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  1. http://www.journalmetro.com/linfo/article/982423--1-25-m-pour-182-bancs-dans-le-quartier-des-spectacles--page0

     

    La Ville de Montréal a fait l’acquisition de 182 modules de bancs en béton préfabriqué La première livraison doit être faite en 2012

     

    COLLABORATION SPÉCIALE

    Le comité exécutif de la Ville de Montréal a approuvé la commande de 182 modules de bancs et cinq tables afin de compléter l’aménagement des quatre phases du QDS. La construction de ces éléments doit débuter au mois d’octobre. La facture totale s’élèvera à 1,25 M$.

     

     

     

    Les habitués du Quartier des spectacles (QDS) pourront poser leurs fesses sur de nouveaux bancs en béton préfabriqué dès le début de l’été prochain.

     

    Le comité exécutif de la Ville de Montréal a approuvé la commande de 182 modules de bancs et cinq tables afin de compléter l’aménagement des quatre phases du QDS. La construction de ces éléments doit débuter au mois d’octobre. La facture totale s’élèvera à 1,25 M$.

     

    Une première livraison de 146 modules et de quatre tables doit avoir lieu au début de l’été 2012. Ils seront installés sur la Place des festivals, sur le Parterre, sur la Promenade des artistes et sur les rues Saint-Urbain et Sainte-Catherine.

     

    À l’été 2013, 10 nouveaux modules s’ajouteront sur la rue Jeanne-Mance, au sud de la rue Sainte-Catherine. L’été suivant, les 25 derniers modules seront livrés sur l’esplanade Clark, où les travaux devraient prendre fin en 2013.

     

    Les bancs pourront être déplacés au gré des événements et des besoins. «Toutefois, ces bancs pèsent environ 3000 livres chacun, a rappelé Isabelle Poulin, porte-parole de la Ville. Il faut donc un chariot élévateur pour déplacer les bancs. Les gens, même en groupe, ne pourront pas les déplacer ou même les faire bouger.»

     

    Les bancs ont été dessinés par la firme Daoust Lestage, à qui l’on doit également le design du Quartier des spectacles. Ils sont faits de béton, mais comprennent une assise en bois (ipé). Ils inclus aussi des dispositifs anti-skateboard et sont enduis d’un produit qui facilite leur nettoyage.

     

    Depuis le mois de mai, 22 bancs, issus d’une première production prototype, sont installés sur le Parterre. Ces bancs ont fait l’objet d’essais à l’automne 2010.

     

    «Les réactions ont été positives, a indiqué Mme Poulin. Nous avons aussi pu voir cet été que les bancs sont utilisés à longueur de journée et que cette utilisation est plus intensive le midi ou lors d'événements publics.»

     

    Fait à noter, les bancs demeureront en place même pendant l’hiver, ce qui ne devrait pas affecter leur durée de vie malgré tout.

     

    «Ces bancs auront une longue durée de vie, a assuré Isabelle Poulin. Il est difficile d'établir le nombre d'années exact, mais il est important de noter que les matériaux choisis sont des matériaux ayant une grande durabilité et bien adaptés au climat extérieur. L'acier inoxydable ne rouille pas et n'a pas besoin d'être peint. L'ipé est un bois très dur et est celui qui résiste le mieux aux intempéries. Enfin, le béton, dans ce type d'utilisation, ne s'use presque pas.»

     

    La facture de 1,25 M$ – qui inclut notamment les frais de livraison, la signalisation temporaire requise au moment du déchargement des bancs, des pièces de rechange et des contingences – pourrait en surprendre certains, mais la Ville assure que le coût par banc, qui est estimé à 4 800 $, est raisonnable pour ce type de mobilier.

     

    «Le mobilier urbain n'a aucune commune mesure avec du mobilier de jardin, a soutenu Mme Poulin. D'une part, le mobilier urbain est conçu pour résister à un usage intensif par des milliers et des milliers de personnes, pendant de nombreuses années, dans un environnement où le climat varie beaucoup. D'autre part, le mobilier fait partie d'un projet d'ensemble. Le design du mobilier doit donc répondre aux besoins du projet d'ensemble. Dans le cas présent, il fallait, par exemple, des bancs qui pouvaient être déplacés au gré des besoins, mais qui ne seraient pas vulnérables au vol ou au vandalisme.»

  2. http://www.montrealgazette.com/news/Concordia+Student+Union+rejects+Faubourg+project/5472898/story.html

     

    Concordia Student Union rejects Faubourg project

     

    By Karen Seidman, GAZETTE Universities Reporter September 28, 2011 8:01 PM

     

    MONTREAL - It’s back to the drawing board for a project to provide a building dedicated to student activities at Concordia University.

     

    After years of work and planning, it’s not even clear if the students really want a student union building after the project suffered a major setback this week.

     

    A proposal to buy the Faubourg development at Ste. Catherine and Guy Sts. was unanimously rejected by the Concordia Student Union at a meeting Tuesday night.

     

    The proposed $54-million project was considered too full of holes to get a resounding recommendation from students, said Lex Gill, president of the CSU.

     

    But Concordia will now pursue purchasing the building for its own academic needs, said Roger Côté, vice-president of services for the university.

     

    “I encouraged the students to embrace this initiative,” Côté said. “I felt it was a unique opportunity.”

     

    But because there is an opportunity to buy the building with a deadline of next April, the university will have to move quickly now to try to secure the building – located in the geographic centre of the campus, Côté noted – for itself.

     

    “We definitely have interests in pursuing that avenue,” Côté said. “We would use it for academic purposes. We are always responding to and addressing the needs of the community.”

     

    Students were far less excited about the project, although it was proposed by a committee made up of students and administrators who had been working since 2003 to try to secure a dedicated space for student activities.

     

    “The students had never been consulted in a meaningful way about the project,” Gill said. “There were just too many unresolved issues.”

     

    The student union has been collecting money toward a union building fund since about 2003. A $1-fee-per-course credit was imposed, which was raised to $2 in 2005. To date, about $8 million has been collected.

     

    It was expected to cost about $32 million to purchase the Faubourg building, and another $20 million to refurbish it.

     

    The CSU would have been responsible for $27.5 million, and the university for the remaining $26.5 million. The two would share costs and operation of the joint venture.

     

    But the CSU had concerns with some of the university’s policies that would apply to the student centre. For example, security guards would be allowed to ask someone to leave the premises for not having Concordia identification. In addition, the CSU says revenue from certain retail space in the basement would go entirely to the university.

     

    Centralizing student space sounds good in principle, Gill said, but at the Faubourg, students would gain only a few thousand square metres because they would lose existing spaces.

     

    “And the spaces we’d be losing have social and historical significance to students,” she said.

     

    When push came to shove, as it did Tuesday night, the students “just didn’t feel it was responsible to walk into a 25-year mortgage with the university on a project we’re not confident students support.”

     

    kseidman@montrealgazette.com

  3. Publié le 27 septembre 2011 à 15h23 | Mis à jour le 28 septembre 2011 à 11h49

    Une formule simplifiée de Montréal en lumière

     

    Fort de l'appui d'un nouveau commanditaire principal - le groupe bancaire RBC -, le festival Montréal en lumière va recentrer ses activités dans le Quartier des spectacles, là même où il a vu le jour il y a 12 ans.

     

    «Nous avons opté pour une formule simplifiée», a expliqué hier en conférence de presse Alain Simard, le président de l'Équipe Spectra qui a mis sur pied Montréal en lumière à la suite de la volonté des gouvernements exprimée au Sommet sur l'économie et l'emploi à la fin des années 90. La mission: relancer la saison touristique hivernale en affirmant la position de Montréal comme métropole culturelle et gastronomique et «ville des festivals».

     

    La formule est «simplifiée» d'abord du point de vue géographique: toutes les activités extérieures seront désormais concentrées sur la place des Festivals et l'esplanade de la Place des Arts; au cours des dernières années, à cause des chantiers que l'on sait au centre-ville, les activités familiales de Montréal en lumière se tenaient dans le Vieux-Port et sur la place Jacques-Cartier durant les week-ends; il y en aura désormais tous les jours durant Montréal en lumière.

     

    Les spectacles continueront d'être présentés à la Place des Arts et dans les autres salles du Quartier des spectacles. Quant aux 50 «bonnes tables» du volet gastronomique, on continuera de les trouver un peu partout au centre-ville, dans le Mile-End et sur le Plateau-Mont-Royal. Cette année, les invités sont la Belgique francophone - une vingtaine de chefs et de chocolatiers de la région Wallonie-Bruxelles travailleront dans autant de restaurants montréalais entre le 16 et le 26 février 2012. Dans le même volet, les vedettes américaines sont Seattle, ville de fruits de mer et de restaurants éphémères, et la région vinicole de Washington-Oregon, deux États qui, ensemble, comptent plus de 1000 vignobles commerciaux d'où sortent riesling, chardonnay, merlot et autres cabernet franc.

     

    Simplification aussi dans la nomenclature: les différents volets ne porteront plus les noms de leurs commanditaires respectifs comme, l'an dernier, les Arts Financière Sun Life, les Plaisirs de la Table SAQ et la Fête de la lumière BMO Banque de Montréal. L'apport de RBC, comprend-on, permet un réalignement commanditaire qui aidera Montréal en lumière à se départir de son image de «trois festivals en un», difficile à suivre... et à vendre.

     

    Le groupe RBC (la marque de Royal Bank of Canada, plus grosse banque du pays) succède à Hydro-Québec, présentateur de Montréal en lumière depuis 10 ans. Qu'attend la Banque Royale de cette nouvelle association? «Notre objectif est d'être près des gens», explique à La Presse Micheline Martin, présidente de la Banque Royale (Québec). Contre «un gros chèque», Mme Martin verra sa marque occuper «seule» l'espace festivalier de février. L'enveloppe de RBC pour les dons et commandites atteint les 100 millions pour l'ensemble du Canada dont 6 millions pour le Québec, somme qui exclut la nouvelle commandite annoncée hier, précise Mme Martin. De ces 6 millions, 10% sont alloués aux activités culturelles, le gros des dons de RBC allant aux universités, hôpitaux et autres oeuvres caritatives.

     

    Le budget de Montréal en lumière est de l'ordre de 8 millions; l'an dernier, les commandites comptaient pour 54% du budget de 6,4 millions, les subventions pour 34% et les revenus autonomes (la billetterie) pour 12%.

     

    RBC est le deuxième grand groupe bancaire canadien à devenir le commanditaire principal d'un grand festival montréalais; l'autre est le groupe TD (Toronto Dominion), présentateur du Festival international de jazz de Montréal depuis 2009.

  4. http://www.montrealgazette.com/travel/Museum+expanded+spaces+make+bold+statement/5462059/story.html

     

     

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    New MMFA galleries explore key themes and juxtapositions

    BY JOHN POHL, THE GAZETTE SEPTEMBER 27, 2011

     

    The unveiling Monday afternoon of David Altmejd's monumental bronze sculpture of an angel signals that the Montreal Museum of Fine Arts is about to invite the public into the Bourgie Concert Hall and its new pavilion of Quebec and Canadian art.

     

    Altmejd's The Eye, standing in front of a church that has been transformed into a concert hall, continues the artist's fascination with bodies in metamorphosis and is a fitting symbol for an art museum in its own great transformation.

     

    The former Erskine and American Church, now a 444-seat concert hall with comfortable seating, is also a space for exhibiting 81 restored stained-glass windows, 20 of them made by the Tiffany company of New York.

     

    The concert hall is attached to the new six-level Claire and Marc Bourgie Pavilion of Quebec and Canadian Art. Provencher Roy + Associés, the architects, married the reddish stone church to a new construction with white marble cladding that connects it to the Desmarais pavilion across Sherbrooke St. and the Hornstein and Stewart pavilions across du Musée St.

     

    The white marble entry in the old church's facade is a bit of a clash, but inside, the pavilion is a spectacular setting for showing art, both familiar pieces and new acquisitions.

     

    Level 4 is devoted to Inuit art and features a skylit atrium that overlooks Dominique Blain's Mirabilia, an installation of glowing glass cubes representing artifacts that have been lost or destroyed.

     

    Level 3 is Founding Identities, about the first contacts between colonists and natives, which includes contemporary native art about those encounters, said Jacques Des Rochers, curator for Quebec and Canadian art from the New France period to 1940.

     

    Kent Monkman, an artist of Cree ancestry who is well-known for his humour and for appropriating the language of 18th-and 19thcentury European artists, was commissioned to paint The King's Beavers.

     

    The first contacts were primarily commercial, Monkman said. In his research, he discovered Louis XV's obsession with hunting. "I wanted to create a painting with empathy for the beavers" who were the object of the trade between natives and whites, he said.

     

    The result is more about rape and pillage than hunting. Monkman applied religious iconography of the period to a concept he said is based on the Rape of the Sabine Women. So you have a scene in which one beaver echoes St. Sebastian, tied to a tree and pierced with arrows, as other beavers ascend into heaven.

     

    A sculpture of a Virgin Mary from the original Notre Dame church is on display after a restoration that took 2,500 hours, Des Rochers said. It was originally white to make people think it was marble, but it has been restored to a later period when it had colour, he said. There are many gems on this floor, including a portrait by Théophile Hamel from 1841 whose subject is wearing an earring and a pendant that is on display nearby.

     

    Level 2, the Era of Annual Exhibitions (1880s to 1920s), features a raised platform of bronze sculptures by Alfred Laliberté and Marc-Aurèle de Foy Suzor-Côté.

     

    Wyatt Eaton's Noon Day Rest is enclosed in one of 20 new frames built in period style by museum staff that transforms a good painting into a spectacular one. "You never saw it like this," Des Rochers said. "There are paintings we didn't show before because we were ashamed of the frames."

     

    Level 1, Towards Modernism, shows the artists who rebelled against academic painting in the 1920s to 1940s. Level S1 is the Age of the Manifesto, featuring the Automatistes of the Refus Global. Jean-Paul Riopelle is represented here and in Level S2, where his Ice Canoe is hung. Many iconic Canadian works, including Serge Lemoyne's Dryden and Michael Snow's walking women, are here.

     

    This gallery doubles as the underground walkway connecting the Bourgie pavilion to the other buildings, where most of the permanent galleries have been remade.

     

    Museum director Nathalie Bondil deserves much credit for pulling off this reinvention of the MMFA. Permanent exhibitions are still free and visitors to the Canadian and Quebec pavilion get a free audioguide, which includes music of the period.

     

    The museum has published the first of three books on its collection. Quebec and Canadian Art is 400 pages of images and essays about art in plain language.

     

    Two exhibitions open Friday in the Desmarais pavilion: 1980 to the Present, Current Practices in Quebec and Canadian Art, and Tête-à-Tête, Portraits of Quebec Artists by Richard-Max Tremblay. Museum members get access to a preview of the enlarged and remodelled museum over nine days of guided tours, lectures, films, concerts and workshops, starting Oct. 4.

     

    The public grand reopening of the museum takes place Oct. 14 to 16. Information: http://www.mbam.qc.ca.

     

    john.o.pohl@gmail.com

  5. http://ville.montreal.qc.ca/portal/page?_pageid=5798,42657625&_dad=portal&_schema=PORTAL&id=17347&ret=http://ville.montreal.qc.ca/pls/portal/url/page/prt_vdm_fr/rep_annonces_ville/rep_communiques/communiques

     

    27 septembre 2011

     

    Montréal, le 27 septembre 2011 - Le conseil municipal a complété hier l'adoption du Programme particulier d'urbanisme (PPU) du Quartier des grands jardins qui avait reçu l'appui favorable du public à la suite des consultations de l'Office de consultation publique de Montréal. L'arrondissement de Ville-Marie se réjouit de l'appui reçu des partenaires du milieu culturel, institutionnel, économique et social pour une revitalisation attendue du secteur.

     

    « C'est le temps de poursuivre les efforts de développement et de mise en valeur de ce quartier central et unique de Montréal », a déclaré le maire de Montréal, monsieur Gérald Tremblay.

     

    Une revitalisation en marche

     

    La mise à niveau du parc Hector-Toe-Blake, l'aménagement de la place Norman-Bethune, la réfection des chaussées sur le boulevard De Maisonneuve dans le quartier Concordia et la construction de l'îlot Seville avec 420 nouveaux logements sont des exemples tangibles de la transformation du secteur. Également, la Ville proposera pour adoption cet automne un règlement sur les PIIA (Plan d'implantation et d'intégration architecturale), afin de garantir un contrôle qualitatif plus précis et mieux orienté qui favorisera la mise en valeur du patrimoine bâti et paysager dans le secteur.

     

    Pour assurer la mise en œuvre du PPU, l'arrondissement procédera cette année à la création d'un comité de suivi en partenariat avec le milieu. « Ce sont 5,5 M $ qui vont être dédiés pour le réaménagement du square Cabot, lieu hautement symbolique du quartier, et c'est sans compter sur les subventions accordées par la Ville dans le cadre du programme PR@M-Commerce qui s'élèvent à 275 000 $ », a rappelé le maire.

     

    Un milieu impliqué

     

    Le Programme particulier d'urbanisme a suscité l'enthousiasme des participants à l'occasion des consultations publiques qui ont eu lieu en mars dernier. Les organismes concernés par la revitalisation, qui avaient notamment bénéficié de l'implication particulière de la Table de concertation du centre-ville Ouest, ont affirmé que le PPU venait à point pour revivifier les espoirs et développer le sentiment d'appartenance au quartier.

     

    Plus particulièrement, l'accès aux jardins institutionnels, le verdissement de l'espace public, la propreté, et l'habitation sont autant d'éléments qui ont intéressé les citoyens. Les moyens mis de l'avant dans le PPU viennent donc mettre en lumière l'importance de travailler sur le caractère durable du quartier que l'on qualifie de « Quartier des grands jardins », de par la présence des grandes institutions. La création d'un nouveau parc sur le boulevard De Maisonneuve, prévue dans le PPU, viendra également ajouter un espace vert dont les résidants et les familles du quartier pourront profiter.

     

    Enfin, l'amélioration de la qualité de vie des citoyens et l'augmentation de l'offre commerciale de proximité dans le quartier ne peuvent se faire sans l'accroissement du nombre de résidants. Déjà, plusieurs investisseurs se sont montrés intéressés à participer au développement du secteur sur la base des orientations définies par le PPU : de quoi encourager la Ville et ses partenaires dans la revitalisation de l'ouest du centre-ville.

  6. http://www.cyberpresse.ca/arts/arts-visuels/201109/26/01-4451592-inauguration-de-loeil-de-david-altmejd.php?utm_categorieinterne=trafficdrivers&utm_contenuinterne=cyberpresse_meme_auteur_4451592_article_POS2

     

    Publié le 26 septembre 2011 à 19h55

     

    La première sculpture en bronze de l'artiste montréalais David Altmejd, L'Oeil, a été inaugurée lundi.

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    PHOTO: ANDRÉ PICHETTE, LA PRESSE

     

     

    Éric Clément

     

    La première sculpture en bronze de l'artiste montréalais David Altmejd, L'Oeil, a été inaugurée ce lundi après-midi au coin des rues Sherbrooke et Crescent, devant le nouveau pavillon Claire et Marc Bourgie du Musée des beaux-arts de Montréal.

     

     

    L'inauguration a eu lieu devant le nouveau pavillon Claire et Marc Bourgie du Musée des beaux-arts de Montréal en présence du premier ministre Jean Charest.

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    PHOTO: ANDRÉ PICHETTE, LA PRESSE

     

    Cette première oeuvre d'art public du sculpteur réputé pour ses réalisations de grand format avait été commandée par le musée. Il s'agit d'une sculpture à la fois contemporaine et traditionnelle de 4 mètres de haut représentant un personnage ailé. Sa tête est recouverte de mains et de doigts (ceux de David Altmejd) et un grand vide en lieu et place du torse.

     

    «Je voulais faire une figure debout comme on en voit dans l'histoire de l'art, en Europe, à Florence et en Égypte, en référence à l'histoire des statues, a dit David Altmejd à La Presse. De faire un ange, ça fait un beau contraste par rapport à la vie urbaine, quelque chose d'élégant»

     

    David Altmejd a appelé sa sculpture L'Oeil car il a voulu illustrer le contraste entre l'espace du musée et l'espace extérieur. «C'est comme l'espace à l'intérieur de la tête par rapport à l'extérieur, dit-il. L'oeil fait le lien entre les deux, symbolise le passage de l'un à l'autre»

     

    Le trou à la place du torse symbolise ainsi une porte d'entrée vers l'art, la culture, la connaissance. « Pour moi, un trou c'est positif, dit David Altmejd. Ça laisse passer l'air, la lumière et la vie.»

     

    L'artiste a conçu et réalisé le modèle de cette sculpture durant quatre mois dans son atelier de New York en utilisant divers matériaux, comme il le fait habituellement: du styrofoam, du plâtre, des planches de bois, etc.

     

    L'étape de la création a été longue, explique David Altmejd.

     

    «Au début, la sculpture avait six ailes, dit-il. Il y a eu un gros travail de design. Je voulais que la forme soit élégante. Souvent, je suis poussé à travailler fort sur les détails mais là, j'ai aussi passé beaucoup plus de temps à 10 pieds de l'oeuvre.»

     

    L'original de L'Oeil, qui faisait 2 m, a été scanné au Québec en 3D et agrandi deux fois tout en conservant la richesse de la texture et du grain.

     

    «Les détails des organes, notamment du moulage de mes mains, sont conservés. L'oeuvre a été moulée en bronze à Inverness.»

     

    «Cette oeuvre, qui personnifie le musée, est une icône pour la ville de Montréal», a dit Nathalie Bondil, directrice générale et conservatrice en chef du musée.

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  7. Le quartier Sainte-Marie est en train de renaître.

     

    Longtemps négligé par l'arrondissement Ville-Marie et par les développeurs (pourtant il est bien situé et bien servi par le transport en commun, des commerces, la culture, des parcs ainsi que des écoles (chose rare dans Ville-Marie)). Un grand potentiel existe, car il y a beaucoup de terrains vacants, alors d'autres projets devront suivre, comme Les Condos Le Courant http://www.condoslecourant.com/fr/ plus au sud (un'autre exemple de cette transformation).

     

    L’arrondissement a investi beaucoup d'argent récemment dans le Pôle Frontenac avec le Centre Claude-Malpart http://www.cjcm.ca/ et il y a d'autres projets planifiés (une place publique, édifice à bureau...) pour les abords du Métro Frontenac ou se trouve la Maison de la Culture. D'autres investissements sont prévus dans la prochaine année qui impliquent la revitalisation complète de la rue Ontario à l'est de la rue Delormier.

     

    Suite aux consultations publics cette été, et avec la publication du rapport du PPU du Quartier Sainte-Marie http://www.ocpm.qc.ca/sites/default/files/rapports/rapport-ste-marie.pdf la semaine passé, nous devrons voir d'autres projets et, tôt au tard, un grand projet sur l'immense Îlot Delorimier (à deux pas du fleuve) qui est situé entre le Pied-du-Courant et la rue Sainte-Catherine sur l'ancien site du Projet du Porte-Sainte-Marie http://www.mtlurb.com/forums/showthread.php/14481-Porte-Sainte-Marie-16-16-%C3%A9tages-%282004%29. La Ville veut aussi densifier les terrains aux abords du Métro Papineau...C'est une quartier qui a du vent dans ses voiles...

  8. http://montoit.cyberpresse.ca/habitation/nouveautes/201008/27/01-4310454-touchette-automobile-adieu-vaste-terrain-de-stationnement.php

     

     

    Le 29 août 2010

     

    Touchette automobile: adieu, vaste terrain de stationnement!

     

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    Les appartements en copropriété, rue Cartier, seront aménagés sur un ou deux paliers. La plupart des futurs copropriétaires auront accès, à l'arrière, à une terrasse ou un balcon donnant sur une vaste cour intérieure.

    ILLUSTRATION FOURNIE PAR JACQUES-ANTOINE ST-JEAN, ARCHITECTE

     

    Danielle Bonneau

    La Presse

     

    Jusqu'à 220 unités d'habitation de divers types pourraient être construites sur le vaste terrain qu'occupe depuis 1946 le concessionnaire automobile Touchette, le long de l'avenue Papineau et de la rue Cartier, entre les rues Ontario et Sherbrooke, à Montréal.

     

    Le nom du projet, officiellement lancé cette semaine? Mobilis. Celui-ci fait référence à l'ancienne vocation du terrain, mais aussi à son enviable situation géographique, à proximité du centre-ville, du pont Jacques-Cartier, de la station de métro Papineau et d'importantes artères.

     

    Dans un premier temps, cinq immeubles en rangée de trois étages, avec une mezzanine en retrait, seront bâtis à l'emplacement d'un stationnement, le long de la rue Cartier. Les cinq bâtiments comprendront chacun 11 appartements, répartis sur un ou deux paliers. Dans la deuxième phase, 15 maisons de ville de trois étages, avec une terrasse sur le toit, sont prévues le long de la petite avenue Goulet.

     

    «La construction se fait pour l'instant sur les terrains excédentaires», explique Jean Touchette, président de Touchette Automobile, qui a l'intention de poursuivre la vente et la réparation d'automobiles et de scooters.

     

    La mise en valeur du terrain lui tient à coeur. Copromoteur du projet avec Construction Beau-Vain, il participe aux discussions avec l'équipe de l'architecte Jacques-Antoine St-Jean.

     

    Influence de l'automobile

     

    «Je tiens à ce qu'il y ait quelque chose de beau sur le terrain et qu'il y ait un rappel de son histoire, qui est liée de très près à l'automobile, mais aussi à trois générations de la famille Touchette, indique Jean Touchette. Mon père, Carmel, suit aussi avec intérêt l'évolution du projet.»

     

    La construction des appartements en copropriété, rue Cartier, vient de débuter. Avant même l'ouverture du bureau des ventes, huit des onze logements du premier immeuble ont trouvé

     

    preneur. L'équipe prépare la deuxième phase.

     

    Les appartements, aménagés sur un ou deux paliers, seront très différents les uns des autres. La plupart des futurs copropriétaires auront accès, à l'arrière, à une terrasse ou un balcon donnant sur une cour intérieure joliment aménagée. Pour maximiser les espaces verts, en effet, les stationnements

     

    seront souterrains, explique Jacques-Antoine St-Jean.

     

    «La majorité des appartements ont été conçus pour des personnes seules ou des couples», souligne l'architecte, qui a constaté la popularité des petits logements dans un autre projet qu'il a réalisé non loin, Les Villiers du Hauban, à l'angle de l'avenue Papineau et La Fontaine.

     

    Même si Mobilis prendra forme dans un premier temps sur les terrains que n'utilise plus Touchette automobile, l'arrondissement de Ville-Marie a demandé que lui soit soumis un plan d'ensemble de lotissement.

     

    «Il ne faudrait pas que ce qui sera construit rue Cartier pénalise l'ensemble du projet», indique Sylvain Villeneuve, chef du service d'urbanisme de l'arrondissement.

     

    Les 15 maisons en rangée, prévues le long de l'avenue Goulet, devraient connaître beaucoup de succès, croit-il, rappelant que les huit maisons en rangée construites aux abords du pont Jacques-Cartier se sont vendues en moins de deux semaines! «Le volume des divers types d'habitations et leur vocation sont en harmonie avec ce qui se trouve aux alentours, affirme-t-il. L'arrivée de nouveaux résidants, par ailleurs, sera bénéfique pour la rue Ontario. Cela amènera peut-être de nouveaux commerces de proximité.»

     

    Les appartements en copropriété, construits en premier, auront des superficies variant de 645 à 1230 pieds carrés. Leurs prix s'échelonnent de 189 900?$ à 299 900?$ (taxes incluses). Les maisons en rangée, qui compteront trois étages et une terrasse sur le toit, devraient coûter environ 400 000?$.

  9. http://metrodemontreal.com/index-f.html

     

    Bienvenue sur le site non officiel pour les amateurs du métro montréalais, le moyen par excellence de se déplacer dans la métropole de l'Amérique francophone ! Ce système commode, rapide et abordable de transport en commun est parmi ceux qui se distinguent le plus au monde par leur architecture.

     

    Tandis que bien d'autres systèmes de métro comptent des kilomètres de stations identiques, chaque station à Montréal est unique. Le réseau est en outre merveilleusement décoré de centaines d'oeuvres d'art public : sculptures, fresques et vitraux.

     

    Trop souvent, les gens arpentent le métro sans bien se rendre compte du travail acharné et de l'ingéniosité dont il a fallu faire preuve à l'époque pour le construire, ni de la beauté des lieux qui les entourent et qui rendrait pourtant leur trajet beaucoup plus agréable. Ce site est donc l'occasion pour vous de découvrir les trésors qui se cachent sous les rues de la ville !

  10. http://www.journalmetro.com/linfo/article/974710--la-ligne-jaune-jusqu-a-mcgill

     

    Y aurait-il un intérêt à prolonger la ligne jaune jusqu’à la station McGill? C’est l’un des aspects que veut étudier l’Agence métropolitaine de transport (AMT) dans le cadre des études de prolongement de trois des lignes de métro.

     

    Afin de «définir les prolongements» et de «démontrer la pertinence de réaliser chacune des lignes en tenant compte des priorités locales et régionales», l’AMT a lancé plusieurs appels d’offres, la semaine dernière, afin de retenir les services de professionnels en urbanisme et en design urbain. Dans les documents fournis, se retrouve un plan du réseau de métro avec des prolongements simulés sur lesquels les maires de Montréal, Longueuil et Laval s’étaient entendus en septembre 2009.

     

    Toutefois, le projet de prolongement de la ligne jaune semble avoir évolué depuis. En effet, l’AMT veut étudier la possibilité que cette ligne soit étendue jusqu’à la station McGill, au lieu de s’arrêter à la station Berri-UQAM. En chemin, au moins un arrêt est envisagé, au nord de la rue Sherbrooke, dans le secteur du boulevard Saint-Laurent.

     

    Ce prolongement de la ligne jaune vers le centre-ville permettrait notamment de désengorger la ligne verte et de mieux desservir les commerces du boulevard Saint-Laurent sur le Plateau. «C’est un scénario qui avait déjà été évalué par le passé, dans un contexte de mise à jour des études, on se devait de le réévaluer», explique Martine Rouette porte parole de l’AMT. Elle précise que ce geste n’est pas une confirmation de scénario. Du côté de la Ville, on précise que c’est le prolongement de la ligne bleue vers l’est qui est la priorité.

     

    L’appel d’offres concerne aussi des études pour la réalisation d’une boucle pour la ligne orange, qui rejoindrait alors le Carrefour Laval. Le prolongement de la ligne bleue vers l’est, au delà des Galeries d’Anjou, sera aussi étudié.

     

    Sur le forum de discussion metrodemontreal.com, qui a débusqué la nouvelle, plusieurs internautes se félicitent que le dossier des prolongements avance. Certains rappellent toutefois qu’il ne s’agit que d’études et non du début d’un quelconque chantier.

  11. http://lejournaldemontreal.canoe.ca/journaldemontreal/actualites/regional/montreal/archives/2011/09/20110921-060001.html

     

    Le mercredi 21 septembre 2011

    Actualités Régional

    CONSTRUCTION

     

    Une autre tuile pour la ville

    JEAN-LOUIS FORTIN

    21/09/2011 06h00

     

    La Ville de Montréal a dû recommencer plusieurs des travaux qu'elle venait tout juste de compléter dans le Quartier des spectacles, au cours des dernières semaines, a appris le Journal. Et ce sont les contribuables qui vont payer une partie de la note.

     

    À trois reprises en moins d'un mois, les ouvriers ont dû défaire et refaire des pavés fraîchement installés sur la rue Sainte-Catherine, entre le boulevard Saint-Laurent et la rue Saint-Dominique.

     

    La première fois, des milliers de pierres ont dû être retirées une par une sur la moitié de la surface de la rue.

     

    «Il y avait une déficience mineure dans la dalle de béton située sous les pavés. On ne voulait pas qu'il y ait de l'infiltration d'eau», explique Isabelle Poulin, porte-parole de la Ville.

     

    À refaire

     

    Puis, il y a quelques jours, il a fallu enlever les joints de sable déjà posés entre chacune des pierres de ce tronçon de rue, parce que la Ville a changé d'idée quant au produit à utiliser.

     

    «Le sable granitique qu'il y avait au départ doit être changé afin de le remplacer pour du sable contenant du polymère, qui est plus étanche», justifie Isabelle Poulin, qui parle d'une mesure «préventive».

     

    Les coûts sont pour le moment inconnus, mais dans les deux cas, ils seront absorbés à même l'enveloppe globale du Quartier des spectacles, un projet phare du maire Gérald Tremblay, puisque des montants supplémentaires en cas d'imprévus (contingences) avaient été réservés. Reste que ces dépenses auraient pu être évitées.

     

    Poids lourds

     

    L'aventure ne s'arrête pas là. Hier matin, des ouvriers sont venus casser une soixantaine de pierres juste devant l'immeuble en construction du 2-22. Elles ont été abîmées par les grues qui travaillaient sur le bâtiment et devront être changées.

     

    Mais cette fois, la Ville n'aura pas à débourser un cent de plus que prévu.

     

    «C'est une déficience dans le pavé. Normalement, les pierres auraient dû supporter le poids des camions. On a contacté notre fournisseur et c'est sous garantie», a expliqué la porte-parole, en ajoutant que le travail devrait être complété dans les prochains jours.

     

    * * *

     

    LE QUARTIER DES SPECTACLES

     

    Coût total 147 millions

     

    67 millions par la Ville 40 millions par Québec 40 millions par Ottawa

     

    Investissements privés projetés par la Ville: 1,9 G$

     

    4 phases de construction

     

    Début des travaux: 2008

     

    Fin des travaux: 2012

     

    Source: Ville de Montréal

     

    L'histoire se répète

     

    Les travaux du Quartier des spectacles n'en sont pas à leurs premiers ratés. Au printemps dernier, la Ville a dû dépenser 650 000 $, aux frais des contribuables, pour refaire les joints des dalles de granit de la Place des festivals.

     

    À cet endroit, où sont présentés notamment les grands spectacles en plein air du Festival de jazz et des FrancoFolies, les responsables municipaux ont constaté que le matériau utilisé pour faire tenir les dalles s'effritait de manière inquiétante et prématurée.

     

    Pas le bon matériau

     

    Ils en sont venus à la conclusion qu'ils n'avaient pas choisi le bon matériau pour résister à l'eau de la fontaine, au nettoyage à haute pression et au passage des poids lors du montage et du démontage des scènes.

     

    «Le produit qu'on avait sélectionné répondait à toutes nos attentes, du moins en théorie, en laboratoire. La conclusion à laquelle on arrive maintenant, c'est que l'usage extrême du site demande un produit plus résistant», expliquait en entrevue Martin Maillet, chef du projet Quartier des spectacles.

     

    Des coûts supplémentaires

     

    Une portion des 12,5 kilomètres linéaires de joints a été remplacée cette an-née, au coût de 369 000 $. Le reste du travail sera fait l'été prochain, pour 276 000 $ supplémentaires.

     

    Ces sommes imprévues sont puisées à même le budget total du Quartier des spectacles, mais représentent tout de même de l'argent qui aurait pu être dépensé autrement.

  12. J'ai jamais compris pourquoi qu'il n'y a pas de station de Métro entre Sherbrooke et Mont-Royal. Elles sont très éloignées une de l'autre. En plus, les stations du Plateau sont tellement achalandées. Pourquoi pas prévoir ouvrir une nouvelle station au niveau de la rue Rachel ou Duluth pour soulager ces stations et permettre un meilleur accès au Parc Lafontaine et le Mont-Royal?

  13. L'idée d'ajouter une station de la ligne jaune dans le Vieux Port (au Quai de l'horloge) semble être abandonnée. Dommage.

    À part du lien avec la Rive-Sud, il y avait la connexion avec les Îles, La Ronde, la Plage et le Casino. Ils sont tous des endroits populaires avec les touristes qui fréquentent la vielle ville. On parle souvent d'ajouter un Gondola (Tram Aérien) ou des bateaux fluviales pour faire ces trajets et le chemin sous-terrain passe déjà..

     

    C'est vrai. Pourquoi St-Laurent au lieu de PDA?

    La dernière est hautement sollicitée avec plusieurs lignes d'autobus et disertement aussi les travailleurs des complexes avoisinantes. Il s'agit peut-être d'éventuellement soulager et de contourner cette station (à cause de son emplacement au centre de l'action durant la période des festivals et les autres spectacles à la PDA). Il me semble que les autobus sont déplacées vers la station St-Laurent durant les fermetures de rue. Il y a présentement à l' étude, un PPU pour le quartier à l'est de la station St-Laurent, alors l'espace pour un terminal pourra être prévu pour accommoder ces lignes d'autobus.

  14. http://ville.montreal.qc.ca/portal/page?_pageid=7317,79383687&_dad=portal&_schema=PORTAL

     

     

    Projet d’aménagement urbain - Quartier de Sainte-Marie

    Un potentiel formidable de développement aux portes du centre-ville

    Quartier ancien, marqué au cours des années 1970-1980 par le déclin des activités manufacturières, le territoire de Sainte-Marie accueille 21 745 résidants et offre aujourd’hui un formidable potentiel de développement à l’est du centre-ville de Montréal. Si plusieurs investissements ont récemment permis d'améliorer la desserte en équipements collectifs, d'autres projets sont prévus dans le cadre du PPU, notamment le réaménagement de plusieurs parcs et plantation d'arbres.

     

    Voici quelques-uns des grands objectifs proposés pour la revitalisation du quartier :

     

    • Redynamiser le pôle Frontenac et les abords des stations de métro
    • Réaménager la rue Ontario
    • Créer de nouveaux espaces verts
    • Développer l’environnement piétonnier
    • Combler les terrains vacants

     

     

    Un réaménagement axé sur la qualité de vie du citoyen

    Avec ses 2 stations de métro, 19 stations de BIXI, 4 écoles, 15 espaces verts, une nouvelle piscine au centre Jean-Claude-Malépart, plus de 250 organismes, entreprises et lieux de diffusion qui viennent compléter l’offre culturelle du Quartier des spectacles, le secteur est incontestablement en marche vers un avenir prometteur et favorable à l’établissement de nouveaux résidants.Découvrez le projet de Programme particulier d'urbanisme du Quartier de Sainte-Marie.

     

    Consultation publique

     

     

    Le projet est accueilli favorablement

     

    De nombreux citoyens et organismes du milieu se sont prononcé sur le développement de leur quartier lors des auditions organisées par l’OCPM. L’arrondissement a reçu avec grand intérêt les recommandations émises par les intervenants qui vont venir bonifier la démarche de revitalisation.

     

     

     

    Rapport de consultation - PPU du quartier de Sainte-Marie

     

    Trois aspects apparaissent comme essentiel pour le milieu :

     

    • Créer un cadre urbain sécuritaire de qualité à proximité du centre-ville et miser sur les atouts exitants du quartier
    • Miser sur la dimension culturelle du secteur
    • Mettre en valeur le potentiel de developpement de Sainte-Marie
    • Une revitalisation par étapes
    • L’arrondissement a déjà posé des actions concrètes et vient de finaliser le réaménagement du parc Médéric-Martin, qui s’inscrit dans le développement futur du pôle Frontenac.

     

     

    Dans les prochaines semaines, le projet de PPU fera l’objet d’une révision par l'arrondissement avant d’être adopté par le conseil municipal dans sa version finale à l'automne. La mise en oeuvre du PPU se fera conjointement avec les partenaires du milieu qui ont manifesté leur attachement au quartier et ont ainsi participé à la naissance d’un nouveau dynamisme économique et social pour améliorer la qualité de vie des résidants.

  15. Je suis particulièrement ravi par ces recommandations de la commission. C'est assez étonnant (presque scandaleux) que les urbanistes de a Ville ne l'avaient pas considéré ces points dans leur analyse du secteur.

     

    Faisant partie du patrimoine de Montréal (et particulièrement du quartier Sainte-Marie) les abords du Pont, du fleuve et le Port sont des composantes à préserver et à exploiter par la Ville. Ils sont des enjeux très importants pour les personnes qui fréquentent le quartier et doivent être soigneusement intégrées dans un projet éventuel sur l'Îlot Delorimier (site de l'ancien projet Porte-Sainte-Marie).

     

     

     

    [quote name='ILuvMTL

     

    3.2.1.1 Le territoire d’application

     

    La commission recommande que la section « 2. Contexte d’intervention » situe le territoire d’application du PPU' date=' correspondant à celui du quartier Sainte‐Marie, dans le contexte plus large de l’ensemble du territoire incluant la partie ouest de l’arrondissement, le port et le fleuve, et traite des enjeux que soulève sa proximité avec le centre‐ville et le fleuve. Un tel complément faciliterait la bonne compréhension de certains enjeux, entre autres :

     

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    [*]les liens entre les différents PPU en cours et à venir sur l’ensemble du territoire de l’arrondissement et leur complémentarité;

    [*]la rupture entraînée par la présence du pont Jacques‐Cartier entre les parties est et ouest de l’arrondissement, et son potentiel restructurant du tissu urbain, par l’illustration de son rôle d’entrée de ville et de sa valeur symbolique dans le paysage du quartier;

    [*]la continuité et les transitions nécessaires dans les composantes du paysage urbain et de la morphologie de la trame des rues, notamment dans le cadre des grandes artères est‐ouest telles qu’Ontario, De Maisonneuve, Sainte‐Catherine, René‐Lévesque et Notre‐Dame;

    [*]la complémentarité entre les différents secteurs de l’arrondissement en matière de vocation, d’affectations, d’équipements collectifs, d’espaces publics et des modes de transport;

    [*]l’aménagement de liens visuels et fonctionnels avec le fleuve.

     

     

    3.2.1.2 L’historique

     

    Recommandation

     

    La commission recommande qu’une étude plus exhaustive de l’histoire du quartier soit effectuée afin de définir, dans la version définitive du PPU, les enjeux et les objectifs propres au rappel de celle‐ci et à la mise en valeur des composantes significatives du patrimoine urbain et paysager du quartier, et de proposer des mesures et des moyens de mise en œuvre de ces objectifs.

     

    3.2.3 La planification détaillée

     

    Recommandation

     

    La commission recommande que l’emprise et les abords du pont Jacques‐Cartier, incluant le parc des Faubourgs, les abords de la station Papineau et le tronçon de la rue Sainte‐Catherine, depuis celle‐ci jusqu’à la rue Frontenac, soient considérés comme secteur d’intervention prioritaire et fassent l’objet d’orientations générales et de balises d’aménagement. Ces balises devraient traiter notamment des espaces publics sous le pont et de l’accessibilité du parc des Faubourgs.

     

    3.2.3.4 Le secteur Parthenais

    Recommandation

     

    Dans le cadre du redéveloppement du secteur Parthenais, la commission recommande de préciser les balises d’aménagement afin :

    1. de favoriser l’aménagement de traverses piétonnes sécuritaires sur l’avenue De Lorimier et la rue Dorion pour améliorer l’accessibilité du parc des Faubourgs;
    2. de prioriser la continuité des liens d’est en ouest de la trame des rues, et ce, dans le but de privilégier une morphologie d’îlot compatible avec le voisinage résidentiel;
    3. de promouvoir la prédominance de l’habitation dans la mixité des usages et la mixité des tenures et des typologies de logements;
    4. de privilégier un cadre bâti dont le mode d’implantation et les paramètres de hauteur contribuent à la continuité de l’encadrement des rues et de leur échelle urbaine, à l’aménagement d’espaces verts collectifs au centre des îlots et, s’il y a lieu, à l’augmentation de la densité d’occupation par l’ajout de surhauteurs en retrait des gabarits structurant les rues;
    5. de favoriser le rappel des traces de l’histoire, la mise en valeur des vues sur le fleuve et le pont Jacques‐Cartier et la prise en compte de l’interface avec la rue Notre‐Dame dans l’aménagement du complexe De Lorimier au Pied‐du‐Courant.

     

    3.2.4.1 Les paramètres règlementaires

     

    Recommandation

     

    La Commission recommande que les hauteurs maximales proposées dans la version définitive du PPU soient préalablement validées par les études typo‐morphologiques et les simulations visuelles en 3D pertinentes à cet effet. Ces études devraient démontrer l’insertion harmonieuse de ces hauteurs dans le paysage urbain, notamment à l’égard du respect de la continuité du caractère et de l’échelle urbaine de la rue Ontario et des rues résidentielles, de l’affirmation des pôles d’attraction du quartier, de la mise en valeur des immeubles patrimoniaux et des perspectives visuelles, en vue de valoriser les composantes significatives du paysage urbain, entre autres, le fleuve et le pont Jacques‐Cartier.

     

    De plus, les paramètres règlementaires devraient être accompagnés de critères architecturaux relatifs à l’articulation volumétrique visant l’harmonisation d’un nouvel édifice au cadre bâti existant.

  16. http://lapresseaffaires.cyberpresse.ca/economie/immobilier/201109/16/01-4448512-immobilier-homburg-changement-de-nom-et-dimage-en-vue.php

     

    Maxime Bergeron

    LA PRESSE

     

    Le fonds de placement immobilier (FPI) Homburg cherche à se distancier de la déroute financière de son principal actionnaire, Homburg Invest, qui s'est placé à l'abri de ses créanciers la semaine dernière. Le Fonds reverra son image de fond en comble et envisage même un changement de nom.

     

    Le FPI a vu le jour en mai 2010 lorsque le groupe Homburg, basé à Halifax, a décidé de scinder son bras d'investissement immobilier en cinq entités distinctes. La participation d'Homburg au capital du FPI est passée de 50 % à l'époque à moins de 17 % aujourd'hui.

     

    En entrevue à La Presse Affaires, hier, le président et chef de la direction du FPI, Jim Beckerleg, s'est montré tranchant : son fonds n'a plus rien à voir avec l'ancienne maison-mère Homburg Invest. « C'est important que le FPI ait une (nouvelle) marque et aille de l'avant, afin que le public et les investisseurs comprennent qu'il s'agit d'une entité vraiment différente et non liée à Homburg. »

     

    M. Beckerleg refuse de confirmer que le FPI changera de nom, mais la chose apparaît quasiment assurée. « Je n'ai pas de commentaire spécifique là-dessus, mais ça pourrait très bien faire partie du changement de l'image (rebranding). »

     

    Homburg Invest, qui s'est fortement endettée au milieu des années 2000, est empêtrée dans des déboires financiers depuis l'éclatement de la crise du crédit de 2008. Le groupe présent en Amérique du Nord et en Europe a notamment conçu le luxueux projet résidentiel 333, sur la rue Sherbrooke à Montréal. Homburg souhaitait aussi construire un mégacomplexe de 200 millions à l'ancienne gare Viger, qui apparait aujourd'hui bien incertain.

     

    Le FPI Homburg, dont le siège social est au complexe Alexis Nihon à Montréal, achète pour sa part des propriétés commerciales et des immeubles à bureaux, principalement au Québec et en Alberta. Le fonds tire des revenus de location et de gestion, qui sont ensuite redistribués sous forme de dividende à ses porteurs de parts.

     

    Quelle sera la participation future de Homburg Invest dans le FPI Homburg? Jim Beckerleg refuse de spéculer... mais il croit que le groupe n'aurait aucune difficulté à se départir de ses 8,8 millions de parts, qui totalisent 16,9 % des titres en circulation. « On l'a vu trois fois cette année quand on s'est tourné vers le marché des capitaux : il y a une excellente demande pour de gros blocs de nos actions. »

     

    Acquisition de 115 millions

     

    Le fonds Homburg a par ailleurs annoncé hier l'acquisition pour 115 millions de 29 petits centres commerciaux de quartier, dont 24 hébergent des pharmacies Jean Coutu. La moitié sont situés dans la grande région de Montréal. « On peut facilement intégrer ces propriétés à notre portefeuille », a dit Jim Beckerleg.

     

    Le FPI a aussi annoncé hier la vente de son portefeuille de propriétés résidentielles dans les Maritimes pour 65 millions de dollars, qui lui procurera un profit de 37 millions.

     

    Les investisseurs ont visiblement apprécié ces deux transactions. Le titre du FPI Homburg a gagné 8,5 % à la Bourse de Toronto, pour clôturer à 12,48 $.

  17. http://www.montrealgazette.com/story_print.html?id=5392279&sponsor=

     

    Homburg wing faces delisting

     

     

    BY ALLISON LAMPERT, THE GAZETTESEPTEMBER 13, 2011

     

     

    Homburg Invest Inc., which received protection from creditors on Friday, is facing a delisting review by the Toronto Stock Exchange.

     

    The Homburg Canada Real Estate Investment Trust, which owns Alexis Nihon Plaza and CN Central Station in Montreal, was not part of Homburg Invest's filing under the Canadian Companies' Creditors Arrangements Act.

     

    "We're an entirely separate company," said James Beckerleg, president and CEO of Homburg Canada REIT.

     

    The Montreal-based REIT was created in 2010 from Homburg Invest's income-producing properties. Homburg Invest retained a large minority interest in the new REIT.

     

    Homburg Invest has recently sold off some of its shares in the REIT to raise $34.5 million for the restructuring, the Canadian Press reported Monday, citing court filings. Homburg Invest will be left with a 16.5-per-cent stake in the REIT, down from about 22 per cent.

     

    Homburg Invest was created in 2000 by entrepreneur Richard Homburg, who built up real estate holdings in Canada and the Netherlands. In 2010, Richard Homburg butted heads with University of Prince Edward Island administrators after he tried to set up an independent institute of higher learning on the island, which would teach such subjects as property appraisal, finance, banking and construction, news media reported.

     

    In March, Richard Homburg quit his role as CEO and chairman of the board at Homburg Invest.

     

    He still controls the Homburg Group, which has Homburg Canada as its wholly owned subsidy; neither of the two companies participated in the Homburg Invest filing.

     

    The Netherlands securities regulator AFM had demanded the removal of Richard Homburg as a decision-maker in Homburg Invest "until his integrity is considered to be beyond doubt," Quebec Superior Court was told, CP reported.

     

    alampert@ montrealgazette.com

  18. Je reproduis ici, seulement les recommandations qui se trouvent dans le rapport de la commission.

    Pour lire le contexte, les commentaires qui les accompagnent et le rapport dans son totalité, accédez ce lien:

    http://www.ocpm.qc.ca/sites/default/files/rapports/rapport-ste-marie.pdf

     

    3.2.1.1 Le territoire d’application

     

    La commission recommande que la section « 2. Contexte d’intervention » situe le territoire d’application du PPU, correspondant à celui du quartier Sainte‐Marie, dans le contexte plus large de l’ensemble du territoire incluant la partie ouest de l’arrondissement, le port et le fleuve, et traite des enjeux que soulève sa proximité avec le centre‐ville et le fleuve. Un tel complément faciliterait la bonne compréhension de certains enjeux, entre autres :

     

    • les liens entre les différents PPU en cours et à venir sur l’ensemble du territoire de l’arrondissement et leur complémentarité;
    • la rupture entraînée par la présence du pont Jacques‐Cartier entre les parties est et ouest de l’arrondissement, et son potentiel restructurant du tissu urbain, par l’illustration de son rôle d’entrée de ville et de sa valeur symbolique dans le paysage du quartier;
    • la continuité et les transitions nécessaires dans les composantes du paysage urbain et de la morphologie de la trame des rues, notamment dans le cadre des grandes artères est‐ouest telles qu’Ontario, De Maisonneuve, Sainte‐Catherine, René‐Lévesque et Notre‐Dame;
    • la complémentarité entre les différents secteurs de l’arrondissement en matière de vocation, d’affectations, d’équipements collectifs, d’espaces publics et des modes de transport;
    • l’aménagement de liens visuels et fonctionnels avec le fleuve.

     

     

    3.2.1.2 L’historique

     

    Recommandation

     

    La commission recommande qu’une étude plus exhaustive de l’histoire du quartier soit effectuée afin de définir, dans la version définitive du PPU, les enjeux et les objectifs propres au rappel de celle‐ci et à la mise en valeur des composantes significatives du patrimoine urbain et paysager du quartier, et de proposer des mesures et des moyens de mise en œuvre de ces objectifs.

     

    3.2.2.1 La qualité des milieux de vie

     

    Recommandations

     

    En ce qui concerne la qualité des milieux de vie, la commission recommande :

    1. que la Ville et l’arrondissement mettent en place un plan d’intervention majeure en matière de salubrité et portent une attention particulière aux problèmes de moisissure;
    2. que l’arrondissement détermine des mesures incitatives pour les propriétaires de terrains vagues ou sous‐utilisés afin de mettre en œuvre diverses mesures de verdissement ou d’aménagement favorables à la santé et à la réduction des îlots de chaleur;
    3. que dans la mise au point du PLD et de son harmonisation avec le Plan de déplacements urbains du secteur est du centre‐ville, une attention particulière soit apportée à l’apaisement de la circulation, à la sécurisation de la rue Ontario et des abords des écoles, ainsi qu’à la mise en place de passages piétonniers et cyclistes dans le voisinage des écoles et des stations de métro;
    4. que des pressions soient exercées pour obtenir des propriétaires concernés la décontamination des terrains contaminés.

     

     

    3.2.2.2 La mise en valeur du potentiel de développement du territoire

     

    Recommandations

     

    La commission recommande :

    1. que le PPU fixe des objectifs de logements sociaux et communautaires pour l’ensemble du quartier Sainte‐Marie, de façon à assurer la mixité sociale, le maintien des populations en place et l’établissement de familles avec enfants;
    2. que la Stratégie d’inclusion de logements abordables soit resserrée et mise en place de façon rigoureuse, soit par l’abaissement de la norme de projet de 200 logements, soit par des contributions obligatoires de tout nouveau projet*résidentiel privé à un fonds de développement de logements sociaux et communautaires dans le quartier;
    3. que les différents programmes de rénovation soient mis en œuvre de façon coordonnée en surveillant étroitement l’augmentation des loyers;
    4. que la Ville étudie la possibilité de s’assurer que le propriétaire soustrait du calcul des éventuelles hausses de loyers la portion du financement des travaux de rénovation provenant des programmes de subvention;
    5. que l’appui financier nécessaire au bon fonctionnement des organismes locaux de protection des droits des locataires soit amélioré;
    6. qu’une attention particulière soit portée aux processus concertés de mise en œuvre du PPU pour que les individus et les groupes aient des chances équivalentes de faire valoir leurs points de vue.

     

     

    3.2.2.3 Le développement d’une économie diversifiée

     

    Recommandation

     

    La commission recommande qu’une attention particulière soit accordée à la règlementation qui régira le nouveau secteur d’emploi pour l’adapter aux besoins de la production créative et pour encourager les organismes culturels à venir s’y établir.

     

    La commission recommande à l’arrondissement d’étudier la possibilité d’une règlementation spécifique au quartier Sainte‐Marie, imposant l’obligation de continuité commerciale au rez‐de‐chaussée, sur la rue Ontario, entre les rues Champlain et Lespérance.

     

    La commission recommande de désigner dans le projet de PPU les zones suivantes comme secteurs d’emploi :

    1. le secteur sud du site actuel de la JTI‐Macdonald, entre les rues D’Iberville et Dufresne, de la rue Ontario jusqu’à l’arrière du bâtiment patrimonial;
    2. le secteur central du site actuel de la Sûreté du Québec, le bâtiment principal et ses abords;
    3. le secteur en triangle situé à l’est de Florian, entre Hochelaga et de Rouen, le long de la voie ferrée.

     

     

    3.2.3 La planification détaillée

     

    Recommandation

     

    La commission recommande que l’emprise et les abords du pont Jacques‐Cartier, incluant le parc des Faubourgs, les abords de la station Papineau et le tronçon de la rue Sainte‐Catherine, depuis celle‐ci jusqu’à la rue Frontenac, soient considérés comme secteur d’intervention prioritaire et fassent l’objet d’orientations générales et de balises d’aménagement. Ces balises devraient traiter notamment des espaces publics sous le pont et de l’accessibilité du parc des Faubourgs.

     

    3.2.3.1 La rue Ontario

     

    Recommandation

     

    La commission recommande une étude plus approfondie des conditions existantes de la rue Ontario dans le but de préciser :

    1. les balises d’aménagement du domaine public, à l’égard de ses interfaces avec certaines composantes spécifiques telles que l’école Pierre‐Dupuy, la JTI‐Macdonald et la frange industrielle située entre les rues Bercy et Lespérance;
    2. des balises spécifiques au domaine privé concernant l’harmonisation des nouveaux bâtiments au caractère et à l’échelle de la rue et aux composantes significatives du cadre bâti en termes d’implantation et de hauteurs.

     

     

    3.2.3.2 Le pôle Frontenac

     

    Recommandations

     

    La commission recommande à l’arrondissement, dans le cadre de la consolidation du pôle Frontenac, d’étudier la possibilité d’aménager une place publique ouverte sur les rues Ontario et du Havre, laquelle serait encadrée par la Place Frontenac restructurée, la maison de la culture, la station de métro et le Centre Jean‐Claude Malépart.

    Elle recommande également que cette possibilité fasse l’objet de balises d’aménagement dans le PPU et que des démarches soient entreprises auprès du propriétaire de la Place Frontenac pour négocier une entente de développement à cet effet.

     

    3.2.3.3 Le secteur JTI‐Macdonald

     

    Recommandation

     

    En ce qui concerne le secteur JTI‐Macdonald, la commission recommande de revoir le libellé de certaines orientations et balises d’aménagement dans les buts :

    1. de favoriser la mise au point d’un plan directeur de redéveloppement en concertation avec le milieu social et communautaire;
    2. de préciser les paramètres de hauteur sur le site de la JTI‐Macdonald, ayant pour effet d’harmoniser les hauteurs au cadre bâti existant sur les rues Dufresne, Larivière et D’Iberville, et de limiter les hauteurs sur la rue Ontario et dans la partie centrale du site à celle du corps de l’édifice patrimonial;
    3. de promouvoir la mixité des tenures d’habitation et des typologies de logements;
    4. de désigner comme secteur d’emploi la partie sud du site de la JTI‐Macdonald située entre la rue Ontario et l’alignement de la façade arrière de l’édifice patrimonial, tout en privilégiant la continuité de l’affectation commerciale au rez‐de‐chaussée des bâtiments.

     

     

    3.2.3.4 Le secteur Parthenais

    Recommandation

     

    Dans le cadre du redéveloppement du secteur Parthenais, la commission recommande de préciser les balises d’aménagement afin :

    1. de favoriser l’aménagement de traverses piétonnes sécuritaires sur l’avenue De Lorimier et la rue Dorion pour améliorer l’accessibilité du parc des Faubourgs;
    2. de prioriser la continuité des liens d’est en ouest de la trame des rues, et ce, dans le but de privilégier une morphologie d’îlot compatible avec le voisinage résidentiel;
    3. de promouvoir la prédominance de l’habitation dans la mixité des usages et la mixité des tenures et des typologies de logements;
    4. de privilégier un cadre bâti dont le mode d’implantation et les paramètres de hauteur contribuent à la continuité de l’encadrement des rues et de leur échelle urbaine, à l’aménagement d’espaces verts collectifs au centre des îlots et, s’il y a lieu, à l’augmentation de la densité d’occupation par l’ajout de surhauteurs en retrait des gabarits structurant les rues;
    5. de favoriser le rappel des traces de l’histoire, la mise en valeur des vues sur le fleuve et le pont Jacques‐Cartier et la prise en compte de l’interface avec la rue Notre‐Dame dans l’aménagement du complexe De Lorimier au Pied‐du‐Courant.

     

     

    3.2.3.5 La gare de triage du CP

    3.2.3.6 Le secteur des abords de la rue Notre‐Dame

     

    Se référer au rapport pour lire les commentaires

     

    3.2.4.1 Les paramètres règlementaires

     

    Recommandation

     

    La Commission recommande que les hauteurs maximales proposées dans la version définitive du PPU soient préalablement validées par les études typo‐morphologiques et les simulations visuelles en 3D pertinentes à cet effet. Ces études devraient démontrer l’insertion harmonieuse de ces hauteurs dans le paysage urbain, notamment à l’égard du respect de la continuité du caractère et de l’échelle urbaine de la rue Ontario et des rues résidentielles, de l’affirmation des pôles d’attraction du quartier, de la mise en valeur des immeubles patrimoniaux et des perspectives visuelles, en vue de valoriser les composantes significatives du paysage urbain, entre autres, le fleuve et le pont Jacques‐Cartier.

     

    De plus, les paramètres règlementaires devraient être accompagnés de critères architecturaux relatifs à l’articulation volumétrique visant l’harmonisation d’un nouvel édifice au cadre bâti existant.

  19. http://www.fansshare.com/news/teresa-palmer-excited-for-warm-bodies-filming/

     

    570_Teresa-Palmer-excited-for-Warm-Bodies-filming-6394.jpg

     

     

     

    25 year old Australian actress Teresa Palmer has revealed that she cannot wait to begin filming on her new movie Warm Bodies. Teresa added that she is excited for the start of filming, which gets under way this Saturday in Montreal, where Teresa will be spending the next three months.

     

    Teresa took to her official Twitter page to reveal her excitement to her followers. She Tweeted, “Happy to be back in Montreal. First day of filming on Warm Bodies this Saturday, getting excited!!” Palmer recently revealed how she has possibly over packed for the stay in Montreal.

     

    Once again taking to Twitter, she explained, “I keep trying to justify the fact that I have packed 3 full bags to move to Montreal for the next 3 months, at least I’ll have options!” Warm Bodies is also set to star Nicholas Hoult, Analeigh Tipton and John Malkovich and is expected to be released next year.

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