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  1. How safe is your métro station? http://www.montrealgazette.com/news/Montrealers+safe+your+m%C3%A9tro+station/8972463/story.html Quiet stations tend to have more crime per capita Berri-UQÀM, in eastern downtown, recorded 12.5 million boardings in 2009. There were 20.4 crimes per 1 million boardings. Photograph by: Marie-France Coallier , Marie-France Coallier MONTREAL - For the first time, Montrealers can find out which métro stations see the most crimes. Turns out some least-used subway stops have the highest per capita crime rates. The Gazette has obtained station-by-station statistics after Quebec’s access-to-information commission sided with the newspaper in a three-year battle with the Montreal police department. The figures cover 2008 and 2009, as police only revealed partial information for more recent years. Between 2008 and 2009, criminality jumped at 38 of 64 stations patrolled by Montreal police. At 13 of those, the number of criminal infractions more than doubled. The network’s busiest station, Berri-UQÀM — a transfer point served by three métro lines — saw the largest number of crimes. There were 255 crimes in 2009, up from 243 the previous year. In 2009, 18 stations saw at least 10 crimes involving violence or threat of violence (“crimes against the person”), including Berri-UQÀM (59 cases), Lionel-Groulx (33), Sherbrooke (20) and Vendôme, Snowdon and Jean-Talon (17 each). For every station, The Gazette calculated the number of criminal prosecutions per 1 million passengers who entered the network there. Berri-UQÀM, in eastern downtown, recorded 12.5 million boardings in 2009. There were 20.4 crimes per 1 million boardings. But it was Georges-Vanier, in Little Burgundy southwest of downtown, that recorded the most crimes per capita. At that station — the network’s least used with only 742,000 boardings in 2009 — there were 28.3 crimes per 1 million boardings. Georges-Vanier is a reatlively desolate location, especially at night. It’s next to the Ville-Marie Expressway and no buses serve the station. Beaudry and Monk stations are other examples. Both are among the bottom five for boardings but in the Top 5 for per capita crimes. Click for an interactive map showing crimes in the métro. Reading this on a mobile device? Find the link at the end of the story. The figures give only an approximation of station-per-capita crime rates. The STM only maintains statistics for the number of people who pass through turnstiles at individual métro stations. That means ridership figures used in these calculations only give an idea of how busy stations are. Some stations have few people entering but a high number of passengers disembarking. In addition, transfer stations are busier than boarding figures would suggest because passengers there move from one line to another without going through turnstiles. Bylaw infractions, including graffiti and malicious damage to STM property, were also detailed in the 2008-09 statistics. In more than one-quarter of Montreal métro stations, there were at least 10 bylaw infractions in 2009, with Berri-UQÀM (378 incidents), Sherbrooke (76) and Atwater (67) having the most. The figures obtained by The Gazette cover the 64 stations on Montreal Island and Île Ste-Hélène. Laval and Longueuil stations are patrolled by their respective police forces. Every year, Montreal police publish crime statistics for the entire métro network, but the force has resisted providing more detailed data. After failing to convince the access commission that the data should be kept secret (see sidebar), police recently provided The Gazette with the number of crimes and bylaw infractions at every station in 2008 and 2009. But when the newspaper subsequently requested 2010, 2011 and 2012 statistics, the department did not provide comparable data. Instead, it lumped incidents such as lost objects and calls for ambulances with crimes and bylaw infractions, rendering the 2010-12 statistics almost meaningless. The Gazette is appealing the police department's decision to keep the 2010-12 crime figures under wraps. Police and the STM say Montreal has a very low subway crime rate compared with other cities. Crimes in the métro are relatively rare and the métro's overall crime rate has dropped significantly between 2008 and 2012. Montreal police started patrolling the network in 2007. Before that, STM officers were in charge of security in the métro system. The Gazette sought the station-by-station figures so it could tell readers at which station passengers are the most likely to become the victim of a crime or to witness crimes or bylaw infractions. Making the data public also allows the public to monitor progress in reducing incidents at particular stations. ariga@montrealgazette.com Twitter: andyriga Facebook: AndyRigaMontreal © Copyright © The Montreal Gazette
  2. [c'est arrivé jeudi] La Métropolitaine encore inondée Bruno Bisson La Presse Publié le 04 décembre 2009 à 05h00 | Mis à jour à 05h00 C'est la sixième fois en seulement cinq ans que la circulation est perturbée en raison d'une inondation de la chaussée sur la Métropolitaine, sous le rond-point l'Acadie. En 2005 (notre photo), deux incidents majeurs avaient provoqué de nombreux refoulements dans les conduites d'eau. La plus importante autoroute du Québec, la Métropolitaine (A-40), a été une fois de plus partiellement fermée durant trois heures, en période de pointe, hier matin, en raison d'une averse ordinaire et de trois puisards bloqués, à la hauteur du rond-point l'Acadie, dans le nord de Montréal. La mare qui s'est accumulée sur la chaussée de la voie de service de l'autoroute 40 en direction est, peu avant 7h du matin, a atteint une profondeur de 10 à 12 cm, dans la partie la plus profonde de la chaussée. Deux voies de circulation ont dû être fermées jusqu'à 10 h 30, a indiqué hier le directeur de la Direction de l'épuration des eaux usées à la Ville de Montréal, M. Richard Fontaine. C'est la sixième fois, au moins, en seulement cinq ans, que la circulation est perturbée en raison d'une inondation de la chaussée sur la Métropolitaine et ses voies de service depuis la reconstruction du rond-point qui surplombe l'autoroute 40, et qui relie l'autoroute au réseau artériel de la Ville de Montréal. Construit à la fin des années 50 pour relier les secteurs situés de part et d'autre de l'autoroute, le rond-point l'Acadie a été entièrement reconfiguré, au début des années 2000. La facture de ce projet était estimée à 58 millions. Les travaux terminés, à la fin de 2004, en ont coûté le double : 116 millions. Dans les mois qui ont suivi l'inauguration de la structure, l'autoroute Métropolitaine, qui passe sous le rond-point, a été complètement inondée à deux reprises, et ce, à seulement trois semaines d'intervalle, en raison des précipitations d'une rare intensité tombées sur Montréal les 14 juin et 5 juillet 2005. Ces incidents ont été attribués aux précipitations exceptionnelles qui ont surchargé un collecteur principal de conduite d'eau de la Ville de Montréal, qui draine les eaux usées d'une large portion du nord de la ville, englobant tout le secteur du rond-point l'Acadie. À la suite d'une troisième inondation survenue en juillet dernier, le ministère des Transports du Québec (MTQ) et la Ville de Montréal ont entrepris la réalisation d'études hydrauliques pour tenter de comprendre comment et pourquoi se produisent ces surcharges du collecteur, et trouver des solutions pour y remédier, a révélé hier M. Fontaine. Hier matin, l'inondation de la chaussée n'avait toutefois rien à voir avec le collecteur de la Ville, ni avec des pluies intenses. Selon Environnement Canada, les précipitations de mercredi à hier ont laissé environ 10 mm d'eau sur la ville, dans les trois heures qui ont précédé l'inondation de la voie de service de l'autoroute 40. «Ce n'était pas un problème de refoulement, a dit M. Fontaine, mais plutôt un problème d'écoulement. Les équipes d'entretien dépêchées sur les lieux ont constaté qu'il y avait des débris qui obstruaient trois regards d'égout. Le curage des trois regards a été fait, et les eaux se sont écoulées immédiatement.» M. Fontaine a précisé hier qu'on «a convenu avec l'arrondissement qu'on procédera à un nettoyage plus fréquent de ces regards d'égout. Habituellement, on le fait une fois aux six mois. Mais je pense que dans ces conditions, avec ce qu'on a vu aujourd'hui, ça va être fait désormais tous les mois.» En plus des trois inondations de 2005 et 2009, c'est aussi la troisième fois qu'une voie de service de la Métropolitaine, dont l'entretien relève de la Ville de Montréal, doit fermer en raison d'une accumulation d'eau pouvant représenter un risque pour la sécurité des automobilistes. Des incidents de même nature ont été signalés en 2006 et 2007. Pas aussi simple En entrevue à La Presse, le sous-ministre adjoint responsable de la direction territoriale de Montréal au MTQ, Jacques Gagnon, a reconnu qu'«il ne devrait pas y avoir une telle récurrence d'événements» sur une autoroute aussi importante que la Métropolitaine, où circulent quotidiennement près de 200 000 automobiles et camions. «La Ville de Montréal, a dit M. Gagnon, analyse le problème de son réseau collecteur, et on doit nous présenter prochainement, j'espère, des pistes de solution. Nous, au Ministère, on est prêts à collaborer avec la Ville pour régler le problème, mais dans l'intervalle, nous ne pouvons pas nous imposer dans sa juridiction.» M. Gagnon a précisé que même si les études hydrauliques susceptibles de déceler les problèmes de ruissellement et d'écoulement des eaux, dans cette large zone, ont commencé seulement après l'inondation de l'été dernier, «la Ville et le Ministère travaillent de concert depuis les premiers incidents de 2005». «Lors d'un de ces incidents, les regards d'égouts avaient été soulevés par l'eau, qui sortait des égouts comme en geyser, a rappelé M. Gagnon. Cela posait un problème de sécurité évident. Nous avons donc boulonné les regards, et nous avons installé des clapets anti-refoulement dans les conduites d'eau. L'eau ne monte plus sur l'autoroute. Les problèmes sont sur les voies de service.» M. Gagnon a insisté sur le fait qu'il ne veut pas «lancer la pierre» à la Ville de Montréal, et que l'analyse de l'écoulement et du captage des eaux provenant des fortes pluies, dans ce secteur, est «extrêmement complexe». http://www.cyberpresse.ca/actualites/regional/montreal/200912/03/01-927777-la-metropolitaine-encore-inondee.php
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