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  1. LE TUNNEL BROCK, VESTIGE DU PASSÉ PHOTOS DE BENJAMIN FORJAT & NATHALIE HURTUBISE & FRÉDÉRIC ANSERMOZ & JAROLD DUMOUCHEL Quand les tunnels ne débouchent plus MONTRÉAL (QUEBEC), CANADA Tirant son nom du général Isaac Brock, mort à la bataille de Queestown le 13 octobre 1812 (conflit entre le Canada et les États-Unis où l'armée britannique écrasa les Américains), le tunnel est construit entre 1889 et 1895. Surnommé le tunnel Beaudry, car il était le prolongement de la rue du même nom, il était long de 208 mètres, soit seulement 60 de moins que le Titanic. Son coût de construction a été de 163 750$ et il fut creusé au pic et à la pelle à partir de ses deux extrémités. Au point de rencontre des deux équipes, on installa une plaque commémorative afin de souligner l'événement. Malgré sa fermeture dans les années 1970, le site a servi de lieux de tournage pour quelques films dont Jésus de Montréal de Denis Arcand ainsi que Le Dernier Tunnel d'Érik Canuel. Aujourd'hui, la moitié du tunnel a été bouché, car sa sortie au sud n'existe plus. Un immense stationnement, propriété de la Brasserie Molson, occupe aujourd'hui l'espace. Quand à son entrée au nord, elle est clôturée, empêchant quiconque voulant y pénétrer. Néanmoins, des traces d'occupations démontrent que l'endroit est occupé durant sa période estivale. Des bouteilles de bière jonchent le sol ici et là et on retrouve à l'extrémité des sacs à couchages ainsi que des effets personnels. Lors de notre passage, de gigantesques stalactites offraient un spectacle surréaliste en cette journée printanière. Facebook Twitter Google Plus Myspace GALERIE PHOTO Intéressé par cet endroit? Jetez un coup d'oeil aux autres photos de le tunnel Brock, vestige du passé. http://www.urbexplayground.com/fr/urbex/le-tunnel-brock-vestige-du-passé
  2. La Labatt Bleue américaine brassée par Molson 19 août 2010 | 08h00 Mise à jour: 19 août 2010 | 12h30 Argent La bière Labatt Bleue destinée aux consommateurs américains va bientôt être brassée par Molson Coors. Les activités de la Bleue et de Bleue légère aux États-Unis ont été vendues à un brasseur indépendant américain, North American Breweries, lorsque le brasseur belge InBev a acquis la société américaine Anheuser-Busch, en 2008. Cette vente avait été ordonnée par les autorités antitrust américaines. Depuis lors, la Bleue a continué d'être brassée par Labatt au Canada, notamment à LaSalle. Cette entente doit obligatoirement prendre fin. Le nouvel acquéreur avait le choix de brasser lui-même la Bleue ou de la confier à un sous-traitant. C'est cette dernière option qu'il a choisie, en confiant la production à Molson. L'entente d'une durée de cinq ans permettra à Molson de produire 1,5 million d'hectolitres par année, ce qui représente 18 millions de caisses de 24, pour le marché américain. Les 800 employés de Molson à Montréal vont donc faire le travail des 450 employés de Labatt de LaSalle. Pour compléter le contrat, Molson prévoit des réaménagements et des embauches à son usine située rue Notre-Dame à Montréal. Pas d'inquiétude pour l'emploi Yanick Beaudry, président du Travailleuses et Travailleurs de la Brasserie Labatt, affilié à la CSN, ne croit pas que des emplois sont menacés à LaSalle. «La majorité du volume provient de l'usine de London, en Ontario, explique le syndicaliste. Une légère partie du volume partira de Montréal, soit environ 200 000 hectolitres.» M. Beaudry admet toutefois que la nouvelle a un goût étrange. «C'est assez particulier, en effet. Mais nous savions qu'il y avait peu d'options au Canada. Seuls Molson et Moosehead avaient la capacité de brassage. Nous nous attendions à ce que ce soit Moosehead. J'ai eu des discussions avec eux il y a un mois et on s'attendait à ce que ce soit eux.» Faut-il s'attendre à des rapprochements futurs entre Molson et Labatt dans une industrie où les regroupements ont été fréquents ? «Je ne penserais pas, soutient Yanick Beaudry, mais il y a des choses qui ne semblaient pas possibles il y a 10 ans et qui se sont passées. Je n'aurais jamais pensé que le même propriétaire aurait mis la main sur Labatt et Anheuser-Busch.»
  3. Pour le bilinguisme intégral à 12 ans Antoine Robitaille Édition du samedi 02 et du dimanche 03 août 2008 Les jeunes libéraux proposent également de tripler les droits de scolarité Sherbrooke -- Hausser les droits de scolarité au niveau de la moyenne canadienne, ce qui représenterait un effort d'environ 4000 $ de plus par année par étudiant, telle est l'une des résolutions phares dont les jeunes libéraux vont discuter aujourd'hui à Sherbrooke, lors de leur 26e congrès annuel, afin de changer «des modèles québécois». Plusieurs des 11 autres résolutions rédigées par l'exécutif (les régions en ont proposé 26), après une tournée de quelque 20 villes, risquent de provoquer d'âpres débats au sein et à l'extérieur du PLQ, notamment la proposition d'instaurer un programme obligatoire d'immersion en 6e année afin que tout Québécois devienne bilingue à 12 ans, celle de privilégier une hausse des tarifs d'Hydro-Québec à toute hausse de taxes, la diminution des taux d'imposition des entreprises, la promotion de l'exportation de l'eau «afin que les Québécois puissent commencer à s'enrichir grâce à leur or bleu», ainsi que l'adoption du principe du «consentement présumé» pour les greffes d'organes. Quelque 800 à 900 jeunes âgés de 16 à 25 ans s'étaient inscrits au congrès hier. Rafraîchir le syndicalisme Leur cahier de résolutions, dont le thème est «Le Québec, un travail d'équipe», est un document empreint d'une vive inquiétude à l'égard des tendances démographiques du Québec, lesquelles le feront passer «d'une société de travailleurs à une société de retraités». Aussi, comme Le Devoir le révélait hier, les membres de la CJ proposent des façons de «rafraîchir» les institutions syndicales. Ils ont entre autres jugé bon de ramener leur proposition (déjà battue au congrès des membres en mars à Québec) d'imposer des votes secrets «par les travailleurs concernés lors des processus de grève ou d'accréditation syndicale». Selon les jeunes de la CJ, il est «primordial que l'action syndicale représente en tout temps les intérêts et les préoccupations des travailleurs syndiqués». Le président de la CJ, François Beaudry, a soutenu que le principe du vote secret est «incontournable» en démocratie et que, par conséquent, personne ne devrait s'y opposer dans le monde syndical. À la Fédération des travailleurs du Québec, on déplorait hier ce positionnement. Le président de la FTQ, Michel Arsenault, a soutenu, lors d'un entretien téléphonique, que les votes secrets pour l'accréditation avaient entraîné, là où ils ont été adoptés, une baisse radicale du taux de syndicalisation (actuellement à 40 % au Québec), notamment parce qu'ils ont pour «effet pervers» de reporter souvent indéfiniment la décision de se syndiquer ou non. Au reste, M. Arsenault s'est plaint que les jeunes libéraux aient refusé de recevoir un représentant du comité jeune de la FTQ, Dominique Lemieux. Ce dernier avait proposé de venir faire une présentation devant les membres jeunes, laquelle aurait été suivie d'une période de questions. Interrogé à ce sujet, François Beaudry a confirmé avoir bien reçu une proposition de la FTQ. Mais selon lui elle est venue trop tard. De plus, la CJ, a-t-il insisté, ne reçoit habituellement aucun conférencier extérieur, qu'il soit représentant du patronat ou des syndicats. «J'ai vu une annonce contre les PPP sur l'autoroute 40; je n'ai pas été consulté non plus pour savoir si j'étais pour ou contre», a-t-il rétorqué. Il s'est toutefois dit disposé à rencontrer M. Lemieux «une prochaine fois». Impôt post-universitaire Quant à l'augmentation radicale des droits de scolarité, François Beaudry insiste sur le fait qu'elle s'accompagnerait de l'adoption d'un «impôt post-universitaire» (IPU), une formule selon laquelle on étudie maintenant et on paie plus tard, mais en proportion avec le salaire décroché. Et si un diplômé ne réussit pas à se trouver de l'emploi? «Il ne paie pas, c'est tout», a répondu M. Beaudry. L'idée d'un IPU a aussi circulé au sein du Parti québécois et avait même été évoquée l'an dernier comme solution au problème de financement des universités par le député de Gouin et ancien leader étudiant Nicolas Girard. En 2005, alors que les droits de scolarité étaient «gelés», les jeunes libéraux, réunis à Sherbrooke, avaient appuyé massivement une résolution prônant un «dégel responsable». M. Charest avait trouvé l'idée intéressante et en avait par la suite fait une proposition électorale lors du scrutin de 2007. Le dégel a été appliqué en septembre 2007. Au reste, François Beaudry a fait une sortie virulente contre le manque «d'imputabilité» qui a mené à ce qu'il est convenu d'appeler «le fiasco immobilier de l'UQAM», un «dérapage» qui s'est pourtant produit sous les libéraux. Tous bilingues à 12 ans La Commission jeunesse débattra aussi aujourd'hui de l'opportunité d'implanter un «véritable système d'apprentissage de la langue anglaise en sixième année du primaire», lequel comprendrait, pour tous les élèves «de la province», «un programme intensif en anglais d'une demi-année scolaire». Même si le français demeure la langue de «première importance», l'anglais est un atout dans la mondialisation actuelle, ont-il argué. Le jour de son arrivée à la tête de la CJ, l'an dernier, M. Beaudry avait provoqué une petite commotion lorsqu'il avait déclaré: «On est une province bilingue, qui va de plus en plus vers trilingue, quadrilingue. Donc, je pense que c'est important de parler autant en anglais qu'en français, deux langues qui sont égales, qui sont reconnues au Québec.» Il avait rectifié le tir le lendemain après avoir essuyé des critiques acerbes de la part du chef adéquiste Mario Dumont et de la chef péquiste Pauline Marois: «Le français est la langue officielle du Québec et n'est pas à égalité avec l'anglais; il n'y a aucun doute dans mon esprit.» Combien coûterait un programme d'immersion obligatoire? Pour l'instant, le responsable de cette question au congrès, Julien Gagnon, dit n'en avoir aucune idée. Il s'agit pour la CJ de proposer une «grande orientation»: «Un changement de modèle, c'est donner de nouvelles orientations, de nouveaux objectifs.» À l'entrée d'un caucus des élus libéraux qui avait lieu en marge de l'ouverture du congrès, le chef libéral Jean Charest a dit qu'il prêterait une grande attention à ce que les jeunes de son parti proposeraient. Mais il a ajouté que, lorsqu'on est jeune, «on est toujours plus pressé».
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