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  1. Publié le 02 mai 2012 à 11h11 | Mis à jour le 02 mai 2012 à 11h11 Les micro-algues, une alternative qui prend forme Jean-Louis Santini Agence France-Presse Washington Les micro-algues, source de biocarburant pouvant se substituer au pétrole, devraient bientôt voir leur potentiel se libérer grâce à des investissements et des technologies innovantes d'extraction, jugent des experts aux États-Unis. Selon un rapport du ministère de l'Énergie, les micro-algues pourraient à terme remplacer jusqu'à 17% des importations pétrolières américaines. Ce ministère soutient plus de 30 projets visant à produire du biocarburant avec des micro-algues qui représentent au total 85 millions de dollars d'investissements, dont le plus récent a été annoncé en février par le président Barack Obama. «Nous avons réalisé une étude montrant que le carburant -essence ou gazole- tiré des micro-algues pourrait être produit pour seulement 2,28 dollars le gallon» (3,78 litres), affirme à l'AFP Riggs Eckelberry, PDG de la firme américaine Originoil, soit près de deux fois moins que le prix actuel à la pompe. Originoil est une des sociétés aux États-Unis avec Sapphire Energy, dans laquelle Bill Gates a investi, qui ont mis au point des technologies d'extraction rentables du carburant produit par ces micro-organismes marins. Les compagnies pétrolières Exxon et Shell parient également sur le potentiel prometteur des micro-algues via leur partenariat avec Synthetic Genomics et Cellana respectivement. «Aux États-Unis, les biocarburants tirés des algues seront d'abord produits pour les militaires et le transport aérien. Il faudra de ce fait probablement attendre le début de la prochaine décennie pour une distribution à grande échelle pour les automobilistes», explique le patron d'Originoil. «La Marine américaine seule prévoit de remplacer, dans les huit prochaines années, 50% de sa consommation de carburant avec des biocarburants qui ne sont pas en concurrence avec des cultures pour l'alimentation humaine. Il table sur les micro-algues», rappelle-t-il. Mais avant de pouvoir «mélanger ce biocarburant issu des micro-algues avec des hydrocarbures, il faut les standardiser», précise Riggs Eckelberry. À cette fin, sa firme a conclu un accord de recherche en décembre 2011 avec le ministère de l'Énergie. Comparativement aux autres sources de biocarburant, ces micro-organismes sont beaucoup plus productifs, avec un rendement virtuel à l'hectare allant jusqu'à 25 000 litres contre 6000 litres pour l'huile de palme, la plus productive actuellement en exploitation, selon des experts. Contrairement au maïs, la production de biocarburant par micro-algues «n'a aucun impact sur la production alimentaire ou la disponibilité d'eau fraîche», souligne Riggs Eckelberry. «Hautement productifs, ces micro-organismes unicellulaires se développent si vite qu'ils sont récoltés quotidiennement et se plaisent à se reproduire dans les eaux usées chargées en nitrate, ou salées de l'océan.» Les micro-algues recourent aussi à la photosynthèse et consomment beaucoup de dioxyde de carbone (CO2), principal gaz à effet de serre. Elles produisent de surcroît une grande variété de molécules riches en substances biochimiques qui ont de nombreuses applications dans la production alimentaire et la pharmacie. Originoil met déjà en application sa technologie d'extraction non-chimique du carburant des micro-algues dans un projet en Australie et en France avec la société Ennesys. Il s'agit de la construction de deux immeubles de bureaux dans le quartier de la Défense, près de Paris, capables de produire plus d'énergie qu'ils n'en consomment en utilisant leurs eaux usées chargées en CO2 et en nitrate pour cultiver des micro-algues qui produiront du biocarburant pouvant générer de l'électricité à un coût très faible.
  2. La production mondiale fera un bond d'ici à 2015 passant de 55,7 milliards à 162 milliards de litres, selon une étude sortie mercredi. Pour en lire plus...
  3. Une première usine d’éthanol au Québec 12:04 | Alexis Beauchamp, LesAffaires.com GreenField Éthanol ouvre la première usine d’éthanol au Québec, elle produira 120 millions de litres par année à partir de maïs québécois. Le plus important producteur d’éthanol au Canada ouvre ainsi sa troisième usine au pays, les deux autres se trouvant à Chatham et à Tiverton, en Ontario. Deux usines supplémentaires sont également en chantier dans cette province. GreenField Éthanol se positionne donc comme un chef de file en Amérique du Nord dans l’industrie de l’éthanol. L’entreprise pourra miser sur une capacité de production annuelle de 700 millions de litres dès 2008. La production de l’usine de Varennes a déjà trouvé preneur! GreenField Éthanol et Petro-Canada ont en effet signé une entente d'exclusivité de 10 ans. Au total, 12 millions de boisseaux de maïs seront utilisés chaque année par l’usine de Varennes pour produire un carburant moins polluant. Le président et chef de la direction de GreenField Éthanol, Robert Gallant, a tenu à préciser que « l’engagement pris récemment par le gouvernement fédéral dans le budget d’allouer 2G$ aux carburants renouvelables stimulera beaucoup l’industrie, au Québec et partout au pays ». Le ministre des Finances du Canada Jim Flaherty et le secrétaire d’État à l’agriculture, Christian Paradis, étaient d'ailleurs présents lors de l’ouverture officielle de l’usine de Varennes. GreenField Éthanol pourrait avoir d'autres projets au Québec. Elle est en réflexion quant à l’emplacement de sa première usine d’éthanol cellulosique, produit à partir de matières ligneuses, comme les copeaux de bois. Ce biocarburant coûte plus cher à produire que l’éthanol à base de maïs, mais ses qualités environnementales sont plus intéressantes.
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