunter à chaque jour la rue Notre-Dame.

     

    «Au lieu d’attendre que le projet de la rue Notre-Dame [soit ficelé], nous cherchons une façon de détourner les camions qui viennent à Montréal de cette rue», a dit M. Tremblay.

     

    http://www.journalmetro.com/linfo/article/888306--montreal-injectera-3-5-g-dans-son-economie-d-ici-2017

  11. Montreal Grand Prix 2011: Time to look to the future of racing

    By WALTER BUCHIGNANI, The Gazette June 11, 2011 10:44 AM

     

    Maybe it's not such a nutty idea after all.

     

    At least, the European Union doesn't think so. Nor does the Fédération internationale de l'automobile, the governing body of Formula One.

     

    That's right - the two bodies have joined forces to push for an F1-style championship for electric cars to be held on Grand Prix circuits around the world.

     

    The concept might sound familiar to readers of this column.

     

    It was exactly a year ago, during the Canadian Grand Prix weekend, that the thought hit me as I watched a museum collection of vintage F1 cars take to the track at Circuit Gilles Villeneuve.

     

    They were there again Friday: icons like Ferrari, Lotus, Brabham, Tyrrell, Shadow, March and Williams - two dozen in all, resurrected from the 1970s and '80s.

     

    These gleaming, exquisite machines were being put through their paces by their driver-owners in preparation for what's called the Historic Grand Prix, one of the support races ahead of Sunday's main event.

     

    And once again, what a treat - especially to watch the No. 2 Ferrari 312T5 once raced by the legend after whom our island track is named.

     

    A year later, though, this drive though memory lane raises the same question: If we're going to celebrate the different eras of F1, why stop at the past and present?

     

    Why not also the future?

     

    Hence my suggestion last year for a new kind of support race, one featuring vehicles powered by an alternative energy source.

     

    "Imagine: the world's first alternative-energy car race to be held on an official F1 track as part of Grand Prix weekend - sanctioned by the FIA."

     

    Makes sense, no? Well, not everyone thinks so, I was quick to discover as my inbox began to fill up with email calling me naive - and worse.

     

    A greener Grand Prix? "Not very likely in the near future," said one letter published in The Gazette.

     

    "As a longtime F1 enthusiast, I can attest that the main fan allures have always been the ear-splitting noise, the noxious fumes and the burning rubber," said the letterwriter from Kirkland.

     

    Fine. But let's be fair. I never suggested F1 should ditch the internal-combustion engine toute suite. I merely raised the idea of providing a peek into the possible future of F1.

     

    I still maintain that such a support race would draw larger crowds than, say, the Ferrari Challenge that plays to mostly empty grandstands year after year.

     

    Who knows - it might even attract non-racing fans to Île Notre Dame, not to mention celebrity spectators from the world of politics and entertainment.

     

    But we're getting ahead of ourselves.

     

    Or are we? I must admit I felt more than a twinge of vindication when I spotted the following Financial Times headline in April:

     

    "EU seeks F1 buzz for electric Grand Prix."

     

    The London Telegraph matched the story the next day:

     

    "FIA president Jean Todt and EU commissioner keen to set up new electric Formula One Championship."

     

    So there. The Times story began: "The European Commission has asked Formula One's governing body to set up a racing championship series for electric cars, as a way of increasing public awareness and excitement about newtechnology vehicles."

     

    The FIA, according to the report, "was working with commissioners to create new electric car, go-kart and single-seater racing categories, raising the prospect of an F1style electric car championship on Grand Prix circuits."

     

    Not that the news came as a total surprise.

     

    To his credit, Todt - the former team boss at Ferrari - has been pushing new car technologies since he was named head of the FIA in October 2009, taking over from Max Mosley.

     

    His vision: use the global reach of F1 to generate enthusiasm for green energy not only on race tracks, but especially on our streets and highways.

     

    "I feel sometimes the motorsport community has not yet completely understood that the times are changing," Todt told Reuters in October.

     

    "If you are looking at what is happening at the Paris mo-tor show, there are a lot of electric, hybrid, hydrogen cars and I really feel that racing must be a display for all those technologies."

     

    Trouble is, motor racing has always been more about improving performance than efficiency. So it's been a tough sell for Todt, who did not make the trip to Montreal this weekend.

     

    True, F1 teams have embraced kinetic energy recovery systems this year. But that's the point: The hybrid devices aren't a drag on performance; they give drivers an extra boost of power at the push of a button.

     

    On the other hand, a plan to reduce the size of F1 engines in 2013 - from the current 2.4-litre V8s to four-cylinder, 1.6-litre turbocharged units - has been met with more resistance.

     

    F1 ringleader Bernie Ecclestone called the proposed change "a joke", saying the smaller power plants won't sound the same to racing fans who equate screaming engines with the cello.

     

    Never mind that the proposed switchover is part of a bigger goal to reduce F1 fuel consumption by 35 per cent.

     

    At first, Todt insisted the new engine rules were set in stone. Last week, though, the FIA left the door open to a delay in the face of mounting concerns about the cost of such a drastic overhaul.

     

    In the meantime, a new category of Grand Prix racing featuring electric cars might be just the ticket to foster excitement for a move toward greener technology.

     

    Coincidentally - or not - Todt says he'd like to see the energy-friendly series up and running as early as 2013.

     

    Now why didn't I think of that.

     

    walterb@ montrealgazette.com

     

    Read more: http://www.montrealgazette.com/technology/Montreal+Grand+Prix+2011+Time+look+future+racing/4929995/story.html#ixzz1Ozdz9nrK

     

    http://www.montrealgazette.com/opinion/reader-comments/Montreal+Grand+Prix+2011+Time+look+future+racing/4929995/story.html

  12. Place à l’intérieur !

     

    Semaine du 6 juin

     

    Les murs du bâtiment doivent recouvrir les structures d’ici la fin de semaine. Le premier et le deuxième étage seulement doivent être recouvert. Une grande étape est aussi bientôt terminée, 80% de la couverture du toit a été réalisée.

     

    Les prochaines consisteront à s’occuper de l’intérieur. Pose du filage intérieur, de la ventilation ou des ascenseurs. Un travail interne qui reste à suivre.

     

    DSCN0673-1024x768.jpg

     

    DSCN0676-1024x768.jpg

     

    DSCN0674-1024x768.jpg

     

    http://www.le2-22.com/?p=1881

  13. 2011-06-07 13:11 par: Geneviève Vézina-Montplaisir

     

    Certains la trouvent belle. On dit que la qualité de vie y est exceptionnelle. Des artistes de tous horizons l’ont adoptée comme terrain de jeu. On y parle le français, l’anglais aussi. Mais qu’est-ce qui fait que Montréal est la ville stimulante que l’on connaît? C’est à cette question que l’écrivaine et journaliste Marie-Andrée Lamontagne et ses collaborateurs Caroline Montpetit, Nicolas Mavrikakis, Daniel Canty, Odile Tremblay, Guylaine Massoutre et Ian McGillis, pour ne nommer que ceux-là, ont tenté de répondre dans le livre-magazine Montréal la créative. À travers une trentaine de textes – une nouvelle de Catherine Mavrikakis en prime –, ils tentent de cerner la personnalité de la métropole la plus cool du pays en présentant ses facettes culturelles, linguistiques, ses clichés, tout en se questionnant sur son futur. Entrevue avec celle qui a dirigé cet intéressant ouvrage.

     

     

    Livre Montréal la créative

     

    Les artistes sont mis à l’avant-plan dans ce recueil de textes. Est-ce vraiment eux qui façonnent la personnalité de Montréal ?

    C’est évident que se sont les artistes montréalais qui font la culture de la ville. C’était donc naturel de les mettre à l’avant-plan et d’adopter l’angle d’approche : Montréal à travers ses créateurs. La carte culturelle est jouée très fortement dans la métropole, et il y a aussi une volonté politique de mettre la culture à l’avant-plan.

     

    Est-ce que Montréal serait l'eldorado des artistes?

    En Amérique du Nord, Montréal est une ville très intéressante pour les artistes, car la vie est moins chère qu’ailleurs, et qu’ici, ils se font moins mettre de bâtons dans les roues. Plusieurs artistes internationaux rayonnent depuis Montréal. Toutefois, Montréal n’est pas parfaite, et la partie n’y est pas gagnée d’avance pour les artistes. Mais Montréal est un milieu propice aux arts et aux artistes.

     

    Est-ce que selon vous, et selon les observations de vos collaborateurs, le grand potentiel de la ville attend encore d’être réalisé ?

    Les choses se mettent tranquillement en place, mais comme le dit Jean-François Chassay, romancier et essayiste, dans le premier texte du recueil, Le génie du lieu, les choses mettent du temps à arriver à Montréal. Comme par exemple la salle de concert de l’Orchestre symphonique, qui a mis 30 ans à se concrétiser. Le poète et essayiste Joël Des Rosiers, lui, parle d’occasions ratées de briller par l’architecture. Montréal est assez pragmatique, peut-être à cause de la saga du Stade. À Montréal, on cherche le consensus, on est assez timide. Mais je suis très confiante face à l’avenir, car Montréal n’a pas les problèmes des grandes villes, comme la concentration démographique, la flambée de l’immobilier et la pollution.

     

    En quelques mots, comment pourriez-vous résumer la spécificité de Montréal?

    Ce qui fait la personnalité de Montréal, c’est que c’est une grande ville à échelle humaine. Elle est conviviale et imprévue, tout en possédant un riche côté culturel. On peut y expérimenter la vie de quartier d’un village, mais sans sa promiscuité. Le revers de cela, c’est que cela crée des micro-milieux : le micro-milieu de la danse, du théâtre. Heureusement, le côté cosmopolite reprend le dessus et de nouvelles générations de créateurs sont toujours là pour lui donner un nouveau souffle.

     

    Montréal la créative | Éditions Autrement (Paris) en coédition avec Héliotrope(Montréal)

    editionsheliotrope.com

     

    http://www.nightlife.ca/arts-culture/montreal-la-creative-un-recueil-de-textes-tente-de-cerner-la-specificite-de-la-ville

  14. "Voici un instantané de la création à Montréal, en ce début du XXIe siècle, à travers les multiples disciples où s’illustre la créativité montréalaise. Cet ouvrage éclaire la contribution que cette ville, dans une perspective résolument nord-américaine, apporte à la notion de l’art pour tous formulée en son temps par Antoine Vitez." Montréal, la créative établi un portrait, un "instantané" du dynamisme du milieu culturel et de la créativité artistique à Montréal en 2011.

     

    Montréal La créative, est paru aux éditions Héliotrope au Québec et aux éditions Autrement en France ce 1er juin. Le livre est disponible dans toutes les bonnes librairies !

     

    L’ouvrage est écrit à plusieurs mains comme autant de portes d’entrée pour débattre. On y lira des textes de Caroline Montpetit, Nicolas Mavrikakis, Daniel Canty, Odile Tremblay, Guylaine Massoutre, Ian Mc Gillis, Martin Winckler, Catherine Mavrikakis et bien sûr Marie-Andrée Lamontagne, coordinatrice et auteur principal de ce livre.

     

    Le Consulat général de France à Québec est heureux de soutenir ce projet de co-édition franco-québécoise dans le cadre de la 63e commission de coopération franco-québécoise, en collaboration avec le ministère des relations internationales du Québec et la Délégation générale du Québec à Paris.

     

    Nous espérons que sa lecture permettra d’inspirer et mieux informer nos artistes français sur le tissu culturel local.

     

    https://www.facebook.com/notes/consulat-g%C3%A9n%C3%A9ral-de-france-%C3%A0-qu%C3%A9bec/montr%C3%A9al-la-cr%C3%A9ative/10150203206189568?ref=nf

  15. 255647_10150203047267663_199419882662_7166712_7196544_a.jpg

     

     

    Les circonstances qui président à la création d’une ville et façonnent son destin tiennent autant de l’histoire que de la géographie. Mais à quelles causes attribuer par la suite son aura, l’art de vivre qu’on y pratique, en un mot sa personnalité ? Sur la planète globalisée, Montréal apparaît comme la ville de toutes les proximités. Ville française à bonne distance de Paris, métropole nord-américaine à un jet de pierre de New York, Montréal offre le visage d'une ville tour à tour vibrante, imprévue, aléatoire, conviviale, où créer et vivre peuvent être stimulants. Qu'est-ce qui fait la spécificité de cette ville et la rend si attachante ?

     

    Voici un instantané de la création à Montréal, en ce début du XXIe siècle, à travers les multiples disciples où s'illustre la créativité montréalaise. Cet ouvrage éclaire la contribution que cette ville, dans une perspective résolument nord-américaine, apporte à la notion de l'art pour tous formulée en son temps par Antoine Vitez. Il donne aussi à voir et à rêver. Nombreux sont les visiteurs de passage à Montréal qui n'en sont plus repartis. Montréal attire, Montréal retient. Vous laisserez-vous tenter ?

     

    Principaux collaborateurs : Caroline Montpetit, Nicolas Mavrikakis, Daniel Canty, Odile Tremblay, Guylaine Massoutre, Ian Mc Gillis, Martin Winckler, Catherine Mavrikakis.

     

    Photographes et illustrateurs : Dominique Lafond, Roger Lemoyne, Patrice Lamoureux, Gérard Dubois, Thierry Labrosse, Marie-Reine Mattera, Bérangère Ferrand.

     

    http://www.editionsheliotrope.com/librairie/32/montreal_la_creative

×
×
  • Créer...