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Wave Arts

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Messages posté(e)s par Wave Arts

  1. il y a 19 minutes, SameGuy a dit :

    Il ne “chutera” pas en bas de 8° pendant au moins une semaine.

     

     

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    Ce que tu vois c'est une température projetée, mais dont le calcul ne prend pas en compte une forte résolution, je ne sais pas non plus quelles données ils utilisent. Avec le modèle GFS de haute résolution (modèle américain), les température ne dépasseront 8°C qu'aux alentours de 12h.

    Toutefois, la météo reste une science chaotique et ça pourrait être différent, le problème est qu'il faut une température minimum pour que l'epoxy puisse se polymériser et se solidifier et que les températures, notamment le matin, sont très proches de cette température minimum. Aussi, plus il fait froid, plus l'epoxy prendra du temps à se solidifier. Certains travaux du REM vont donc prendre plus de temps à réaliser.

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  2. il y a 9 minutes, IluvMTL a dit :

    Suggestion intetessante mais l'eau qui provient du pont doit être assez contaminé.  En plus,  les terrains sous le pont ne sont pas très large. Un bassin exposé occupera peut être trop d'espace du parc linéaire prévu pour des aménagements de loisir entre autres.

    T'as raison qu'il n'y a pas beaucoup de place disponible, ça pourrait être difficile d'aménagement et encombrant. 

    Pour la contamination, ça devrait pas être un problème. Un bassin avec retenue permanente peut largement faire la job. Les contaminants probables de l'eau provenant du pont doivent être certains métaux lourds (plomb, cadmium, zinc, cuivre) ainsi que des huiles et certains hydrocarbures. Un principe de décantation et des algues/plantes pour faire un principe de sorption sont suffisants pour traiter l'eau contaminée. Il faut juste installer des clotures ou d'autres dispositifs pour éviter que des personnes aient la bonne idée de s'y baigner.

    À titre d'exemple l'eau du bassin que j'ai posté est contaminée au plomb et très probablement plusieurs autre polluants.

  3. il y a 1 minute, p_xavier a dit :

    Les employés en construction sont souvent matchés avec des prof/employés de la santé. Ils veulent avoir des vacances. Être pogné 2 mois à la maison avec 2.3 enfants n'est pas des vacances.

    Inquiète-toi pas j'en suis totalement conscient. Je pense que certains ont hâte de retourner travailler pour être en congé de garde des enfants. Mon commentaire se voulait purement sarcastique.

  4. Il y a 14 heures, lnykgz a dit :

    Based on the current plan and rumors, there will be 5 new huge condos to be built on the empty spaces. If it comes true, that will be disaster for people living on the south tip, because:

    1. traffic jam at rush hour. the density of north tip can be high because it is next to REM and easy to drive in and out the island. south tip is not that case.

    2. emergency evacute. 

    3. lack of pulblic services, such as, daycare, primary school, facilities for kids, grocery, etc.

    4. property value will decrease due to high population density and sunlight sheltered, especially for the townhouses.

    5 .....

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    Quand tu parles d'évacuation d'urgence, tu fais référence à quels types d'urgences ? La seule situation réaliste que je vois serait un incident industriel qui relâcherait un nuage toxique dans des industries à l'ouest ou dans le quartier industriel de Sainte-Catherine. 

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  5. Les enseignes néons étaient permanentes et devaient donc être bien réfléchies. C'était une oeuvre d'art si on y pense ! Le problèmes avec les panneaux publicitaires c'est que c'est le même genre de publicité qu'on confronte des dizaines de fois chaque jour (internet, télé, journaux, magazines, etc). 

    Un panneau publicitaire bien réfléchi peut donc, à la fois avoir un meilleur effet publicitaire et rehausser la qualité de l'image urbaine. Par exemple, si un magasin décide de créer une oeuvre murale (graffiti) publicitaire sur le mur vacant de son bâtiment, ce serait idéal. 

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  6. il y a 1 minute, santana99 a dit :

    Tu coupes les cheveux en 16, je trouve. Magnitude 1 2 3 4. Utilise-t-on le terme pandémie pour désigner la grippe saisonnière ? Absolument pas. Ça arrange un certain nombre de personnes et d'entreprises que l'on parle de "pandémie" dans le cas de la covid-19. La rigueur journalistique dans les médias traditionnels ? Tu plaisantes, j'espère ! Alors que tu parles au même moment de sensationnalisme et d'articles un peu inutiles. On parle ici d'une surréaction à un virus, le coronavirus qui est étudié depuis les années 70. Les années 70 ! Ce virus est contagieux, mais finalement assez peu dangereux. La vaste majorité des gens atteints ne développent presque aucun symptôme. Il tue les gens fragiles et ceux souffrant de co-mordité, et majoritairement des gens qui ont plus de 70 ans.  Son taux de mortalité est inférieur à celui de la grippe saisonnière, si on prend l'ensemble des gens atteints, symptomatiques et asymptomatiques. La réalité c'est ça, que ça te plaise ou non. Nous vivons dans des sociétés vieillissantes qui croient que vivre c'est le risque zéro. Vivre ce n'est pas ça. Vivre est un risque. On en meurt d'ailleurs. C'est la vie qui nous fait mourir !

    Je suis d'accord avec toi.

    On ne parle pas de pandémie pour la grippe parce qu'on s'y est habitué et ce n'est pas un sujet qui va faire beaucoup de vues, mais oui, on considère la grippe saisonnière comme étant une pandémie. 

    On étudie les coronavirus depuis les années 70, mais beaucoup sur les animaux. Le SARS-CoV 2 fait partie de la famille des coronavirus, mais on ne le connait pas encore parfaitement.

    Même sans le confinement, la crise aurait affaiblie notre économie. Les vies humaines sont une forme de "dépense" tout comme le réchauffement climatique est une forme de dette et tous les deux affectent l'économie.

  7. Je suis d'accord que les médias traditionnels utilisent le sensationnalisme pour faire plus de clics et font parfois des articles un peu inutiles, simplement pour attirer (surtout présentement), mais ils ont le mérite d'avoir la rigueur journalistique. À l'école, on m'apprend à faire preuve de sens critique. Mais ça ne veut pas dire de remettre absolument tout en question, sans aucune raison.

    Il faut analyser et comprendre ce que l'on nous dit, j'en suis parfaitement d'accord, et si possible, faire des recherches soi-même : chercher des études et les analyser, regarder les deux côtés de la médaille, etc.

    Sauf que je ne suis pas spécialiste en la matière, tout comme beaucoup de personnes, c'est pourquoi j'ai décidé de faire confiance aux spécialistes, particulièrement lorsqu'une majorité s'entend sur une théorie (par spécialistes, je parle des chercheurs, des médecins, des microbiologistes, des infectiologues, etc). 

    Et puis on a beau vouloir diminuer la gravité de la maladie, mais je trouve ça quand même important que la COVID-19 soit la troisième cause de mortalité en Italie, très proche de la deuxième et pourrait possiblement devenir la principale, en 2020. https://www.statista.com/statistics/1109344/main-causes-of-deaths-in-italy/

    Je pense que nous serons aptes à juger si les mesures étaient trop importantes, ou au contraire, trop peu strictes que lorsque la pandémie aura cessée.

    Il y a 5 heures, santana99 a dit :

    Une pandémie ? On joue sur les mots.

    C'est pour ça qu'il existe différentes magnitudes de pandémie. La grippe saisonnière est une pandémie, mais de magnitude 1. Que tu le veuilles ou non, on a donné une définition au mot et la situation actuelle rentre pas mal dedans. C'est sur que quand on parle de pandémie, certains peuvent s'imaginer dans le film Contagion mais c'est juste une question de perspective au final.

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  8. Il y a 1 heure, viajero a dit :

    Faux. La tour du stade olympique est plus haute et a l'extérieur du centre-ville de Montréal,mais bon ,bonne nouvelle quand même !

    Le mât du pont Samuel-de-Champlain aussi fait environ 170m. Mais bon, ce n'est pas vraiment un tour.

    Excellente nouvelle pour le projet.

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  9. https://www.ledevoir.com/economie/578146/l-observatoire-de-la-place-ville-marie-met-fin-a-ses-activites

    L’observatoire de la Place Ville-Marie met fin à ses activités

    Fermé temporairement au début de la crise de la COVID-19, l’observatoire situé au sommet de Place Ville-Marie cessera ses activités de façon définitive, a appris Le Devoir.

    L’observatoire qui occupait les 45e et 46e étages de la tour emblématique avait été inauguré en 2016 grâce à des investissements estimés à 13 millions de dollars. Il offrait une vue sur 360 degrés de la ville de Montréal. L’homme d’affaires Alexandre Taillefer avait participé au lancement du projet baptisé Au Sommet Place Ville-Marie via sa société Mishmash (XPND). Il a cependant indiqué au Devoir vendredi que sa société n’était plus impliquée dans le dossier.

    Au Sommet Place Ville-Marie a confirmé au Devoir sa décision de mettre un terme aux activités de façon définitive. « Au Sommet Place Ville-Marie profite de ce temps d’arrêt imposé par la COVID-19 pour entamer une réflexion sur la vocation et l’utilisation de l’espace qu’occupe actuellement l’observatoire 360 de PVM pour mieux répondre aux besoins des locataires de PVM et de la communauté du Grand Montréal », a indiqué par courriel Geneviève Touchette, directrice générale de l’organisation.

    Elle a précisé que 26 personnes travaillaient à l’observatoire et que les employés comptant plus de trois mois d’ancienneté auraient droit à une indemnité représentant l’équivalent de 8 semaines de travail.

    Ces pertes d’emploi ne concernent pas les travailleurs du restaurant Les Enfants terribles qui, lui, reprendra ses activités dès que les autorités sanitaires le permettront, a souligné Mme Touchette. Le restaurant loge au 44e étage de l’immeuble.

    Partenaire dans le projet, la société Ivanhoé Cambridge, propriétaire de la Place Ville-Marie, a indiqué appuyer la décision d’Au Sommet Place Ville-Marie.

    Lorsque l’observatoire avait été inauguré en 2016, les promoteurs envisageaient d’accueillir environ 300 000 visiteurs par année. Outre la vue imprenable, l’observatoire offrait diverses activités comme des spectacles, des dégustations, des séances de yoga et des conférences. La Presse rapportait toutefois l’an dernier que l’achalandage était moins important que prévu, selon les résultats du troisième trimestre 2018 de la société XPND.

    La décision d’Au Sommet Place Ville-Marie de cesser ses activités n’étonne pas Tourisme Montréal. Il est clair que les travaux majeurs de revitalisation entrepris au cours des dernières années sur l’esplanade de la Place Ville-Marie et au pied de l’immeuble n’ont pas aidé la cause de l’observatoire et en ont compliqué l’accès, estime Manuela Goya, vice-présidente de Tourisme Montréal : « La COVID a peut-être été le dernier clou dans son cercueil. […] L’histoire nous le dira, mais l’observatoire pourrait être une des premières entreprises victimes de la COVID-19. »

    Les touristes absents

    La saison touristique s’annonce d’ailleurs difficile à Montréal en raison de la pandémie. « On avait pour 2020 des perspectives exceptionnelles, autant pour le tourisme d’affaires que pour le tourisme régulier, explique Mme Goya. On roulait sur une autoroute. On n’a pas été freinés, on a été stoppés net. Un vrai mur de briques. »

    L’organisme a dû revoir ses ambitions, mais il a déjà préparé une campagne publicitaire qui sera lancée dès que le déconfinement pourra s’opérer. En attendant que les musées et les restaurants puissent rouvrir leurs portes, Tourisme Montréal mettra toute son énergie sur les Montréalais, puis sur la clientèle des régions et de l’Ontario. « On a bon espoir que les Ontariens reviendront », souligne Mme Goya. L’incertitude persiste toutefois quant à la possibilité pour les Américains de traverser la frontière.

    Le tourisme d’affaires, qui représente des retombées annuelles de 55 millions en situation normale, devrait reprendre en septembre ou octobre, mais les rassemblements devraient être plus modestes, avance Manuela Goya.

    L’an dernier, Montréal avait accueilli 11,1 millions de touristes. « On n’ose pas compter pour le moment », dit Mme Goya. Ce sont les Montréalais qui représentent le principal attrait de la ville, selon elle. « Montréal est vivante, mais en ce moment, elle somnole. C’est comme la Belle au bois dormant. »

    • Sad 1
  10. Il y a 4 heures, acpnc a dit :

    Peut-être tant que la pandémie durera. Cependant il y a de bonnes chances que l'essentiel de cette crise soit derrière nous quand les premières rames du REM prendront la route. N'oublions pas que les bonnes raisons de sa construction ne seront pas disparues avec le virus. Au contraire, le besoin de mobilité dans la métropole demeurera plus que jamais un objectif incontournable pour l'économie de la ville. C'est pourquoi les transports collectifs prendront de plus en plus de place à l'avenir.

    J'imagine aussi que les gouvernements voudront mettre les bouchées doubles afin de diminuer notre dépendance aux énergies fossiles, grandes responsables des conditions atmosphériques favorables à l'apparition de ce genre d'éclosion. On ne pourra donc pas retourner en arrière comme si la pandémie n'avait été qu'un cauchemar passager.

    En ce qui me concerne il m'apparait évident que le Covid19 aura servi de catalyseur pour accélérer notre réflexion sur l'environnement en général. Il favorisera une réflexion générale en vue d'une amélioration durable des conditions de vie des citadins, surtout que dans la plupart des pays du monde ce sont les zones urbaines qui dominent aujourd'hui.

    J'ajouterais qu'ici au Québec nous avons la chance extraordinaire d'avoir un réseau hydro-électrique qui produit de grands surplus énergétiques et cela à très bas cout. Il s'agit donc d'une réserve importante dans laquelle nous pouvons puiser davantage pour nos besoins, tout autant que de chercher à satisfaire ceux des provinces et États qui nous entourent. En plus il nous reste encore un grand potentiel de développement pour suffire à la croissance pour un bon moment.

    J'en conclus que nous avons les moyens de nos ambitions, non seulement pour déployer des TEC partout où c'est nécessaire, mais aussi de repenser nos villes pour un mieux-être collectif. Le Covid19 nous aura à ce chapitre rendu un grand service. Celui de réaliser que le Québec est l'endroit le mieux préparé pour la prochaine révolution environnementale, et que l'électricité a le pouvoir d'y jouer le rôle principal dans ce nécessaire changement de paradigme à l'échelle planétaire.

    T'as raison, mais les utilisateurs habituels du métro préféreront aussi prendre leur auto pour ne pas se faire contaminer. Les habitudes changeront pour certaines personnes.

  11. Il y a 11 heures, Rocco a dit :

    Terre des hommes, septembre 1974. Le début de la fin avec la destruction visible d'une partie des pavillons de l'ile Notre-Dame pour la construction du bassin Olympique.

    Archives de Mtl

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    Avec le pont Jacques Cartier en reconstruction au dessus de la voie maritime, le traffic sur les autres ponts devait être important?

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