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Messages posté(e)s par IluvMTL

  1. Personnellement j'avais prévu également aller voir le spectacle Elixir et après prendre une petite bouffe au F!, mais après avoir vu le spectacle son et lumière nous avons quitté la place. Ce spectacle était d'un ennui mortel, le son pourri, la musique quétaine, il y a seulement l'éclairage de la fontaine du milieu qui valait le déplacement. Vraiment déçu! Il faut dire que la semaine dernière j'ai vu le moulin à images à Québec et à côté le spectacle de Montréal c'est vraiment pas fort. N'est pas Robert Lepage qui veut!

     

    Bref, en espérant qu'ils améliorent le produit les prochaines années!

     

    Je suis pas mal d’accord avec toi. Je l’ai trouvé un peu enfantin. La bonne nouvelle c’est que cette première tentative ouvre la porte à des possibilités pour des spectacles plus flyées dans les années à venir. Mais, si je me trompe pas, j’avais entendu que le budget pour Elixir était 300K. Allons nous être ‘pris’ avec ce spectacle pour au moins encore 4 ans ? Si oui, je vais suggérer aux touristes de se déplacer surtout pour voir le spectacle d’origine des fontaines...

  2. Wow cool! Je ne sais pas si c'est la meilleure image pour vendre montréal à des touristes, mais ça fait bien notre bonheur à nous!

     

    Je suis d'accord avec toi !

     

    J'ai déjà envoyé mes suggestions des sites plus animés et intéressants à l'intérêt des touristes, mais ils ont l'air à préférer des sites statiques...c'a l'air des cartes postales plates...surtout quand il n'a pas un chat dans l'image.

     

    Au moins, dans le passé, il y avait le coin de Peel & Ste-Catherine...

     

    Moi, je verrai plus la vue du centre-ville (et la place publique devant) à partir du Chalet, ou bien l'avenue McGill ou la terrasse de la PVM (vue vers le nord) avec la montagne en arrière, la Place des festivals avec la vue des fontaines,...

     

    Bon sujet pour un nouveau Thread ?

    On pourra suggérer notre TOP 10. Il y a assez de bonnes photos sur ce site pour trouver des meilleurs endroits pour vanter notre ville..

  3. Publié le 26 août 2010 à 07h12

    Éric Clément

    La Presse

     

    Les travaux de construction de l'édifice culturel du 2.22, au coin de la rue Sainte-Catherine et du boulevard Saint-Laurent, ont été arrêtés il y a près de trois mois par le promoteur, car Ottawa n'avait toujours pas versé un sou.

     

    Annoncée en grande pompe le 3 mai par le gouvernement du Québec et la Ville de Montréal, la construction de l'édifice culturel du 2.22, au coin de la rue Sainte-Catherine et du boulevard Saint-Laurent, est toujours bloquée par des discussions administratives qui avaient d'ailleurs débuté bien avant cette annonce, a appris La Presse.

     

    Les travaux de construction de l'édifice, un projet de 19 millions financé par Québec et Ottawa, ont été arrêtés il y a près de trois mois par le promoteur, la Société de développement Angus, car Ottawa n'avait toujours pas versé un sou dans ce dossier. La radio CIBL et l'organisme Imago, futurs propriétaires, doivent recevoir un total de 6,6 millions dans le cadre de ce projet, dont 2,6 millions par Ottawa.

     

    Selon le programme fédéral du Fonds de stimulation des infrastructures, pour que ces organismes soient admissibles à recevoir l'argent, ils doivent être propriétaires. Et ils ne le sont pas... puisque l'édifice n'est pas construit. Le maire de Montréal, Gérald Tremblay, et les ministres libéraux Christine St-Pierre et Raymond Bachand ont donc annoncé un peu tôt en mai que tout était ficelé et que les travaux allaient débuter.

     

    Car, selon ce que La Presse a appris, le litige était connu avant l'annonce du 3 mai. «Pourquoi a-t-on attendu que les travaux débutent pour faire ce travail?» (sur la question de la propriété) a demandé La Presse à Jacques Fauteux, directeur des politiques et des communications à Infrastructures Canada. «Qui vous a dit que ça n'avait pas été discuté avant?» a-t-il répondu.

     

     

    Cela fait donc des mois que le fédéral se questionne à savoir si le projet cadre bien avec les modalités du programme «et répond bien aux attentes des contribuables». Alors pourquoi une annonce si rapide en mai dernier?

     

    L'imbroglio kafkaïen a pour conséquence que, si aucune solution n'est trouvée rapidement, le 2.22 ne sera pas terminé l'été prochain avant la saison des festivals. «Pour nous, le 2.22 est un projet vraiment crucial au carrefour des deux Main, nous a dit cette semaine Pierre Fortin, directeur général du Partenariat du Quartier des spectacles. On nous dit que ce sont des ennuis un peu bureaucratiques et que ça va reprendre, alors on souhaite juste que ça reprenne au plus tôt.»

     

    On ne s'affole ni à Ottawa ni à Québec. On discute toujours pour trouver une solution. Au ministère de la Culture, Valérie Rodrigue, attachée de presse de la ministre St-Pierre, a dit à La Presse que les discussions administratives mais aussi au niveau des cabinets ministériels se poursuivent «tous les jours».

     

    Le changement de ministre en juillet (John Baird a quitté Infrastructures Canada et a été remplacé par Chuck Strahl) n'a pas accéléré les discussions. Et l'été, les fonctionnaires partent aussi en vacances chacun leur tour. En attendant, si le 2.22 n'est toujours pas sorti de terre, la construction de la Maison du développement durable, entre la rue Clark et le Théâtre du Nouveau Monde, grâce à un financement du gouvernement du Québec et de donateurs privés, est déjà bien avancée.

     

    http://www.cyberpresse.ca/arts/201008/26/01-4309879-la-construction-du-222-toujours-bloquee.php?utm_categorieinterne=trafficdrivers&utm_contenuinterne=cyberpresse_B9_arts_244_accueil_POS1

  4. ARTICLE DANS LE VOIR - 29 juillet 2010 Andrée Harvey

     

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    Le chef du F Bar, Gilles Herzog.

    photo: Dominic Gauthier

    Récemment ouvert dans le Quartier des spectacles, le F Bar offre, comme son grand frère le Ferreira café, une cuisine d'inspiration portugaise raffinée, mais conviviale à souhait.

     

    Les festivaliers et amis de la Place des Arts n'ont eu longtemps d'autre choix, avant les spectacles, que d'aller manger à la foire alimentaire du Complexe Desjardins, au St-Hubert ou au Bâton Rouge. Heureusement, le nouveau Quartier des spectacles a fait naître des restaurants dignes de ce nom. Dernières ouvertures en date, il y a quelques semaines, on a vu la Jeanne-Mance accoucher de deux jumeaux (du moins de l'extérieur) qui jouxtent la paroi ouest du Musée d'art contemporain: le F Bar et la Brasserie T!. Tandis que mon complice Gildas Meneu vous raconte son expérience à la Brasserie T! dans cette même édition, il sera ici question du F Bar.

    Petit frère du Ferreira Café, le F Bar, installé dans l'un des deux parallélépipèdes blancs conçus par la firme Daoust Lestage, est une réussite du point de vue de l'intégration à l'architecture du MAC. Plus long que large, des fenêtres à profusion qui permettent de zyeuter ce qui se passe à l'extérieur: on pourrait se croire dans un wagon de train. Un soir de canicule, nous avons pu observer depuis la terrasse un "show" improvisé d'enfants dont le jeu consistait à courir entre les jets d'eau syncopés qui jaillissent du sol, sur la place des Festivals. C'était rafraîchissant juste à les regarder.

     

    L'espace intérieur du F est indéniablement élégant, avec ses beaux azulejos portugais (carreaux de céramique bleus et blancs) qui enjolivent le bar à l'entrée.

     

    Les plats d'inspiration portugaise concoctés par le chef Gilles Herzog (anciennement au resto Derrière les fagots de Laval, tristement fermé) apportent une bonne dose de chaleur et de convivialité.

     

    À table!

     

    Le menu se cadence en cinq temps: petiscos (la version portugaise des tapas espagnoles), entrées, plats do tasco, c'est-à-dire les p'tites vites (bitoque, tartare, burger), tachos (mijotés servis dans des cocottes) et desserts.

     

    Les calmars frits, un classique, sont bien réussis. Enrobés d'une fine pâte de maïs, ils sont servis avec une mayonnaise "limépicée" aux notes prédominantes d'agrumes. Pour l'été, la soupe glacée de pois verts et menthe est tout indiquée. Veloutée, rafraîchissante, délicate, elle est coiffée d'une écume de fromage de chèvre aérienne et flanquée de minces tranches de chorizo noir.

     

    Du côté des mijotés, on ne se trompe pas si l'on choisit la cocotte de morue ou celle de cochon braisé. La morue, dans sa formule fraîche (et non salée comme le veut la tradition), est fondant en bouche. Il est déposé dans un bon jus de piment doux, à côté de tranches de fenouil et de pomme de terre confite au laurier. La pièce de viande (de l'échine), quant à elle, est accompagnée de grelots et de moules façon vinaigrette et parfumée par de la coriandre fraîche et de l'anis vert. Du comfort food réalisé avec grand soin.

     

    Au moment de notre visite, le permis d'alcool n'avait pas encore été délivré par la Ville. Nous avons tout de même obtenu copie de la carte des vins et pouvons vous dire que sa particularité est d'offrir une quinzaine de vins portugais d'importation privée. Avis aux intéressés, le permis d'alcool est désormais acquis.

     

     

    Petites douceurs

     

    Les desserts du F font eux aussi de l'oeil au Portugal. Comme ces deux natas, des tartelettes traditionnelles aux oeufs. L'interprétation que fait le chef de ce classique? Il les sert tièdes et accompagnées d'un sorbet aux poires et d'un trait de caramel. C'est moelleux, réconfortant, doux. Un autre choix intéressant: le sablé au sel de l'Algarve, crémeux de dattes et yogourt de chèvre glacé.

     

    Emballant /

     

    Les mijotés d'inspiration portugaise, présentés dans des cassolettes. Et les desserts inspirés. L'endroit est idéal pour un lunch rapide ou un souper d'avant-spectacle.

     

    Décevant /

     

    Le service était vraiment chaotique. Le resto a ouvert le 29 juin, ceci explique peut-être cela, mais les propriétaires du Ferreira sont des restaurateurs aguerris. Le Quartier des spectacles est vibrant d'activité au coeur de l'été et on était impatient de l'essayer sans attendre, tout comme sans doute nombre d'autres montréalais...

     

    Combien? /

     

    Environ 90 $ pour deux, avant vin, taxes et service. Abordable, compte tenu de la qualité de la cuisine.

     

    Quand? /

     

    Ouvert tous les jours, midi et soir.

     

    Où? /

     

    F Bar

    1485, rue Jeanne-Mance, Montréal

    514 289-4558, http://www.fbar.ca

     

    http://www.voir.ca/publishing/article.aspx?zone=1&section=21&article=72202

  5. ARTICLE DAN LE VOIR - 29 juillet 2010 Gildas Meneu

     

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    Christine Lamarche et le chef Normand Laprise sur le toit de leur nouveau resto en forme de tramway des temps modernes, la Brasserie T!.

    Un autre resto s'est installé sur la place des Festivals. Bienvenue à la Brasserie T!, une brasserie française pilotée par l'équipe du Toqué!.

     

    Tandis que ma collègue Andrée Harvey est allée essayer le resto voisin, le F Bar (dont la chronique est aussi publiée dans cette édition), je me suis porté volontaire pour tester le nouveau jouet de Normand Laprise, chef émérite et fondateur du célèbre restaurant Toqué!. Cette brasserie, c'est d'abord un étrange local tout en longueur, très lumineux, conçu, tout comme celui du F Bar, par les architectes Daoust Lestage. D'aucuns leur trouvent l'air de conteneurs déposés sur le trottoir; vus de devant, je leur trouve plutôt une ressemblance avec des wagons de tramway des temps modernes.

    À l'intérieur, la déco est chaleureuse grâce à des tons d'orange et d'aubergine mettant en appétit. La terrasse donne directement sur la place: autant vous dire qu'en plein festival, c'est très animé et tout aussi bruyant. En salle, on parvient à trouver un peu de calme. La cuisine, elle, est dissimulée au sous-sol. C'est là qu'on prépare ce menu de brasserie très carnivore: cochonnailles, casse-croûte, tartares et plats classiques. Le grand chef se fait donc plaisir et fait un pied de nez à son image de restaurateur haut de gamme. Son équipe concocte plutôt le genre de cuisine qu'il a sans doute lui-même envie de savourer après une longue journée de travail. Simple et sympathique.

     

    Au menu

     

    En entrée, nous avons commandé une grande planche de charcuteries variées. Elles sont préparées maison, sauf le jambon. Un saucisson en brioche, délicieux. Des cretons de porc, traditionnels et grassouillets. Un cromesqui de tête fromagée tout à fait savoureux. Explication: il s'agit d'une charcuterie préparée à base de tête de porc, puis panée et frite. Dire que c'est riche relève du pléonasme, d'autant qu'on le sert avec une sauce gribiche, sorte de mayonnaise montée à l'oeuf cuit, rehaussée de cornichons et d'herbes fraîches. La touche Laprise, c'est aussi (et surtout) le choix des produits, comme ce prosciutto La Quercia élaboré par un couple de fermiers de l'Iowa (et, paraît-il, amish), vraiment remarquable.

     

    Évidemment, toute brasserie a son tartare. Et comme vous le savez peut-être, c'est aussi l'obsession de votre chroniqueur. Ici, il est traité de façon très simple. Trop, même. Avis aux amateurs, il est haché très fin à la moulinette, comme on l'aime en Belgique. Par contre, il manque cruellement d'assaisonnement. Quelques échalotes émincées, du persil et trop peu d'huile d'olive. Heureusement, on peut toujours utiliser la moutarde des charcuteries pour lui donner un coup de fouet. En accompagnement, un mesclun de jeunes pousses à la vinaigrette mielleuse. Voilà un tartare qui ne fera pas l'unanimité en ville.

     

    La coquille Saint-Jacques est un autre classique: pétoncles, épinards, crevettes et champignons de Paris s'entremêlent dans une sauce béchamel, cerclés d'un trait de purée de pommes de terre. Pas mal. La côte levée de porc est fidèle à la tradition: fondante, relevée d'une sauce BBQ sucrée et accompagnée de quelques frites (ordinaires) et d'une salade de chou.

     

    La saucisse de Montréal, élaborée par l'équipe de Normand Laprise pour détrôner la saucisse de Toulouse, est succulente. À base de chair de pintade douce, elle est servie sur salade tiède d'oignons et de poivrons rouges fondus. À essayer.

     

    Douceurs

     

    Au moment des desserts, nous constatons que l'éclair a eu chaud; il faut dire que dehors, c'est la canicule. Il est recouvert d'un beau glaçage de chocolat noir et rempli de crème pâtissière. Le nougat glacé en pot ne restera pas dans les annales. Le taux de sucre élevé en assomme la délicatesse. Et le gâteau aux carottes? Ben, c'est un gâteau aux carottes.

     

    Emballant /

     

    Le soin apporté au choix des produits. Les cocktails très originaux. La carte des vins, intéressante. Les prix doux qui rendent l'expérience accessible.

     

    Décevant /

     

    Évidemment, quand on sait qu'on a affaire à Normand Laprise, le degré d'attente est élevé! Mais ici, on découvre une cuisine somme toute sans artifices. Disons que c'est davantage l'emplacement stratégique de la Brasserie T! et l'assurance de produits de qualité qui nous incite à y revenir, plutôt que sa créativité culinaire.

     

    Combien? /

     

    À midi comme en soirée, préparez au minimum une trentaine de dollars par personne.

     

    Quand? /

     

    Tous les jours, dès 11 h 30.

     

    Où? /

     

    Brasserie T!

    1425, rue Jeanne-Mance, Montréal

    514 282-0808, http://www.brasserie-t.com

     

     

    http://www.voir.ca/publishing/article.aspx?zone=1&section=21&article=72193

  6. May, 12 2010

    Quartier des spectacles

    Construction Project in the Quartier des spectacles

    Festival site from June 1 to July 25, 2010

    Sir,

    Madam,

    Ville de Montréal's Service des inf rastructures, transport et environnement

    [department of inf rastructure, transportation and the environment] wishes to

    inform you of the next stages regarding construct ion work in the Quartier des

    spectacles.

    Construction During Festivals

    In order to provide for upcoming festival events, construction work on Rue

    Sainte-Cather ine, between Rue De Bleury and Rue Saint-Urbain will be

    suspended f rom June 1 to July 25, 2010.

    However, during this festival period, construction work on Rue

    Sainte-Cather ine, between Rue Saint-Urbain and Rue Saint-Dominique will

    continue without interruption.

    Only one traff ic lane will remain open on Rue Ontario and Avenue

    du Président-Kennedy, between Rue Clark and Rue Jeanne-Mance. However,

    this traff ic lane will be reserved exclusively for the bus service of the Société

    de transport de Mont réal and for emergency vehicles.

    The attached map illustrates the construction on site dur ing the upcoming

    festivals.

    Major Closures

    From July 26, 2010, the intersection of Rue De Bleury and Rue

    Sainte-Cather ine will be closed to traf f ic for six (6) weeks.

    Towards mid-August 2010, the intersection of Boulevard Saint-Laurent and

    Rue Sainte-Cather ine will be closed to traff ic. This closure wi ll be in effect for

    a six (6) week period.

    Redevelopment Work on Rue Saint-Urbain

    Work will then take place on Rue Saint-Urbain, between Boulevard De

    Maisonneuve and Rue Sainte-Cather ine. This work will begin this September.

    Opening of Rue Sainte-Catherine

    When this work is completed, towards the end of fall or at the start of winter

    this year, Rue Sainte-Cather ine will once again be open to traff ic.

    Continued Access and Parking Regulations

    For the durat ion of this work, sidewalks and buildings will be accessible at all

    times.

    We wish to remind you that Quartier international de Montréal is the project

    manager for this construction work, for and on behalf of Ville de Montréal.

    We are aware of the inconvenience this work may cause and are taking the

    necessary measures to minimize its impact.

    Information

    Additional information is available online at ville.montreal.qc.ca/chantiers or

    by calling Info-travaux at 514-872-3777 between 8:30 a.m. and 16:30 p.m. To

    report any emergencies outside off ice hours, please dial 311 and ment ion that

    your call concerns work carried out in the Quartier des spectacles.

    http://ville.montreal.qc.ca/pls/portal/docs/PAGE/MTL_CHANTIER_FR/MEDIA/DOCUMENTS/FESTIVAL_SITE_FROM_JUNE_1_TO_JULY_25,_2010.PDF

  7. Place d'Youville, the site of St. Ann's Market and then Parliament House in the 19th century, now includes a parking lot. There is no marker to commemorate what once stood there.Photograph by: ALLEN MCINNIS THE GAZETTE, The GazetteMONTREAL - Francine Lelievre wants to take you through the bowels of Montreal to show you remnants of a dark day in the city's history. But first the executive director of Pointe a Calliere, Montreal's archeology and history museum, will have to do some digging.

     

    Buried under a nondescript parking lot in Old Montreal's Place d'Youville sit traces of Canada's first permanent Parliament building, burned to the ground by an angry mob in 1849 in a riot that also destroyed Montreal's chance of being the capital of post-Confederation Canada.

     

    Lelievre is betting the remnants -the Parliament building's foundation is there, but possibly also other long-forgotten bits of history -will become a major attraction.

     

    Under those traces is another key piece of the city's past: the William collector sewer. Built in 1832, it canalized the St. Pierre River in order to improve health in the city. Until 1989, it was a conduit for foul-smelling waste, but Lelievre describes it as "a work of art." Meticulously constructed using cut stone, it's 14 feet wide and 13 feet high and well-preserved -perfect for a pedestrian tunnel between the museum and a subterranean exhibit of Parliament's remnants.

     

    "There would be no other museum in the world like it, bringing together nine historic and heritage sites, linked via an underground corridor that is itself an extraordinary heritage element," Lelievre, a historian, said in an interview last week.

     

    But first, the digging.

     

    Over the next two years, the museum is undertaking a $22-million project that will include major archeological digs at Place d'Youville and under and near a building farther east.

     

    The biggest dig, beginning next spring, will focus on the parking lot on Place d'Youville, between McGill and St. Pierre Sts.

     

    Surprisingly for an area of such historical significance, it has never been explored by archeologists, nor is there any marker to commemorate what once stood there.

     

    Now encircled with a low concrete wall, the spot was home to St. Ann's Market, an elegant stone building constructed in 1832, at the same time as the William collector sewer underneath it.

     

    It was used as a public market until 1844, when it was renovated and became home to the Parliament of the Province of Canada, bringing together representatives of Lower and Upper Canada (present-day Quebec and Ontario).

     

    It didn't last long. Political turmoil boiled over in 1849.

     

    There was anger among English speakers over a bill that would compensate those whose property had been damaged in the rebellions of 1837-'38, including property owners who had not remained loyal to the government.

     

    An English-speaking mob, goaded by Tory politicians and English newspapers, including The Gazette, stoned a carriage carrying Governor General Lord Elgin and attacked the Parliament building, which was left in rubble.

     

    "Even though the Parliament wasn't here for very long, this building played a major role in the development of democracy in Canada," Lelievre said.

     

    Several key pieces of legislation were passed there, including the act establishing responsible government.

     

    "The great loss was the library," Lelievre said of the fire. "It held the official history of Lower Canada" and thousands of books, archives and records of British North America.

     

    The stone foundations remain, but it's unclear what else. The documents were destroyed in the fire, but some metal objects and perhaps pottery may be found, Lelievre said.

     

    "We know there are vestiges, but in what state? Did they leave anything or did they empty it all out? That's the big question."

     

    The work will also determine whether the grand plan to make the area accessible to the public is feasible. "Before saying, 'Yes, we're going ahead with the entire project,' we'll do the digs and we'll see what we find," Lelievre said.

     

    She noted that years ago, when the museum dug up the area under Place Royale, Montreal's first public square, it found the square had to be elevated by more than one metre to allow visitors underneath to see the ruins comfortably.

     

    Under Place d'Youville, "there are surely important things there, but concretely, physically, what would be required to make it accessible to the general public? We could do the research and realize that you'd need super construction above it to make it accessible. It'll be a cost-benefit analysis."

     

    The rest of the digging will take place under the former Mariners House, just west of Place Royale. That's where Archeology House will be built, with facilities for young visitors to the museum, as well as an auditorium.

     

    The Montreal Sailors' Institute, a home away from home for foreign seamen on leave in Montreal, opened on the site in 1875 but the original building was torn down in the 1950s to make way for the current structure, of little architectural value.

     

    It's what's under Mariners House that intrigues Lelievre.

     

    Archeologists will dig under the basement, hoping to find remnants of a market where furs were traded during the late 17th and early 18th centuries.

     

    "That's where Montreal was founded," she said. "We're hoping to find important vestiges there."

     

    Though Lelievre is not 100-per-cent sure about making the Parliament building ruins accessible, she said there's no doubt the 400-metre-long collector sewer could be transformed into a tunnel. Part of it is already exposed in the basement of the museum.

     

    In 1991, a section between de la Commune and St. Pierre Sts. was filled with sand to conserve it with a view toward using it as a tunnel in the future. The stretch between McGill and St. Pierre Sts. was inspected recently when McGill St. was being rebuilt.

     

    "It was very well built and well-conserved," Lelievre said.

     

    In cities like London and Paris, most sewers were built of brick in the 1830s, she noted. Montreal chose pricier cut stone.

     

    "In the 19th century, Montreal was a rather rich city," Lelievre said. "It was Canada's metropolis, the great financiers were here. Montreal made beautiful things and things that lasted."

     

    ariga@thegazette.canwest.com

     

    © Copyright © The Montreal Gazette

     

    http://www.montrealgazette.com/travel/Under+parking/3262942/story.html

  8. Il y a une PRÉSENTATION VIDÉO DE L'EXPANSION DU MUSÉE dans le lien.

     

     

     

    "Lors de la construction du Musée, au début des années 1990, Pointe-à-Callière envisageait déjà la mise au jour future de l’égout collecteur William, les vestiges du marché Sainte-Anne et ceux du parlement du Canada-Uni.

     

    Le Musée arrive maintenant à une nouvelle phase de son développement soit la mise en valeur de l’entièreté de l’égout William ainsi que des vestiges archéologiques du marché Sainte-Anne. Le tout mènera les visiteurs à une nouvelle salle d’exposition, dont l’entrée se situera rue McGill. Cette salle d’exposition sera dédiée aux futures expositions internationales portant sur les civilisations anciennes et leurs cultures. Par la réalisation de cet ambitieux projet d’agrandissement, Pointe-à-Callière dotera le quartier d’un complexe muséologique d’envergure nationale et internationale.

     

    Un réseau en devenir

     

    1-RIVIÈRE CANALISÉE COLLECTEUR WILLIAM

    Colonne vertébrale du complexe

    Hier comme aujourd'hui, la petite rivière Saint-Pierre devenue égout collecteur, est l'épine dorsale du complexe muséal unifiant, en un réseau souterrain, une collection unique de sites archéologiques authentiques. Mais le collecteur est aussi un lieu magique en soi, une expérience dramatique et passionnante dans les entrailles de la ville historique.

     

    2-DOUANES CANADA (SOUS-SOL)

    Expositions nationales et internationales

    Le monumental immeuble de Douanes Canada (1934-1936) offre un vaste sous-sol permettant l'aménagement d'une salle d'expositions de calibre international de plus de 1000 m2 doublée des espaces de support requis par les normes muséales. Cette salle est en lien direct avec le réseau muséal souterrain.

     

    3-PARLEMENT DU CANADA-UNI / MARCHÉ SAINTE-ANNE

    Agora et vestiges

    En circulant dans l'axe du marché Sainte-Anne, le visiteur déambule dans les vestiges du marché Sainte-Anne devenu le parlement du Canada-Uni. Intimement associé à une page majeure de l'histoire du Canada, le premier parlement permanent du Canada-Uni s'installe en effet en 1844 à l'étage du marché. Là, seront votées des lois importantes dont celle établissant le « gouvernement responsable » en 1848.

     

    4-FORT DE VILLE-MARIE CHÂTEAU DE CALLIÈRE

    Mise en valeur du lieu de fondation de Montréal

    Pointe-à-Callière a acquis en 2000, avec la participation de la Ville de Montréal et du gouvernement du Québec, l'un des rares sites dont le sol n'a pas été perturbé depuis le 17e siècle. Le Musée y a créé avec l'Université de Montréal, une école de fouilles qui permet à des étudiants en archéologie urbaine, de faire des stages pratiques et de contribuer à mieux connaître le lieu de fondation de Montréal et le rendre accessible aux visiteurs.

     

    5-ESPACE ARCHÉO-JEUNES

    Archéologie éducative

    Acquis réçemment par la Fondation du Musée, ce bâtiment utilitaire de quatre niveaux sera transformé en lieu d'éducation consacré à la découverte de l'histoire et de l'archéologie par les jeunes. Il offre aussi au Musée l'occasion d'avoir accès à un espace auditorium polyvalent.

     

    Pointe-à-Callière actuel

     

    6-STATION DE POMPAGE D'YOUVILLE

    Patrimoine industriel

    La station de pompage D’Youville a été construite en 1915. Pointe-à-Callière met en valeur la première station électrique de pompage des eaux usées à Montréal. Elle conserve et interprète le patrimoine industriel, accueille un atelier scolaire et le centre de documentation du Musée.

     

    7-ANCIENNE DOUANE

    Boutique et expositions

    Première douance de Montréal, ce bâtiment historique déploie en rez-de-chausée la boutique du Musée, et à l'étage l'exposition « Les amours de Montréal », exposition thématique semi-permanente dévolue à la diversité culturelle de sa population. Cet élégant bâtiment aux deux façades à la fois tournées sur la ville et le port, fut construit en 1837 par l'archistecte britannique John Ostell.

     

    8-PLACE ROYALE

    Crypte archéologique

    La crypte, aménagée en 1992 sous l’historique place Royale, met en évidence plusieurs strates archéologiques illustrant l’évolution urbaine de cette première place de Montréal, de sa naissance jusqu’à aujourd’hui. D’abord lieu de rencontre et d’échanges entre Amérindiens et français– il y subsiste des traces de plus de six siècles d’histoire. Elle est de nos jours utilisée pour les activités d’animation et d’action culturelle du Musée mais est surtout le lieu de visite de l'exposition permanente Ici naquit Montréal.

     

    9-ÉPERON

    Multimédia et expositions

    Figure de proue de Pointe-à-Callière, on y retrouve l'accueil. L'Éperon enracine son sous-sol en lieu et place du « Royal Insurance Building », prestigieux immeuble du 19e siècle, qui abrita notamment la deuxième douane de Montréal. Ses fondations recouvrent elles-même des vestiges plus anciens dont le premier cimetière catholique et l'entrepôt-magasin Berthelet, sis sur la rive de la petite rivière Saint-Pierre."

     

    http://www.pacmusee.qc.ca/pages/musee/complexe/projet_agrandissement.aspx?lang=FR-CA

  9. I may be in the minority here, but I think Complexe Desjardins' architecture/aesthetic is aging well - that is, it is looking better with age. Civilization/cultures we tend to appreciate architecture and design the more time passes.

     

    For me, the same can be said for the following: The Queen E, Complexe Maisonneuve (Bell/Banque Nat'l), and the Stade Olympique.

     

    I tend to agree with you, especially with Le Complexe D. Didn't they win an award for the design? In any case be careful what you wish for...

     

    That being said, I do appreciate the functional and aesthethic changes they have made to the commercial areas over the years.

    I would also like to see them open up more to the street (in any way possible).

     

    Good restaurants in the QDS are lacking, so hopefully we'll eventually see some great new terraces on either side of the main entrance on St-Cat instead of retail.

  10. Je n’ai pas de problème avec ça sauf que ce sujet (les lampadaires), est à mon avis d'un caractère éphémère et c'est pourquoi que j'ai jugé bon de placer ici mes photos. Cela dit si on considère pertinent d'en faire un nouveau fil de discussion ou de le déplacer, je n’y vois pas d'inconvénients.

     

    Un fil existe sous le thème "Rénovation Place des arts / Grand foyer culturel", j'y ai pensé sauf que je voyais mal ce que ces lampadaires auraient pu y foutre ( dans le grand foyer) :rolleyes:

     

    Je ne l'ai pas crée, mais d'après moi le nom du fil ‘Rénovation Place des arts / Grand foyer culturel ‘ n’englobe pas seulement le Grand foyer mais (de façon générale) toutes les modifications dans le quadrilatère de la Place des Arts. Ce fil se trouve aussi dans le sous-forum du Quartier des spectacles.

    Les lampadaires (et le reste du mobilier urbain ainsi que les fontaines) sur la grande place publique n'appartiennent' pas plus à une salle (ou le mussé) plus qu'un autre. Alors je pense qu’on ne risque pas de répéter ou 'perdre des fils' si on discute du mobilier urbain propre à la Place des Arts à une seule place. Mais si ça doit changer de place ou rester ici, ce n’est pas moi qui décide ces choses là....

     

    En passant merci pour les photos, j’étais vraiment ‘pleasantly surprised’ de les voir. Je me demande s’ils vont aussi devenir des boules de Noël des différentes couleurs durant l’hiver...(lol)

  11. Pourquoi on discute des lampadaires de la place dans le ‘thread’ de la salle de l’OSM ?

     

    Par exemple ne serait-il pas préférable d’ouvrir un nouveau ‘thread’ pour Le Grand Foyer culturel de la Place des Arts, le mobilier urbain de la QdS ou un autre nom plus pertinent qui est inclusive de tout le quadrilatère de la Place des arts ?

  12. Selon l'article de JENNIFER GUTHRIE dans MÉTRO le 03 mai 2010 20:24

     

    "Quadrilatère Saint-Laurent

    Autre projet de la SDA, le Quadrilatère Saint-Laurent, devrait voir le jour au cours des prochaines années. Les discussions se poursuivent avec le Café Cléopâtre en vue de sa relocalisation. La SDA compte également demander un permis à la Ville pour déconstruire les façades à conserver et démolir les autres bâtiments."

     

    http://www.journalmetro.com/linfo/ar...lances-au-2-22

     

    S'il démolie les bâtisses à côté en attendant un jugement, le Café Cléo va payer cher d'électricité cet hiver...

  13. Éric Clément

    La Presse

     

    La construction de l'édifice culturel du 2-22, au coin des artères Sainte-Catherine et Saint-Laurent, débutera dans quelques jours, moins de quatre ans après que la Société de développement Angus (SDA) en eut amorcé la conception.

     

    Une étape dans la revitalisation du Quartier des spectacles dont le maire Gérald Tremblay s'est réjoui, hier. «Personne ne va parler d'immobilisme aujourd'hui à Montréal», a-t-il dit, lors de l'événement marquant le début des travaux du projet de 19 millions.La radio CIBL, qui quittera l'an prochain son immeuble du boulevard Pie-IX pour des locaux tout neufs du 2-22, retransmettait pour l'occasion depuis la coopérative Les Katacombes une émission avec le maire, la ministre de la Culture, des Communications et de la Condition féminine, Christine St-Pierre, le ministre des Finances, Raymond Bachand, et le pdg de la SDA, Christian Yaccarini.

     

    Quelque 75 % de la superficie du 2-22 ont été attribués, a dit M. Yaccarini. Les occupants du 2-22 seront la Vitrine culturelle (guichet de vente et promotion des spectacles), Imago (qui regroupe la Galerie Vox, Artexte et le Regroupement des centres d'artistes autogérés du Québec), l'Association mondiale des radiodiffuseurs communautaires (AMARC), la Maison mondiale de la radio communautaire, l'Association des radiodiffuseurs communautaires du Québec et CIBL. Environ 25 % seront occupés par un restaurant au rez-de-chaussée et un bar sur le toit. L'immeuble sera inauguré en avril 2011.

     

    Comme CIBL n'a pas les moyens d'acquérir son local du rez-de-chaussée et ses studios du premier étage, Mme St-Pierre a annoncé que Québec accordera 2,5 millions à CIBL. IMAGO recevra 4,1 millions et la SDA, 5 millions. L'entreprise d'économie sociale deviendra propriétaire des 25 % occupés par le bar et le restaurant.

     

     

    Christian Yaccarini a rendu hommage au maire Tremblay et aux deux ministres pour leur aide. «Ils ont travaillé très fort pour que des organismes qui ne sont pas riches deviennent propriétaires de leurs locaux, a-t-il dit. Ce projet est un travail d'équipe.»

     

    Déjà modifié, l'édifice pourrait l'être encore si des citoyens le demandent. Le maire Tremblay n'y est pas opposé: «S'il y a des suggestions très constructives au cours des prochaines semaines, le promoteur a déjà démontré qu'il était prêt à faire les modifications nécessaires pour que le projet représente fidèlement le consensus qui a été établi», a dit le maire.

     

    La SDA dit avoir en gestation un autre projet culturel pour le terrain situé près de la station de métro Saint-Laurent. En ce qui a trait aux immeubles adjacents au 2-22, M. Yaccarini a hâte que le litige entre la Ville et le Café Cléopâtre (qui ne veut pas quitter ses locaux du 1230, boulevard Saint-Laurent) se règle. «On essaie de s'entendre avec le propriétaire, dit-il. On lui fait des propositions de relocalisation dans un commerce qui a un permis identique et qui va fermer.»

     

    Éric Paradis, porte-parole d'une coalition soutenant les artistes du Café Cléopâtre, nie qu'une proposition ait été faite en ce sens. «C'est une opération médiatique», dit-il. L'avocat du Café Cléopâtre, Louis Beauregard, a également dit à La Presse ne pas être au courant de ces démarches.

     

    http://www.cyberpresse.ca/arts/201005/03/01-4276620-quartier-des-spectacles-debut-de-la-construction-du-2-22.php

  14. JENNIFER GUTHRIE

    MÉTRO

    03 mai 2010 20:24

     

    Près d’un an après avoir été annoncés, les travaux de construction du 2-22 Sainte-Catherine, l’un des édifices phares du Quartier des spectacles, débutent. La Société de développement Angus (SDA) a obtenu le permis nécessaire pour entamer, ce mois-ci, les travaux de fondation. La construction se poursuivra sur une période de 11 mois.

     

    Les occupants du nouveau bâtiment, qui sera érigé à l’angle de la rue Sainte-Catherine et du boulevard Saint-Laurent, devraient prendre possession de leurs locaux en avril 2011. L’édifice de six étages qui sera construit différera du projet d’abord proposé par la SDA en 2008.

     

    «Selon moi, la nouvelle mouture du projet est bien meilleure que l’ancienne, a noté le responsable de l’urbanisme à la Ville de Montréal, Richard Bergeron. L’ancien projet tournait le dos à Saint-Laurent, ce qui était inimaginable. De plus, sa hauteur [NDLR : le bâtiment comptait à l’origine huit étages] faisait en sorte qu’il s’intégrait mal au patrimoine bâti.»

     

    Le maire de Montréal, Gérald Tremblay, a dit espérer que la construction du 2-22 Sainte-Catherine servirait de bougie d’allumage et permettrait au Quartier des spectacles d’attirer des investisseurs privés.

     

    Un nouveau bistrot

    Le Café 2-22 sera intégré au bâtiment imaginé par la Société de dévelop*pement Angus (SDA). Une terrasse y sera aménagée. Elle donnera sur la rue Sainte-Catherine, qui sera entièrement refaçonnée entre les rues De Bleury et Saint-Dominique au cours des prochains mois.

     

    De verre et de bois

    L’enveloppe du 2-22 sera faite de verre. Des parois de bois seront installées à l’intérieur de l’édifice. Le 2-22 Sainte-Catherine devrait respecter les normes environne*mentales LEED.

     

    Les occupants

    Les occupants du 2-22 Sainte-Catherine devront être à 75 % des organisations culturelles. Pour le moment, CIBL, le consortium Imago, la Galerie Vox, le Regroupement des centres d’artistes

    autogérés du Québec et la Vitrine culturelle ont confirmé leur intention d’intégrer le nouveau

    bâtiment.

     

    Quadrilatère Saint-Laurent

    Autre projet de la SDA, le Quadrilatère Saint-Laurent, devrait voir le jour au cours des prochaines années. Les discussions se poursuivent avec le Café Cléopâtre en vue de sa relocalisation. La SDA compte également demander un permis à la Ville pour déconstruire les façades à conserver et démolir les autres bâtiments.

     

    http://www.journalmetro.com/linfo/article/517995--les-travaux-lances-au-2-22

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