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  1. Le Québec, un chasseur plus qu’une proie Depuis 2010, les Québécois ont réalisé trois fois plus d’acquisitions hors des frontières qu’ils n’ont cédé d’entreprises à des intérêts étrangers 1 avril 2016 Éric Desrosiers, Robert Dutrisac En dépit des Rona et St-Hubert, les entreprises québécoises sont nettement gagnantes au jeu des acquisitions à l’étranger, a soutenu la ministre de l’Économie, de la Science et de l’Innovation, Dominique Anglade. « St-Hubert est une des marques les plus aimées au Québec année après année. Alors ça touche l’imaginaire, a affirmé Dominique Anglade au Devoir. Mais au-delà de l’imaginaire, il faut aussi qu’on regarde les chiffres. » Depuis 2010, les sociétés québécoises ont fait 258 transactions pour acquérir des entreprises à l’extérieur du Québec, tandis que les sociétés hors Québec ont conclu 85 rachats d’entreprises québécoises, a signalé la ministre. La valeur des transactions est nettement en faveur du Québec. Ainsi, les sociétés québécoises ont fait 177 transactions dont la valeur a été rendue publique — 520 millions de dollars en moyenne — pour une valeur totale de 92 milliards. Pour acquérir des sociétés d’ici, les sociétés non québécoises ont conclu 53 transactions dont la valeur est connue — 400 millions de dollars en moyenne — pour une valeur totale de 21 milliards. Dans le cas de St-Hubert, Dominique Anglade n’est pas prête à dire que la transaction est bénéfique pour le Québec, comme elle l’avait fait pour Rona. Investissement Québec a entamé des discussions avec la direction de St-Hubert mais à défaut d’un repreneur québécois, elles n’ont pas abouti. « On n’a pas eu l’occasion de déposer une contre-offre », a précisé la ministre. Le gouvernement était bien conscient que la relève n’existait pas au sein de l’entreprise familiale à capital privé. Dominique Anglade reconnaît que le gouvernement a peu de prise pour imposer de quelconques conditions à l’acquéreur. La question de la relève des chefs d’entreprise québécois est un problème sérieux, a-t-elle noté. « C’est pas compliqué : il y a plus de 50 000 personnes qui sont à la tête d’entreprises aujourd’hui qui vont prendre leur retraite dans les dix prochaines années », a prévenu la ministre. Mieux s’occuper de la relève La ministre Anglade n’était pas la seule jeudi à voir dans la vente de St-Hubert à des intérêts ontariens une illustration de l’immense défi auquel fera face le Québec inc. avec l’arrivée à l’âge de la retraite de toute une génération d’entrepreneurs. Le président exécutif de l’Institut sur la gouvernance d’organisations privées et publiques (IGOPP), Yvan Allaire, dit souhaiter que la transaction « sonne le réveil » des chefs d’entreprises et des pouvoirs publics sur le défi immense que représentera le transfert massif de propriété des entreprises québécoises au cours des prochaines années. « Il est temps que tout le monde s’occupe de cela de beaucoup plus près. » Selon une étude conjointe dévoilée en juin 2014 par le Fonds de solidarité de la FTQ et la Chambre de commerce du Montréal métropolitain (CCMM), entre 5700 et 10 000 entreprises québécoises devront se trouver un nouveau propriétaire d’ici 10 ans. Le sort de ces entreprises sera important parce qu’elles compteront pour de 79 000 à 139 000 emplois et de 8,2 à 12 milliards de retombées économiques. « La préparation d’une relève est un travail de longue haleine. Les chefs d’entreprises sont portés à sous-estimer le temps et les ressources nécessaires », explique le porte-parole du Fonds, Patrick McQuilken. Liés émotivement à leur compagnie, les entrepreneurs tendent souvent à trop attendre ou à se laisser surprendre par la maladie. Plutôt que de demander aux pouvoirs publics de bloquer en catastrophe des transactions au nom de la protection de la propriété québécoise des entreprises, on ferait mieux de demander à Investissement Québec, à la Caisse de dépôt et autres Fonds de solidarité de se fixer des objectifs beaucoup plus clairs et de mieux accompagner les entreprises québécoises dans leurs processus de transferts de propriété, pense le président et chef de la direction de la CCMM, Michel Leblanc. « Chaque entreprise a sa réalité propre, mais je suis convaincu qu’on trouverait plus de repreneurs québécois si l’on se donnait la peine de faire les choses comme il faut. Les choses s’améliorent, mais pas assez vite. » Transfert en interne Les gouvernements pourraient commencer par changer leurs règles fiscales, observait l’étude de la CCMM et du Fonds de solidarité. Trop souvent, elles se révèlent moins favorables aux personnes qui voudraient céder leur entreprise à leurs enfants plutôt qu’à des étrangers. Il faudrait notamment regarder du côté des États-Unis, pense Yvan Allaire. On y accorde des avantages fiscaux à ceux qui voudraient céder graduellement le contrôle de leur entreprise à ses cadres et ses employés. « C’est un modèle très populaire », dit l’expert en gouvernance d’entreprise. Plus de 10 000 entreprises s’en sont prévalues, dont la chaîne d’épiceries bien connue en Floride, Publix. « Il faudrait pour cela que le Québec s’entende avec Ottawa, mais on pourrait lui montrer la voie. Le problème est beaucoup plus aigu ici. » http://www.ledevoir.com/economie/actualites-economiques/467043/le-quebec-un-chasseur-plus-qu-une-proie
  2. http://montrealgazette.com/news/local-news/two-montrealers-striving-to-improve-citys-economic-lot?__lsa=4920-2f19 Among the people charged with promoting Montreal’s economic development, Éric Lemieux and Dominique Anglade are on the front lines. They’re battling with other cities around the world as Montreal vies for scarce new jobs and investment dollars, often competing against lucrative incentives offered by other jurisdictions. Lemieux is trying to breathe new life into the city’s financial sector while Anglade seeks out high-tech companies, aerospace firms and life science businesses willing to invest here. Banks and insurance companies have moved their headquarters to Toronto and local stock exchanges have closed but Lemieux, who heads the private-public agency known as Finance Montreal, sees new opportunities ahead. “Canada has a stable economy with good financial regulation,” he says, and the country emerged from the 2008-09 financial crisis with a healthy banking sector. That should help to attract international banking activities. The city has an “excellent pool of talent supplied by its universities and business schools,” he says, with 8,000 students enrolled in finance programs. It also boasts much cheaper operating costs than places like New York and Boston. “Banks like BNP Paribas, Société Générale and Morgan Stanley all made the decision to locate some of their operations here.” Montreal has over 100,000 jobs in the financial sector and derives close to 7 per cent of local GDP from the 3,000 financial firms working here. It’s become an important centre for pension fund management, led by the giant provincial agency the Caisse de dépot et placement as well as other large players such as PSP Investments and Fiera Capital. The sector includes more than 250 money-management firms. The city is developing a new area of expertise in financial derivatives like futures and options on stocks, currencies and bonds, which are traded on the Montreal Exchange. And financial technology is also a selling point for Montreal. It has a growing presence in software development and information technology for the asset management industry, as traders look for every technical edge they can get. Part of Lemieux’s effort comes through the International Financial Centre program, which offers employment-based tax credits to financial firms that set up international operations here. “I think it’s a good success story,” he says. “There are more than 60 companies and 1,000 jobs that have located here” under the plan. “Seventy per cent of them would not be in Montreal if there wasn’t this support. We’re talking of $100 million in direct and indirect benefits.” Another important asset is the local venture capital industry, which finances startups and early-stage firms founded by entrepreneurs. The sector is led by such funding institutions as Teralys Capital and the Fonds de Solidarité. Put it all together and the portrait of the city doesn’t look too bad. According to the Global Financial Index — an international ranking that measures both size and industry perceptions — Montreal is the world’s 18th financial centre, up from 31st spot four years ago. Dominique Anglade runs Montreal International, the agency that prospects worldwide for foreign direct investment on behalf of the 82 municipalities in the Communauté métropolitaine de Montréal. Like Lemieux, she sees fierce competition for investment dollars. In this tough environment, the Montreal area has had its share of successes. 2013 was an exceptional year, as Montreal International helped to secure a record $1.2 billion in foreign direct investment (FDI). The year just ended will fall short of that mark but will “continue our momentum,” says Anglade. The city was recognized as having the best attraction strategy in North America in a survey by FDI Magazine, a sister publication to Britain’s Financial Times. The record performance was driven by several major expansions of foreign multinationals in the Montreal area, including French video-game maker Ubisoft and Swedish telecom giant Ericsson. The presence of multinationals is critical to the Montreal economy. They account for 20 per cent of local GDP and nine per cent of jobs, as well as a large share of private research and development. Montreal International’s task is to convince them not only to stay but to invest and expand here. Multinationals often pit one plant location against another to see which one will produce the best value proposition. Montreal International’s job is to stay in constant touch with the companies that have a presence here to find out what they want to accomplish and what they need to survive. Anglade targets certain niches where the city is already strong such as information technology, video games, special effects for movies and TV, aerospace and life sciences. Information technology represented by far the biggest share of the new money coming into the city in 2013. The video game industry also remains a strong performer, with five of the world’s top 10 selling games produced in Montreal. A significant percentage of deals — about 60 per cent — involve government financial assistance through provincial tax credits but Anglade doesn’t apologize for the financial aid offered to the private sector. “The competition in the U.S. has no limit. They have billions in terms of incentives and that’s why we have to be extremely strategic in Montreal and focus on specific sectors.” She notes that Swedish appliance maker Electrolux opted to close its plant in nearby L’Assomption, employing 1,300, and shifted operations to Tennessee after it was offered a rich package of incentives by three levels of government. Still, in industries that require more skill and knowledge, the availability of talent is Montreal’s strong point, Anglade says. “One of the surprises that people have about Montreal is its talent pool. I can’t tell you how many companies have said ‘wow, this is amazing’ when they start to fill positions here. It’s why we need to stress the importance of education. It’s critical for the future of Quebec.”
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