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Julpyz

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Messages posté(e)s par Julpyz

  1. 21 minutes ago, Normand Hamel said:

    C'est une excellente idée car si une ville aurait besoin d'une Maison internationale c'est bien Montréal avec ses quatre universités de calibre mondial. Cependant même si le site du RV me parait idéal pour une telle institution il ne faudrait pas qu'une université en particulier soit privilégiée géographiquement au détriment des trois autres. C'est pourquoi idéalement je privilégierais plutôt un emplacement qui serait situé à peu près à la même distance du campus principal de chacune des quatre universités.

    Universités.png

    Le fait d’avoir les universités des deux bords de la montagne et des deux bords du C-V rend cette idée assez impossible. Le RVH est pas mal la position la plus idéale, avec le REM, c'est juste une station de l'UdeM, trois stations de métro d'UQAM, deux stations de métro de Concordia et deux stations de REM pour ÉTS. C'est difficile de faire mieux. Le RVH est par contre assez loin de la station McGill, l'idéal serait de rajouter une autre station de REM sous la montagne au niveau de Pine Avenue, ça viendrait vraiment améliorer la connectivité pour toutes les universités.

    2 hours ago, IluvMTL said:

    https://plus.lapresse.ca/screens/8e8445a5-2083-4b6e-a317-33ceb77cd12b__7C___0.html?utm_content=facebook&utm_source=lpp&utm_medium=referral&utm_campaign=internal share&fbclid=IwAR2-knpQGvFqikB3oGugrwL1GeV39fJqOdv5urOXC3_hE6fv8HI1PmS8M6o

    ,

    @

    UNE CITÉ UNIVERSITAIRE SUR LE MONT ROYAL

    FRÉDÉRIC MÉRAND, JÉRÔME LUSSIER ET NICOLAS-DOMINIC AUDET*

    Année après année, Montréal figure au palmarès des meilleures villes étudiantes du monde. Les raisons sont notoires : quatre grandes universités qui rayonnent dans deux langues, un corps professoral et étudiant venu des quatre coins de la planète, une riche vie urbaine, culturelle et sociale, des droits de scolarité raisonnables et des perspectives de carrière appréciables. 

    Jusqu’à tout récemment, un loyer abordable faisait aussi partie des facteurs d’attraction de la métropole. La donne a malheureusement changé ces dernières années, et le besoin de résidences universitaires est aujourd’hui criant.

    Un modèle idéal pour Montréal : la cité universitaire internationale

    À l’heure actuelle, chaque université planifie et gère ses résidences sur son campus et selon ses besoins propres, sans concertation ni tentative réelle d’offrir aux étudiants une expérience typiquement montréalaise : le brassage des langues et des cultures.

    Il existe pourtant un autre modèle : celui de la « maison internationale ». De Berkeley, à New York, en passant par Chicago, de nombreuses villes se sont dotées, au début du XXe siècle, de résidences universitaires affiliées à plusieurs institutions, destinées aux étudiants locaux et étrangers. À Paris, c’est tout un campus – la cité universitaire internationale de Paris – qui accueille 40 maisons hissant le drapeau de presque autant de pays, dont la Maison des étudiants canadiens, fondée en 1926 avec le concours du Québécois Joseph-Marcelin Wilson.

    Une cité universitaire internationale de Montréal enrichirait la vie étudiante de la métropole à la fois par son caractère bilingue, unique au monde, et par le renforcement de la coopération interuniversitaire.

    Basée sur un principe de mixité sociale, culturelle et disciplinaire, la cité serait un véritable bien collectif au bénéfice des étudiants internationaux venus découvrir Montréal, mais aussi des étudiants québécois qui partageront leur quotidien avec ces visiteurs de l’étranger. Elle encouragerait les rencontres et le vivre-ensemble, tout en réduisant un peu la pression sur le marché locatif.

    Finalement, la cité constituerait un puissant levier d’attraction, devenant un symbole fort de la vie universitaire montréalaise et contribuant au rayonnement universitaire et culturel du Québec sur les cinq continents.

    UN SITE TOUT DÉSIGNÉ

    Si l’idée d’une cité universitaire internationale de Montréal circule depuis quelques années, nous avons aujourd’hui une formidable occasion de la mettre en œuvre : la nécessaire reconversion du terrain de l’ancien hôpital Royal Victoria. Situé dans un écrin de verdure sur le mont Royal, l’hôpital désaffecté inclut de nombreux pavillons composés de chambres et d’espaces collectifs, notamment le Pavillon des femmes, qui seraient particulièrement adaptés aux usages d’une résidence étudiante.

    L’établissement se trouve à quatre kilomètres de l’Université de Montréal, à deux kilomètres de l’UQAM et de Concordia, et à quelques centaines de mètres de McGill. On pourrait aisément y loger 500 étudiants, soit 100 places pour les quatre universités et une centaine de places pour d’autres établissements (Polytechnique, ETS, Conservatoire, etc.). Les étudiants auraient accès à leur campus d’attache à pied, à vélo ou par transports collectifs, y compris le futur REM.

    Les usages possibles du Royal Victoria ne sont pas si nombreux, surtout si l’on souhaite éviter la privatisation du lieu ou son appropriation institutionnelle exclusive. La cité universitaire cohabiterait à merveille avec les plans de l’Université McGill, dont le pavillon de développement durable occuperait moins de 15 % du site. Le projet d’une cité universitaire internationale de Montréal pourrait par ailleurs faire l’objet d’un large consensus en préservant le caractère public du site, en évitant les clivages linguistiques et en y associant la vitalité propre à une communauté étudiante.

    COMMENT FINANCER LE PROJET ?

    Il reste la question du financement. À l’origine, les maisons internationales des États-Unis et de Paris ont été créées par des philanthropes. Elles sont aujourd’hui largement autonomes sur le plan financier, grâce aux loyers payés par les étudiants, aux services de cafétéria, etc.

    À Montréal, il n’est pas difficile d’imaginer un partenariat initial entre les universités, la Ville de Montréal, le gouvernement du Québec et le gouvernement fédéral. Parions également qu’il serait possible d’intéresser quelques entreprises, mécènes et donateurs privés, qui se réjouiraient de soutenir un projet phare pour l’avenir de l’éducation supérieure et le rayonnement international de Montréal et du Québec tout entier.

    * Les auteurs ont séjourné, respectivement, à l’International House de Berkeley, à l’International House de New York et à la Cité universitaire de Paris. Ils en gardent un bon souvenir.

    Super idée!

  2. 1 hour ago, acpnc said:

    REM de l’Est La Haye, Rennes, Washington : la Caisse donne des exemples visuels

    IMAGE FOURNIE PAR CDPQ INFRA

    La ligne B du métro aérien de Rennes, en France.

    CDPQ Infra a cité pour la première fois mercredi matin des inspirations visuelles pour son REM de l’Est, un métro aérien dont le passage prévu en plein cœur du centre-ville de Montréal soulève une immense controverse.

    Publié le 26 mai 2021 à 12h26

    https://www.lapresse.ca/affaires/2021-05-26/rem-de-l-est/la-haye-rennes-washington-la-caisse-donne-des-exemples-visuels.php

    Maxime Bergeron
    La Presse

    Pendant une séance de breffage technique, une porte-parole de cette filiale de la Caisse de dépôt et placement du Québec a donné les exemples de métros aériens récents ou en construction, dont ceux de La Haye, aux Pays-Bas, celui de Rennes ainsi que la ligne 8 du Grand Paris Express, tous deux en France.

    CDPQ Infra a aussi fourni à La Presse des inspirations tirées de projets récents à Chicago et Washington, aux États-Unis.

    IMAGE FOURNIE PAR CDPQ INFRA

    Une station du métro de Washington construite en 2017.

    Les projets cités par CDPQ Infra traversent des secteurs densément peuplés, comme ce sera le cas avec le REM de l’Est. Ce projet de 10 milliards de dollars doit traverser une partie du centre-ville, par le boulevard René-Lévesque, pour se rendre ensuite dans le nord et dans l’est de l’île de Montréal.

    IMAGE TIRÉE DE TWITTER MES QUARTIERS

    Une ligne récente du métro de La Haye, aux Pays-Bas.

    Craignant d’être associées à un projet qui risque de défigurer le centre-ville de Montréal pour des décennies, deux prestigieuses firmes d’architectes québécoises – Daoust Lestage Lizotte Stecker et STGM – se sont désistées du projet au cours des derniers mois, a révélé en février Le Journal de Montréal.

    La firme d’architecture Lemay a pris le relais et sera responsable de concevoir le design du REM de l’Est, en collaboration avec un groupe d’une quinzaine d’experts de plusieurs disciplines. Jean-Paul Viguier, un spécialiste européen des structures de transport aériennes, siège notamment sur ce comité.

    Ce groupe a tenu sa première rencontre le 21 mai dernier, et deux autres sont prévues au cours des prochaines semaines. Le comité se penchera sur « l’élaboration de toute la volumétrie, les matériaux, l’architecture et le design des structures aériennes », a expliqué Virginie Cousineau, directrice des affaires publiques chez CDPQ Infra.

    Architecture « imposée »

    La première phase du REM, un projet de 67 kilomètres qui relie la Rive-Sud de Montréal, l’Ouest-de-l’Île et l’aéroport Montréal-Trudeau au centre-ville, est présentement en construction accélérée. Le projet de plus de 6 milliards a été décrié par plusieurs pour son aspect massif, voire sa laideur, avec ses imposantes poutres de béton.

    Virginie Cousineau fait valoir que la phase 1 du REM longe surtout des autoroutes et des friches industrielles. Il est impensable d’imaginer une telle structure pour le REM de l’Est, avance-t-elle.

    « L’approche va être complètement différente », résume la porte-parole.

    La principale différence par rapport à la phase 1 du REM, dit-elle, est que les « lignes directrices architecturales » seront « imposées » au moment des appels d’offres. « Il n’y aura pas de place à l’interprétation. »

    Mme Cousineau reconnaît que les lignes architecturales de la première phase du REM « n’étaient pas prescriptives ». Elle réfute néanmoins l’idée que les citoyens habitant près de cette mégastructure aient été sacrifiés, entre autres dans les quartiers de Pointe-Saint-Charles et Griffintown. Des œuvres d’art seront installées pour enjoliver la structure de béton, a-t-elle indiqué.

    René-Lévesque ou rien

    De nombreux aspects du REM de l’Est seront appelés à évoluer avec la tenue d’audiences publiques et de consultations environnementales en 2021 et 2022. « La hauteur, la grandeur, les matériaux qui seront utilisés, rien n’a encore été décidé », a dit Virginie Cousineau.

    Elle rappelle que plusieurs éléments de la première phase du REM ont été modifiés en cours de route, entre autres après les audiences du BAPE. Par exemple, des changements ont été faits pour protéger des milieux humides près du Technoparc.

    Une chose est sûre cependant : c’est bel et bien sur le boulevard René-Lévesque que le métro aérien traversera le centre-ville. Sept scénarios ont été étudiés par la Caisse – incluant en sous-terrain –, mais aucune de ces options n’était viable, insiste Virginie Cousineau.

    Architectes inquiets

    Les esquisses non officielles du REM de l’Est qui ont circulé jusqu’ici ont soulevé l’inquiétude de nombreux citoyens, gens d’affaires, politiciens et membres de la communauté montréalaise des urbanistes et des architectes.

    Le caricaturiste de La Presse, Serge Chapleau, a fait grand bruit en publiant ce week-end une esquisse où il plaquait grosso modo la structure existante du REM sur le boulevard René-Lévesque – un scénario exclu par CDPQ Infra, et qui n’est pas à l’échelle.

    CARICATURE LA PRESSE

    Une caricature du REM de l’est traversant le centre-ville, par Serge Chapleau

    Des architectes montréalais, qui ont refusé d’être identifiés pour ne pas nuire à leurs relations d’affaires, ont par ailleurs préparé des esquisses non officielles qui sont davantage à l’échelle que la caricature de Chapleau.

    Leurs dessins, obtenus par La Presse, laissent entrevoir une structure assez massive à divers endroits le long du tracé du REM de l’Est.

    IMAGE FOURNIE

    L’angle du boulevard René-Lévesque et de la place du Frère André

    IMAGE FOURNIE

    L’angle des boulevards René-Lévesque et Saint-Laurent

    PHOTO FOURNIE

    Vue de la rue Baldwin vers la rue Sherbrooke Est.

    Virginie Cousineau indique que les premières esquisses officielles du REM de l’Est pourraient être présentées à la rentrée d’automne. CDPQ Infra vise un projet « signature » et bien intégré à son environnement.

    La filiale de la Caisse a par ailleurs dévoilé mercredi son avis de projet, qui constitue une étape concrète supplémentaire dans l’avancement du projet de 32 kilomètres et 23 stations.

    IMAGE FOURNIE PAR CDPQ INFRA

    Une esquisse, présentée à titre indicatif par CDPQ Infra, d’une station du REM de l’Est le long de la rue Notre-Dame.

    CDPQ Infra vise à commencer la construction du réseau en 2023. Le projet REM de l’Est a reçu un appui extrêmement enthousiaste du gouvernement caquiste de François Legault et devrait s’arrimer à une station de l’extension de la ligne bleue du métro de Montréal.

    IMAGE FOURNIE PAR CDPQ INFRA

     

    21 minutes ago, SameGuy said:

    Honestly, if the starting point is the totally-serviceable-if-banal West Island segment, as long as officials (Infra, City, I don’t care) can keep it free of tags and street art, it’s not even that bad. It should be noted that not one of these sketches is at the correct height, accentuating the “heaviness” from ground level. The minimum clearance below will be 5 metres; these illustrations show it more like 3.5 metres (like parts of the Doney spur on either side of the 40). In all likelihood it will be quite a bit higher than the minimum, like the Tokyo Yurikamome line @Enalung showed us. If they make it more svelte and stylized, and with good up-lighting, it will be just fine.

     

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    Je ne comprends pas leurs points. L'article nous parle d'exemples architecturaux pour le REM, mais procède à seulement nous en montrer deux et puis une trollés de rendus "pire scénario" du REM-A au C.V. Ils auraient pu au moins les montrer au public pour justement arrêter de leur rentrer dans la tête que ça va être ce genre d'architecture au milieu de R-L.

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  3. 57 minutes ago, Enalung said:

    Ce qui ressort présentement des commentaires sur le site de consultation:

    • Connexion et positionnement des stations sur René Lévesque
    • Propositions d'aménagement sur René-Lévesque
    • Demande de station à RDP
    • Connexion avec la gare de train Saint-Michel-Montréal-Nord
    • Demande de station supplémentaire à la jonction de la rue des Ormeaux.
    • Demande de réaménagement de l'intersection du Boulevard Henri-Bourassa et Sherbrooke.
    • RIEN sur la possibilité de mettre ça en tunnel!

    Partagez vos idées: https://monrem.ca/participez/brainstormers/partagez-vos-idees
    Carte Interactive: https://monrem.ca/participez/maps/contribuez-sur-la-carte-interactive#

    Bien que je préfère un tunnel sous R-L, ils ont été (et ils le sont encore) extrêmement clairs sur leur position et sur la viabilité de cette proposition. Je crois qu'on doit passer à autre chose et essayer de le rendre le plus beau possible plutôt que de continuer à espérer a un miracle souterrain.

    De plus quand je vois cette photo, je me dis que R-L est juste parfaite pour avoir un tracé aérien à son centre.

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  4. 25 minutes ago, peekay said:

    Ca fait des mois que je disais la meme chose. Ils devraient absolument arrêter de construire à part le centre-ville au rive sud, y compris l'aéroport. C'est un énorme gaspillage.

    10% n'est même pas proche. Je crois plutôt 25%.

    10% = Une équipe de la CDPQ avec un rapport d'achalandage détaillé pour le futur.

    25% = Opinion "d'expert" de Peekay

     

    Which one should I believe? 🤔

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  5. https://journalmetro.com/local/mercier-anjou/2629676/prolongement-de-la-ligne-bleue-anjou-sort-sa-proposition/

    Prolongement de la ligne bleue: Anjou sort sa proposition

    L’arrondissement d’Anjou dit vouloir faire économiser 450 M$ au gouvernement du Québec à travers sa proposition de prolongement de la ligne bleue du métro.

    Luis Miranda, maire d’Anjou, l’a fait savoir lors d’une assemblée citoyenne virtuelle tenue le 31 mars. «Avec notre proposition, on ne touche pas à Best Buy et on peut faire facilement économiser 450 millions. C’est un projet de 4,5 milliards», a indiqué  M. Miranda.

    Pour lui, le projet de prolongement de la ligne bleue du métro, tel que proposé par la Société de Transport de Montréal (STM) ne répondrait pas aux besoins des Angevins. Les deux tiers de ceux-ci sont du côté est de l’autoroute 25 et non du côté ouest, mentionne le maire qui juge également la proposition de la STM onéreuse.

    Il souligne que celle-ci aurait mobilisé 450 M$ pour les expropriations avec sa proposition d’avoir un édicule près du centre commercial des Galeries d’Anjou et un autre à côté du boulevard des Galeries d’Anjou.

    «Ce projet oblige à faire des expropriations majeures. On parlait même d’exproprier, de prendre possession du RONA et du Best Buy», relève-t-il. Il enchaîne que la STM prévoit même construire un garage d’entretien mécanique sous le site des Galeries d’Anjou. Cela coûterait encore très cher, d’après l’élu.

    Un édicule près de l’hôtel de ville

    En décembre dernier, M. Miranda s’était expliqué à Métro en indiquant que, au lieu de tout exproprier aux Galeries d’Anjou, il serait mieux de faire des installations souterraines du côté est, en dessous de l’hôtel de ville angevin et en dessous du parc Goncourt. «Il n’y aurait pas d’expropriations. Il y a plusieurs centaines de millions à économiser là», avait-il déclaré.

    Lors de l’assemblée citoyenne, le maire a réaffirmé que pour desservir les Angevins et les citoyens des autres arrondissements, il souhaitait qu’il y ait un édicule de la station de métro Anjou au voisinage du centre commercial des Galeries d’Anjou et un autre du côté de l’hôtel de Ville. «Ça peut être du côté nord ou du côté sud, on est très ouvert sur ça», a-t-il admis durant la séance virtuelle, à laquelle s’étaient inscrites plus de 200 personnes.

    Anjou soutenu dans sa proposition

    Contactée, Lise Thériault, députée provinciale d’Anjou–Louis-Riel, a exprimé sa satisfaction de voir les élus locaux écouter les citoyens. Elle apprécie que le projet de prolongement de la ligne bleue continue d’évoluer.

    «Pour le moment, c’est une proposition et les citoyens d’Anjou ont le droit de réclamer des changements parce que ce sont eux qui vont vivre avec les inconvénients du trafic», a déclaré Mme Thériault.

    Quant à Trajectoire Québec, un organisme de promotion des droits des citoyens en matière de transport collectif dans la province, il estime que les Angevins ont bien raison et que ça fait 40 ans qu’ils attendent le prolongement de la ligne bleue.

    «La proposition de l’arrondissement d’Anjou devrait être évaluée par l’ARTM et la STM. Les services de transport collectif doivent être développés en continu», suggère Sarah V. Doyon, directrice générale de Trajectoire Québec, dans un courriel.

    «Nous comptons sur l’Autorité régionale de transport métropolitain (ARTM) et la Société de transport de Montréal (STM), en tant que planificateurs du transport collectif sur l’île, pour qu’elles s’assurent de desservir les citoyens et les citoyennes d’Anjou de façon optimale en s’assurant que le prolongement de la ligne bleue les avantage aussi», avance Mme Doyon.

    Elle considère que le projet tel que planifié, avec la station terminale aux Galeries d’Anjou, doit se faire dès maintenant.

    Trajectoire estime que la proposition de l’arrondissement d’Anjou doit être examinée, mais mentionne aussi qu’il «est important de compléter les cinq stations telles que planifiées par l’ARTM, pour ensuite enclencher rapidement une nouvelle phase de développement vers Anjou.»

  6. 13 hours ago, acpnc said:

    Québec prévoit 2,2 milliards de plus pour le REM

    PHOTO DAVID BOILY, ARCHIVES LA PRESSE

    La somme de 18,7 milliards qui apparaît dans le document intitulé Plan québécois des infrastructures (PQI) 2021-2031 représente un écart de 2,2 milliards par rapport au chiffre officiel qui circule, soit 16,5 milliards, pour les deux tronçons : 6,5 milliards pour la ligne de l’Ouest et 10 milliards pour le REM de l’Est.

    Le gouvernement du Québec a inscrit dans ses documents budgétaires une somme de 18,7 milliards pour la construction des deux lignes du Réseau express métropolitain (REM) par la Caisse de dépôt et placement.

    Publié le 31 mars 2021 à 6h00

    https://www.lapresse.ca/affaires/2021-03-31/quebec-prevoit-2-2-milliards-de-plus-pour-le-rem.php

    André Dubuc
    La Presse

    Cette somme, qui apparaît dans le document intitulé Plan québécois des infrastructures (PQI) 2021-2031, représente un écart de 2,2 milliards par rapport au chiffre officiel qui circule, soit 16,5 milliards, pour les deux tronçons : 6,5 milliards pour la ligne de l’Ouest et 10 milliards pour le REM de l’Est.

    « La CDPQ Infra travaille présentement sur deux prolongements du REM. Cette somme de 2,2 milliards (et même davantage) sera requise lorsque la décision sera connue », a expliqué par écrit Florent Tanlet, attaché de presse de la présidente du Conseil du trésor, mardi en fin de journée lorsque La Presse a demandé plus d’information sur cet écart de 2,2 milliards.

    Le Trésor assure que les 2,2 milliards ne sont pas une provision pour des dépassements de coûts du REM actuellement en construction. Mais impossible de connaître les détails sur les prolongements dont parlent la Caisse et le ministère des Transports. Des prolongements vers Lachine, la gare Via de Dorval, vers Mirabel ou encore Rivière-des-Prairies ont déjà été évoqués, mais rien n’est indiqué dans le document.

    On sait par contre que le tronçon Chambly–Saint-Jean-sur-Richelieu a été abandonné. Les projets de Laval et du boulevard Taschereau, sur la Rive-Sud, sont toujours à l’étude. Ces deux derniers projets figurent ailleurs dans le PQI et ne sont pas compris dans les 18,7 milliards du REM.

    Vendredi dernier, Harout Chitilian, vice-président, affaires corporatives, développement et stratégie, à CDPQ Infra, s’est limité à dire que c’était au gouvernement d’expliquer son chiffre.

    Le ministère des Transports n’a pas donné suite aux questions de La Presse, lundi et mardi, et nous a dirigé vers le Conseil du trésor.

    Des questions sur la transparence

    « Il y a de gros problèmes de transparence dans la gestion du REM, a commenté Jean-Philippe Meloche, professeur à l’École d’urbanisme et d’architecture de paysage de l’Université de Montréal, à qui La Presse a demandé ce qu’il comprenait de cet écart-surprise de 2,2 milliards dans le REM. « C’est sûr que ça va coûter plus cher qu’on nous l’a dit, affirme-t-il. Pour le REM 1 [en cours de réalisation], on le sait déjà. Pour le REM de l’Est, on ne nous a pas dit grand-chose. Ça peut varier beaucoup. »

    De son côté, François Pépin, président du conseil d’administration de Trajectoire Québec, groupe faisant la promotion des transports en commun, déplore l’absence complète de détails sur ces 2,2 milliards additionnels en transport collectif. « On aimerait savoir comment 6,5 milliards plus 10 milliards font 18,7 milliards », dit-il, un sourire dans la voix.

    « Nous aurions effectivement dû être plus précis dans le PQI et le détailler davantage », reconnaît le Conseil du trésor, dans un courriel.

    Délais et augmentations de coûts

    En construction, la ligne Brossard–centre-ville–Deux-Montagnes, avec ses antennes vers l’aéroport et Sainte-Anne-de-Bellevue, mesure 67 kilomètres et compte 26 stations. Son coût est annoncé à 6,5 milliards par la Caisse. Quand on tient compte de toutes les contributions des partenaires gouvernementaux, la facture approche les 8 milliards, en incluant la contribution additionnelle des gouvernements pour la gare de l’aéroport qu’Aéroports de Montréal n’est plus capable de payer.

    En novembre 2020, la Caisse a annoncé que le REM serait retardé de 18 mois à la suite de la découverte de résidus d’explosifs dans le tunnel sous le mont Royal. L’état de dégradation de celui-ci sous la station de métro McGill exige aussi plus de travaux qu’anticipé. À l’époque, la Caisse parlait d’un minimum de 80 millions à titre de surcoûts. Le patron de la Caisse, Charles Emond, a promis en février une mise à jour complète des coûts et des échéanciers du REM dans les prochaines semaines.

    Le secteur de la construction fait face ces temps-ci à une inflation galopante des coûts des matériaux de construction. Récemment, un fabricant de glissières de sécurité s’est inscrit au registre des lobbyistes pour demander au gouvernement provincial de revoir à la hausse les modalités de son contrat en raison de la hausse vertigineuse du prix du bois et de l’acier. Le ministère des Transports lui a offert 14 % de plus, mais le fabricant juge l’offre inacceptable et exige « 25 % + 5 % », lit-on dans le mandat de lobbying.

    Le REM de l’Est a fait l’objet d’une annonce officielle en décembre 2020. On parle d’une ligne à deux antennes totalisant 32 kilomètres et 23 stations pouvant être mise en service d’ici 2029. Il y a tout juste trois mois, les coûts de construction du projet étaient estimés à 10 milliards. Le projet prévoit la construction d’un tronçon aérien en plein centre-ville à l’est du boulevard Robert-Bourassa. L’ensemble du chantier du REM constitue le plus important projet de transport collectif de l’histoire du Québec.

    Could it be for a soon-to-be-announced REM Taschereau?

  7. 16 minutes ago, Rocco said:

    Ça aurait pu être pire, effectivement.

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    Metro-train.jpg

    I really like how Sydney Metro integrated the Metropolis two front "nipples" with the slow curve in the train's body. It's the main thing I would change about the REM cars, our trains look more like two big nipples was added in the front as an after thought.

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