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  1. Construction de logements étudiants, par HEMISFER. 4 étages. 7 jan 2021 Travaux en cours
  2. Église Sacré-Coeur-de-Jésus - rénovation 2020 - 2000 Rue Alexandre-DeSève, Montréal, QC H2L 2W4 Vu aujourd'hui en passant par là:
  3. Du carré Bellerive au parc du Pied-du-Courant 23 novembre 2020 https://ville.montreal.qc.ca/memoiresdesmontrealais/du-carre-bellerive-au-parc-du-pied-du-courant?fbclid=IwAR3-ZF4Cr7o2X_sPP8dPpRdcgRf5XJRHXKzHo0lAhZVXNG5LUqMB-Wy7ttg Lieux Du carré Bellerive au parc du Pied-du-Courant 23 novembre 2020 Maude Bouchard-Dupont Temps de lecture 4 minutes Partage Espace vert et festif, le nouveau parc du Pied-du-Courant émerge d’un passé marqué par l’industrialisation. Il y a plus de 135 ans, il avait déjà pour vocation d’aérer les Montréalais. Carré Bellerive Plus de détails sur l'image Archives de la Ville de Montréal. VM105-Y-1_0367-001. Sur le flanc sud de la rue Notre-Dame, à la hauteur de la rue Dufresne, un petit parc datant du XIXe siècle borde le fleuve et la voie ferrée. C’est en 1883 que l’échevin Mount loue pour 10 ans l’ancienne propriété Bellerive à une compagnie de chemin de fer, la North Shore Railway Co. (NSRC). Son objectif est de donner une bouffée d’air pur, synonyme de santé, aux résidants du quartier Sainte-Marie éprouvés par les épidémies, dont le choléra! À la fin du bail de 10 ans, le Canadien Pacifique, qui a acheté la NSRC en 1885, fait valoir ses droits sur le parc. Le conseil municipal propose alors à la compagnie ferroviaire un échange qui s’avèrera extrêmement avantageux pour elle : le terrain du parc contre le terrain de la future gare Viger à l’extrémité est de l’actuel Vieux-Montréal. Le 19 septembre 1893, la Ville de Montréal acquiert officiellement le terrain du carré Bellerive (à ne pas confondre avec l’actuel parc de la Promenade-Bellerive, plus à l’est!). De cette véritable fenêtre sur le fleuve, les résidants du quartier observent le passage des transatlantiques. L’hiver, les enfants viennent glisser dans la côte menant au traversier. Au quai Poupart Usines de la Dominion Oil Cloth Co. Plus de détails sur l'image BAnQ. Albumes Massicotte. Notice 0002732138. En effet, depuis des siècles, le fleuve Saint-Laurent est sillonné de long en large par des bâtiments à voile, à rames, à propulsion hippomobile (horse-boat), à vapeur, etc. À l’est du parc Bellerive, un quai a longtemps servi au traversier arrivant de Longueuil. Inauguré en 1862, le débarcadère porte le nom de Joseph Poupart, propriétaire terrien, marchand et courtier, actif à Montréal. Au cours des décennies, plusieurs bateaux à vapeur assurent la traversée. Construit en 1840, le vapeur Sainte-Marie fait le circuit entre 1865 et 1867. Il est remplacé par le Longueuil en 1868 alors que le brise-glace South-Eastern facilite le passage du vapeur durant l’hiver. En 1915, le Louis-Philippe de la Canada Steamship Lines prend le relais jusqu’en 1930, l’année de l’inauguration du pont Jacques-Cartier. De 1907 à 1912, la sécurité des navires est renforcée par un phare qui les guide vers le quai. Cependant, la tranquillité du parc est bien précaire, car les installations ferroviaires et maritimes qui sont à proximité attirent les industries. Les usines de l’Adams Tobacco Co. et de la Dominion Oil Cloth Co., d’immenses réservoirs de mélasse ainsi que des amoncellements de charbon et de houille sur les quais encadrent de part et d’autre l’espace vert. Bientôt réduit à la grandeur « d’un mouchoir de poche », enfumé par les usines et sali par la poussière de charbon, comme le décrit bien le journaliste du Devoir, Louis Dupire, en 1934, le petit parc est traité comme un intrus dans le paysage riverain montréalais fortement industrialisé. Des « tanks à m’lasse » controversés Carré Bellerive Plus de détails sur l'image Archives de la Ville de Montréal. VM105-Y-1_0367-002. Les trois grandes structures servant à entreposer la mélasse, qui s’élèvent à l’arrière-plan de la photographie, sont un exemple flagrant de l’emprise de l’industrie sur ce secteur. Construites en 1955 par la Société Ernest Carrier, elles font sourciller plusieurs élus municipaux. Voulant donner un meilleur accès au fleuve, le conseil municipal souhaite à l’époque agrandir le parc Bellerive vers l’est. Mais comme l’accès riverain est crucial pour le transport industriel, les milieux d’affaires se pressent de contrecarrer en partie le projet. Ayant la permission de la Ville de construire des citernes temporaires pour entreposer une grosse livraison de mélasse, la direction de l’usine Carrier outrepasse ses droits et érige des réservoirs permanents au coût de 75 000 dollars. L’équipe du maire Drapeau tente de corriger la situation en octroyant un nouveau bail contraignant, mais non renouvelable, pour la forcer à déménager. Succédant à Drapeau en 1957, l’administration de Sarto Fournier annule les pénalités de 29 000 dollars accumulées par la compagnie et reconduit le bail afin de maintenir les emplois de la manufacture. Le parc sera cependant agrandi en 1964, après la destruction des maisons situées autour des silos à mélasse. Abandonnés lors des décennies suivantes, les réservoirs désaffectés ne sont démolis qu’en 2012 sur ordre du ministère des Transports. L’usine de la Dominion Oil Cloth Co. ayant laissé place à un dépôt à neige, un véritable projet riverain prend finalement forme sur la promenade bordant les anciens quais du Pied-du-Courant. Aujourd’hui, les Montréalais s’arrêtent à l’ancien carré Bellerive, renommé officiellement parc du Pied-du-Courant en 2018, pour voir les feux d’artifice, ou y passent en allant au Village du Pied-du-Courant. Issu d’une initiative citoyenne, le Village est un espace festif estival aménagé sur l’ancien dépôt à neige qui avait remplacé l’usine de la Dominion Oil Cloth Co. Convoité par les industriels puis par les citoyens, le rivage dans le secteur de la promenade du Pied-du-Courant alimente les discussions depuis plus d’un siècle. L’article original est paru dans la chronique « Montréal, retour sur l’image », dans Le Journal de Montréal du 2 octobre 2016. Il a été remanié en 2019 pour sa publication dans Mémoires des Montréalais. Référence bibliographique COMITÉ CITOYEN DU PARC BELLERIVE, RAYSIDE/LABOSSIÈRE. Le parc Bellerive, Montréal, juillet 2013, 22 p. http://studiotest.rayside.qc.ca/wp-content/uploads/2015/09/Parc-Belleriv... Parc-Bellerive-_-Doc-de-présentation_-juillet-2013.pdf
  4. https://www.facebook.com/235759993142149/posts/3715543838497063/ RAYSIDE LABOSSIÈRE S’AGRANDIT Depuis déjà quelques années que Rayside Labossière souhaite agrandir ses bureaux. C’est donc tout juste avant la pandémie que la construction de ce bâtiment aux grandes ambitions écologique débuta. Fidèle à sa mission et ses valeurs, la firme a mis la barre haute afin de se surpasser en matière de développement durable. Unique et innovant, on pourra le qualifier comme l’un des bâtiments les plus écologiques au Canada. Aujourd’hui, nous sommes fiers de vous dévoiler en grande primeur sa belle structure de bois signée L2C Experts Conseils en Structure et fabriquée par Art Massif. Restez à l’affut pour suivre l’évolution de ce bel accomplissement en devenir !
  5. https://1600delorimier.com/ L’architecte Gilles Saucier imagine une nouvelle entrée à Montréal. 30 étages https://www.lapresse.ca/affaires/2020-11-04/ancienne-savonnerie-barsalou/l-architecte-gilles-saucier-imagine-une-nouvelle-entree-a-montreal.php
  6. Projet de 130 logements sociaux au coin de René-Lévesque et Alexandre-De Sève dans le Quartier des lumières. Partenariat de Inter-Loge, Groupe Mach et Atelier habitation. https://www.lapresse.ca/affaires/2020-09-19/130-logements-sociaux-sur-le-site-de-radio-canada.php Ça ne va pas remporter des prix, mais c'est franchement similaire à ce qui se trouve déjà sur cette portion de René-Lévesque et ce n'est pas le pire projet de logements sociaux qu'on a vu non plus.
  7. https://www.tvanouvelles.ca/2020/10/28/esplanade-cartier-le-promoteur-propose-des-rues-partagees Esplanade Cartier: le promoteur propose des rues partagées Guillaume Picard | Agence QMI | Publié le 28 octobre 2020 à 15:24 Esplanade Cartier: le promoteur propose des rues partagées Guillaume Picard | Agence QMI | Publié le 28 octobre 2020 à 15:24 Le promoteur Prével souhaitait que son ensemble immobilier Esplanade Cartier, voisin du pont Jacques-Cartier, soit fermé aux véhicules afin de laisser toute la place aux piétons et aux cyclistes. • À lire aussi: La piste cyclable du pont Jacques-Cartier sera ouverte l’hiver • À lire aussi: «J.E» | Montréal, un refuge à ciel ouvert • À lire aussi: Un ensemble immobilier de 350 millions $ dans Hochelaga-Maisonneuve Mais après avoir reçu une fin de non-recevoir, il propose maintenant, dans un mémoire déposé mercredi devant l’Office de consultation publique de Montréal (OCPM), dans le cadre des auditions du Plan particulier d’urbanisme (PPU) des Faubourgs, des rues partagées où les voitures seront admises à condition de laisser la priorité aux humains. C’est que les autorités ont exigé que la trame des rues Tansley et Falardeau, situées à l’ouest du pont, se poursuive de l’autre côté de l’avenue De Lorimier, dans le nouveau quartier. «On veut que ces rues soient partagées, car elles vont traverser le parc central de notre projet. On veut que les voitures avancent au rythme des piétons et des vélos, et que les rues viennent contribuer au réseau de places publiques du projet», a dit en entrevue Laurence Vincent, coprésidente de Prével. L’entreprise propose un site qui sera occupé en son cœur par un espace vert presque aussi grand que la place des Festivals, dans le Quartier des spectacles. Ce parc, espère-t-on, sera à même de créer une ouverture sur le fleuve et une fenêtre parmi d’autres sur le pont presque centenaire. La verdure se retrouvera aussi sur plusieurs toits végétalisés où il sera même possible de faire de l’agriculture urbaine. Projet dont la valeur pourrait atteindre jusqu’à 1 milliard $, Esplanade Cartier est divisée en six îlots à aménager au cours des cinq à six prochaines années. Il s’agit d’un projet mixte qui inclura environ 2000 unités résidentielles – condos, logements sociaux, abordables et familiaux –, plusieurs commerces de proximité ainsi qu’entre 500 000 et 700 000 pieds carrés d’espaces de bureaux. Déjà en construction, la première phase est constituée d’une tour de 14 étages qui sera liée à un bâtiment de trois étages, au coin des rues Sainte-Catherine Est et Parthenais. Plus on avancera dans le site via une placette menant au parc central, plus les bâtiments gagneront en hauteur, selon la vision de Prével qui s’est matérialisée sur les planches à dessin de la firmeNÓSarchitectes. Au centre, les bâtiments pourront aller jusqu’à 15 à 20 étages, puis sur René-Lévesque Est, où la densité permet une plus grande volumétrie et où, surtout, il n’y a pas de résidents à priver de soleil, les hauteurs pourraient atteindre 80 mètres, ou 25 étages, selon le vœu de Prével. Le zonage actuel permet 65 mètres. «On respecte la densité et la vision du plan d’urbanisme. Ce qu’on veut démontrer avec la densité proposée, c’est que le fait d’être en hauteur nous permet, selon moi, d’avoir une meilleure qualité de vie, une meilleure luminosité, des parcs plus grands et des espaces plus agréables», a dit Mme Vincent. «Le but, c’est de ne pas avoir un projet homogène. On aime la diversité, c’est vrai pour l’œil et pour la volumétrie», a ajouté la femme d’affaires. «On a toujours bâti en tenant compte de ce qu’on a appris de projet en projet», a indiqué Mme Vincent, en rappelant aussi qu’une démarche de «Placemaking» est toujours en cours et qu’une Maison de projet, aménagée dans la première phase, va permettre de s’ajuster au fur et à mesure en fonction des besoins du quartier et des résidents. Les consultations auprès d’organismes et d’acteurs du quartier Sainte-Marie ont d’ailleurs permis de peaufiner le projet. «Je donne en exemple des jets d’eau qu’on a intégrés après que l’idée eut été proposée. On nous a aussi dit que les structures d’animation ne devraient pas être trop imposantes afin de ne pas gêner les vues sur le pont.» Rappelons qu’en plus d’être à quelques pas de la station de métro Papineau, le site pourrait éventuellement être desservi, au sud, par un nouveau lien de transport structurant de type tramway ou même par une antenne du Réseau express métropolitain. Quant au PPU des Faubourgs, il concerne aussi le réaménagement des terrains de Radio-Canada et ceux de Molson. Beaucoup de boulot Prével est en train de finaliser la livraison des dernières unités de ses projets Bassin du Havre dans Griffintown (avec son partenaire Rachel Julien), 21earrondissement dans le Vieux-Montréal et Union sur le parc à l’ouest du centre-ville. En plus d’Esplanade Cartier, l’entreprise développe en ce moment les ensembles immobiliers Quartier général dans Griffintown et Les Cours Bellerive dans Tétreaultville. «On a aussi deux nouveaux projets sur notre planche à dessin et plusieurs négociations [de terrains] sont en cours», a indiqué Mme Vincent, qui croit par ailleurs que la demande pour les bureaux, affectée par la pandémie, va revenir.
  8. 222, rue Sainte-Catherine Est Emplacement: 222, rue Sainte-Catherine Est Hauteur en étages: 6 Hauteur en mètres: 19m Coût du projet: Promoteur: SAC‐À‐DOS Architecte: Rayside Labossière Entrepreneur général: Début de construction: Fin de construction: Site internet: https://lesacados.org/ Lien webcam: Vidéo promotionnelle: Rumeurs: Autres informations: 31 Logements
  9. https://www.tvanouvelles.ca/2020/10/28/esplanade-cartier-le-promoteur-propose-des-rues-partagees
  10. FABG The building has been sold to Mondev. We will also see a 7 story project here soon.
  11. https://renx.ca/groupe-quint-acquire-montreal-holt-renfrew-building/?fbclid=IwAR0yYMLBZWjF1gLQekaIqLQAYdQddSA21HpG9i3vwx8FlLnrHkkNeLvzhTE Groupe Quint acquires Montreal’s Holt Renfrew building Transactions Redevelopment Real Estate Companies Danny Kucharsky Jul. 16, 2020 Groupe Quint has acquired the historic Holt Renfrew building at 1300 Sherbrooke St. West in Montreal. (Google Street View) Groupe Quint has purchased the iconic former Holt Renfrew building at 1300 Sherbrooke St. W. in downtown Montreal and plans to invest about $20 million to transform the vacant site into a mixed-use retail and office development. Terms for the off-market deal, which was concluded in late June, were not disclosed but Groupe Quint president and founder Ian Quint told RENX the company gave Holt Renfrew owner George Weston Ltd. its asking price for the building. The transaction, in the works for about half a year, was not affected by the coronavirus pandemic, he said. Plans call for the ground floor and basement of the prime location at Sherbrooke and de la Montagne Street to be maintained as retail spaces and upper floors to be converted into offices. When renovations are completed, the building will have about 35,000 square feet of retail space and up to 85,000 square feet of office space. “We’re very happy to have acquired it,” Quint says. “We think that we’re going to have a fantastic and successful project.” The building became available when Holt Renfrew recently moved into the Ogilvy department store at 1307 Ste. Catherine St. W. in downtown Montreal. Now known as Holt Renfrew Ogilvy, the 250,000-square-foot store is one of the largest multi-brand luxury stores in North America. The former Holt Renfrew building Built in phases in the 1930s, the former Holt Renfrew building consists of sections of four and seven storeys. The art-deco section of the Holt Renfrew building, completed in 1937, was designed by the architectural firm Ross and Macdonald, which also designed a number of Canada’s château-style hotels, including the Fairmont Château Laurier in Ottawa. The exterior of the building will be preserved, with only the windows replaced. “It’s not a historical building but it does have a landmark history to it,” Quint noted. Most of the interior will be demolished. Demolition will start in August and last for a few months. Construction will start in earnest in December and last for three or four months. For the office space, the goal is to have one to three large tenants who will be able to have their own elevators, private lobbies and their own branding on the building. “We’re doubly happy with the acquisition given what’s happening with the pandemic,” Quint said. “We really think it’s a great product for the new world that we’re living in.” Quint said interest from potential office tenants, many of whom rent 50,000 square feet in 50-storey office buildings, has been “overwhelming.” Given the size of the building, tenants will be able to take the stairs if they don’t want to use an elevator, he noted. The company has been getting calls from a large variety of users for the retail space, but Quint is most interested in leasing it to cafes, restaurants, high-end grocery stores or ready-to-eat users. About Quint and Groupe Quint Quint, a native Montrealer and graduate of York University’s Osgoode Hall Law School in 2005, began working in real estate after being called to the New York State Bar. He formed Westmount, Que.-based Groupe Quint in 2014 and it now has a portfolio of more than eight million square feet of primarily industrial, commercial and retail real estate in Canada and the U.S. Its acquisition strategy consists in large part in buying vacant buildings, redeveloping them, leasing them and creating value, he explained: “A key to our success is being able to make decisions quickly and buy product that is either majority vacant or fully vacant where there’s no cash flow, which most other investors can’t purchase.” The company also specializes in buying “dead” enclosed malls, which “aren’t the flavour of the month,” and breathing new life into them. “It’s all about buying-in for the right price, and then reimagining them,” he said. The strategy is often to “demall” the sites by removing the common areas and converting them into leasable spaces such as storage operations. Other recent acquisitions Last year, Quint bought the 18-building Carrefour Champêtre shopping outlet in Bromont in Quebec’s Eastern Townships. It is now being converted into a service-oriented centre with offices, and some of the buildings are being sold to owner-occupants. In Ontario, Quint owns the 350,000-square-foot Cornwall Square enclosed mall in Cornwall and 13 stand-alone buildings in 13 cities across the province in which the anchor tenant is retailer Giant Tiger. Earlier this year, Quint acquired from Investors Group the 180,000-square-foot Complexe Daniel-Johnson close to the Carrefour Laval shopping mall in Laval. The site includes the 2550 Daniel-Johnson office building and the mixed-use 2560 Daniel-Johnson office/retail property. The Complexe was about 20 per cent vacant upon acquisition but is close to 100 per cent occupied after the formerly vacant spaces were renovated. During the height of the pandemic, Quint bought 675,000 square feet of industrial properties in Montreal’s East End and in Ste. Hyacinthe, near the city. In the U.S., Quint owns 1.5 million square feet of industrial space in cities including Tampa Bay and Memphis. “Our philosophy is if there’s a thousand good deals to do in a year, we’ll do a thousand deals; if there’s zero good deals to do in the next 10 years, we won’t do a single deal,” Quint said. “As long as we’re finding the product that we’re comfortable with and can create value, we’ll do as many deals as possible.”
  12. https://montreal.ca/articles/consultations-en-mode-virtuel-dans-ville-marie Projets particuliers de construction, de modification ou d’occupation d’un immeuble (PPCMOI) 636, rue Saint-Paul Ouest (dossier 1206255002) Permettre de déroger à l’obligation de fournir un quai de chargement et d’établir un délai de réalisation pour le projet sur le site délimité par les rues Saint-Paul Ouest, Saint-Henri et William et la ruelle Richard (636-640, rue Saint-Paul Ouest), et ce, en dérogation notamment aux articles 582 et 583 du Règlement d’urbanisme de l’arrondissement de Ville-Marie relatif, entre autres, à la fourniture d’un quai de chargement pour les usages commerciaux.
  13. J'ai vu cette annonce a l'instant pour un nouveau projet au 1200 Drummond. Je sais qu'il y a un fil pour un immeuble proposer d'environ 16 ou 17 étages ce site. https://gatsbycondos.com/?utm_source=fidelitix&utm_medium=display
  14. Dans le district Sainte-Marie Registre des lobbyistes Conceptions Rachel Julien Inc. Mandat : Période couverte par le mandat :du 2020-06-29 au 2021-06-30 Contrepartie reçue ou à recevoir :moins de 10 000 $ Objet des activités : Proposition législative ou réglementaire, résolution, orientation, programme ou plan d'action Renseignements utiles : Démarches en vue d'obtenir du Conseil d'arrondissement et de la Ville de Montréal différentes résolutions visant à permettre un nouveau projet mixte sur le site du 2151, rue Fullum, dans l'arrondissement de Ville-Marie. Le site est bordé par les rues Fullum et Larivière et il est actuellement occupé par l'église Saint-Eusèbe-de-Verceil (vacante et barricadée), son presbytère et un garage attenant à ce dernier. Le projet vise la démolition partielle de l'église Saint-Eusèbe-de-Verceil, la démolition du garage, la restauration de son presbytère, la construction d'une nouvelle chapelle et la construction d'un nouvel ensemble immobilier de hauteurs variant entre 6 et 8 étages, qui sont principalement à vocation résidentielle et qui comprendront une coopérative d'habitation (logement social et communautaire) ainsi que du logement privé. De plus, un projet est à l'étude pour évaluer le potentiel que le rez-de-chaussée de la coopérative d'habitation abrite un espace commercial destiné à une occupation par un organisme communautaire ou une entreprise en économie sociale. Cet espace pourrait aussi abriter une salle multifonctionnelle pour les résidants du site et les activités de la paroisse de Saint-Eusèbe-de-Verceil. Le zonage actuel du site est E.5 (lieu de culte) et l'église figure sur la liste des lieux de culte dans la catégorie des Bâtiments d’intérêt patrimonial et architectural hors secteurs de valeur exceptionnelle de la Ville de Montréal (Plan d'urbanisme - Partie II - Ville-Marie - Le patrimoine bâti). Deux modifications réglementaires sont souhaitées. L’une au plan d’urbanisme de la Ville de Montréal pour le retrait de l'église de cette liste. L’autre modification, au règlement d’urbanisme no 01-282 de l’arrondissement de Ville-Marie, vise l'ajout des usages résidentiel, commercial et institutionnel (pour le local commercial et la salle multifonctionnelle) à celui de lieu de culte (qui sera maintenu pour la chapelle). Cette modification réglementaire vise aussi la permission de construire de nouveaux bâtiments de 6 à 8 étages pouvant atteindre une hauteur de 27 mètres, mais sans dépasser un coefficient de densité de 3,0. Institutions visées : Montréal
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