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  1. http://www.ledevoir.com/politique/montreal/333010/nouveau-pont-champlain-une-entree-de-ville-a-ne-pas-rater

     

    Nouveau pont Champlain - Une entrée de ville à ne pas rater!

    6 octobre 2011

     

     

    L'été dernier, on lançait un concours international d'idées pour le parcours de l'autoroute 20 entre l'aé

    roport international de Dorval-Trudeau et le centre-ville de Montréal. Des centaines de professionnels se sont inscrits pour soumettre leurs idées pour cette entrée de ville qui s'ignore. C'est là une initiative louable à laquelle nous ne pouvons, en principe, qu'applaudir.

     

    Mais un tel concours survient très tardivement alors qu'on délibère depuis des années sur la forme du projet de reconstruction du complexe Turcot. En effet, les choix d'ingénierie principaux étant déjà déterminés, la marge de manoeuvre des concurrents sera étroite pour explorer différentes avenues et elle risque de confiner ce concours à des dimensions paysagères essentiellement cosmétiques.

     

    Or une autre occasion majeure, d'importance stratégique pour Montréal et pour l'économie nationale dans son ensemble, pointe à l'horizon avec la reconstruction inévitable du pont Champlain [que le gouvernement fédéral a confirmée hier]. C'est maintenant qu'il faut la saisir pour doter la métropole d'une entrée fonctionnelle digne du XXIe siècle.

     

    La plus belle entrée de ville

     

    Plusieurs ont déjà reconnu que la vue d'ensemble la plus percutante de Montréal, c'est sur la Rive-Sud qu'on la trouve. Et que la plus belle entrée de ville, c'est celle qui commence au pont Champlain avec son vaste et puissant panorama qui embrasse le fleuve, la montagne, les autres ponts et de grands repères, du centre-ville au mât du Stade. La traversée du pont Champlain offre une magnifique entrée progressive vers le centre-ville, auréolé du mont Royal. Qui n'a pas été ébloui par une entrée sous un soleil couchant, à travers ses tours et ses crêtes qui peu à peu revêtent leurs atours lumineux pour la soirée!

     

    La réfection inéluctable et urgente du pont Champlain est une occasion unique à saisir. Non seulement doit-on sécuriser, pérenniser et améliorer ce lien vital à l'économie métropolitaine et nationale comme au quotidien de centaines de milliers de citoyens, mais il faut créer un ouvrage à la hauteur des impératifs très actuels de qualité d'architecture, de génie civil, d'insertion dans le paysage ou de modes de transport alternatifs. Il nous faut un pont — pas un tunnel qui nous priverait à jamais de cette expérience majestueuse et pénétrante de la métropole — qui soit un véritable «ouvrage d'art», digne de mention, à la hauteur du titre de Ville de design que l'UNESCO a reconnu à Montréal et des engagements collectifs envers le développement durable. Bref, il faut entrer dans le XXIe siècle!

    Des exemples inspirants

    Dans le monde, bien des villes et nations ont relevé ce défi avec brio. Elles ont été exigeantes envers elles-mêmes, reconnaissant le caractère emblématique de tels projets. Avec génie, elles ont su répondre à des besoins pressants de manière sécuritaire et durable en créant du patrimoine identitaire. Pensons aux ponts de Brooklyn et du Golden Gate, ou aux magnifiques structures que bâtissent la Chine, l'Australie, le Japon, la Suède, l'Espagne ou encore l'Afrique du Sud.

     

    Dans le sud de la France, le viaduc de Millau donne la mesure du succès! Controversé à l'origine, ce pont de 2,5 km enjambe une vallée à une hauteur supérieure à la tour Eiffel. Il a été bâti sur un dessin de l'architecte Norman Foster et de l'ingénieur Michel Virlogeux au coût d'environ 400 millions d'euros et doit durer 120 ans. Aujourd'hui, il reçoit l'éloge, reconnu tant comme un bienfait pour l'économie que comme chef-d'oeuvre; c'est même devenu un monument à voir, un emblème et une destination touristique!

     

    Chacun de ces cas est unique; les contraintes sont propres à chaque pont. Mais leur exemple doit nous inspirer pour que l'ouvrage qui devra remplacer l'actuel pont Champlain soit une réalisation remarquable par son utilité, sa solidité et la qualité de son design architectural et structural et du panorama qu'il offrira aux usagers. Le nouveau pont Champlain doit devenir une image de marque de la région de Montréal, un nouveau lien fort entre l'île de Montréal et la Rive-Sud.

     

    Concours d'architecture

     

    Le point de vue strictement technique et le principe du moindre coût qui ont trop longtemps régi nos choix collectifs ont ici tragiquement montré leurs limites comme le montre la faible durée de vie du pont actuel. Nous demandons donc aux autorités fédérales et à la Société des ponts Jacques-Cartier et Champlain de remplir leur devoir envers la population et de lancer dès à présent un concours international d'architecture et de génie civil qui permettra aux talents d'ici et d'ailleurs de s'illustrer pour définir un projet dont la construction pourra ensuite être confiée par appel d'offres sous l'égide d'une saine et loyale concurrence. Une telle séquence assurera la réalisation d'un pont digne du XXIe siècle, à temps pour remplacer l'actuel dont l'échéance approche.

     

    Il faut faire vite! Ce concours doit être lancé le plus rapidement possible. C'est le temps, avant que les plans techniques d'ingénierie ne figent le tout. Il faut attirer les grands noms d'ici et d'ailleurs pour amener architectes et ingénieurs à contribuer à une solution optimale, à réussir ce futur chef-d'oeuvre et à doter la métropole et le pays d'une infrastructure qui supporte ses ambitions.

     

    Ont signé ce texte:

     

    André Bourassa (président de l'Ordre des architectes du Québec), Dinu Bumbaru (directeur des politiques chez Héritage Montréal), Robert Chicoine (président de l'Ordre des urbanistes du Québec), Maude Cohen (présidente de l'Ordre des ingénieurs du Québec), Clément Demers (urbaniste et professeur titulaire à la faculté de l'aménagement de l'Université de Montréal), Giovanni De Paoli (doyen de la Faculté de l'aménagement de l'Université de Montréal), Michel Gariépy (professeur titulaire à l'Institut d'urbanisme), Florence Junca-Adenot (directrice de Forum URBA 2015 de l'UQAM), Jean-Paul L'Allier (avocat et conseiller stratégique chez Langlois Kronström Desjardins et président du conseil d'administration de Mission Design) et Marie-Odile Trépanier (professeure honoraire à l'Institut d'urbanisme).

  2. http://www.ledevoir.com/politique/montreal/332726/le-plan-d-amenagement-de-montreal-satisfait-quebec

     

    Le plan d'aménagement de Montréal satisfait Québec

     

    Le ministre des Affaires municipales exige toutefois certains ajustements, notamment au sujet des limites du périmètre d'urbanisation

     

    Jeanne Corriveau 1 octobre 2011 Montréal

     

    Québec est satisfait «pour l'essentiel» du Plan métropolitain d'aménagement et de développement (PMAD) élaboré par la Communauté métropolitaine de Montréal (CMM), qui fait l'objet, depuis mercredi, de consultations publiques. Dans son avis gouvernemental diffusé hier, le ministre des Affaires municipales, Laurent Lessard, exige toutefois certains ajustements et demande notamment à la CMM de clarifier les limites du périmètre d'urbanisation.

     

    «Dans l'ensemble, les orientations, les objectifs et les critères de votre projet de plan répondent bien aux préoccupations du gouvernement», écrit le ministre Lessard dans une lettre qu'il a fait parvenir hier au maire de Montréal et président de la CMM, Gérald Tremblay. Cette lettre accompagne l'avis gouvernemental qu'attendait la CMM.

     

    Québec remet notamment en question la méthodologie utilisée pour calculer les seuils de densité préconisés dans le PMAD. Le gouvernement estime que la CMM n'a pas suffisamment tenu compte des prévisions démographiques de l'Institut de la statistique du Québec (ISQ) selon lesquelles 64,4 % des nouveaux arrivants attendus d'ici 20 ans sur le territoire auront 65 ans et plus, ce qui devrait avoir un impact sur les besoins en logements et en services publics.

     

    Des contradictions

     

    Le ministère des Affaires municipales soulève par ailleurs des contradictions dans le PMAD quant au périmètre d'urbanisation, élément qui suscite le mécontentement chez les maires de la couronne nord. Dans le plan élaboré par la CMM, on indique que ce périmètre devrait correspondre à la zone blanche actuelle pour cinq ans alors qu'à la page suivante, on y ajoute d'autres secteurs tout en précisant que ce périmètre pourra être révisé «après une période transitoire d'au plus de cinq ans».

     

    Québec demande à la CMM de cartographier de façon plus précise le périmètre d'urbanisation, et ce, en fonction d'un horizon de 20 ans. Il demande aussi le retrait de toute référence à la période transitoire de cinq ans, «d'autant plus que rien n'empêche la CMM de procéder à des demandes de révision des limites de son périmètre métropolitain en fonction de ses besoins», peut-on lire dans l'avis gouvernemental d'une quarantaine de pages. Toute demande d'agrandissement ou de dézonage devra être considérée dans une perspective métropolitaine et non locale, ajoute-t-on.

     

    Les précisions et ajustements réclamés par le gouvernement ne devraient pas mettre en péril l'adoption du PMAD avant la fin de l'année, comme prescrit dans la Loi sur l'aménagement et l'urbanisme. «Le gouvernement appuie la CMM dans sa démarche visant à doter le Grand Montréal d'un plan d'ensemble, attendu depuis plusieurs décennies», a indiqué hier le ministre par voie de communiqué.

     

    L'accueil favorable du ministre a réjoui le maire Gérald Tremblay, qui a indiqué que «tous les efforts seront faits pour intégrer les ajustements et les précisions nécessaires pour permettre l'entrée en vigueur du PMAD avant la fin de l'année».

  3. My class at UQAM finishes at 18:00 on Tuesday (too bad it's not at the Borough Office this time which is right next door to the university instead of at Collège de Montreal which is on Côte-Des-Neiges just above Sherbrooke). I may have to work on my project afterwards, so I'll have to play it by ear.

     

    I remember seeing the Metropol at a council meeting. It had several pages of descriptive text and renders. Someone should bring a camera and take pics of the pages. This information is supposed to be public, so....There is usually only one thick binder available with all the resolutions for the public to look at, so if anyone is going they should try and arrive a little early.

     

    I'm no expert on municipal government workings, but resolutions at the council meetings have already been discussed by the councillors and are normally passed (Trembay's party has the majority anway). Resolutions appear at 3 successive council meetings before they are adopted. If a project is derogatory, there is a posibilty of opening register in view of a possible referendum, but it doesn't appear to be the case with this phase of the project.

  4. Séance ordinaire du conseil d’arrondissement du mardi 11 octobre 2011 19 h

    http://ville.montreal.qc.ca/document...1_19h00_FR.pdf

     

    Salle de l’Ermitage

    Collège de Montréal

    3510, chemin de la Côte-des-Neiges

     

    PROJET D’ORDRE DU JOUR

     

    40.23 Urbanisme - Projet particulier d'urbanisme

     

    CA Direction de l'aménagement urbain et des services aux entreprises - 1114400021

     

    Adopter une résolution autorisant la construction d'une tour mixte (commerces et habitation) adjacente au Centre Bell, sur l'emplacement au sud-est de l'intersection de la rue de la Montagne et de l'avenue des Canadiens/Tour Avenue des Canadiens en vertu du Règlement sur les projets particuliers deconstruction, de modification ou d'occupation d'un immeuble - 1er projet de résolution

     

    District(s) : Peter-McGill

     

     

    Les personnes intéressés peuvent lire les détails du projet (description, nombre d'étages, rendus ..) dans la grande cartable dans l'entrée avant le début de la réunion.

  5. http://www.lonelyplanet.com/england/london/travel-tips-and-articles/76820?affil=fb-fan

     

     

    7. Namur, Montréal, Canada

     

    Montréal‘s subway system dates from the 1960s, and has housed the work of Québec’s artists ever since its opening. The stations have varying levels of cultural excitement – some are notable more for their architectural features, like stained-glass windows that let in natural light to the concourses – but some are enlivened by sculptures and coloured tiles. Namur would be a fairly bleak station if it weren’t for Système, a vast aluminium sculpture by Pierre Granche that hangs from the roof. Its interlocking structures recall molecules or geometric bubbles and give the station a magical, ethereal feel.

     

    The station is on the Orange line – slightly ironic given its grey-and-steel colour scheme (well, it was opened in 1984…).

  6. ‎"Your time is limited, so don’t waste it living someone else’s life. Don’t be trapped by dogma – which is living with the results of other people’s thinking. Don’t let the noise of other’s opinions drown out your own inner voice. And most important, have the courage to follow your heart and intuition. They somehow already know what you truly want to become. Everything else is secondary." -- Steve Jobs

     

    http://thinkexist.com/quotation/your-time-is-limited-so-don-t-waste-it-living/406623.html

  7. Ils étaient en train de prendre des échantillons du sol à l'aide d'une pepine l'autre jour. L'excavation devra débuter sous-peu.

    La liste de prix disponible au bureau des ventes (datée du 15 septembre) indique que 43 des 78 unités dans la première phase sont vendus.

  8. Alors j'ai fait ma petite recherche et le propriétaire du lot 1 424 733 est 'Les nouveaux ensembles urbains limitée'. Il est inscrit au registre foncier en avril 2011 qu'il y ait eu un avis de réserve pour fins publiques avec l'expropriant étant La ville de Montréal et l'exproprié le propriétaire actuel. Alors d'ici quelques temps la ville serait propriétaire de ce lot. C'est ce que j'ai cru comprendre.

     

    Le lot 1 424 734 n'existe plus, il y a un remplacement cadastral. Le propriétaire est toujours la SAQ. Il y a maintenant un nouveau lot juste a droite ou était la continuité du lot du blvd René-Lévesque. Le lot appartient maintenant au MTQ.

     

    Alors dans tout ce terrain, il y a 3 proprios, SAQ, MTQ et 'Les nouveaux ensembles urbains limitée'!

     

     

    J'ai trouvé ceci dans l'ordre du jour de la Séance ordinaire du comité exécutif du mercredi 2 mars 2011

    http://ville.montreal.qc.ca/documents/Adi_Public/CE/CE_ODJ_ORDI_2011-03-02_09h00_FR.pdf

     

    CG Développement et des opérations , Direction des transports - 1105183001

    Décréter l'imposition d'une réserve foncière à des fins de voie publique sur une partie du lot 1 424 733 du cadastre du Québec, situé en front nord sur le boulevard René-Lévesque Est, à l'est de la rue DeLorimier.

    Administration - Adhésion / Cotisation

     

    Peut-être la Ville veut assurer la création d'une ou deux rues publics qui traversent ce lot.

  9. http://www.radio-canada.ca/nouvelles/arts_et_spectacles/2011/10/03/004-design-hivernal-quartier-spectacles.shtml

     

    L'automne commence à peine à s'installer sur Montréal que déjà, le Quartier des spectacles se prépare à hiverner.

     

    Les trois lauréats du concours de mise en valeur et d'animation des espaces publics « Créer l'hiver au Quartier des spectacles » ont été annoncés lundi après-midi.

     

    La place Émilie-Gamelin, la place des Festivals et les abords du métro Saint-Laurent se pareront de leurs plus beaux atours à partir du mois de décembre.

     

    L'installation Éclats de verre a été imaginée par Atomic3 (Félix Dagenais, Louis-Xavier Gagnon-Lebrun et Éric Gautron) et produite par Michel Granger. L'équipe décrit le projet comme « un vitrail géant, décomposé et organisé en labyrinthe qui brille sur l'espace minéral enneigé de la place Émilie-Gamelin ».

     

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    Photo: Quartier des spectacles

    L'installation Éclats de verre, sur la place Émilie-Gamelin

     

    Un Nuage de givre, qui illuminera l'espace « de 7 777 lueurs glacées suspendues au-dessus du triangle de granit », se déposera sur la place des Festivals. Il s'agit d'une autre création signée Jean Beaudoin et Érick Villeneuve, qui avaient investi le même site avec leur Champ de pixels en 2009-2010. Le projet est produit par Multimédia Novalux.

     

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    Photo: Quartier des spectacles

    Nuage de givre, sur la Place des Festivals

     

     

    Le projet Forêt Forêt prendra quant à lui naissance aux abords du métro Saint-Laurent. Les idéateurs de l'installation décrivent celle-ci comme « un sol et ses dénivelés prêts à accueillir la neige, des arbres figuratifs de différentes formes et espèces, un sentier balisé, des troncs sonores contre lesquels coller son oreille et des arbres lumineux ».

     

    Forêt Forêt est signé Amandine Guillard, Anik Poirier, Albane Guy, TagTeam Studio et produit par Impact Production.

     

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    Photo: Quartier des spectacles Le projet Forêt Forêt, aux abords du métro Saint-Laurent

     

    « C'est une grande séance de luminothérapie à laquelle nous aurons droit cet hiver. De nouveaux projets qui viennent affirmer une fois de plus la place de Montréal comme métropole culturelle », a déclaré Pierre Fortin, directeur général du Partenariat du Quartier des spectacles, par voie de communiqué.

     

    Au total, 27 créateurs ont soumis 38 projets dans le cadre de ce concours. Trois finalistes ont été retenus pour chacun des sites à l'issue de la première étape. Ces derniers ont reçu une somme de 5 000 $ pour déposer une proposition détaillée.

  10. http://www.journalmetro.com/linfo/article/986636--trois-univers-lumineux-pour-un-hiver-dans-le-quartier-des-spectacles

     

    Du 15 décembre au 26 février, la place des Festivals, les abords du métro Saint-Laurent et la place Émilie-Gamelin s’illumineront grâce à des installations temporaires Les trois équipes gagnantes ont été dévoilées lundi

     

    JENNIFER GUTHRIE

    MÉTRO

    Publié: 03 octobre 2011 16:41

     

    Après le Champ de pixels et les Sphères polaires, la place des Festivals abritera cet hiver un Nuage de givre. La grande place du Quartier des spectacles ne sera pas la seule à accueillir une installation temporaire pendant la saison froide : la place Émilie-Gamelin et les abords du métro Saint-Laurent seront aussi de l’aventure.

     

    La place des Festivals aura droit à la plus imposante installation. Fait de 7 777 fanions lumineux suspendus au-dessus de la place, le Nuage givré y projettera une lumière bleutée jusqu’au 31 décembre. Par la suite, le bleu cédera sa place au rouge. Les déplacements des curieux seront suivis par des caméras placées à l’intérieur des fanions et feront passer la lumière de la couleur au blanc.

     

    «Si tout fonctionne comme prévu, si plusieurs personnes se trouvent en même temps sur la place des Festivals, l’effet devrait rappeler celui d’une aurore boréale», a indiqué Jean Beaudoin, qui a conçu le Nuage givré en compagnie d’Erick Villeneuve.

     

    Les deux comparses, qui ont aussi créé le Champ des pixels, promettent une expérience enveloppante et saisissante, de jour comme de nuit. Fait à noter, le nombre de fanions utilisés pour créer le Nuage sera 20 fois plus important que le nombre de «pixels» utilisés en 2009.

     

    La place Émilie-Gamelin aura aussi droit à un lifting grâce à l’installation Éclats de verre, imaginée par le groupe Atomic3. Fait d’un vitrail géant, décomposé et organisé en labyrinthe, Éclats de verre promet d’illuminer une place autrement minéralisée et froide.

     

    «On a voulu créer un îlot de chaleur», expliquent les membres du groupe, Félix Dagenais, Louis-Xavier Gagnon-Lebrun et Éric Gautron.

     

    Les passants pourront non seulement admirer les réflexions de la lumière dans les panneaux de verre, mais ils pourront aussi moduler le spectacle en manipulant les représentations miniatures de la Place Dupuis et de l’Hôtel des Gouverneurs, ce qui aura pour effet de modifier les images qui seront projetées sur les deux édifices le soir venu.

     

    À quelques mètres de là, aux abords du métro Saint-Laurent, une forêt d’arbres lumineux permettra aux promeneurs de déambuler dans des sentiers balisés et d’écouter, l’oreille collée sur les arbres, le son de ce «coin de paysage onirique» imaginé par Amandine Guillard, Anik Poirier, Albane Guy et TagTeam Studio.

     

    Les trois installations seront en place du 15 décembre au 26 février.

  11. http://www.globalmontreal.com/new+canadian+art+pavilion+in+montreal+reflects+bustling+cultural+scene/6442494276/story.html

     

    New Canadian art pavilion in Montreal reflects bustling cultural scene

    Jonathan Montpetit, Monday, October 03, 2011 5:52 PM

     

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    Matilda Cumming, 2, draws one of the exhibits at the Museum of Fine Arts Friday, September 30, 2011 in Montreal. Montreal's Museum of Fine Arts is unveiling a new wing dedicated to Quebec and Canadian art later this month, only the latest addition to the city's already bustling cultural scene.THE CANADIAN PRESS/Ryan Remiorz

     

     

    MONTREAL - As visitors enter the new wing of Montreal's Museum of Fine Arts to behold the masterpieces of Canadian art history, they pass under a giant bronze angel that seems to transform before their eyes.

     

    With its perforated stomach, mechanical arms and disembodied hands gripping its face, the sculpture is unmistakably modern.

     

    But artist David Altmejd's contribution, commissioned for the opening of the new wing, also makes a conscious nod to the past, invoking classical works and local history alike.

     

    It is a fitting symbol for a city undergoing a cultural metamorphosis of its own, at once renewing its space for traditional art and branching out in exciting new directions.

     

    "The city is bubbling," said Nathalie Bondil, the MMFA's director and chief curator. "It is an artistic centre that is very rich."

     

    The flashy showpiece of this current resurgence is the museum's Claire and Marc Bourgie Pavilion of Quebec and Canadian Art, which opens to the public on Oct. 14.

     

    At a cost of $42.4 million, the museum renovated a 19th-century Romanesque Revival church — turning it into a concert hall — and built an impressive marble extension, whose six levels now house its Canadian art collection.

     

    Starting on the top floor, with a display of Inuit carvings, visitors are taken through the portraits and religious art of the 18th and 19th centuries, the early beginnings of modernism with a stunning array of work from the Group of Seven, the surge of the avant-garde in 1940s-1960s, and the colourful abstracts of the 1970s.

     

    But as impressive as a Lawren Harris is, the strength of the collection is arguably in showcasing lesser-known artists whose works suggest a depth to the nation's art that may have been taken for granted.

     

    Alongside the Group of Seven, for instance, are several paintings by their Montreal contemporaries, the oft-forgotten Beaver Hall Group. Works like Prudence Heward's sublime "At the Theatre" are finally given the showcase they deserve.

     

    "Everyone knows the Group of Seven... but there has never been a major exhibition dedicated to the Beaver Hall Group," said Bondil.

     

    "In these six floors we go from the modest, awkward copies of European portraits that are often quite naive to the extraordinary Prudence Heward."

     

    Under Bondil's directorship, the museum has shed some of the stuffiness that comes with being Canada's oldest art institution. Recent years have seen popular retrospectives on Cuban art, Andy Warhol and Miles Davis.

     

    Bondil's vision is of a fine arts museum that is thoroughly engaged with the artistic community currently thriving in the city.

     

    "There is a desire to make Montreal cultural, but the desire is much more reflective of a grassroots movement," she said.

     

    Perhaps that is why Altmejd's sculpture, ''The Eye,'' seems so at home outside the museum's new wing.

     

    On the day the sculpture was unveiled, Altmejd recalled his first experience of art was during childhood visits to the museum with his parents.

     

    Seeing his sculpture by the museum where it all began was "like closing a loop." Altmejd returned the honour by producing a work he describes as his most important.

     

    "It is the only work I've done where I get a feeling of vertigo when I stand in front of it," he said.

     

    The Montreal native is now all grown up, having established himself as one of Canada's leading young artists with major exhibits in New York and Europe in recent years, including the 2007 Venice Biennale.

     

    But he is only one poster boy for a local arts scene described by the Washington Post as "one of the most exciting places in North America for boundary-busting art."

     

    Innovative galleries off the beaten path, such as the Parisian Laundry and Silver Flags Projects, have critics comparing the city to more established hubs for contemporary art.

     

    The increased attention comes at a time when Montreal is radically expanding its cultural infrastructure.

     

    Last month saw the opening of a major new concert hall for its world-renowned symphony orchestra. The interior of the $269-million hall is made entirely of Quebec beech wood to maximize acoustics.

     

    It is only the latest addition to the Quartier des Spectacles, Mayor Gerald Tremblay's ambitious project to turn a bohemian section of the downtown core into a tourist-friendly neighbourhood dedicated to the arts.

     

    Once finished, in the space of a few walkable city blocks, visitors will have their choice of a number of galleries, music venues and theatres.

     

    -With files from Annie Mathieu.

     

     

     

    Read it on Global News: Global Montreal | New Canadian art pavilion in Montreal reflects bustling cultural scene

  12. Merci pour les infos, JeffB!

     

    Quant au groupe 'Les nouveaux ensembles urbains limitée', il était là en 2003 comme promotteur avec la SAQ pour Porte Sainte-Marie.

     

    Voici un texte qui fait ce mention dans le rapport final de l'OCPM http://www.ocpm.qc.ca/sites/default/files/rapports/rapport_porte_sainte_marie.pdf de cet époque.

     

     

    L’Office de consultation publique de Montréal a reçu le mandat de consulter les citoyens sur deux projets de règlement visant l’arrondissement de Ville-Marie qui souhaite permettre la construction d’un complexe résidentiel et commercial de bureaux dont les promoteurs sont l’entreprise « Les nouveaux ensembles urbains Ltée » (NEUL) et la Société des Alcools du Québec (SAQ). Le projet est prévu dans le quadrilatère vacant formé par les artères suivantes : le boulevard René-Lévesque, l’avenue De Lorimier et les rues Sainte-Catherine et Parthenais.

     

    Alors la Ville veut les exproprier et devenir propriétaire de ce lot? Étrange, non. Dans le PPU pour le Quartier Sainte-Marie, elle voulait densifier ce site, mais elle va le développer elle-même? C'est la majeur partie de l’îlot! Je me doute que c'est pour construire un parc...

     

    Quant à la SAQ, lors de la consultation public du PPU Sainte-Marie en juin passé, la Ville avait peut-être mentionnée que le SAQ n'était plus interessé avec l'agrandissement de leur locaux...encore je ne suis certain.

  13. http://www.kollectif.net/18307/invitation-parc-du-stade-olympique-de-montreal-consultation-journee-de-reflexion/

     

    Invitations – Avenir du Parc olympique de Montréal – « Consultations + Journée de réflexion »

    Par admin ⋅ 1 octobre 2011 ⋅ Email this post ⋅ Imprimer cet article ⋅ Poster un commentaire

    Extrait du communiqué de presse du Gouvernement du Québec:

     

    « L’avenir du Parc olympique : Lise Bissonnette entreprend les consultations

     

    MONTRÉAL, le 14 sept. 2011 /CNW Telbec/ – Pour la première fois de son histoire, le devenir du Parc olympique fera l’objet d’une consultation publique qui se déploiera en plusieurs volets et se déroulera tout au long de l’automne. Mme Lise Bissonnette, présidente du comité-conseil portant sur l’avenir du Parc olympique, dont la formation avait été annoncée en mai dernier par le conseil d’administration de la Régie des installations olympiques (RIO), dirigera ces consultations qui auront lieu à Montréal et en régions.

     

    La consultation cherchera à cerner le mieux possible les attentes des Montréalais et des Québécois à l’égard des installations olympiques situées dans le vaste quadrilatère du Parc olympique, dont le potentiel de développement est majeur, comme l’indique la diversité des investissements récents qui y ont été annoncés, notamment dans les domaines sportifs et muséaux. Le comité-conseil, dont la RIO attend la formulation d’une vision cohérente pour le futur, entend se nourrir d’abord des réflexions des citoyens. La présidente du comité-conseil a choisi d’entendre tout autant le grand public que des groupes naturellement intéressés aux orientations du Parc olympique.

     

    L’exercice comprendra quatre volets :

     

    Des consultations, menées sur invitation, auprès des milieux sportifs, d’affaires, culturels, touristiques, communautaires, patrimoniaux, éducatifs, riverains. Ces huit séances se tiendront au Stade olympique du 19 au 27 septembre 2011;

    Des consultations publiques seront ouvertes à tous les citoyens les 15 et 16 octobre. Une inscription sera nécessaire pour y participer, le nombre de places étant limité. Outre l’accueil des commentaires et suggestions, les séances comprendront une visite des installations olympiques. Ces consultations publiques feront l’objet d’une annonce plus détaillée au début octobre. Le public pourra s’inscrire en octobre à l’adresse suivante : comité.conseil@rio.gouv.qc.ca

    Une tournée de consultations régionales, menée par Mme Bissonnette, aura lieu au cours du mois d’octobre;

    Un cadre de consultation électronique sera également mis en ligne en octobre. Le public pourra y retrouver les renseignements relatifs à la consultation et y déposer des mémoires, suggestions et commentaires. Cette méthode interactive s’inscrit dans les pratiques les plus actuelles en matière de consultations publiques. La plateforme utilisée à cette fin a été éprouvée depuis 2007 dans plus d’une centaine de consultations en ligne à travers le monde.

    « Le Parc olympique est une institution publique majeure, dont le devenir intéresse l’ensemble des Québécois. Je souhaite profiter d’un éclairage qui aille désormais au-delà des considérations habituelles sur son histoire mouvementée et qui le traite comme un actif et un atout », a déclaré Mme Bissonnette. »

     

    Pour lire la suite du communiqué de presse…

     

    Journée de réflexion sur l’avenir du Stade olympique de Montréal organisée par le Groupe de Recherche sur les Espaces Festifs (GREF):

     

    « Suite au colloque « Les nouvelles territorialités du sport dans la ville », le GREF tiendra, le 5 octobre, une journée de réflexion sur l’avenir du Parc olympique de Montréal. Cet événement gratuit, présenté en collaboration avec le Parc olympique de Montréal, s’adresse à tous les publics : citoyens, décideurs, experts, etc. Cette journée rassemblera un panel d’experts qui réfléchira sur l’avenir du Parc olympique dans une perspective responsable, cohérente et positive. Il s’agit d’un événement dont l’organisation est indépendante de toute autre partie prenante au débat actuel. »

     

    Pour plus d’information…

     

    (Source: Michel Lauzon, architecte, designer urbain, directeur création, associé principal, Lemay associés architecture, design)

     

    Présentation de Martin Houle lors du Forum des architectes intitulée « L’avenir du stade olympique, une affaire de réconciliation »:

     

    « Madame Fotopoulos, Monsieur Bourassa, chers collègues,

     

    Je vous avertis immédiatement, la présentation et l’exposition de ce soir n’ont pas pour objectif de passer en revue l’historique du parc olympique. Au fait, le but de mon intervention est relativement simple : susciter un intérêt de votre part sur l’avenir du parc olympique et plus particulièrement, sur celui du stade.

     

    C’est donc une réflexion en amont que nous devons avoir avant même de pouvoir commencer à penser à le reconvertir, à le démolir ou à le laisser tel quel. La question qui tue comme on dit, est la suivante : « Voulons-nous le conserver? ». Après avoir répondu à cette question toute simple mais lourde de conséquences peut-être que nous pourrons commencer à parler de solutions et de propositions.

     

    Tel une relation amour-haine, je suis personnellement divisé sur plusieurs aspects du stade et chaque côté lutte pour que je me fasse une opinion finale.

     

    Premièrement, j’ai un côté nostalgique. Celui d’un jeune de 10 ans qui quitte momentanément la banlieue en compagnie de son père pour s’aventurer dans la jungle urbaine du métro de Montréal pour aller voir les Expos, nos Z’Amours : l’accueil au stade est assourdissant! Premièrement, il y a le fameux bruit de fond des systèmes de ventilation accompagné des cris des vendeurs de produits Labatt. Il y a l’odeur des hot-dogs (ou « roteux » comme mon père aime bien les appeler) qui parfume l’air et le son enthousiaste du claquement des fameux bancs jaunes pour encourager les Tim Raines, Gary Carter (récemment diagnostiqué avec une tumeur au cerveau), Andre Dawson, Pedro Martinez, Andres Galarraga et sans oublier les acrobaties de Youppi sur le terrain (qui a maintenant troqué son VTT pour une paire de patins)

     

    Mon côté contribuable quant à lui est inquiet. Le stade est finalement payé alors on en fait quoi maintenant? Y loger une autre équipe sportive? À moins que Montréal ne se découvre une nouvelle passion pour le cricket, il n’y aura ni équipe de baseball, de football ou de soccer qui va s’y installer. Ahhh mais c’est vrai, le stade accueille des shows de « Monster Truck », une finale de Coupe Grey de temps en temps et quelques salons, notamment le Salon des animaux compagnies. Combien coûte-t-il par année à entretenir? Combien va coûter le nouveau toit? Pour que le stade devienne quoi au juste? Un stade vide avec un nouveau toit? Combien, combien, combien….

     

    Alors la question des coûts fait aussi appel à mon côté architecte… »

     

    Pour lire la suite…

     

    (Crédit photo: Martin Houle)

  14. Plan de cadastre -

    http://www.ocpm.qc.ca/sites/default/files/pdf/P07/12.pdf

     

    Ci-haut le plan de cadastre que j'ai trouvé dans les documents sur le site de l'OCPM (consultations sur Porte Sainte-Marie en 2003).

    http://www.ocpm.qc.ca/consultations-publiques/porte-sainte-marie

     

    Peut-on trouver le (ou les) proprio(s) de ces terrains ? Je suis curieux de voir si le SAQ a vraiment vendu leur terrain et à qui.

    Je n'arrive pas à comprendre comment faire une recherche avec le numéro de cadastre sur le lien du rôle d'évaluation.

    http://evalweb.ville.montreal.qc.ca/Role2011actualise/recherche.asp

  15. J'ai hâte de voir la proposition d'un nouveau projet pour ce terrain. Nous allons connaître les intentions de la Ville très bientôt. En passant, lors des consultations, la Ville avait mentionné qu'une partie de ce terrain a été vendu (la partie de la SAQ si ma mémoire est bonne).

     

    Dans les prochaines semaines, le projet de PPU fera l’objet d’une révision par l'arrondissement avant d’être adopté par le conseil municipal dans sa version finale à l'automne.

    http://ville.montreal.qc.ca/portal/page?_pageid=7317,79383687&_dad=portal&_schema=PORTAL

  16. http://www.portailconstructo.com/sites/default/files/Cmnq_Le_Metropol-Samcon29sept11.pdf

     

    Pour Diffusion Immédiate

     

    Le nouveau projet de condos au centre-ville de Montréal ouvre ses portes ce samedi!

     

    Montréal, le 29 septembre 2011 – Samcon est fier de lancer son tout nouveau projet au centre-ville de Montréal! Le Metropol est situé au cœur du quartier latin, au coin du boulevard René-Lévesque Est et de la rue St-Denis. Le Metropol offre une architecture unique, au design moderne et stylisé, afin de donner au projet une élégance contemporaine. Le Metropol offre les services d'un gymnase et d'un chalet urbain, adjacent à une piscine entourée d'une terrasse sur le toit, qui surplombe la grande métropole. L’ouverture du bureau des ventes aura lieu ce samedi dès 9h!

     

    Caractéristiques du projet

    Projet de condominiums de 199 unités

    Prix : à partir de 197 900$ (taxes en sus.)

    Types d’unités : studio, 3 ½, 4 ½ et penthouse

    Superficies : 480 à 1900 pi²

    Stationnement : intérieur disponible

    Livraison : juillet 2013

     

    Bureau des ventes

    835, boul. René-Lévesque Est

    Montréal, Québec

    514 282.8167

    lemetropol@samcon.ca

     

    Heures d’ouverture

    Ouverture du projet ce samedi dès 9h!

    Berri-UQAM Lundi au jeudi : 13h à 20h

    Samedi et dimanche : 12h à 17h

     

    Source :

    Samcon

    Gaël Lupien

    Coordonnatrice marketing

    514 844.7300, poste 470

    Erreur ! Référence de lien hypertexte non valide.

    samcon.ca

  17. On sait toujours pas où sont passées les statues?

     

    http://www.vieux.montreal.qc.ca/inventaire/fiches/fiche_bat.php?num=21&sec=o

     

    Cet édifice est construit en 1907-1908 pour héberger le siège social de la Banque Royale. Il est conçu selon les plans de l’architecte d’origine américaine Howard Colton Stone. Le sculpteur américain Henry Augustus Lukeman réalise quant à lui les quatre immenses statues qui ornent le bâtiment.

     

    La Banque Royale quitte l’édifice en 1928 pour s’installer un peu plus à l’ouest, dans son nouveau siège social de 22 étages. L’immeuble est alors vendu à la Banque Provinciale du Canada. Cette dernière y installe son siège social qu’elle agrandit en 1958 en achetant l’édifice voisin. Elle y loge jusqu’à sa fusion avec la Banque Canadienne Nationale en 1979, l’immeuble devenant ensuite pour quelques temps une succursale de la Banque nationale du Canada issue de cette fusion.

     

    Deux projets de recyclage de l’édifice sont proposés dans les années 1980. La communauté urbaine de Montréal projette d’abord d’y établir le quartier général de la police, mais on abandonne cette idée. On tente ensuite de le convertir en hôtel : le bâtiment est alors détruit hormis la façade désormais adossée à une nouvelle structure de béton armé. Le projet est toutefois abandonné en cours de travaux. Dans les années 1990, on entreprend de sauvegarder les quatre statues de l’édifice. En 1999, le ministère de la Culture et des Communications leur octroie le statut d’oeuvres d'art reconnues. Elles sont peu après mises en valeur dans le hall de l’édifice de Bibliothèque et Archives nationales du Québec à Montréal, rue Viger. En 2008, on espèrait toujours l’annonce d’un nouveau projet permettant la restauration et la mise en valeur de ce vestige.

  18. http://www.cyberpresse.ca/arts/musique/critiques-de-concerts/201109/29/01-4452401-bourgie-surtout-belle-a-voir.php?utm_categorieinterne=trafficdrivers&utm_contenuinterne=cyberpresse_B9_arts_244_accueil_POS1

     

     

    ublié le 29 septembre 2011 à 07h22 | Mis à jour à 07h37

    Bourgie: surtout belle à voir

     

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    Le concert inaugural était sur invitation seulement, mais on pourra en entendre l'enregistrement ce soir même, 20h, à Radio-Canada.

    Photo Alain Roberge, La Presse

     

     

     

    Claude Gingras

    La Presse

    Un record: en moins d'un mois, Montréal aura vu l'ouverture de deux nouvelles salles de concert. Après ce qui s'appelle désormais La Maison symphonique de Montréal, de 1900 places, voisine de la salle Wilfrid-Pelletier, s'ouvrait mercredi soir la salle Bourgie de 444 places, aménagée dans l'ancienne église Erskine and American, tout à côté du Musée des beaux-arts dont elle fait partie.

     

    Après ce qui s'appelle désormais La Maison symphonique de Montréal, de 1900 places, voisine de la salle Wilfrid-Pelletier, s'ouvrait hier soir la salle Bourgie de 444 places, aménagée dans l'ancienne église Erskine and American, tout à côté du Musée des beaux-arts dont elle fait partie.

     

    Le concert inaugural était sur invitation seulement, mais on pourra en entendre l'enregistrement ce soir même, 20h, à Radio-Canada.

     

    Le premier contact avec la nouvelle salle est bon. On a remplacé le module d'entrée installé au printemps, et dont le modernisme outré défigurait la façade du vieux temple. À l'intérieur, on a conservé l'essentiel du cadre original tout en le rafraîchissant. Ainsi, une nouvelle lumière éclaire les fameux vitraux de Tiffany, qui comptent parmi les plus beaux en Amérique. Détail non négligeable: les longs bancs de bois coussinés ont été remplacés par des fauteuils où l'on est aussi confortable que chez soi!

     

    Le Tout-Montréal de la grande musique était là. Le programme, assorti des allocutions de circonstance, dura près de trois heures et de nombreux auditeurs ne revinrent pas après l'entracte.

     

    Dirigé par Christopher Jackson, un ensemble de huit cuivres clama d'abord quelques Monteverdi et Gabrieli. Karina Gauvin suivit, avec André Laplante au piano, et offrit An die Musik, hymne de Schubert à la musique et choix idéal pour l'événement, qu'elle interpréta avec la voix et la sincérité d'une belle artiste. En fait, et jusqu'à la dernière rangée, on y entendait deux voix: nouveau Glenn Gould, M. Laplante chante en jouant et, j'en suis sûr, sans s'en rendre compte.

     

    On annonça un ajout au programme: une pièce de Messiaen de 1935 qui, selon les sources, s'intitule indifféremment Étude-Vocalise, Vocalise-Étude ou Vocalise. Peu importe: la chose se ramène à un exercice technique sans intérêt musical. Avec un petit ensemble instrumental, Mme Gauvin chanta ensuite la joyeuse Cantate no 51 de Bach, Jauchzet Gott in allen Landen!, dans un style que je me contenterai de qualifier de personnel.

     

    Le programme comprenait deux créations commandées pour l'événement: Double Trio, de l'Américain Elliott Carter, et Hommage à Louis C. Tiffany, du Montréalais Maxime McKinley. Jean-François Rivest dirigeait le Carter et Jackson dirigeait le McKinley.

     

    Elliott Carter aura 103 ans le 11 décembre. Autant on admire le fait qu'il compose encore à un âge aussi avancé, autant il faut bien dire que sa pièce de huit minutes est déséquilibrée et n'ajoute rien à sa réputation. Le violon d'Alexandre da Costa monopolise la moitié de l'espace. Les autres instruments se contentent de miettes. Plus originale, la pièce de McKinley fait circuler les sons de huit cuivres (quatre trompettes, quatre trombones) autour de la salle en mouvement perpétuel de cinq minutes.

     

    André Laplante et un quatuor à cordes formé pour l'occasion terminaient le concert avec le Quintette op. 34 de Brahms. Une solide lecture de musiciens professionnels qui travaillent bien. Quand même, je ne regrettais pas l'omission de la longue reprise au premier mouvement.

     

    Concernant l'acoustique, elle se révèle -après un seul contact, il est vrai, et d'un seul endroit, soit l'arrière- bonne, avec réserves, pour l'ensemble des instruments, plus inégale en ce qui concerne la voix. Tout ce qui est chanté forte crée une surcharge qui, au surplus, brouille le texte. De même, les toux y sont grandement amplifiées...

     

    _________________________________________________

     

    CONCERT INAUGURAL de la nouvelle Salle Bourgie du Musée des beaux-arts.

     

    Radiodiffusion du concert: Radio-Canada, jeudi 29 septembre 2011 à 20h.

  19. http://lapresseaffaires.cyberpresse.ca/economie/quebec/201109/28/01-4452308-ilot-voyageur-le-plancher-du-rez-de-chaussee-a-refaire.php?utm_categorieinterne=trafficdrivers&utm_contenuinterne=cyberpresse_B4_manchettes_231_accueil_POS3

     

    Îlot voyageur: le plancher du rez-de-chaussée à refaire

    Publié le 29 septembre 2011 à 05h00 | Mis à jour à 06h18

     

    Martin Croteau

    LA PRESSE

     

    (Montréal) Les étages supérieurs de l'îlot Voyageur ne sont pas encore construits qu'il faut déjà refaire le plancher du rez-de-chaussée. Des travailleurs sont à pied d'oeuvre depuis le début de la semaine pour remplacer le béton qui recouvre le stationnement au premier niveau, a constaté La Presse Affaires.

     

    L'îlot Voyageur est ce bâtiment inachevé rue Berri qui devait fournir à l'UQAM l'espace nécessaire pour des résidences pour étudiants, des bureaux, un stationnement souterrain et des salles de classe. Il abrite notamment la Station centrale d'autobus

     

    Au cours de notre passage, hier, des travailleurs avaient démoli la dalle qui recouvre le stationnement des autobus. Ils s'affairaient à empiler les débris près d'une petite grue. Un camion a quitté les lieux transportant un tas de rebuts. Ce plancher doit être refait au grand complet.

     

    «C'est une dalle de roulement, pas la dalle structurale qui est en dessous et qui, elle, est en très bon état», précise Martin Roy, porte-parole de la Société immobilière du Québec (SIQ), l'organisme gouvernemental qui possède l'édifice.

     

    Une inspection réalisée par la firme Cima+ en mai 2009, puis révisée en septembre 2010, a révélé la présence de nombreuses fissures dans la structure.

     

    «La chape de béton qui recouvre la membrane de la dalle du niveau R est fissurée sur toute sa surface, peut-on lire dans le rapport. Cette fissuration est apparue suite au passage des autobus après la première inspection de mai 2009.»

     

    C'est cette même chape de béton que la SIQ doit maintenant remplacer.

     

    La SIQ paiera les travaux, elle qui a acquis l'immeuble il y a moins d'un an. M. Roy n'a pas été en mesure de préciser combien coûtera le remplacement de la dalle. Ce travail s'insère dans un chantier de 8 millions de dollars, lancé au printemps pour terminer l'aménagement du terminus d'autobus au rez-de-chaussée. On a bâti un lien souterrain vers le métro Berri-UQAM, et achevé le système de ventilation.

     

    Il n'a pas été possible de savoir si la SIQ va exiger une forme de dédommagement auprès de Busac, qui a bâti l'immeuble et qui en était propriétaire jusqu'à l'an dernier.

     

    Selon le député Sylvain Simard, critique du Conseil du trésor au Parti québécois, cette nouvelle tuile soulève des inquiétudes quant à l'état général de l'îlot Voyageur. Il souligne que les étages supérieurs de l'édifice sont exposés à la pluie, au vent et au froid depuis que le chantier a été stoppé, il y a quatre ans.

     

    «Vous imaginez que pour les étages qui ont été exposés aux éléments depuis fort longtemps, on risque de se retrouver avec de fort mauvaises surprises», dit-il.

     

    Le remplacement du béton ne devrait pas perturber le terminus d'autobus outre mesure, a indiqué Martin Roy. Le chantier sera mené en deux temps pour que des quais restent accessibles. Les services d'expédition restent pour leur part ouverts.

     

    Le feuilleton de l'îlot Voyageur a commencé en 2005, fruit d'une association entre l'UQAM et la firme Busac. Mais les coûts ont explosé au point où Québec a dû verser 200 millions dans une fiducie pour sortir l'UQAM du gouffre financier. L'an dernier, le gouvernement a allongé 20 millions pour acquérir l'immeuble, et 25,5 millions pour mettre la main sur les droits de gestion de la Station centrale d'autobus.

     

    Le chantier, lui, a été abandonné en 2007. Une clôture métallique entoure l'édifice à ce jour, et le squelette de béton reste bien visible au coin des rues Berri et Ontario.

     

    La présidente du Conseil du Trésor, Michelle Courchesne, devait se prononcer à la fin de juin sur l'avenir de l'îlot voyageur. La décision a finalement été repoussée à la fin de l'automne.

     

    «En un an, on n'a toujours pas trouvé le moyen de déterminer l'avenir de ce bâtiment, qui se dégrade devant tous les Montréalais, dénonce Sylvain Simard. On a vraiment un monument aux fiascos libéraux de gestion.»

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