Aller au contenu

Rechercher dans la communauté

Affichage des résultats pour les étiquettes 'cpm'.

  • Rechercher par étiquettes

    Saisir les étiquettes en les séparant par une virgule.
  • Rechercher par auteur

Type du contenu


Forums

  • Projets immobiliers
    • Propositions
    • En Construction
    • Complétés
    • Transports en commun
    • Infrastructures
    • Lieux de culture, sport et divertissement
  • Discussions générales
    • Urbanisme, architecture et technologies urbaines
    • Photographie urbaine
    • Discussions générales
    • Divertissement, Bouffe et Culture
    • L'actualité
    • Hors Sujet
  • Aviation MTLYUL
    • YUL Discussions générales
    • Spotting à YUL
  • Ici et ailleurs
    • Ville de Québec et le reste du Québec
    • Toronto et le reste du Canada
    • États-Unis d'Amérique
    • Projets ailleurs dans le monde.

Blogs

  • Blog MTLURB

Rechercher les résultats dans…

Rechercher les résultats qui…


Date de création

  • Début

    Fin


Dernière mise à jour

  • Début

    Fin


Filtrer par nombre de…

Inscription

  • Début

    Fin


Groupe


Location


Intérêts


Occupation


Type d’habitation

3 résultats trouvés

  1. http://www.cyberpresse.ca/actualites/quebec-canada/sante/201103/12/01-4378670-lhopital-st-mary-sera-agrandi.php?utm_categorieinterne=trafficdrivers&ut m_contenuinterne=cyberpresse_BO2_montreal_173_accu eil_POS2
  2. Atze

    La Station (2012)

    Patrimoine - Station-service moderniste en danger Le Devoir Stéphane Baillargeon Édition du mardi 06 janvier 2009 Mots clés : station-service, Mies van der Rohe, Conseil du Patrimoine, Montréal Le Conseil du Patrimoine veut sauver la création de Mies van der Rohe, maintenant barricadée sur l'île des Soeurs L'ancienne station-service Esso de l'île des Sœurs a été conçue par l'architecte Ludwig Mies van der Rohe en 1968. On lui doit aussi le complexe Westmount Square, son dernier grand projet, inauguré en 1966. Photo: Jacques Nadeau Un pied sur le frein, un autre sur l'accélérateur. La mauvaise nouvelle, c'est que la station-service de l'île des Soeurs conçue par l'architecte Ludwig Mies van der Rohe en 1968 est fermée et barricadée depuis la mi-décembre. La bonne nouvelle, c'est que le Conseil du Patrimoine entamera dès la semaine prochaine des démarches officielles pour citer le bâtiment moderniste, selon les informations obtenues par Le Devoir. La citation d'un immeuble vise à faciliter sa sauvegarde et sa mise en valeur, sans toutefois les garantir. «Nous avons eu plusieurs réunions depuis l'automne avec le Bureau du patrimoine de la ville au sujet de la station-service», explique Marie Lessard, professeure à l'Institut d'urbanisme de l'Université de Montréal et présidente du Conseil du patrimoine de Montréal (CPM), l'organisme consultatif de la ville en la matière. La première réunion au sujet de la citation aura lieu lundi prochain. La présidente ajoute que la ville-centre et l'arrondissement de Verdun, de même que le groupe d'étude et de défense du patrimoine moderne Docomomo Québec, ont été «très impliqués» dans la préparation du dossier d'appui à la sauvegarde de la station-service. «Tout le monde est très conscient de sa valeur», rassure Mme Lessard. «La volonté de citer ce bâtiment est une excellente nouvelle, commente Dinu Bumbaru, directeur des programmes du groupe de défense du patrimoine de la ville Héritage Montréal. Nous avons besoin de ce genre de reconnaissance pour enrichir le catalogue et étendre la notion de patrimoine. Même si on déteste l'automobile qui a façonné le XXe siècle, il faut bien reconnaître les qualités indéniables de cette station-service assez unique au monde.» Trésor patrimonial Son importance a été mise en évidence en 1992 dans un rapport de Docomomo, puis dans une étude du CPM publiée en octobre 2005. Après avoir acheté le territoire agricole à la Congrégation Notre-Dame de Montréal en 1955, la Quebec Home and Mortage Corporation Limited a associé Mies van der Rohe au développement du «plus merveilleux domaine résidentiel de l'Amérique du Nord». On lui doit aussi le complexe Westmount Square, son dernier grand projet, inauguré en 1966. Sur l'île, il a finalement participé à la conception du plan d'ensemble et a conçu cette fameuse station-service. Les pompes à essence originales ont déjà disparu. L'aire d'accueil (y compris ses meubles) a subi de nombreux réaménagements. «Il apparaît que le bâtiment devrait être maintenu dans son intégrité et restauré, concluait le CPM en 2005. Si la station-service perdait l'usage pour lequel elle fut conçue, le recyclage devrait maintenir les qualités architecturales du bâtiment.» Le Magazine, l'hebdo de l'île des Soeurs affirmait le mois dernier que l'arrondissement de Verdun, dont relève le secteur, songeait à installer un centre communautaire dans le garage moderniste. Le trésor patrimonial occupe un grand terrain du boulevard de l'Île-des-Soeurs qui appartient maintenant à un des grands promoteurs immobiliers du secteur, la Proment Corporation, dont il a été impossible d'obtenir un commentaire hier. Au total, il y a trois ans, le terrain et le bâtiment n'étaient évalués qu'à 681 000 $, soit le prix d'un grand condo dans ce coin huppé de la ville. La station Esso était exploitée en franchise depuis quatre décennies. La pétrolière détient l'exclusivité des droits de vente d'essence dans le secteur. Mike Terzian, le garagiste expulsé à la mi-décembre, cherche toujours à se relocaliser sur l'île avec sa dizaine d'employés. Le projet de déménagement dans un ancien entrepôt, sur le chemin du Golf, est tombé à l'eau sous la pression des riverains. «Nous acceptons la décision d'Esso, dit-il. Par contre, c'est un non-sens de ne pas pouvoir offrir de service aux automobilistes de l'île.»
  3. Une centaine d'arbres abattus, deux bâtiments démolis, une chapelle en danger et des vues sur la montagne masquées. Voilà les grandes lignes du projet de transformation extrême de l'ancien collège Marianopolis, situé en plein écoterritoire du mont Royal, sur lequel les élus de la garde rapprochée du maire Tremblay devront se prononcer aujourd'hui. Dans un avis carrément «défavorable», dont La Presse a obtenu copie, et qui sera rendu public aujourd'hui, le Conseil du patrimoine de Montréal recommande que le projet de complexe résidentiel, avec clinique médicale, soit modifié de fond en comble. L'instance consultative estime que le promoteur, Développement Cato inc., devrait par ailleurs refaire ses devoirs pour préserver le site de 16 âcres tout en garantissant un accès au public malgré la nouvelle vocation privée. Depuis que l'ancienne propriété des prêtres de Saint-Sulpice a été mise en vente, en mars 2008, l'organisme de défense du mont Royal, Les Amis de la montagne, a demandé à plusieurs reprises de voir les plans détaillés du futur acquéreur. Mais en vain. Ce n'est qu'aujourd'hui, alors que le projet sera fort probablement soumis à des audiences de l'Office de consultation publique de Montréal (OCPM), un organisme de la Ville sans pouvoir décisionnel, qu'on apprend l'ampleur des travaux et l'impact sur la montagne. Un complexe de 325 logements Dans l'ensemble, il est projeté de recycler l'ancien séminaire de philosophie du chemin de la Côte-des-Neiges en un complexe de 325 logements comprenant des maisons superposées, des unifamiliales isolées et des multiplex. Outre les deux nouveaux immeubles d'une hauteur variant de 3 à 9 étages, le promoteur entend aménager une clinique médicale, possiblement à vocation privée, d'une superficie de 2000 m2, soit l'équivalent de la superficie du tablier du viaduc Rockland. Il est aussi question de creuser une piscine et d'aménager 671 unités de stationnement souterrain. Afin d'analyser le projet et de tirer des conclusions, le Conseil du patrimoine (CPM) s'est basé sur la version finale du plan directeur de développement du promoteur Cato, datée du 7 janvier. À la lumière des maquettes, le CPM en vient à la conclusion que le site aurait dû demeurer à vocation institutionnelle ou publique, et croit qu'il serait temps d'explorer les moyens pour «transférer les droits de développement du promoteur Cato sur un autre site.» Mais comme le site a déjà été vendu pour la somme de 45 millions et que la Ville n'a pas le pouvoir de dire non, le Conseil du patrimoine va de l'avant avec ses recommandations. Au chapitre des arbres, on apprend que l'abattage d'une rangée d'arbres matures doit servir à installer des maisons unifamiliales à l'ouest du site, donc en direction du sommet Westmount. À cet égard, le CPM déplore qu'aucune information n'a été fournie sur les mesures de plantation et les espèces retenues. Tous les travaux de déblai et de remblai projetés font par ailleurs penser qu'on est encore une fois «en train de grignoter les flancs du mont Royal.» Éléphant dans un jeu de quilles Dans un endroit où la circulation est particulièrement délicate, avec des impératifs de développement durable, les ambitions d'ouvrir une clinique médicale et d'aménager 671 unités de stationnement sont aussi vertement critiquées par le CPM. «La capacité d'accueil du site est limitée, note le Conseil. Et compte tenu de la proximité de l'Hôpital général de Montréal et des difficultés probables d'accès à partir de Côte-des-Neiges, il est difficile d'assurer un équilibre.» En ce qui concerne la démolition du centre sportif et de la maison des employés, l'instance patrimoniale estime enfin que la nouvelle construction de neuf étages, plus haute que l'ancienne, cachera la vue sur l'ancien séminaire à partir de l'avenue Cedar. En conséquence, le Conseil craint qu'on répète l'erreur du projet de la Ferme sous les noyers, tout près du séminaire, qui a eu pour effet de rendre invisible la maison rénovée. Informée par La Presse des conclusions du Conseil du patrimoine, la directrice générale des Amis de la montagne, Sylvie Guilbault, partage entièrement l'avis du Conseil, particulièrement au sujet de l'importance d'étudier les façons de transférer au public ou à l'institutionnel les droits de construction. «Ce projet, dans un endroit particulièrement achalandé, avec en plus l'agrandissement prévu de l'Hôpital général de Montréal, constituera un bon test pour les gouvernements. Si on prend juste le nombre de stationnements que le groupe veut construire, c'est effarant», ajoute Mme Guilbault.
×
×
  • Créer...