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  1. Merci pour le lien, mais il mène vers une page 404 en ce moment. Une recherche sur le site de la ville ne trouve rien.

    As tu une version que tu pourrais téléverser (Uploader) sur mtlurb?

     

    Ca fonctionne pour moi, sinon je vais essayer autrement ou par un'autre lien.

     

    http://ville.montreal.qc.ca/pls/portal/docs/PAGE/ARR_VM_FR/MEDIA/DOCUMENTS/PPU_DES_GRANDS_JARDINS.PDF

  2. Table des matières

     

    1 INTRODUCTION

     

    1.1 Présentation de la démarche

    1.2 Cohésion avec les politiques de la Ville de Montréal

     

    2 CONTEXTE D’INTERVENTION

     

    2.1 Territoire d’application

    2.2 Historique

    2.3 Profil sociodémographique

    2.4 Diagnostic et enjeux

     

    3 CADRE D’AMÉNAGEMENT

     

    3.1 La mise en valeur du patrimoine

    3.1.1 Protéger et mettre en valeur le caractère patrimonial des grandes institutions du quartier

    3.1.2 Révéler et mettre en valeur les paysages urbains exceptionnels du quartier

    3.1.3 Préserver les bâtiments d’intérêt patrimonial

    3.2 La qualité des milieux de vie

    3.2.1 Améliorer l’offre d’espaces verts en misant sur l’accès public aux grands jardins institutionnels

    3.2.2 Consolider le caractère résidentiel du quartier en améliorant la qualité de l’habitat et des services communautaires

    3.2.3 Implanter une stratégie locale de développement durable

    3.3 L Le dynamisme économique

    3.3.1 Promouvoir la revitalisation de la rue Sainte-Catherine Ouest

    3.3.2 Soutenir le développement des activités du campus de l’Université Concordia et des autres institutions du quartier

    3.4 Planification détaillée : le secteur Cabot

     

    4 MISE EN OEUVRE DU PPU

     

    4.1 I Interventions relatives au domaine public planifiées dans le cadre du PPU

    4.2 Paramètres réglementaires

    4.3 R Règlement sur les plans d’implantation et d’intégration architecturale (PIIA )

    4.4 Partenariats et ententes

    4.5 Programme d’amélioration des logements

     

     

    Pour consulter le document de 58 pages

     

    http://ville.montreal.qc.ca/pls/portal/docs/PAGE/ARR_VM_FR/MEDIA/DOCUMENTS/PPU_DES_GRANDS_JARDINS.PDF

  3. Are you sure that it isn't a student project? I didn't know that Buddha Bar was still that popular.

     

    If this is a serious project being studied by the Ville-Marie borough, I agree with others who think this design would be much better suited to the QDS and will most probably encounter some oppostion in the west end, especially being on Sherbrooke St and facing Mont-Royal (a great address and views for the new owners).

     

    Isn't it across the street from the Grand Séminaire with it's Martello towers? Do buildings in that vicinity have added restrictions? The city will be holding discussions for the PPU for this area, Quartier des Grands Jardins. Maybe there is a clue in their 58 page doc. I haven't read it yet, but yesterday I added it to the Conseil d'Arrondissement Ville-Marie thread in the RESSOURCES section.

  4. Les faits saillants du comité exécutif du 9 février 2011

     

    Montréal, le 10 février 2011 - Le président du comité exécutif et maire de Montréal, M. Gérald Tremblay, présente un compte rendu des principales décisions prises par le comité exécutif (CE) lors de la séance du mercredi 9 février 2011.

     

    Quartier Bonaventure

     

    Le Quartier Bonaventure vise à aménager une nouvelle entrée de ville prestigieuse et distinctive ainsi qu'à créer un quartier bien vivant et doté d'espaces verts. Les élus ont approuvé les dossiers suivants, qui s'inscrivent dans la réalisation de ce projet d'envergure:

     

    • la création d'un Bureau de projet mixte où collaboreront la Ville et la Société du Havre de Montréal (SHM) afin de réaliser les travaux de la phase 1 du projet Quartier Bonaventure. Ce bureau permettra à la SHM de compléter les mandats de plans et devis que lui a déjà accordés la Ville. Celle-ci prendra la relève pour la suite des opérations, y compris la validation des plans et devis, la tenue des appels d'offres, l'adjudication des contrats et la surveillance des travaux. De plus, la SHM fournira au sein du bureau de projet mixte une expertise professionnelle notamment en matière de gestion de projet, d'ingénierie et d'aménagement urbain.

     

    La Ville versera annuellement à la SHM des honoraires professionnels maximaux de 750 000 $ quant aux services qu'elle rendra au sein du bureau de projet. De plus, la Ville lui versera en 2011 une contribution financière de 500 000 $ afin qu'elle puisse s'acquitter des aspects de sa mission qui ne concernent pas Bonaventure.

     

    • une dernière tranche de 4,65 M$ (avant taxes), qui s'ajoute à l'avance de 5 M$ déjà consentie en 2008, pour couvrir les honoraires professionnels relatifs à la préparation des plans et devis définitifs pour le réaménagement de l'autoroute Bonaventure entre les rues Brennan et Saint-Jacques. Les coûts totaux de 9,65 M$ en honoraires professionnels (avant taxes) seront absorbés à même le budget d'immobilisation actuel de 141,7 M$, qui demeure inchangé.

     

    Ces dossiers doivent être entérinés par le conseil d'agglomération.

     

    Sécurité

     

    Le Biodôme accueille en moyenne 800 000 visiteurs par année. Les services de sécurité sont essentiels afin d'assurer la sécurité du public et des employés. Le CE a donc approuvé :

     

    • un contrat de 754 762 $ à la firme Garda pour la fourniture d'un service de sécurité au Biodôme de Montréal pour une période de 12 mois (assorti de 2 options de prolongation). Quatre soumissions ont été analysées pour ce nouveau contrat et c'est Garda qui a obtenu le plus haut pointage. Cette décision doit être entérinée par le conseil municipal.

     

     

    Sports et loisirs

     

    • Les membres du CE ont aussi autorisé une contribution financière maximale de 1 278 720 $ à Tennis Canada - Stade Jarry pour le projet d'amélioration du Centre national d'entraînement de tennis. Ils ont également approuvé le protocole d'entente établissant les modalités et les conditions du versement de ce soutien financier. Rappelons que ce projet consiste à aménager de nouveaux espaces pour l'entraînement des athlètes de haut niveau, dont quatre courts de tennis de terre battue utilisables toute l'année. Les nouvelles installations bénéficieront à la population montréalaise, en plus de contribuer à la renommée de Montréal, à titre de ville sportive par excellence. Cette décision doit être entérinée par le conseil d'agglomération.

     

    Affaires juridiques

     

    • Les membres du CE ont aussi accepté le renouvellement pour 2011 de l'entente entre la Ville, le Procureur général du Québec et le Directeur des poursuites criminelles et pénales du Québec, qui vise à maintenir le traitement des dossiers et des causes de violence conjugale à la cour municipale. Cette entente ne comprend aucun coût pour la Ville puisqu'elle est assumée financièrement par le gouvernement du Québec. Cette décision doit être entérinée par le conseil d'agglomération.

     

    Culture

     

    Aussi, les élus du CE ont entériné les dossiers suivants qui contribuent à faire de Montréal, une métropole culturelle dynamique:

     

    • un projet de protocole par lequel la Ville de Montréal offre un soutien technique au Festival Montréal en Lumière qui se tiendra du 17 au 27 février 201. Cet événement incontournable permet aux Montréalais de célébrer l'hiver en leur offrant une programmation culturelle et gastronomique haute en couleur! Cette décision doit être entérinée par le conseil municipal.

     

    • un projet de bail de courte durée entre Théâtre le Mimésis et la Ville concernant la location gratuite du Bain Saint-Michel, pour la diffusion d'une série de performances théâtrales, du 2 mai au 27 mai 2011.

     

    Développement social

     

    Les élus ont également approuvé le dossier suivant, qui vise à améliorer la qualité de vie des citoyens montréalais d'origine autochtone:

     

    • une contribution financière, pour l'année 2011, de 60 006 $ à la Commission de développement des ressources humaines des premières nations du Québec pour le projet Ka Mamukanit, un projet d'insertion socioprofessionnelle des autochtones de Montréal. Ce soutien financier s'inscrit dans le cadre de l'Entente administrative de développement social et de lutte contre la pauvreté et l'exclusion sociale, Ville – ministère de l'Emploi et de la Solidarité sociale. Cette décision doit être entérinée par le conseil d'agglomération.

     

     

    http://ville.montreal.qc.ca/portal/page?_pageid=5798,42657625&_dad=portal&_schema=PORTAL&id=15916&ret=http://ville.montreal.qc.ca/pls/portal/url/page/prt_vdm_fr/rep_annonces_ville/rep_communiques/communiques

  5. Le mercredi 2 février 2011

    Les trois terrains de la discorde

    31 janvier 2011 | 14h13

     

    Trois grands terrains vagues du centre-ville de Montréal pourraient bientôt être développés si les propriétaires arrivent à s'entendre avec la Ville.

     

    Photo : ReutersLe premier de ces terrains est l'îlot Overdale, à l'angle René-Lévesque Ouest et Mackay, juste à côté de la Cité du commerce électronique.

     

    Cet espace a fait l'objet d'une âpre bataille dans les années 80 entre des locataires qui refusaient de se faire expulser de leur logement et des promoteurs qui souhaitaient y construire un complexe résidentiel.

     

    Finalement 25 ans plus tard et après la démolition des logements, il n'y a presque rien sur ce terrain sinon un stationnement, une station d'essence et un resto-minute. Il ne reste presque rien non plus de la maison patrimoniale de l'homme politique canadien Louis Hippolyte Lafontaine.

     

    L'entreprise qui possède le terrain, Grinth Realty, et son président Robert Landau entretiennent de l'amertume à l'égard de la Ville car leurs projets ont toujours échoué. Pourtant, les deux parties se parlent toujours et la Ville est même prête à faire certaines concessions sur le zonage.

     

    « On apportera une modification si l'on estime que le projet en vaut la peine », a expliqué Jacques-Alain Lavallée, porte-parole de l'arrondissement de Ville-Marie.

     

    Le deuxième terrain est situé tout à côté, un peu à l'est, devant le Centre Bell. Ici, la problématique est posée par le fait que plusieurs propriétaires se partagent le même espace et ça paraît.

     

    Un stationnement est très actif, l'autre moins et le troisième pas du tout. Ici les négociations vont bon train entre la Ville et les architectes de deux des propriétaires.

     

    Jacques-Alain Lavallée fait savoir que la Ville est optimiste d'en arriver à une entente bientôt dans ce dossier.

     

    Le troisième terrain se trouve à l'angle des rues René-Lévesque et Saint-Laurent, dans l'ombre de l'édifice d'Hydro-Québec. Ce terrain est complètement abandonné. Il vient d'être vendu par le Fonds immobilier solidarité FTQ à Construction Marton, une entreprise appartenant à Tony Accurso.

     

    Il n'y a aucun projet sur ce site pour le moment. Ce qui n'étonne pas le professeur d'urbanisme Gérard Beaudet de l'Université de Montréal.

     

    « Ce n'est pas nécessairement parce qu'un terrain occupe un espace symbolique important qu'il représente pour autant un intérêt immobilier majeur », a avancé le professeur Beaudet.

     

    Avec un peu de bonne volonté de part et d'autre, ces trois terrains pourraient avoir de nouvelles vocations d'ici peu.

     

    http://argent.canoe.ca/lca/affaires/quebec/archives/2011/01/20110131-141311.html#texte

  6. Montréal, ville nordique, mecque du hockey professionnel pendant plus d'un siècle, n'a toujours pas de patinoire extérieure en son centre. Contrairement à Québec - superbe rond place d'Youville, devant le Palais Montcalm- ou à New York et Boston, moins associés, il va sans dire, aux plaisirs hivernaux.

     

    Il y a quelques années, explorant le centre-ville sur le même sujet, nous avions découvert que l'esplanade de la Place des Arts était dotée d'un système de glace artificielle, jamais utilisé depuis son installation, dans les années 60. Faute de fonds, nous avait-on expliqué à l'époque.

     

    Vérification de l'état des choses, cette semaine. Qu'apprend-on? Que le système a été démantelé dans l'immense chantier de rénovation de PdA et de la construction de l'Adresse symphonique, nom provisoire de la salle de l'OSM. Quelqu'un a dormi au fréon, pas de doute.

     

    L'espoir est ailleurs, et pas loin. Il se pourrait que, dans un avenir moyennement rapproché, Montréalais et Montréalaises puissent s'ébattre - prudence avec les lames, quand même! - sur une grande patinoire à glace artificielle sur la future esplanade Clark. Donnant sur la rue Sainte-Catherine, en plein milieu du Quartier des spectacles. Qui, par la voix de son vice-président Jacques Primeau, en a lancé l'idée, il y a deux ans.

     

     

    Et Gérald Tremblay a dit: «Ça va se faire.» Jusqu'à maintenant, dans ce sur quoi il a autorité dans le Quartier des spectacles, le maire a «livré». Le partenariat du Quartier des spectacles et la Ville travaillent actuellement à un plan pour intégrer une grande patinoire dans ledit quartier, en face de la Maison du développement durable. Plan qui pourrait être présenté au comité exécutif au cours de la prochaine année.Des noms? L'Adresse patinistique, le Rond durable...

     

    http://www.cyberpresse.ca/actualites/regional/montreal/201101/22/01-4362755-dans-les-plans-une-grande-patinoire-rue-clark.php

  7. Ce terrain aurait du être intégré au PPU du QdesS, il est utilisé chaque été par les festivals et maintenant d'autres organismes se l'approprient.

     

    Ça aura été bon, mais maintenant la Ville veut juste que tous les terrains vacants (avoisinants aux places publiques de la QDS) se vendent et se construisent dessus (afin de commencer à recevoir des taxes...).

    Quand tous les terrains vont être pris (et il n'y restera plus de jeu), ça va être tassé pas à peu près durant les festvials.

  8. La foire Papier se déballe sur la place des Festivals

     

    Jérôme Delgado 13 janvier 2011 Arts visuels

     

    La foire Papier de l'Association des galeries d'art contemporain (AGAC) reviendra comme prévu ce printemps. Au centre-ville, mais pas dans le même Black Watch, le bâtiment militaire si apprécié par les participants. En fait, d'après le document obtenu, l'AGAC aurait trouvé mieux, encore plus au cœur de l'action: la place des Festivals.

     

    Le «document de présentation» de Papier 11, qui se tiendra du 14 au 17 avril, parle d'un «terrain adjacent à la place des spectacles (coin Bleury et Maisonneuve)». Un module temporaire

     

    devrait être bâti pour l'occasion sur l'espace vacant près du cinéma Impérial. Il devrait être beaucoup plus grand (15 000 pieds carrés, lit-on), ce qui permettra d'accueillir plus de galeries. L'association vise les 35 kiosques, soit dix de plus qu'en 2010 et plus du double que lors de la première foire consacrée aux oeuvres sur papier, en 2007.

     

    «Le besoin d'agrandir est apparu dès la foire de l'an dernier, justifie Jean-François Bélisle, directeur de l'AGAC. Six galeries s'étaient manifestées et à la fin, sept ou huit autres se disaient aussi intéressées. Il était clair que le Black Watch ne suffirait plus. On aurait pu ouvrir une deuxième salle, ou le sous-sol, mais c'était compliqué à gérer. [À la place des Festivals], nous aurons un espace de plain-pied, plus démocratique pour tous.»

     

    L'enthousiasme ressenti en 2010 semble donc se refléter. Toutes les galeries de l'an dernier, y compris la torontoise Jack Shainman, reviennent, assure Jean-François Bélisle. Parmi celles qui s'ajoutent, deux de Toronto qu'il n'a pas voulu dévoiler, ainsi que, de Montréal, la galerie René Blouin et Graff, deux parmi les plus prestigieuses qui restaient à séduire.

     

    La foire de l'an dernier a atteint le demi-million de dollars (en ventes) et les 6000 visiteurs. Du jamais vu. Le document de l'AGAC espère continuer sur cette lancée et attirer 8000 personnes.

     

    Les coûts de l'opération monteront par contre eux aussi.

     

    Cependant, à l'AGAC, on se montre optimiste. L'appui financier du Quartier des spectacles aide. Les dépenses en promotion baisseront, puisque la visibilité sera plus grande.

     

    Il faut néanmoins continuer la collecte de fonds. «Il reste 5 % du financement à trouver. On est prêt à accueillir de nouveaux commanditaires», dit, espiègle, le directeur Bélisle.

     

    ***

     

    Collaborateur du Devoir

     

    http://www.offres.ledevoir.com/culture/arts-visuels/314570/la-foire-papier-se-deballe-sur-la-place-des-festivals

  9. Société immobilière du Québec

     

    Îlot Voyageur: gare aux décisions hâtives

     

    Jean-François Cyr

     

    10/01/2011 21h23

     

     

     

    Presque deux mois après l’acquisition de l’Îlot Voyageur par la Société immobilière du Québec (SIQ), celle-ci est toujours à évaluer l’ensemble des interventions qui sont requises. La priorité est de rendre opérationnelle la gare d’autobus dans les nouvelles installations.

     

    «La SIQ est toujours en train de faire l’inventaire des interventions qui sont requises, a expliqué le porte-parole de la Société, Martin Roy. Nous n’avons pas fini d’étudier toutes les possibilités avant de remettre nos suggestions, ainsi qu’un plan budgétaire au gouvernement. Nous faisons le travail le plus rapidement possible, mais nous voulons absolument éviter toutes propositions hâtives.»

     

    On se rappellera que le fiasco financier de l’Îlot Voyageur a plongé l’UQAM dans la tourmente, en plus de menacer les contribuables d’une facture additionnelle de 80 millions $ découlant de pénalités financières qui auraient dû être payées.

     

    «Pour bien faire les choses, nous n’avons imposé aucun échéancier précis à la SIQ, qui étudie encore différents scénarios de développement et de disposition des actifs de l’Îlot avant de nous soumettre un projet, soutient Catherine Poulin, attachée de presse du ministre des Finances Raymond Bachand. Tout comme la SIQ, nous donnons la priorité à la gare d’autobus.»

     

    En effet, lors de l’achat de l’Îlot, le gouvernement Charest avait exprimé le désir de vouloir terminer les travaux menant au transfert de la gare actuelle, jugée vétuste, dans les nouvelles installations situées dans la partie nord de l'Îlot Voyageur, entre les rues Berri et Saint-Hubert, sur la rue Ontario.

     

    L’UQAM libérée

     

    À la mi-novembre 2010, l’Îlot Voyageur, alors propriété de l’Université du Québec à Montréal(UQAM) et de la firme Busac, était acheté par la SIQ, ce qui permettait à l’université d'être complètement libérée, tant juridiquement que financièrement, du projet immobilier.

     

    La construction du bâtiment avait été interrompue en 2007 en raison de dépassements de coûts et de problèmes financiers à l’UQAM. Même si Québec a mis un montant de 200 millions $ en fiducie, en 2008, pour permettre à l’UQAM de gérer sa dette dans ce dossier, la construction de l’édifice n’a jamais repris.

     

    Mme Poulin souligne qu’environ 20 millions $ supplémentaires ont été déboursés par Québec pour acheter les terrains et les édifices appartenant à la firme Busac dans ce dossier.

     

    Pour le moment, seul le rez-de-chaussée est utilisé par la Station centrale d’autobus. Au départ, l’UQAM voulait y aménager des salles de cours, des bureaux, des résidences pour étudiants et un stationnement souterrain.

     

    http://lejournaldemontreal.canoe.ca/actualites/regional/montreal/archives/2011/01/20110110-212308.html

  10. Sky-high rentals

     

    Canvar bucks condo trend with 40-storey tower

     

    By ALLISON LAMPERT, The Gazette January 12, 2011 10:18 AM Be the first to post a comment

    MONTREAL - A new 40-storey glass tower under construction downtown is bucking the city's condo-building craze.

     

    Instead Canvar Group Inc.'s estimated $60-million mixed project, with 230 to 250 residential apartments, is going rental.

     

    As The Gazette reported in its online edition last week, Canvar is also building townhouses and a 200-room Marriott Courtyard Hotel at the site -now a parking lot on Rene Levesque Blvd. between Anderson and Bleury Sts.

     

    Construction has already begun at the site, which the Ville Marie borough calls "the most important piece of vacant land in the business district."

     

    The residential tower and 11-storey hotel are to be completed in 2013, said Marc Varadi, who oversees hotel development at the family-run company. A structural engineer, Varadi is working on a multimillion-dollar Canvar project to transform the Hilton Dorval into a renovated Sheraton Hotel.

     

    In an interview yesterday, Varadi said Canvar opted to build rentals -instead of subdividing units for condos -because the concept was simpler to execute within the framework of a mixed hotel and residential project. What's more, while low interest rates may have thrust home ownership into the limelight, demand for rentals is still strong in the downtown market, Varadi said.

     

    "This is still a renters' city," he observed.

     

    "And there are a lot of old rental buildings."

     

    Indeed, Montreal's rental real estate is aging. According to data from the last census in 2006, 85 per cent of the rental inventory on Montreal Island was built before 1975. Yet the vacancy rate on Montreal Island is around three per cent.

     

    In 2010, a record year for new condo building, the new rental sector was the only housing segment to decrease, year over year, CMHC figures published yesterday show.

     

    On Montreal Island, less than 3,000 rental units were started in 2010 -the lowest level since 2001. In December alone, rental housing construction dropped 17 per cent year over year.

     

    And that's mostly because the area of the rental market which was booming -retirement homes for seniors -has slowed down, CMHC senior market analyst Bertrand Recher explained.

     

    Developers tend to eschew building rentals for the general population because they feel condos are simply more profitable.

     

    "Developers have seen the success of the condo sector," Recher said.

     

    But Varadi of privately owned Canvar, said he's predicting the Marriott Courtyard project will fare as well as the company's 2-year-old Hilton Garden Inn Hotel, which also has a connecting rental tower on Sherbrooke St. and Park Ave.

     

    "It will be very similar," he said of the two projects. "We will be more or less in direct competition with ourselves."

     

    The 400 Sherbrooke, a 39-storey tower, is fully rented he said. Renters would have access to certain hotel facilities like the gym, steam room and Jacuzzi.

     

    "This one's flying," Varadi said of 400 Sherbrooke.

     

    The Marriott Courtyard project will be built on a total area of about 45,000 square feet. The development will include a 5,000-square-foot garden, three levels of underground parking and a few townhouses that will blend in with the surrounding area.

     

    Varadi said he believes there is ample demand in Montreal for a 200-room hotel.

     

    "It's not a monster hotel. It's not 800 rooms," he said. "We think this one will be as successful or more."

     

    alampert@montrealgazette.com

     

     

    Read more: http://www.montrealgazette.com/business/high+rentals/4095116/story.html#ixzz1AqBnvl00

  11. January 11, 2011

     

    Montreal’s new concert hall, L’Adresse Symphonique, already half complete, is part of the re-invented, sprawling 30-block Quartier des spectacles, or arts-entertainment district.

     

    New Montreal concert house a cultural P3 first for Quebec

     

    RON STANG

     

    correspondent

     

    MONTREAL

     

    Workers have just knocked off for the day as Yannick Nézet-Séguin, the young charismatic conductor of Montreal’s popular Orchestre Métropolitain, leads journalists through a tour of the city’s long-awaited new concert house L’Adresse Symphonique, more than halfway complete with an expected opening in the fall.

     

    Underground parking is finished, the interior block walls are up, the auditorium roof is complete and waterproofed (an exterior roof is being built), some 300 acoustic pads have been installed to isolate the hall from surrounding street and subway noise, and interior and exterior masonry is underway.

     

    The concert hall will replace the adjacent Salle Wilfred Pelletier, opened in 1963, as Montreal’s symphony music hall and will be part of the sprawling Place des Arts complex on downtown’s near east side.

     

    Quebec’s SNC-Lavalin heads a five-company consortium known as the Ovation Group on Quebec’s first P3 commission for a cultural building, valued at $259 million. The design contract went to Toronto’s Diamond and Schmitt Architects — responsible for the Canadian Opera Company’s Four Seasons Centre for the Performing Arts — along with Montreal’s Aedifica.

     

    Construction began on the traditional “shoebox” hall in Summer 2009 on a street block wedged on the immediate east of Place des Arts’ property bordering Saint Urbain St.

     

    It’s across from the new La Parterre, one of two large public spaces around Place des Arts, which in turn are part of the re-invented sprawling 30-block Quartier des spectacles or arts-entertainment district, parts of which are still under construction. The district incorporates numerous existing theaters and clubs in an area redefined by contemporary streetscapes, parks, and especially lighting.

     

    There are many similarities between the Four Seasons and L’Adresse Symphonique. Both have translucent glass exteriors providing almost panoramic views showing off interior lobbies and stairwells.

     

    But the Four Seasons has a horseshoe-shape, designed to “bring people together and help understand an opera’s libretto,” project architect Matthew Lalla said.

     

    By contrast a symphony hall demands a “warmer lusher” sound. “And those two simple facts determine very different paths.”

     

    At 2,100 seats the hall will be smaller than its predecessor, which still will be used for arts functions, but will create intimacy in an entirely wood-enclosed space. North American beech wood has been sourced from Quebec.

     

    Obtaining the right cut of wood was a principal challenge. “To get strong acoustic response you need very heavy materials,” Lalla said. But the wood industry is tailored to thinner veneered materials. Here, “it’s very important that the wood be extremely thick or very solidly adhered to masonry or very heavy backup.”

     

    Also, beech isn’t too stable.

     

    This required a breakthrough in engineering.

     

    “There’s very adventurous use of wood and wood manufacturing techniques that didn’t even exist four or five years ago when we were building the opera house,” Lalla said.

     

    “That’s one industry that’s come a long way, the extent to which computer milling is being used at a very large scale.”

     

    The huge cavity at the hall’s front measuring 16 feet high, 12 metres wide, and four metres deep, will be filled with a visible 100 organ pipes behind which will be 5,000 additional ones.

     

    L’Adresse Symphonique will be connected to the rest of Place des Arts through the Grand Foyer, an extension and widening of the existing underground tunnel that connects the complex to Ste-Catherine St. and the city’s Metro transit system.

     

    Meanwhile two new public spaces have been added to the grounds immediately around Place des Arts as part of the $120 million upgraded Quartier des spectacles. One is Place des festivals, the other La Parterre. These, along with a pedestrian promenade and upgrade of Ste-Catherine St. — the city’s main downtown commercial thoroughfare — were overseen by local urban design firm Daoust Lestage.

     

    The parks will hold tens of thousands for outdoor concerts such as at the summer jazz festival. But what is striking is their futuristic lighting design and Place des festivals’ mammoth high-tech fountain.

     

    Partner Rene Daoust said the nine angled 15-metre lighting “megastructures” serve as “urban markers” that form “the walls and the ceilings of the urban theatre.”

     

    Canada’s most “interactive” fountain can be choreographed by manipulating water walls with colour.

     

    Place des festivals walking surface is finished stylishly with extensive Quebec Standstead granite in gray and black.

     

    La Parterre is mainly a grassy park with perimeter design elements.

     

    http://dcnonl.com/article/id42344

  12. Église Saint-Pierre-Apôtre de Montréal

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    L'église Saint-Pierre-Apôtre est une église catholique située au 1201, rue de la Visitation (au coin du boulevard René-Lévesque) dans l'Arrondissement Ville-Marie de Montréal. Elle est au cœur du quartier gai de Montréal.

     

    Construite entre 1851 et 1853 selon les plans de Victor Bourgeau, son architecture néo-gothique aura une grande influence au Québec.

     

    Depuis sa fondation, Montréal est le fief des Sulpiciens tant sur le plan religieux que sur le plan civil puisqu'ils sont propriétaires fonciers de l'île. Ils commandent la construction de la Chapelle Notre-Dame-de-Bon-Secours, dessinent et érigent l'église Notre-Dame, supportent financièrement la construction de la Basilique Saint-Patrick de Montréal. Mgr Ignace Bourget, deuxième évêque de Montréal, tente de mettre fin à l'hégémonie de la communauté des Sulpiciens sur la ville.

     

    Pour arriver à ces fins, Mgr Bourget invite les Missionnaires Oblats de Marie-Immaculée à venir établir un centre missionnaire doté d'une église à l'est du centre-ville. Le 8 décembre 1848, ceux-ci célèbrent une première cérémonie dans la chapelle provisoire. Aucune paroisse n'est reliée à cette église mais les citoyens y affluent.

     

    Le terrain est donné par le commerçant Pierre Beaudry et la construction de l'église permanente débute en 1851. Les plans sont dressés par l'architecte Victor Bourgeau qui est alors en pleine ascension professionnelle. Il s'inspire directement de l'église Holy Trinity de Brooklyn. Il réalise tout dans l'église: le plan général, le maître-autel, les autels latéraux, les balustres, la tour et la flèche.

     

    Pour la première fois, on utilise la pierre pour tout, y compris les colonnes. Victor Bourgeau lie, avec audace, les matériaux solides; il réussit à voûter les nefs latérales et à appuyer le tout sur des piliers de calcaire, fait peu commun au Canada, même de nos jours.

     

    Cette église sera le chef-d'œuvre de Victor Bourgeau et ses principaux éléments seront copiés partout au Québec. Ce temple, de style néo-gothique, en forme de vaisseau, et sa tour à la massive harmonie, s'élève au cœur du paysage urbain. La rigueur et l'identification précise des volumes témoignent d'une utilisation rationnelle des proportions classiques. La largeur intérieure de l'église correspond exactement à la moitié de la longueur totale, qui équivaut à neuf fois la distance entre le centre de deux piliers.

     

    Le balcon encadrant la nef est l'une des plus remarquables menuiseries de Bourgeau.

     

    L'église a vu l'ajout en 1931 de deux autels supplémentaires en marbre rose, dédiés respectivement à Sainte-Thérèse-de-l'Enfant-Jésus et aux Saints Martyrs Canadiens. Ces deux autels ont été dessinés par Guido Nincheri.

     

    L'église Saint-Pierre-Apôtre est classée, en 1977, site historique par la Commission des biens culturels du Québec et, depuis le 22 juillet 1996, une flamme brûle, en permanence, dans la chapelle de l'espoir, à la mémoire des victime du SIDA.

     

     

    Deux vitraux des nefs latérales

    Le chœur

    Deux vitraux des nefs latérales

     

    Sources[modifier]

    André Croteau, Les belles églises du Québec - Montréal, Trécarré, 1996, p. 40 à 45

    Église Saint-Pierre-Apôtre

    Dossier Saint-Pierre-Apôtre

    Baladodiffusion de l'Église

    Voir aussi[modifier]

    Liste des établissements catholiques du Québec

    Liste du patrimoine religieux de Montréal

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  13. 1212, rue Panet, Montréal, QC H2L 2Y7 - 514 524-3561 - csp@centrestpierre.org

     

    Le Centre St-Pierre se trouve dans le quartier Centre-Sud de Montréal.

     

    Nous sommes situés à proximité de plusieurs services: restaurants, bistros, bars, hôtels, gîtes, métros, terminus, taxis, dépanneurs, kiosques à journaux et revues, cinéma et salles de spectacles.

     

    Stationnement réservé pour la clientèle du centre St-Pierre.

     

    http://www.centrestpierre.org/accueil/emplacement.html

  14. Le Centre Saint-Pierre réalisera, au cours de la prochaine année, des études de préfaisabilité Une étude de marché a déjà été réalisée pour le volet hôtelier du projet de requalification

     

    Steeve Duguay/Métro

    L'église Saint-Pierre Apôtre

     

    JENNIFER GUTHRIE

    MÉTRO

    Publié: 13 décembre 2010 15:55

    Mis à jour: 13 décembre 2010 16:33

     

     

    L’îlot Saint-Pierre-Apôtre, situé dans le quadrilatère formé des rues Panet, de la Visitation, Sainte-Rose et du boulevard René-Lévesque, pourrait connaître une deuxième vie. Le Centre St-Pierre, qui forme l’îlot avec l’église Saint-Pierre Apôtre et le presbytère de la rue de la Visitation, réalisera au cours de la prochaine année des études de préfaisabilité qui, si elles s’avèrent concluantes, pourraient mener à un projet de requalification évalué à près de 30 M$.

     

    «Les Oblats, qui sont propriétaires de l’îlot Saint-Pierre, nous ont dit, il y a deux ans, qu’ils ne pourraient plus continuer de s’occuper des bâtiments et qu’ils voulaient se départir de l’ensemble du quadrilatère, a expliqué le DG du Centre St-Pierre, Raymond Levac. Ils nous ont mandatés pour trouver une vocation aux bâtiments pour que ce soit rentable et que le projet poursuive la mission sociale, culturelle et spirituelle des Oblats.»

     

    Le projet hôtelier, qui prendrait forme dans le presbytère, est, pour le moment, le plus avancé. Une étude de marché a déjà été réalisée et sera analysée au début de l’année 2011 par un comité de travail qui réunit, entre autres, le Fonds FTQ, le Chantier de l’économie sociale et la Caisse d’économie solidaire. «L’étude est positive, a affirmé M. Levac. Il faudra voir si les bailleurs de fonds considèrent aussi qu’elle est concluante.»

     

    Une étude de marché sera également réalisée pour le Centre St-Pierre afin de déterminer s’il y a lieu d’augmenter sa capacité d’accueil. Le stationnement du centre pourrait quant à lui devenir sous-terrain, ce qui permettrait l’aménagement d’un jardin en surface. Enfin, l’église Saint-Pierre Apôtre fera l’objet d’études acoustiques afin de déterminer si elle peut accueillir davantage d’événements culturels et de concerts. Le sous-sol de l’église pourrait également être aménagé afin de loger des artistes.

     

    Le comité exécutif de la Ville de Montréal a approuvé, la semaine dernière, une aide financière de 127 500 $ au Centre St-Pierre afin de lui permettre de mener à bien ses études.

     

    Échéanciers

     

    Selon le calendrier envisagé par le Centre St-Pierre, un projet complet devrait être présenté à la fin de l’année 2012.

    Le transfert de propriété devrait aussi être complété en 2012. Les Oblats souhaitent vendre leurs bâtiments pour une somme symbolique à un organisme sans but lucratif mis sur pied par le Centre St-Pierre.

    Les premiers travaux devraient suivre en 2013-2014.

     

    http://www.journalmetro.com/linfo/article/718391--une-transformation-de-30-m-pour-l-ilot-saint-pierre-apotre

  15. Headquarters to move downtown in November 2011

     

    By Allison Lampert, Montreal Gazette December 9, 2010 Comments (2)

    •Story•Photos ( 1 )

     

    The AMT Mont St-Hilare-Montreal train crosses the Victoria Jubilee Bridge last winter. AMT's headquarters will move from Old Montreal next year.Photograph by: Dave Sidaway, THE GAZETTE/Dave SidawayMONTREAL - The Agence métropolitaine de transport is moving its headquarters from Old Montreal to a downtown location, The Gazette has learned.

     

    The AMT is to move around November 2011 - when their current lease ends - to 700 de la Gauchetière at the corner of University St.

     

    This week, the AMT put out a call for tenders for the renovation of its new head office, which is to occupy about 65,000 square feet, an industry source says. The AMT's current location at 500 Place D'Armes, which offers nice views of the river, was simply becoming too crowded.

     

    The building's landlord, Le Groupe Alfid, recently published an advertisement offering the agency's three-storey space for rent as of December 2011.

     

    The decision to move its head office wasn't published in the three-year capital-works budget the AMT made public a few weeks ago.

     

    The AMT is spending $355 million on maintenance facilities in Point St. Charles. But the agency could not build its head office at the same site because the land is besides the train tracks.

     

    "These are two completely different things, a maintenance centre and a head office," explained AMT spokesperson Martine Rouette.

     

    alampert@montrealgazette.com

     

    Andy Riga of The Gazette contributed to this report.

     

    © Copyright © The Montreal Gazette

     

    Read more: http://www.montrealgazette.com/Agence+m%c3%a9tropolitaine+transport+downtown/3952145/story.html#ixzz17ih9MPDo

  16. Réinventer la ville - Autopsie d'un chantier

    L'architecte français Paul Andreu livre le bilan de l'échec de ses projets montréalais

    Stéphane Baillargeon 8 décembre 2010 Actualités culturelles

     

    Photo : Agence France-Presse Teh Eng Koon

    Le «starchitecte» français a réalisé l’Opéra de Pékin, un gigantesque nid de titane posé sur un lac en plein centre de la ville.

    Il faut plus que du béton et de l'asphalte pour développer une rue, un quartier, une ville à échelle humaine. Le Devoir poursuit sa série intermittente sur les exemples québécois à suivre et les erreurs à ne plus répéter.

     

    Le Devoir en France - Il est venu, il a vu, on l'a vaincu. L'architecte français Paul Andreu a planché pendant des mois sur des plans de revitalisation du «coeur de la Main», boulevard Saint-Laurent, à Montréal. La Vitrine culturelle (le 2-22) sera inaugurée l'an prochain, bien en retard et pas selon ses plans. Le gratte-ciel gisant au nord du Monument-National, prévu pour les bureaux d'Hydro-Québec, a disparu des radars. L'immeuble rêvé au-dessus de l'édicule du métro Saint-Laurent n'existera pas. Tout stagne, rien ne va vraiment, et adieu M. Andreu.

     

    «Deux visions s'affrontaient et la nôtre a perdu, résume l'architecte, rencontré fin novembre dans ses bureaux parisiens. La nôtre proposait de faire évoluer le quartier en y introduisant du nouveau. L'autre vision, celle de la Ville notamment, répétait qu'il ne faillait pas dénaturer le secteur, qu'il fallait respecter l'esprit montréalais, la pierre, la brique, l'entrée dans les angles, etc. Est-on seulement allé voir l'état de ce quartier délabré quand on dit ça? Je comprends très bien ce débat. Il faut l'avoir pour protéger l'héritage et se permettre des innovations. Mais on peut aussi trouver des solutions qui mêlent le nouveau et l'ancien. Le mélange est possible et dynamisant.»

     

    M. Andreu répète avoir été «très, très bien reçu à Montréal». Il observe tout de même que les moyens n'étaient pas à la hauteur des fins. «Il y avait clairement un problème économique. Pour réussir, il fallait faire du mètre carré. On était donc parti sur un projet un peu haut, trop volumineux qui a déplu. Mais c'est faute d'argent. [...] Je suis triste que ça ne soit pas allé au bout. Je suis aussi triste pour le donneur d'ouvrage, qui était passionné. Pour lui, ça doit être un vrai crève-coeur.»

     

    Une certaine lourdeur...

     

    Ce donneur de contrats, c'est Christian Yaccarini, président de la Société de développement Angus (SDA), qui avait personnellement contacté M. Andreu à Paris, en 2008, pour lui offrir de collaborer avec les firmes Aedifica et GHA au plan de revitalisation de la Main.

     

    «La collaboration avec M. Paul Andreu, nous en sortons déçus en termes de résultats, dit M. Yaccarini, en entrevue par courriel. Pas du tout à cause de Paul Andreu lui-même, qui est un grand architecte et une personne possédant de belles valeurs. Mais parce que le projet n'a pu se réaliser. Si Paul Andreu ne travaille plus avec nous, c'est parce que le projet du Quartier Saint-Laurent ne s'est pas réalisé et que le projet du 2-22 tel que développé n'a pas obtenu le fameux consensus qui, hélas! nous empêche souvent d'innover de façon positive.»

     

    Le président de la SDA critique ensuite «la lourdeur bureaucratique et la façon dont l'Office de consultation de Montréal a procédé aux consultations». Il dénonce également «la jalousie et la mesquinerie de certains intervenants qui ont fait que le projet avec Hydro-Québec est devenu caduc». Il endosse finalement une part de responsabilité due à sa «naïveté».

     

    Le projet au nord du Monument-National est toujours bloqué par le refus du café Cléopâtre de déménager. Le 2-22 est en construction et sera inauguré cinq ans après sa première idéation. En Chine, c'est à peu près le temps qu'il faut pour reconstruire une ville...

     

    Vite, vite, vite...

     

    M. Andreu en sait quelque chose. Son bureau construit maintenant beaucoup en Chine. Le «starchitecte» français qui s'est fait un nom comme concepteur d'aéroports (dont Charles-de-Gaulle), y a notamment réalisé le magnifique Opéra de Pékin, un gigantesque nid de titane posé sur un lac en plein centre de la ville.

     

    M. Andreu planifie maintenant l'aménagement d'un ancien aéroport militaire pour une ville de taille moyenne entre Pékin et Shanghai. «Le TGV va y passer et il faut aménager 2 ou 2,5 millions de mètres carrés d'espace, explique-t-il. On a discuté et j'ai proposé de placer les investissements publics au centre et de déplacer en retrait le musée, un opéra, une salle de concert et un hôtel. Seulement, c'est épuisant de travailler avec les Chinois parce qu'ils veulent tout, tout de suite. Il faut faire attention pour bien faire. Je leur dis toujours: "Ce n'est pas parce que vous avez deux femmes que vous pouvez faire un enfant tous les quatre mois et demi". Notre métier passe par les idées et les idées, on ne peut pas les stimuler artificiellement.»

     

    Montréal donne donc l'impression de fonctionner à l'envers, sans résultat toutefois. «Montréal, c'est le contraire de la Chine, dit finalement Paul Andreu quand on le force à la comparaison. Là-bas, on construit vite, trop vite. C'est plus lent à Montréal. Mais je vais vous dire en toute honnêteté, à Paris, c'est compliqué aussi, même si les opérations téléguidées par la Ville y passent plus facilement. Chez vous, Christian, il se battait contre des montagnes et il se cherchait constamment des amis. C'était très compliqué et il se bagarrait contre tout le monde.»

     

    http://www.ledevoir.com/culture/actualites-culturelles/312572/reinventer-la-ville-autopsie-d-un-chantier

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