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Feanaro

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Messages posté(e)s par Feanaro

  1. Il y a 7 heures, steve_36 a dit :

    La démolition d'une station service en plein Centre-ville est toujours une bonne nouvelle. Et voir celle-ci disparaître me fait grandement plaisir. 

    La plus proche est maintenant celle sur Saint-Laurent / Sherbrooke maintenant si je ne me trompe pas... Avis à ceux qui louent des voitures de location et qui doivent les remettre pleines en centre-ville. 😁

  2. il y a 37 minutes, mattrga a dit :

    There were a series of explosions on the site this morning. It took a while for the fire department to gain access to the site, but everything was brought under control pretty quickly.

     

     

    IMG_0952.jpg

    IMG_0953.jpg

    IMG_0954.jpg

    En espérant qu'il n'y ait pas eu de blessés... 

  3. Il y a 10 heures, andre md a dit :

    On doit aussi ajouter le marché des espaces industriels. Depuis quelques temps je constate la rareté et aussi l'augmentation des prix des espaces industriels. Il y a vraiment un boom a Montreal. Résidentiel, Commercial, et Industriel. 

     

    Il y a 7 heures, ToxiK a dit :

    Il n'y a pas si longtemps je crois que tu mentionnait qu'un quartier industriel (Lachine?) avait beaucoup de locaux vacants, est-ce que ça c'est vraiment amélioré là aussi?

    Pour travailler beaucoup dans l'immobilier industriel, il y a de grosses différences entre les sous-marchés de la région métropolitaine de Montréal. Laval et les deux rives fonctionnent très bien parce que ce sont, généralement, des parcs industriels récents donc attractifs (hauteur libre, colonnes, etc.). Pour ceux de l'île de Montréal, ceux de l'Est ont connu une belle embellie grâce à plusieurs projets (XTL Transport, Sleeman, Décathlon, etc.). Pour ceux de l'Ouest, cela est très variable en fonction des bâtiments. Dans son ensemble, étant donné la vigueur de l'économie, le taux d'inoccupation devrait continuer à baisser et à se stabiliser autour de 2 % et les prix de location / de vente devraient donc poursuivre leurs hausses. Les propriétés qui resteront sur le marché seront celles qui seront problématiques et que les propriétaires voudront conserver vides pour leurs besoins et ceux de leurs clients. 

  4. Il y a 10 heures, Habsfan a dit :

    Excellente analyse. L'immobilier commercial a toujours tendance à suivre l'économie en général d'une année ou deux. On a pa fini de voir des nouvelles tours à bureau se construire. Vrai que plusieurs d'entre elles feront parti de projets mixtes (comme la Tour Aimia, Victoria sur le Parc etc...) mais nous allons aussi voir d'autres tours à bureau monter. Juste à voir la quantité d'absorption qu'il y a eu dans la ville ces dernières années, on commence vraiment à ressentir le besoins pour des gros blocs d'espaces au Centre Ville. It's just a matter of time!

    Je suis d'accord avec ton analyse mais il faudra évaluer comment le marché va se comporter avec le bloc laissé vacant par la Banque Nationale sur De la Gauchetière.

  5. Il y a 3 heures, ScarletCoral a dit :

    mais ce projet prend un temps fou à sortir de terre!
    Ils ont pas encore commencé à couler la 1re dalle du sous-sol! 

     

    22 juin 2018 pépine à côté du tas de débris qu'est devenu l'ancien bureau de ventes!
     

     

     

    il y a 24 minutes, Megafolie a dit :

    Effectivement c’est très long. Il semble y avoir eu des difficultés au pieutage, ensuite au creusage - particulièrement rendu au fond - et maintenant que les fondations sont coulées le reste tarde à suivre. Je commence à me demander s’il n’y aurait pas un problème de disponibilité de main d’oeuvre ou de fournisseurs.

    (Peut-être que le beau-frère à Denis (du TOM) est seul sur ce chantier aussi? Qui sait. 🤔)

    Et il y avait eu un accident avec une personne qui était tombée en contre-bas, ce qui a dû impliquer une enquête. 

  6. Citation

    L’Impact congédie son entraîneur-chef Rémi Garde

    L’Impact a annoncé mercredi avoir congédié son entraîneur-chef Rémi Garde. Wilmer Cabrera, lui-même remercié il y a huit jours par le Dynamo de Houston, le remplace.

    L'adjoint de Garde Joël Bats et le préparateur physique Robert Duverne sont également libérés. Wilfried Nancy, autre adjoint, et l'entraîneur des gardiens Rémy Vercoutre, eux, restent en poste.

    L'ancien capitaine de l'Impact Patrice Bernier se joint aussi au groupe d'entraîneurs.

    Garde, 53 ans, était en poste depuis novembre 2017. Sous sa gouverne, l’équipe n’a jamais participé aux éliminatoires de la MLS et a compilé une fiche de 24-29-8. Elle est 7e au classement de l'Est, tout juste dans le portrait des éliminatoires.

    « Puisque j'ai un très grand respect pour Rémi comme personne et comme professionnel, cette décision a été très difficile et longuement réfléchie, mais nos insuccès des derniers mois et la façon dont le club se comporte sur le terrain nous ont menés vers ce changement », a déclaré le président et chef de la direction de l'Impact de Montréal, Kevin Gilmore, par communiqué.

    « On espère qu'une confiance nouvelle pourra être insufflée aux joueurs en vue du dernier droit de la saison afin d'accéder aux séries éliminatoires et de bien performer en finale du Championnat canadien. »

    Cabrera, un Colombien de 51 ans, a mené le Dynamo à la finale de l’Ouest en 2017, puis à la Coupe des États-Unis en 2018.

    Il a aussi dirigé Chivas USA à sa dernière année en MLS, en 2014, après avoir été entraîneur adjoint avec les Rapids du Colorado (2012 et 2013). Sur la scène internationale, il a été sélectionneur de l’équipe américaine des moins de 17 ans de 2007 à 2012.

    L’Impact a perdu 6 de ses 8 derniers matchs en MLS. Pendant cette série noire, le Bleu-blanc-noir est tout de même parvenu à se qualifier pour la finale du Championnat canadien, qu’il amorce le 18 septembre contre le Toronto FC dans la Ville Reine.

    https://ici.radio-canada.ca/sports/1269609/soccer-impact-remi-garde-entraineur-congediement?utm_source=dlvr.it&utm_medium=twitter  

    Remi Garde a été entraîneur en Ligue 1 en France et en Premier League en Angleterre, ce n'était surement pas lui le problème... 

  7.  

    Il y a 10 heures, greg16 a dit :

    Je suis vraiment très content que cette situation commence à être exposée aux grand jour.

    Il y a depuis très longtemps des problèmes majeurs dans la gestion de la Corporation.
    Malheureusement, plusieurs ont réussi à dévier l'attention des médias et des citoyens avec des histoires de stationnement.

    Le système de revente des emplacements est un des principaux problèmes.
    C'est entre autres la cause de la plupart des kiosques vides. C'est de la pure spéculation qui nuit à l'ensemble des marchés publics.

    J'espère vraiment que la ville va agir rapidement.

     

    il y a 3 minutes, ScarletCoral a dit :

    Enquête policière !

    http://plus.lapresse.ca/screens/a22ded18-0571-4911-a2d9-b86091da0f84__7C___0.html

    LA POLICE ENQUÊTE SUR LES MARCHÉS PUBLICS DE MONTRÉAL

    Le contrôleur général de la Ville a découvert l’existence d’un système de sous-location des kiosques et de paiement du loyer en argent comptant par des marchands

    SUZANNE COLPRON ET PIERRE-ANDRÉ NORMANDIN
    LA PRESSE

    Le Service de police de la Ville de Montréal (SPVM) enquête sur la gestion de la Corporation de gestion des marchés publics de Montréal (CGMPM), dont les administrateurs ont démissionné en bloc, a appris La Presse.

    Cette enquête a été déclenchée à la suite d’un rapport accablant du contrôleur général de la métropole, qui a découvert des irrégularités dans la gestion des marchés publics, notamment Jean-Talon, Atwater, Maisonneuve et Lachine. 

    À l’été 2018, le contrôleur général Alain Bond, dont le mandat est d’évaluer si les organisations relevant de la Ville respectent les règles en place, a décidé de se pencher sur les activités de la CGMPM après avoir reçu des allégations de mauvaise gestion. 

    Son rapport, déposé le 14 décembre 2018, que La Presse a obtenu, a relevé de nombreuses anomalies. Il a notamment mis en lumière l’existence d’un système de revente et de sous-location de baux entre producteurs et distributeurs et l’utilisation de locaux à des fins personnelles.

    « Il semble que la Corporation a perdu le contrôle quant à l’occupation des emplacements. Les locataires fonctionnent comme si les emplacements leur appartenaient en propre et sous-louent, ou cèdent selon leur convenance », écrit le contrôleur dans son rapport de 24 pages.

    « Depuis environ une dizaine d’années, les locataires monnayent leurs emplacements, c’est-à-dire qu’ils les vendent à un acheteur de leur choix. »

    « La “vente” des emplacements est une pratique courante et servirait de fonds de pension après une carrière d’agriculteur, entre autres », ajoute-t-il.

    M. Bond en est venu à la conclusion que les administrateurs de l’organisme sans but lucratif (OSBL) ne jouaient pas leur rôle. Il a invité la Ville à revoir son entente de gestion et à régler les problèmes de gouvernance et d’administration de la CGMPM, qui regroupe 150 membres répartis dans les 15 marchés de Montréal.

    Le contrôleur général a aussi recommandé à la Ville de resserrer la surveillance de CGMPM et de revoir la composition de son conseil d’administration, formé de revendeurs, de fermiers et de marchands de tous les marchés de la métropole. Son rapport recommande d’interdire la vente de kiosques et la sous-location, et de mieux encadrer l’utilisation des cartes de crédit et le remboursement des dépenses, tout en s’assurant d’obtenir le paiement du loyer.

    « QUI LOUE QUOI ? »

    « On suit la situation de très près depuis quelques mois », assure Robert Beaudry, responsable du développement de l’habitation et du développement économique au comité exécutif, en entrevue avec La Presse.

    Au début de l’année, le directeur de la CGMPM a été remplacé par Isabelle Laliberté, dont la nomination a été entérinée par les membres du conseil. Selon M. Beaudry, le mandat de Mme Laliberté était d’assainir la gouvernance de l’OSBL, de recruter de nouveaux administrateurs au sein de la société civile et de recueillir des données sur les marchés publics pour savoir « qui loue quoi » et combien d’espaces sont vacants.

    « Avant, tous les membres du conseil d’administration étaient des marchands. Ils étaient à la fois juge et partie, de façon majoritaire. On voulait d’autres expertises, pour s’assurer d’avoir plus de maraîchers dans les marchés publics et moins de revendeurs. »

    — Robert Beaudry, membre du comité exécutif de la Ville de Montréal

    « On voulait aussi savoir qui loue quoi. Des gens ont vendu ou sous-loué des espaces », poursuit M. Beaudry.

    La Ville avait l’impression que le conseil d’administration agissait en vase clos, à l’abri des regards, et qu’il dissimulait volontairement des informations.

    DÉMISSIONS EN BLOC

    Coup de théâtre : vendredi dernier, tous les administrateurs de l’OSBL ont remis leur démission en bloc, « par crainte à leur intégrité personnelle ».

    C’est ce qu’a précisé la directrice générale, Isabelle Laliberté, dans une lettre adressée aux membres de la Corporation, en date du 16 août.

    « Sous peu, vous recevrez un avis de convocation à une assemblée générale spéciale pour former une nouvelle administration », ajoute-t-elle.

    La démission des membres du conseil est survenue « un peu » avant le déclenchement de l’enquête du SPVM, précise M. Beaudry. « Les gens du conseil d’administration ne se sont pas sentis en sécurité. Je ne peux pas en dire plus parce qu’il y a une enquête au niveau du SPVM. Nous, notre rôle, c’est d’accompagner la Corporation de plus près. »

    Parmi les démissionnaires, il y avait de nouveaux membres du conseil, recrutés par Mme Laliberté, qui n’a pas rappelé La Presse hier.

    PLUS DE MARAÎCHERS

    Fondée en 1993, la Corporation gère les marchés publics de Montréal à la demande de la Ville et récolte les loyers. Elle verse une redevance à la Ville, qui est propriétaire des terrains. « Notre relation en était une de locateur-locataire, dit M. Beaudry. On signait un bail avec la Corporation pour s’occuper des terrains, c’est tout. »

    Ce que la Ville souhaite maintenant faire, c’est de régler la question de la gouvernance et de signer une nouvelle entente qui va lui permettre d’avoir des liens plus étroits avec l’organisme et d’orienter son plan de développement.

    « Nous n’avions pas assez de données sur ce qui se passait dans les marchés publics, sur qui occupait les terrains, ce qui ne favorisait pas l’innovation, dit-il. L’objectif, c’est de régler les problèmes de gouvernance et, ensuite, de signer une entente. »

    M. Beaudry est d’avis que les revendeurs n’ont pas vraiment leur place dans les marchés publics, qui devraient accueillir davantage de maraîchers pour répondre aux besoins des gens.

    « Il n’y a pas d’adéquation entre la mission des marchés et ce que la Ville souhaite offrir à la population. »

    — Robert Beaudry, membre du comité exécutif de la Ville de Montréal

    Contrairement à d’autres grandes villes, comme New York, Montréal n’a pas de règles strictes pour que ses marchés publics ne vendent que des produits locaux, plutôt que des oranges ou des bananes qui viennent de loin. Dans son rapport, le contrôleur général de la Ville indique avoir été informé de cas où des produits d’origine inconnue étaient vendus comme étant des produits provenant de producteurs locaux.

    Cet été, les marchés publics de Montréal ont fait la manchette en raison de la multiplication des emplacements vides, notamment au marché Jean-Talon, où des commerçants ont manifesté leur inquiétude pour l’avenir de l’institution, qui a vu plusieurs de ses kiosques fermer au cours de la dernière année. Cette situation, disent-ils, nuit à l’image du marché et à leur chiffre d’affaires.

    Dans un reportage publié la semaine dernière dans La Presse, la directrice générale de la CGMPM a indiqué que l’organisme ne savait pas combien de kiosques étaient loués chaque année au marché Jean-Talon (l’un des plus anciens de la métropole) ni à combien s’élevaient les revenus de location.

    Le nombre de marchés publics a décuplé ces dernières années. En 1980, on en recensait 34 dans la province. L’Association des marchés publics du Québec en compte désormais plus d’une centaine.

    « Il y a un réel problème qui se passe avec les marchés publics », a dit Lionel Perez, chef de l’opposition à l’hôtel de ville, en mêlée de presse, hier matin.

    Il est grand temps que la Ville et que le SPVM s'en mêlent et fassent un réel ménage parmi toutes les personnes qui ont abusé de ce système pendant trop d'années. Qu'ils soient exclus de tous les marchés de Montréal, qu'ils soient condamnés au criminel et qu'ils paient des amendes, voire plus... Ils ont profité de la négligence d'une corporation et ont détourné de l'argent public ces ****... 

  8. Il y a 11 heures, Né entre les rapides a dit :

    Je ne veux pas être inutilement cynique,  car comme on dit "vaut mieux tard que jamais".  N'empêche, le problème n'est pas nouveau, ce n'est pas comme si, dans les meilleures pratiques de la politique publique,  on avait observé des signes de l'émergence prochaine d'un problème bien avant qu'il se manifeste sérieusement, et qu'on avait élaboré et mis en oeuvre des mesures préventives à temps.  Je ne blâme pas particulièrement l'actuelle administration municipale.  Les précédentes ont aussi leurs parts de responsabilité.

    Maintenant, si on se veut positif et regarder vers l'avenir, il faudra que les intervenants soient réalistes.  Une partie des difficultés recontrées par les rues commerciales traditionnelles est attribuable à des facteurs sur lesquels l'administration municipale a peu ou pas de prise: on ne peut pas, et on ne devrait pas essayer de revenir "au bon vieux temps".  Heureusement, il y en a d'autres qu'elle peut infléchir, par exemple: 1) le fardeau des taxes; 2) l'accès (modes de transport); 3) la densification résidentielle aux abords; 4) des aménagements conviviaux qui ne peuvent pas être imités par les centres commerciaux de banlieue. 

    Entièrement d'accord avec toi. Il faut accompagner la densification résidentielles autour des artères commerciales et réduire les exigences en terme de superficies commerciales par le zonage. Dans le contexte où le commerce électronique explose, les besoins en pi² ne sont plus les mêmes. 

  9. Il y a 13 heures, whitesand a dit :

    According to the registre foncier, Mondev acquired the parc at the corner of Notre Dame & St Jean, and the parking lot on St Francois Xavier, in January. 

    Zoning allows for 23m (about 7 floors) and a density of 6 meaning the project can be about 230,000 square feet and over 300 units.

    St Francois Xavier.png

     

    Merci pour l'info! 

    J'avais déjà entendu plusieurs projets sur ce site à la fin des années 2000 - début 2010 (2007 : acquisition par les hôtels JaRo). Le fait que le terrain se trouve notamment dans l'arrondissement historique du Vieux-Montréal devrait favoriser un projet de qualité. On l'espère en tout cas. 

    @nephersir7, ton document est plus qu'intéressant. Je ne savais qu'il y avait eu un stationnement étagé à cet endroit... 

    • Like 1
  10. il y a 37 minutes, ScarletCoral a dit :

    Je pensais que ce parti était mort... 
    Mais bon, après avoir été candidat avec l'Équipe Coderre, il passe au Vrai Changement 

     

    image.png

    Malheur, c'est fou comme Projet Montréal a 0 opposition. Cela en est épeurant... 

  11. il y a une heure, vincethewipet a dit :

    https://journalmetro.com/actualites/montreal/2360783/jean-pierre-szaraz-affrontera-luc-rabouin-dans-la-course-a-la-mairie-du-plateau-mont-royal/

    Ensemble Montréal ressort Jean-Pierre Szaraz comme opposant à Luc Rabouin pour la bataille à la mairie du Plateau Mont-Royal. Il s'était déjà présenté contre Projet Montréal il y a quelques années comme conseiller d'arrondissement dans le quartier.

    Bref, on a rien de nouveau dans le Plateau. Projet Montréal a choisi un clone de Luc Ferrandez, Ensemble Montréal sort un opposant de longue date qui vient de la même clique vocale anti-Projet Montréal, avec exactement le même conservatisme que les candidats défaits avant lui.

    Ensemble Montréal manque encore une occasion. Sur le Plateau, il fallait présenter quelqu'un de jeune et de dynamique. Idéalement, cela aurait dû être une femme. 

  12. Il y a 3 heures, FrancSoisD a dit :

    Tournée lavalloise, 8 août 2019.

    Équinoxe et sa grue avec néons blancs géants éteints (c'est joli de nuit), avec IVVY en avant-plan. La vue est du côté diamétralement opposé aux immeubles par rapport aux photos de @brainiac ci-haut.

    20190808_144853_Richtone(HDR).jpg

    Pour passer presque tous les jours par là, l'effet de masse de Groupe Maurice est vraiment intense! 

  13. il y a 23 minutes, Megafolie a dit :

    7 août 2019

    Premièrement, je ne sais pas pourquoi ce fil est marqué comme oublié/en suspens.  Le centre est toujours en construction et des travaux sont en cours. Est-ce qu'un mod pourrait le déplacer? Merci!

    Deuxièmement, je n'en croyais pas mes yeux ce matin:  un des bâtiments tout neufs, qui n'avait pas encore été complété, est en cours de DÉMOLITION ce matin. Je n'ai pas eu le temps de prendre de photo mais il s'agit du bâtiment encerclé en jaune sur une photo prise par moi-même l'an dernier.

     

    RTM-PSC.jpeg

    Je l'ai remis dans la section sur les trains de banlieue. 

    Lorsque le REM a été lancé, il n'avait pas été mentionné que les ateliers de PSC seraient sous-utilisés puisque l'entretien du matériel roulant du REM se ferait à Brossard et à Deux-Montagnes? Je pense que oui, cela explique peut-être cette fâcheuse situation. 

  14. Il y a 17 heures, vincethewipet a dit :

    Le candidat pour Projet Montréal aux élections partielles sera déterminé ce soir. Il y a deux personnes en liste:

    https://journalmetro.com/actualites/national/2357476/projet-montreal-deux-candidats-veulent-succeder-a-luc-ferrandez/

    Personnellement, je pense que Luc Rabouin va l'emporter. Il s'appelle Luc, et il se présente dans la continuité de l'administration actuelle. Paule Genest à comparaison critique les rues apaisées comme étant un labyrinthe inutile. Je doute qu'une candidate plus sensible à ouvrir les rues résidentielles au trafic de transit plutôt qu'à la qualité de vie des résidents soit très populaire localement.

    Voici un texte de Mario Girard sur Marie Plourde et le fait qu'elle passe son tour (ce qui m'avait étonné):

    plus.lapresse.ca/screens/de7eb3e9-d0a9-4953-bfdb-0c0d7289a186__7C___0.html

    J'ignorais qu'elle était la conjointe de Luc Ferrandez, ben coudonc. Ils étaient discrets, ou je suis aveugle. Anyway je pense qu'elle aurait bien remplie le rôle de mairesse d'arrondissement. C'est une personne appréciée dans le quartier depuis son saut en politique. Elle est compétente à gérer les dossiers locaux.

    Petite dose de cynisme: la course au candidat de PM ce soir est la véritable élection dans le quartier, et il y a quand même deux approches différentes pour l'avenir du quartier qui s'affrontent. Une de ces deux personnes sera maire du Plateau, à moins que Ensemble Montréal sortent une espèce de super vedette, et que celle-ci contredise le discours constant que l'on retrouve à l'opposition à l'hôtel de ville.

    Le Plateau, c'est le château-fort de PM, là par où a tout commencé. Aucune chance qu'Ensemble Montréal y fasse un gain. 

  15. Il y a 21 heures, playmind a dit :

    Allez-y faire un tour c'est l'hécatombe. Je dirais 25-30% des espaces sont vacants et l'achalandage a beaucoup diminué depuis l'an dernier. Un ajustement? J'ai bien peur que non.  Il essaie de cacher le problème des espaces vide en mettant des tables à picnic partout. La réalité est que la SDC est complètement incompétente à gérer le marché public qui demanderait avant tout de comprendre le fonctionnement commercial du lieu. Trop de discussions et de pressions de groupes communautaires qui n'ont aucune compréhensions de la mécanique mercantile d'un tel lieu. Jusqu'à maintenant le marché a toujours eu un achalandage organique car l'offre était assez exclusive mais en réalité son fonctionnement est très fragile. Au lieu d'avoir une vraie vision pour développer de nouvelles astuces commerciales, les gestionnaires du marché augmentent les tarifs des marchands et pensent qu'en aménageant des espaces avec des bancs et des tables la clientèle va augmenter. Le marché se meurt oui. Pas étonnant car l'organisme de gestion sans but lucratif fait face à de multiples groupes de  pression, a peu de ressources vu son statut non lucratif et arrive difficilement à se concerter avec la ville. Dommage car le potentiel est toujours là, d'avoir un marché urbain hyper dynamique qui fonctionnerait véritablement 12 mois par année avec des accès faciles pour tous le monde et une offres qui pourraient aller bien au-delà de ce qu'il y a actuellement. Pendant ce temps il s'ouvre au centre-ville de nouveaux concepts tel que le Time out market et le marché urbain St-Laurent...

    Précision qui a une certaine importante : les marchés publics de Montréal, dont celui de Jean-Talon et d'Atwater, sont gérés par la Corporation des marchés publics de Montréal qui n'a aucun lien avec les SDC. Ce sont deux partenaires bien différents. Dans le cadre du marché Jean-Talon, la SDC qui couvre ce territoire est celle de la Petite-Italie. 

  16. il y a une heure, acpnc a dit :

    Le Cirque du Soleil s’établit dans l’ancienne usine Mabe à Montréal

    https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/1238192/cirque-du-soleil-montreal-usine-mabe

     

    Ismaël Houdassine

    Publié à 4 h 54

    Sans tambour ni trompette, le Cirque du Soleil a installé ses pénates dans l'ancienne usine Mabe, située à l'angle de la rue Notre-Dame et de Dickson, dans l'arrondissement Mercier-Hochelaga-Maisonneuve. Depuis le début du mois de juillet, l'entreprise met tranquillement en place son deuxième pôle de création à Montréal.

    Sur place, des caméras surveillent les discrètes entrées et sorties. Une affiche colorée sur laquelle est inscrit en lettres dorées « Le Groupe Cirque du Soleil » est à peu près le seul indice qui trahit la présence de l’entreprise fondée par Guy Laliberté. Pourtant, à l’intérieur, une quarantaine d’artistes et acrobates répètent le prochain spectacle prénommé Axel.

    Ce spectacle, la deuxième création sur glace de la compagnie après Crystal – sa 48e production –, sera présenté en première à Montréal en décembre prochain après avoir entamé une tournée en Amérique du Nord.

    Selon les informations obtenues par Radio-Canada, le Cirque du Soleil avait besoin de locaux assez vastes pour permettre la conception d’une grosse production comme celle d'Axel. C'est pourquoi la firme s'est tournée vers un local d’envergure. Environ 30 000 pieds carrés seront utilisés dans ce qui est dorénavant appelé le Studio Dickson.

    Le Cirque du Soleil installe un pôle de création dans l'est de Montréal dans les locaux de l'ancienne entreprise Mabe.

    Photo : Radio-Canada / Ismaël Houdassine

    Une patinoire d’une dimension de près de 23 mètres sur 42 mètres a été construite et l’équivalent du contenu de vingt camions remplis d’équipements meuble déjà l’intérieur des locaux.

    Le géant du divertissement a amorcé plusieurs rénovations pour que les travailleurs aient davantage de confort. On y installera notamment des douches. Des espaces de bureau pouvant accueillir une centaine de personnes ont également été aménagés.

    « L’espace, dont la hauteur atteint plus de 18 mètres, nous permet de répéter dans exactement les mêmes conditions que celles de la tournée, a expliqué en entrevue Julie Desmarais, attachée de presse du Cirque du Soleil. Par conséquent, cela nous permet de maximiser notre temps de mise en scène. »

    Effort de revitalisation

    En entrevue, le maire de l’arrondissement Mercier-Hochelaga-Maisonneuve, Pierre Lessard-Blais, peinait à cacher sa joie de voir s'établir le Cirque au cœur du projet de l’Écoparc industriel de la Grande Prairie.

    « Lorsqu’on voit la manière dont ils se sont installés dans le nord de la ville, en établissant de bonnes collaborations avec les citoyens, on s'attend à ce qu’il fasse la même chose dans notre arrondissement », a-t-il dit.

    Bien que l’entreprise n’ait bénéficié d’aucune subvention, le maire assure que la présence du Cirque s’inscrit dans cette volonté de revitalisation de l’est de Montréal voulu par la mairesse de la métropole, Valérie Plante.

    « On sait que la ville prévoit le développement d'un tramway dans l’est de la métropole le long de la rue Notre-Dame. Il va y avoir des aménagements, comme l'intégration d'une piste cyclable. Bref, ça va être un emplacement extraordinaire pour à la fois vivre dans l'est de Montréal, mais aussi pour y faire de bonnes affaires où l'on est respectueux de l'environnement et des citoyens », a déclaré M. Lessard-Blais.

    Une énorme usine

    Il s'agit de tout un retournement pour ce secteur industriel de l'Est montréalais. L’usine d'électroménagers Mabe avait déclaré faillite en 2014, laissant 737 travailleurs sans emploi. Le Groupe Shapiro et Triad – deux boîtes spécialisées dans la location de bâtiments commerciaux et industriels – ont ensuite acquis le site pour entreprendre en 2017 des travaux de décontamination.

    Les espaces sont demeurés à louer jusqu’en 2018, lorsque l’enseigne sportive Décathlon a installé son centre de distribution dans une partie de l’édifice. Avec l'arrivée du Cirque, les deux tiers du bâtiment seront occupés.

    Le centre créatif principal du Cirque du Soleil demeure au siège social situé dans le quartier Saint-Michel, mais l’attachée de presse ne cache pas que d’autres nouveaux spectacles pourraient bientôt sortir du Studio Dickson, qui sera mobilisé pour les « besoins actuels et futurs ».

    Très bonne nouvelle pour ce quartier montréalais qui a encore besoin de beaucoup d'amour. 

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